LE MINISTERE DE LA MONDIALISATION

Je souhaite débuter ce billet en remerciant chaleureusement Claude Janvier, auteur, essayiste et présentateur de l'émission "Libre Parole" sur TV-ADP d'Éric Montana. C'est dans l'émission de GPTV puis sur "Tribune Libre", lors d'une interview marquante avec Stéphanie Reynaud, qu'il a lâché une véritable bombe sur les enjeux cruciaux entourant la création du Ministère de la Mondialisation en France. Et dont je vais vous faire part dans quelques instants.

Mais avant tout, sachez que ses analyses incisives habituelles et son esprit critique m'ont ouvert les yeux sur la portée de cette nouvelle bureaucratie française, révélant les implications inquiétantes de cette législation. Grâce à Claude Janvier, j'ai pu plonger au cœur des subtilités de ce texte de loi, publié sur Légifrance, et comprendre comment ce ministère, loin de simplifier notre réalité, n’est en réalité qu’un instrument d'enfumage supplémentaire dans un monde déjà trop complexe. C'est donc avec une sincère reconnaissance que je salue son engagement à éveiller les consciences sur ces questions fondamentales qui touchent notre avenir collectif.

Voici donc "le Ministère de la Mondialisation", cette merveille de la bureaucratie moderne qui, depuis son lancement en janvier 2024, brille par sa capacité à organiser le chaos. Une véritable symphonie administrative, orchestrée par des cohortes de directeurs, sous-directeurs, adjoints et chargés de mission qui, à défaut de résoudre des problèmes, excellent dans l'art de les compliquer. Ce ministère n'est pas là pour simplifier les choses, mais bien pour les embrouiller un peu plus, sous couvert de "diplomatie économique" sans diplomates ni économie, de "développement durable" en haussant par 4 la TVA sur l'énergie et de la fameuse "promotion de l’expertise française", dont Bruno Lemaire est un digne représentant du Mozart de la finance que nous avons comme président. Oui, vous savez, cette expertise dont on se demande encore en quoi elle consiste vraiment dès lors que nous avons plus 3 300 milliards de dette... Peut-être veulent ils parler des centrales nucléaires qui nous coutent un bras en étant à l'arrêt ? ou du système fiscal incompréhensible sauf pour les riches qui ne paient plus d'impôts ? Qui sait ? Le flou est devenu un outil stratégique ici, aux mains de ces médiocres gangsters, comme  un bouclier pour éviter toute réelle transparence et assurer l'impunité des coupables.

Mais il y a surtout une réalité plus sinistre derrière cette nouvelle arme administrative. Macron, dans sa duplicité coutumière, a mis un coup fatal au corps diplomatique français en le dissolvant purement et simplement, pour mieux implanter cette entité kafkaïenne. Il a transformé ce qui fut autrefois l’un des fleurons de notre souveraineté en un instrument de soumission totale aux oligarques fous d'hybris. Derrière ses sourires machiavéliques et ses discours habiles mais creux, Macron orchestre, avec la grosse caisse cette fois, un démantèlement brutal de l’État-nation français, et ce ministère n'est rien de moins que la dernière pièce de son puzzle : un outil taillé sur mesure pour anéantir ce qui restait de notre autonomie car la souveraineté s'est depuis bien longtemps envolée dès lors que le truand Sarkozy, président au bracelet électronique, avait tendu le tapis rouge à cette folie de mondialisation.

L’objectif final de cette manœuvre est on ne peut plus clair : fondre la France dans un corpus supranational, non élu, où notre souveraineté s’évapore à jamais avec le peu de liberté qu'il restait. Ce nouveau ministère, digne d'Orwell et suivant l'Arcom, qui ne rend de comptes qu’à des élites technocratiques globalisées, est là pour parfaire le grand dessein mondialiste : centraliser le pouvoir, tout en dissolvant la France dans un magma informe de règles supranationales imposées par des institutions opaques. C'est la machine ultime pour nous déposséder, en douceur, sans éclats de voix, avec pour seule arme le poids d'une bureaucratie omniprésente, invisible mais implacable.

Macron, maître de la déconstruction violente du pays, avance masqué derrière des discours lénifiants, mais chaque décision, chaque réforme participe à un seul but : nous dissoudre, nous fondre, nous annihiler dans ce projet global où le peuple n’a plus voix au chapitre. Et tout cela, bien entendu, sous le prétexte fallacieux de "modernisation" et de "progrès".

Mais ne vous méprenez pas, derrière cette machine infernale, se cache un dessein bien plus vaste, bien plus sinistre. Le Ministère de la Mondialisation n’est pas une simple excroissance bureaucratique. Il est le bras armé d’une idéologie mondiale qui nous mène tout droit vers l’enfer d’un nouvel ordre international. Un projet où se mêlent, dans un syncrétisme abominable, les pires éléments du communisme, du fascisme, du nazisme, et de la franc-maçonnerie. Oui, ce ministère, qui prétend nous propulser sur la scène mondiale, est en réalité l'outil de destruction de la souveraineté nationale, de notre identité culturelle et spirituelle. La France, autrefois terre de liberté, devient sous nos yeux une simple marionnette dans cette vaste entreprise de déshumanisation.

Le plan ? Centraliser le pouvoir. Tout concentrer entre les mains d’une élite mondiale technocratique, cachée derrière les institutions supranationales comme l’OMC, le FMI ou encore l’Union Européenne. Ces instances, sous prétexte de régulation internationale, nous étranglent, réduisant les États-nations à de simples exécutants de lois décidées dans l’opacité la plus totale. Et la France, naïve ou complice, se fait l’exécutrice de sa propre dissolution.

C’est là précisément la mission des Young Leaders, formés et préparés par le Forum économique mondial (WEF), au service de cette cause destructrice. Macron n’est que l’un d’eux, mais il n’est pas le premier. Sarkozy, avant lui, avait déjà pavé la voie en nous imposant la réintégration de la France dans le commandement intégré de l'OTAN et en renforçant notre assujettissement à l'Union Européenne. Un premier coup porté à notre souveraineté, et ce, avec une violence à peine masquée. Sarkozy avait même été jusqu’à brader notre stock d’or aux États-Unis, marquant une étape majeure dans la vassalisation de notre pays. Cela ne date donc pas d’hier : voilà déjà plus de vingt ans que cette vaste entreprise de déconstruction est en marche. Une fois enclenchée, rien, selon eux, n’arrêtera ce Nouvel Ordre Mondial.

Ainsi, le Ministère de la Mondialisation s’inscrit dans cette lignée : une nouvelle étape dans le projet globaliste, un projet visant à soumettre les peuples et à dissoudre toute forme de résistance nationale, qu'elle soit politique, culturelle ou spirituelle.

Le paradoxe est cruel : autrefois, le communisme, le fascisme et le nazisme étaient des idéologies ennemies, chacune portant une vision du monde radicalement différente. Aujourd’hui, ces systèmes convergent, sous la bannière de la mondialisation, pour réaliser un rêve commun : l’effacement de la diversité des peuples et le contrôle total de l’individu. Le projet mondialiste, loin de se limiter à l’économie, est une refonte totale des valeurs, des croyances et des identités. Il ne s'agit pas seulement de flux financiers ou de commerce international, mais bien d'une super-religion globale, une "super-Église" syncrétique destinée à standardiser les esprits, à aplatir les cultures et à asservir les consciences.

Et qui mieux que le Pape François, en tant que franc-maçon jésuite, pourrait incarner ce basculement vers une nouvelle foi mondiale ? Ce chantre de la mondialisation folle s’attelle, jour après jour, à détruire les fondements mêmes de la chrétienté, ouvrant la voie à une religion nouvelle, construite sur les ruines de ce qui fut l'Église catholique. Loin de défendre les valeurs traditionnelles du christianisme, il promeut un projet globaliste qui cherche à dissoudre toute résistance spirituelle et culturelle. Cette nouvelle religion, en gestation depuis plus de vingt ans, trouve son centre symbolique à Astana, capitale du Kazakhstan, ville étrange et énigmatique érigée comme un monument à la mondialisation. Pour ceux qui en douteraient, une simple recherche sur Google révélera les images troublantes de cette ville futuriste, où trône un pentacle géant visible sur Google Maps. Astana, aujourd'hui rebaptisée récemment Nur-Sultan - parce que ASTANA c'est quand même l'anagramme trop visible de Satana - n'est pas un lieu anodin : elle incarne, par son architecture et ses symboles occultes, la montée de ce projet global satanique. Projet où la religion est le scientisme et la laïcité, débridée !

Ce n'est pas une simple théorie du complot. Pierre Virion l’avait déjà exposé en 1967, et Vincent Peillon, ancien ministre de l’Éducation nationale, l’a confirmé sans ambages : la laïcité républicaine n’est pas une neutralité bienveillante, mais bien une nouvelle foi, une idéologie qui vise à régenter les consciences. La mondialisation, dans ce cadre, devient le nouveau culte universel, où l’argent et la technologie remplacent Dieu, et où chaque citoyen devient un rouage dans la grande machine mondiale. Un projet luciférien, littéralement. Car derrière ces discours sur la coopération internationale et le progrès, c’est Lucifer lui-même qui semble être le dieu vénéré par cette nouvelle religion mondiale. Comme il l'est par les franc-maçons et les juifs. je n'y peux rien, c'est dans leurs textes !

Tout cela remonte donc à bien plus loin que l'on ne pense. Et rien n'arrêtera, selon eux, cette entreprise, comme nous l'avait bien dit Sarkozy, autre non chrétien : un monde centralisé, où les États-nations et les libertés individuelles ne sont plus que des souvenirs.

Le Ministère de la Mondialisation, ce temple bureaucratique, en est dorénavant le prêtre dévoué. À coup de "sommets multilatéraux" et de "développement durable", il participe activement à la grande mascarade des élites globales. Pendant que nos dirigeants paradent au G7 ou au G20, la France s’enfonce dans la médiocrité. Nos secteurs stratégiques sont bradés aux multinationales, nos politiques énergétiques sont dictées par Bruxelles, et notre souveraineté n’est plus qu’un vague souvenir que l’on évoque avec nostalgie lors des discours officiels.

Et que dire de cette soi-disant "promotion des atouts de la France" ? Une formule vide de sens pour masquer la réalité : la France est en vente, littéralement. Macron, dans sa duplicité habituelle, a déjà cédé nos fleurons industriels à ses amis oligarques, nous forçant ainsi à nous plier à la mondialisation, sans aucun recours. Nos industries stratégiques – de l’énergie à l'armement – sont passées sous contrôle étranger, et cela au profit de quelques-uns, au détriment de tous. Et cette entreprise de démantèlement continue, inexorable, pendant que la dette publique s'envole. Notre ancien ministre de l’Économie, incapable de contenir la débâcle, s’est enfui en Suisse, après nous avoir laissés avec une ardoise de 3 300 milliards d’euros de dette. Un départ précipité, certainement pour sauver sa peau, à l’image d’Agnès Buzyn qui, au plus fort de la crise sanitaire, avait interdit tout traitement, vilipendé les plus grands experts – y compris des prix Nobel de médecine – et fini par être recasée confortablement à l'OMS.

Ces actes ne sont pas de simples erreurs de gestion, mais un sacrifice inouï sur l’autel du profit et du totalitarisme voulu par le Forum économique mondial et promu avec zèle par les conseillers de chez McKinsey. Le cynisme est absolu : la santé publique, l’industrie, les services publics, tout est soumis aux logiques destructrices du capitalisme global, orchestrées par une poignée de technocrates déconnectés des réalités quotidiennes du peuple. Et pendant que la France agonise sous les coups de ces réformes, notamment celle de la fonction publique, les oligarques qui en tirent les ficelles multiplient les bénéfices.

Le vrai projet de la mondialisation est celui de la servitude volontaire. Sous prétexte de modernité et de progrès, on nous conduit tout droit vers un totalitarisme global, sans frontières, sans racines, et surtout, sans âme. La France, jadis phare de la liberté, n’est plus qu’un rouage dans cette vaste machine de contrôle. Nos dirigeants, Macron en tête, se bercent d’illusions, croyant encore jouer un rôle dans la gouvernance mondiale, alors qu’en réalité, ils ne sont plus que des pions, sacrifiés sur l’autel du nouvel ordre international.

Tout cela n’est que la continuité d’un projet entamé bien avant. La même logique de soumission et de dissolution de la souveraineté nationale s’est poursuivie, implacablement. Rien n’arrêtera plus désormais, semble-t-il, cette entreprise de destruction de la France et de ses valeurs avec ce monde centralisé, où les États-nations et les libertés individuelles ne sont plus que des souvenirs effacés, sacrifiés sur l’autel d’un Nouvel Ordre Mondial au carrefour entre fascistes, communistes et nazis. Demandez-vous qui a financé ces trois-là ?? Allez je vous aide, c'est celui qui a aussi créé les colonies d'Israël avec sa famille...

Donc, Le Ministère de la Mondialisation, véritable monstre bureaucratique, n’est pas seulement un échec administratif monumental, c’est un piège mortel tendu à tous les Français. Ce n'est pas une simple erreur de parcours ou un contretemps. Ce ministère est conçu pour nous asservir, pour enfoncer un peu plus notre nation dans l'esclavage mondialiste, orchestré par une élite apatride qui se délecte de notre naïveté et de notre soumission. Pendant que ce système s’installe, nous sommes distraits, abrutis par des médias complices, transformés en "meRdias" qui n’ont pour fonction que de nous maintenir dans un sommeil profond, d'anesthésier nos consciences.

Le coup de grâce approche : le passeport vaccinal européen, ce sésame à base de crédit social, n’attend plus que d'être imposé pour définitivement nous enchaîner. Une fois en place, il ne s’agira plus seulement de contrôler nos mouvements, mais aussi nos pensées, nos actions, nos achats, notre liberté de vivre tout court. Ce piège se refermera rapidement sur nos têtes endormies, et avant que nous ne comprenions ce qui se passe, nous serons déjà pris au piège, esclaves dans un monde où chaque aspect de notre vie sera régenté par des algorithmes et des crédits de comportement, dans un cauchemar orwellien à peine déguisé.

Et ne croyez pas que cela s’arrêtera là. Derrière chaque décision du gouvernement, derrière chaque initiative du Ministère de la Mondialisation, se cache un plan plus vaste, plus insidieux : nous réduire au silence, nous priver de notre liberté et nous soumettre à cette dictature technocratique mondiale, jusqu'à ce que mort s'en suive... Tout cela est orchestré par les mêmes marionnettistes qui, depuis des décennies, œuvrent à la dissolution de notre nation.

Ces gens ne se préoccupent pas du peuple. Ils n’ont qu’un seul objectif : imposer leur Nouvel Ordre Mondial par tous les moyens, même au prix de notre destruction totale. Leur projet de société, c’est une France réduite en esclavage, dépossédée de ses richesses, de son industrie, de sa culture, et bientôt de sa liberté. Ils ne s’arrêteront pas tant que chaque Français ne sera pas qu’un simple numéro dans leur immense machine à contrôler.

Le seul choix qui nous reste est simple : résister ou disparaître. La France doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard, avant que ce piège ne se referme définitivement. Le moment est venu de dire "NON !" à cette dictature masquée sous le visage trompeur de mondialisme. Non à ce totalitarisme global qui ne vise qu’à nous broyer. Il est temps de reprendre le contrôle de notre destin, de refuser cet avenir déshumanisé, de protéger nos valeurs, notre identité, notre souveraineté.

Je tiens donc à exprimer ici ma gratitude une nouvelle fois envers Claude Janvier pour son engagement à éveiller les consciences sur ces questions fondamentales qui touchent notre avenir collectif. Son travail est une lueur d'espoir dans cette obscurité croissante. Si nous restons dociles et silencieux, la machine se mettra en marche, et la France ne sera plus qu’un vague souvenir, une nation anéantie par la soumission et l’ignorance volontaire. 

Phil BROQ.