22 décembre 2021

MEMENTO MORI

    Ce titre en latin signifiant "souviens-toi que tu vas mourir", est une formule du christianisme médiéval. Elle exprime la vanité de la vie terrestre et se réfère à "l'art de mourir" serein. Pour le chrétien que je suis, la perspective de la mort sert à souligner la vanité et la fugacité des plaisirs terrestres, du luxe, et des réalisations matérielles, et devient ainsi une invitation à concentrer ses pensées sur la perspective de notre vie, après comme avant la mort. C'est une de ces phrases de vie que chacun d'entre nous devrait se rappeler chaque matin et chaque soir, tout en osant regarder en face ce qu'il fait de sa propre vie au quotidien. Car ils sont de plus en plus rares, ceux qui se demandent à quoi sert réellement leur temps de présence ici-bas, ou à seulement imaginer qu'ils puissent être bien autre chose qu'un corps de chair et d'os à durée déterminée. Ou encore qu'ils aient tous un destin supérieur à accomplir, une quête à réaliser, une expérience à vivre et qui va bien au-delà de leur simple temps de vie dans leur corps physique et sur cette Terre. Or, c'est aussi ce que tous les enseignements donnés par les grands penseurs, et de tous temps, nous dévoilent. Ils nous montrent aussi que dès qu'un homme s'affranchit avec sagesse et bienveillance des règles injustes, dès qu'il se libère de la matière et de l'égoïsme, il s’élève spirituellement. Mais, c'est cet égoïsme que l'on nous distille comme vertu cardinale de ce système des mondialistes dans lequel nous évoluons. Faisant croire aux masses hypnotisées que la vie humaine se résume à cette idée de possession comme justification de promotion ultime de notre vie. Je possède donc j'ai réussi... J'ai, donc je suis ! 

    La plupart d'entre-nous avançons tant bien que mal, de la naissance à la mort, dans cette multitude d'expériences plus ou moins agréables qui jalonnent notre existence. Et ceci, sans jamais se questionner pertinemment sur notre propre rôle à jouer pour le bien de tous, avant notre mort assurée, au sein de notre monde matériel. Rares aussi sont ceux qui se demandent si nous sommes en réalité, un corps physique doté d'une puissance énergétique qui nous permet d'appréhender le monde et notre simple survie, ou si nous sommes une véritable puissance énergétique qui possède un corps physique pour vivre les expériences de la vie dans la matière. La vaste question est de savoir si nous sommes un corps ou un esprit, avant tout... Toujours la même histoire de la poule ou de l'oeuf, en somme. En y ajoutant toute fois la dimension métaphysique, voire divine de notre être. Car c'est la compréhension de cette seule dimension spirituelle de notre être, qui pourrait tout changer dans la perception de notre monde et donc dans son évolution. C'est en assimilant que ce monde matérialiste n'est qu'une courte étape sur notre parcours de vie, que nous mettrons à bas toutes les stratégies des entités du malin qui nous engluent dans leur délire possessif et génocidaire.

    Or, à force de rationalisme obtus et d'éducation républicaine judéo-maçonnique, faisant croire aux bienfaits du matérialisme plutôt qu'à l'élévation spirituelle de l'Homme, beaucoup sont devenus des non-croyants, faute d'enseignement adéquat et de curiosité personnelle. Faute aussi de vouloir trouver par soi-même le chemin qui mène au bien, au beau et au bon pour tous. Et si nous ne croyons pas au bien, comment croire au mal. Certes, il existe toujours des maîtres spirituels pour guider les plus hardis, mais l'essentiel de notre espèce reste résolument matérialiste, et ce, à cause de ce que leur inculque le monde illusoire créé par les médias et couplé à l'éducation déiste des illuministes en quête de chaos. Et c'est à ce stade de pensée et d'évolution qu'est rendue notre espèce. Nous ne sommes devenus que de stupides exécutants, sans connaissance de notre âme, de notre énergie, de notre potentiel divin enfoui sous les strates de l'éducation castratrice imaginée par les illuminés de Bavière, sous dictat des talmudistes et mise en place mondialement depuis des siècles par les réseaux des Francs-maçons. 

    Pour ma part, il me semble clair que notre espèce n'est pas venue se développer sur Terre pour engraisser les membres d'un gouvernement corrompu, ni des "élites" auto-proclamées avides de richesses et de pouvoir, tout en détruisant systématiquement notre environnement vital proche. Nous ne sommes pas non plus voués à simplement travailler du lundi au vendredi pour un salaire de misère, ne permettant que peu de plaisirs et de réjouissances durant plus de 40 ans, en attendant d'atteindre, usés et fatigués, l'âge d'un repos conditionné par des maîtres tortionnaires. Pas plus que nous ne sommes destinés à passer tranquillement notre vie à l'abri dans notre canapé à devoir ingurgiter les inepties des banquiers par programmes TV interposés. Notre espèce est née libre et avec un potentiel unique offert à chacun, mais dont trop peu d'entre-nous ont conscience, et encore moins qui essaient de le développer pour le bien de tous. Ceux qui parviennent à cette maturité intellectuelle, cette frange infime de l'humanité, sont généralement des autodidactes, des génies, des terrestres-extras. Les Extra-Terrestres faisant partie d'une autre catégorie d'êtres vivants dans notre Univers... 

    Mais restons Terre-à-Terre ! Centrons-nous sur notre espèce et demandons-nous à quoi sert notre intelligence, notre potentiel unique et personnel, si c'est pour les mettre perpétuellement au profit d'un monde carcéral et destructeur, dénué de toute perspective d'avenir supérieur ? Et justement, la proportion de terriens n'ayant aucune idée de leur potentiel unique, n'ayant jamais tenté de s'élever autrement que hiérarchiquement ou matériellement, n'ayant jamais même imaginé être des puissances énergétiques issues d'une source merveilleuse que l'on nomme la Vie, sont légion ! Tel l'oiseau qui ayant vécu toute sa vie en cage et qui pense que voler serait une maladie... Or, nous passons notre temps à amasser, à accumuler de manière quasi compulsive des biens matériels tout au long de notre vie, que nous savons ne pas pouvoir emporter à notre mort. Et pire, nous les voyons se dégrader sans cesse devant nos yeux, sans jamais passer à l'étape suivante qui serait de nous détacher logiquement de cela. D'arrêter de fabriquer artificiellement notre monde, mais plutôt d'utiliser ses vertus et bienfaits offerts par la nature en abondance, pour trouver un rythme harmonieux et complice avec notre environnement. Car la matière se dégrade perpétuellement, se rompt, se divise alors que l'esprit ou l'énergie se partagent, s'additionnent et se transmettent. Il est alors évident que la pérennité de l’espèce humaine se trouve dans son développement spirituel et non dans sa capacité à accumuler des biens matériels.

    Mais, c'est à ce stade de pensée basique et d'évolution quasi impossible qu'est rendue notre espèce. Nous n'avons pas encore su passer en masse au-delà de cette idéologie de la hiérarchie du pouvoir par l'acquisition du savoir qui nous a été inculqué depuis l'avénement de leur Raie-publique. Tant et si bien que nous arrivons devant l'abîme obligatoire de la fin de notre civilisation puisqu'elle est guidée par cette idéologie matérialiste décadente. Il est temps de sortir de ce carcan spirituel et de trouver le courage et la force de nous réveiller à notre nature propre. Mais avant de courir, il faut apprendre à marcher correctement. Et pour cela, comme lors de nos premiers pas, il nous faut lâcher les mains des doigts parentaux, abandonner ce qui nous sert de sécurité et avancer par nous-même dans ce monde qui nous a été offert gracieusement. Il faut que notre espèce toute entière grandisse et vive l'expérience de la liberté, assumant aussi les responsabilités qui en découlent. Nous devons abandonner le système de l'illusion construite par des esprits torturés et retrouver notre essence divine qui fait la seule vraie force de notre humanité.

   Ainsi, depuis que les descendants des Pharisiens ont refusé de reconnaitre le Christ comme Messie, notre monde et notre espèce se heurte perpétuellement à cette idéologie dominante, qui prohibe à quasiment tous les êtres, hormis ceux de leur caste malsaine et malveillante, l'éveil nécessaire à leur réalisation personnelle et donc à leur libération de ce joug immonde. Il est temps d'assumer la vérité sur la direction méphitique qu'a pris notre monde depuis l'emprise malsaine de cette caste. Ces jaloux compulsifs et maladifs, cette gangrène de l’espèce humaine qui finance tous les conflits, qui complote afin de détruire nations et identités, qui prohibe à tous la connaissance de notre divine essence, n'ont aucun autre but que de maintenir les masses dans l'abrutissement le plus total, afin de pouvoir espérer en être un jour les maîtres absolus. Ils se prennent pour des "guides", pour des "maîtres", pour des êtres supérieurs et pour des "Dieux" à présent. Mais personne ne leur a jamais rien demandé, et surtout pas de nous gouverner vers l'abîme de notre civilisation. Leur mégalomanie maladive les pousse à vouloir nous exploiter et nous soumettre à leurs caprices, mais nous les laissons faire aussi. Pour ce faire, ils ont inventé de redoutables armes telles que la monnaie et l'usure pour soumettre par la dette les états souverains et donc les Hommes. Ainsi que les guerres religieuses ou de territoires qui fracassent les peuples les uns contre les autres mais jamais les responsables ni les financiers. Ou encore les idéologies anti-chrétiennes allant de la kabbale au new-âge pour tromper les Hommes et dévoyer les esprits du bon chemin ; les divertissements et illusions médiatiques grâce aux organes de propagande tels que les médias savent en produire, qui font office du somnifère massif comme à l'époque du "pain et des jeux" pour les Romains en pleine chute de leur Empire. Bref, tout un panel d'inepties et de bêtises qui occupent et détournent l'esprit des Hommes et détruisent aussi leur vie. Et cela fonctionne très bien depuis des siècles sur les esprits faibles !   

    D'ailleurs, de nos jours la connerie et les connards sont partout, c'est un fait établi et accepté par tous. La connerie, tout le monde la connaît, et nous la supportons tous plus ou moins bien au quotidien. Mais comment peut-on dire poliment aux cons qu'ils le sont, et qu'ils sont responsables de leurs malheurs, comme de ceux de la société où ils habitent, par leur bêtise volontaire et leur refus de développer leurs connaissances ? Voilà une question devenue essentielle à présent, bien qu'elle me taraude déjà depuis longtemps. Car, c'est par cette faiblesse intellectuelle, par cette fainéantise quotidienne qu'ils permettent à ces suppôts de Satan que sont les mondialistes, d'avoir la main mise sur leur vie et sur notre monde en général. C'est par leur masse inerte qu'ils empêchent notre espèce toute entière d'atteindre son plein potentiel et de vivre en harmonie intelligente avec notre environnement naturel. C'est par le nombre croissant d'idiots formatés sur les bancs de l'éducation nationale que nous perdons toute possibilité de retrouver un monde sain. Car ce formatage ne sert qu'à broyer les intelligences et les autonomies en abaissant sans cesse le niveau de conscience des élèves. Puisqu'un être autonome et conscient refuserait logiquement d'être dirigé par des truands n'ayant que le déicide en tête.

    De prime abord, j'ai tenté de comprendre leur mode de fonctionnement afin de pouvoir, avec mes humbles capacités cognitives, les "aiguiller" vers le raisonnement, la logique, l'utilisation de leur libre-arbitre après l'acquisition de connaissances et de savoirs, en vue de leur libération par la conscience ainsi acquise. Peine perdue ! De plus, je me suis vite rendu compte que leur connerie infinie est sans fond, et que mes efforts altruistes ne servaient finalement qu'à les conforter dans leur position de connards hautains et grégaires. Certes, on est toujours le con d'un autre, mais au niveau actuel qu'a atteint notre monde, où ils sont chaque année plus nombreux et nombreuses (car il est important de ne pas oublier les femmes qui battent quasiment des records dans le domaine), il est temps de s'interroger véritablement sur les raisons de cette déficience mentale qui nous étreint depuis toujours, afin de s'en prémunir efficacement et définitivement si l'on veut sauver les générations futures de notre écueil actuel. 

    Il y a d'abord le système éducatif de la raie-publique, fabrique à crétins par excellence, qui a une grande part de responsabilité dans la débilité ambiante et ce, depuis des décennies de formatage talmudo-maçonniques et surtout antichrétiens. Il y a aussi le contexte familial, évidemment, qui tient pour une grande part de ce flot incessant d'abrutis, mal élevés, satisfaits de leur médiocrité et passifs devant l'adversité de la vie, qui arpentent nos rues. Mais ces deux facteurs, bien que majeurs, n'expliquent pas tout de la stupidité égocentrique dans laquelle se débat notre monde, loin de là. Car il y a surtout une idéologie dominante mortifère et eugéniste, un mensonge qu'ils nomment "progressisme", vomi en flots continus par les politiciens, mis en exécution par les fonctionnaires, défendu par les forces armées et relayé perpétuellement par les médias. Tous sont des agents malsains et soumis aux desiderata d'une bande de fous, réunis en clubs privés ultra-sélect, afin de corrompre tous les flux vitaux de notre monde grâce à de l'argent. N'oublions pas que l'argent, créée à partir de rien et manipulé par ces acteurs de la haute-finance appartenant aux clubs sus-cités, est aussi une illusion, sinon la plus grande de notre monde, pour dévoyer notre espèce de son véritablement cheminement d'évolution vers le divin. Là, se trouve la cible réelle de leurs desseins méphitiques. Car si les humains s'émancipent de leur emprise financière, ils ne sont plus rien ! 

    Alors, par peur de perdre leur suprématie vitale, ils veulent nous enlever par la force, tout ce que la création nous a offert gracieusement depuis des millions d'années. La liberté, la joie, la connexion avec notre nature profonde, la bonté altruiste, la capacité d'évolution spirituelle, la compréhension des énergies positives de notre monde, l'utilisation de nos dons pour améliorer le bien commun, la nécessité d'entre-aide et de coopération pour se developper, le respect et l'entretien bienveillant de ce paradis vivant et vital pour tous que sont les cadeaux gratuits offerts par la nature, pour que nous puissions vivre de ses bienfaits sans cesse renouvelés, etc, etc. Voilà, de façon non exhaustive, tout ce que nous évitons scrupuleusement de faire et plus encore, chacun à nôtre niveau, à cause des malversations intellectuelles auxquelles nous sommes dressés et soumis depuis notre plus tendre enfance. 

   Ils sont pourtant nombreux encore les autodidactes, ceux qui réussissent à se sortir de leur condition première, infligée par le système oppressant de nos bourreaux, afin de devenir des exemples pour leurs congénères. Bien sur, les autodidactes ne sont pas des ignorants, ni des fainéants, loin de là. Tant il est vrai qu’ils ont largement compensé leur désavantage apparent par une curiosité insatiable, de nombreuses idées, mais aussi une énorme somme de travail. Et qu'ils ont surtout appris grâce à leur propre volonté, à leurs expériences dont ils ont tiré un enseignement, une réflexion. Donc, en théorie, tout le monde applaudirait à la réussite de ces hommes et femmes qui partent de rien et arrivent à tout. Mais dans cette idiocratie resplendissante qu'est devenu notre monde, dans cette marre croupie où l'inversion des valeurs voulue par les talmudistes et les républicains de tous bords et surtout Francs-maçons est la règle, ils ne sont pas toujours les bienvenus, bien au contraire. Le système les rejette et les met au banc de cette société, tout en leur collant des étiquettes péjoratives du type "complotiste" dès lors qu'ils s'expriment en public afin d'éveiller les foules. Cette crainte d'éveil spirituel des foules est le pire cauchemar des dirigeants actuels du monde. D'où leurs manigances et leur volonté de nous soumettre matériellement pour nous empêcher de nous éveiller spirituellement.

    D’autant que les autodidactes font souvent preuve d’imagination à défaut de toujours avoir la méthode adéquate. Ainsi, on constate que le plus important pour ces êtres dans leur parcours vers la réussite, c'est de surtout savoir s’entourer de personnes de qualité, afin de pallier leurs manques éventuels, et de se former peu à peu, mais sans cesse, pour acquérir les qualités nécessaires. Ils s'émancipent d'un système et construisent le leur avec succès et surtout indépendamment. Et de fait, les autodidactes sont perçus comme étant des mauvais exemples à suivre, un mauvais miroir pour cette énorme quantité de crétins qui regardent la télé, comme pour ceux qui squattent les postes à responsabilité grâce à leurs appuis familiaux, maçonniques et/ou financiers. Comme c'est le cas pour le Poudré de l’Élysée et ses comparses malfaisants du gouvernement. Ces pantins avides et sournois mis en place grâce à leur cupidité et leur soumission à des maîtres auto-proclamés, héritiers des fortunes de sang et des rancoeurs millénaires d'une population hautaine, suffisante, destructrice et totalitaire. Cette caste inculque l'inversion des valeurs, cultive le mensonge, génère une illusion de notre monde, tout en détruisant ce qui nous est vital et qui se trouve à sa portée. Ce monde actuel est fabriqué par des esprits dégénérés et amoraux. 

    Nous avons donc à présent, largement dépassé le point critique qui aurait permis de sauver notre société, voire notre civilisation grâce à des autodidactes ou simplement une lucidité des humains. Car ceux qui ont encore les capacités de réfléchir ont à présent bien compris qu'il était trop tard pour éduquer les masses corrompues et qu'il était temps de se cacher, pour se soustraire à la folie ambiante et à une injection mortifère forcée. Ils sont devenus la cible privilégiée des progressistes. La corruption ayant atteint des niveaux jamais égalés, comme la délation du reste, il n'est plus temps de vouloir aider ceux qui sont incapables de comprendre les enjeux du monde post-moderne programmé par les tarés de Davos. Certains indécrottables croient encore en la venue d'un messie ou d'un homme providentiel, sans se rendre compte de l'ineptie de leur pensée. Et puis logiquement, quel sauveur voudrait préserver cette fange qu'est devenue l’espèce humaine ? Quel homme souhaiterait recruter des débiles profonds dans ses rangs pour mener la bataille? Qui serait assez stupide pour accepter de s'allier à ses pires ennemis ? La réponse est claire : Personne ! Et mathématiquement, ce n'est pas de la division du peuple dont il s'agit, mais de sa soustraction. Car il est temps de soustraire cette bande de piquouzés du nombre total de l’espèce humaine. Ils sont bêtes, ils sont contagieux, ils sont nombreux, ils sont OGM. Ils ne sont déjà plus vraiment comme nous, les sangs purs issus de la création divine. Leur masse incroyable est surtout l'excuse morale des mondialistes en tous genres pour nous traiter comme des animaux domestiques. La loi du nombre est devenue la norme suicidaire.

   Et il est temps que cela cesse. Que les hommes reprennent leur pouvoir de décision et leur courage, que les femmes protègent leur progéniture contre les agressions du malin, que les anciens soient réintégrés dans la société et surtout que les enfants soient le seul or véritable de ce monde. Il est temps en effet, de revenir à ce que fût l'humanité. Il est temps de redevenir des êtres humains, des êtres souverains, des êtres responsables de leurs choix. Personne, aucun d'entre-nous n'a le droit , ni même le devoir et encore moins le mandat de choisir ce que sera le monde de demain. Aucun être vivant sur cette Terre, et à cette période donnée n'a la légitimité de choisir comment les autres doivent vivre ou mourir. Personne n'a la possibilité de décider dans quel sens doit évoluer notre espèce sans aucune consultation publique. Personne ! Tout cela n'étant possible que grâce à la complicité malsaine des forces armées, autant qu'à la duplicité des fonctionnaires zélés. Car, le but de cette séquence, allant du meurtre de Louis XVI jusqu'à cette fausse pandémie pour débiles et attardés, a pour finalité de nous faire accepter que l'Homme n'est plus d'essence divine, qu'il ne peut trouver de liberté que dans le péché, qu'il doit se soumettre corps et biens à une idéologie suicidaire et rétrograde, également qu'il est une marchandise comme les autres (identité numérique). Et surtout, qu'il faut privatiser les Etats pour permettre l'établissement d'un gouvernement mondial, dirigé par des truands sanguinaires, qui en serait l'aboutissement.

    Désabusé et horrifié par ce monde qui est en train de s'imposer par la force et la contrition à tous les êtres vivants sur cette Terre, je n'ai plus de mots pour décrire les maux qui nous assaillent. Je n'ai plus d'autre solution applicable à distiller à un public déjà avertit, convertit et conscient, puisque les autres, les incurables débiles ne lisent même plus et encore moins mes billets. Ainsi brossé, le tableau peint par les suppôts de satan confirme que rien ne saurait plus empêcher ce qui doit arriver. Et dans notre situation actuelle où l’ordre ordinaire est totalement inversé, où le pire est préparé par ceux qui devraient nous en préserver, les quelques îlots d’intelligence naturelle et de sagesse chrétienne qui restent encore sont peu de chose face à cette folie d’essence Luciférienne, car les individus ordinaires préfèrent encore croire plutôt que savoir ! C'est là le vrai tournant de notre Civilisation Humaine. Lorsque la masse a abandonné la quête du savoir véritable pour s'enfoncer dans des croyances absurdes sans jamais aller vérifier les dires par elle-même, elle a renoncé de fait à sa Liberté et à son Salut. Les humains modernes ne sont que des esclaves volontaires et suivent comme des moutons leurs bergers malsains vers l'abattoir, sans jamais vouloir fournir les efforts nécéssaire à leur évolution spirituelle ou intellectuelle. Or, de nos jours, tous les savoirs sont offerts gratuitement sur internet. Ce n'est qu’une question de volonté de la part de chacun, pour s'instruire ou non sur notre monde et son devenir. C'est ainsi que nous revivons la même situation que durant la seconde guerre mondiale, avec les mêmes collabos, les mêmes factions autoritaires, le même plan de mondialisation et d'élimination de la masse gênante à son installation. Si les tyrans ont appris de leurs erreurs passées, les peuples JAMAIS ! 

    Notre espèce est donc arrivée à son point de déclin ultime, favorisé par son incapacité à réfléchir et à apprendre. Nous ne sommes toujours pas des adultes, nous ne sommes toujours pas prêts à assumer nos erreurs, nous ne sommes toujours pas aptes à nous pardonner nos errances et encore moins les fautes de nos voisins. Nous ne sommes pas encore entraînés efficacement à grandir. Ni à nous dévêtir de nos costumes de carnaval que nous prenons pour des armures et qui justifient toute cette mascarade au seul but de soumission globale. Je constate donc, abattu mais serein, que notre peuple de gaulois réfractaires est dorénavant anéanti, détruit, écrasé par les forces mondialistes représentées par cette immonde fange politique et soutenue par une force policière ultra-violente. Le Salut de notre espèce ne viendra donc pas d'un hypothétique, et dorénavant impossible, réveil massif pour contrer la folie des talmudo-mondialistes eugénistes qui ont accaparés tous les pouvoirs grâce à leur démon maléfique "Argent".

    Dieu n’a pas créé le mal, c’est Lucifer qui l’a engendré par sa désobéissance et son orgueil au début des Temps. À cause de cela, la haine est apparue et l’Enfer a été créé. Ainsi, d’après les Saintes écritures c'est par la faute d'orgueil de nos premiers parents, Adam et Ève, que le mal et la mort sont entrés sur la Terre, qu’ils ravagent depuis. En lisant les Écritures, on constate surtout que Dieu fait tout pour nous faire sortir du cercle infernal du mal. Ce tout, c'est l'Alliance qu'il contracte avec l'Homme par l'intermédiaire du Christ. Et il va jusqu'au bout, en envoyant son propre fils, celui que nous reconnaissons comme le Fils de Dieu. Au lieu d'arrêter le mal du haut de son nuage, il laisse la violence, la souffrance, l'injustice aller jusqu'au bout et il fait corps avec sa Croix. C'est d'ailleurs toujours dans la méditation devant la Croix que surgit l'espérance et la détermination à ne pas s'arrêter au mal et de passer outre pour le bien des autres.

    Nous ne sortirons de leurs plans sataniques et lucifériens, nommés "Agenda 2030" et "Grand Reset", qu'en nous émancipant matériellement et intellectuellement de leur bourrage de crâne quotidien. C'est à dire concrètement en jetant les télévisions, en détruisant les smartphones et en revenant aux échanges physiques vertueux tels que démontrés dans les paroles et actions du Christ. Ce n'est pas là du prosélytisme mais l'utilisation concrète de la seule méthode pouvant empêcher les forces ténébreuses de nous voler nos âmes et nos esprits avant notre fin de vie. Sachant tous que nous allons et devons mourir un jour, il serait temps avant que cela n'arrive, que nous nous projetions dans notre monde matériel de façon plus intelligente, plus spirituelle, plus respectueuse envers les dons et offrandes de la nature, plus proche de notre coeur que de notre mental, afin de retrouver le chemin d'un paradis perdu dès lors que nous avons décidé d'être orgueilleux. Dès son plus jeune âge, l'enfant fait l'expérience du mal, celui qu'il subit quand il se blesse, mais aussi celui qu'il peut commettre. Il perçoit que sa vie est limitée et qu'il ne parvient pas à faire tout le bien qu'il voudrait. Les enfants sont particulièrement sensibles au mal qu'ils commettent, et qu'ils regrettent... Il y a donc une conscience à l'œuvre même chez des enfants très jeunes, et c'est avec ce qu'ils discernent du mal qu'ils sont appelés à devenir meilleurs. Ainsi nous n'avons pas forcement à croire en un Dieu qui aurait créé le mal, contre un Dieu qui aurait créé le bien. Ce monde binaire, en noir et blanc, n'est pas celui de la Foi chrétienne. Mais c'est celui du damier sur lequel marchent les Franc-maçons en revanche. Le mal que nous subissons ou que nous commettons, nous n'avons pas à y croire, mais à y réfléchir. Face à cela, soit on baisse les bras ou on se relève et l'on se bat. Chacun est libre de ses choix et surtout de les assumer ensuite. Derrière les prétextes se cache la vraie raison de tout ce chaos : la lutte de Satan contre le Christ.   

    Il est de notre devoir d'humain de se demander ce que nous offrons à notre tour à ce monde, à nos congénères et en remerciement de la vie que nous avons reçue. Il est temps de savoir aussi quelle trace nous laisserons de notre passage sur ce paradis nommé Terre. Mais pour tout cela, il faut déjà élever sa conscience, s'instruire et pratiquer la vertu, tout en contenant nos vices primaires. Il faut être honnête avec soi-même et sans concession. Et pour y accéder, il suffit de se souvenir que bientôt, car la vie est très courte, nous allons de toute façon disparaitre physiquement de ce monde, en emportant absolument rien de matériel dans notre tombe. En revanche, nous laisserons un souvenir de notre vie, de nos actions à nos proches et à nos descendants durant de nombreuses décennies. Le tout étant de savoir si l'on veut que l'on se souvienne de nous comme d'un lâche soumis à tout et à tous, ou d'un Humain ayant favorisé l’accès à la vertu et à la liberté qui en découle par nos agissements quotidiens, par nos luttes contre le malsain, par notre seule volonté à vouloir rester digne et droit face à l'adversité. Nous n'avons nullement besoin de religion pour situer le bien et le mal, nullement besoin de médailles ou de reconnaissance pour oeuvrer dans le bon sens. Mais nous avons besoin de réaliser notre oeuvre positive de notre passage sur Terre, avant de quitter ce monde.

    Alors, pour ceux qui ont encore un fond de dignité, de volonté et de capacité à s'insurger contre le mal, battons nous ensemble et aussi chacun de son coté, à son niveau et selon ses possibilités, afin de faire reculer les forces obscures qui ont pris possession de ce monde grâce au renoncement des Hommes à être de véritables Humains. Remplissons nos vies d'actions héroïques, de panache, de vertus et d'actions positives pour notre prochain, en attendant notre fin personnelle. Mourir en lâche ou avec panache, se soumettre ou vivre libre, abdiquer ou lutter, voilà les seuls choix qui s'offrent à nous avant notre mort. Il est de la responsabilité de chacun de voir où se trouve son propre destin et la façon d'accéder à l'immortalité de son être par ses actions personnelles. C'est là le pouvoir offert par Dieu et qu'a chacun de nous en sa possession avant de disparaitre. En tant que croyant, je pense que Dieu a créé le monde en parlant et en séparant les bons des mauvais éléments, et qu'il vît que cela était bon. Au sixième jour, il créa l'Homme et il vît que c'était très bon. Tout pourrait s'arrêter là... Mais c'est alors que commence vraiment l'histoire de l'humanité, puisque ceux qui n'ont pas accepté d'être des créatures divines ont engendré de fait le mal qui ronge notre espèce depuis toujours. L'Homme, tout comme Lucifer, ne devait admirer que Dieu, mais il s’admira lui-même. En chaque créature, toutes les forces bonnes et mauvaises sont présentes et elles s’agitent jusqu’à ce qu’un côté l’emporte pour produire du bien ou du mal. Or, c’est dans l’Amour que Dieu est tout-puissant. Oui, Dieu ne peut qu’aimer, il ne peut donc jamais être à l’origine du mal, quel qu’il soit ! Et sa toute-puissance n’est pas de l’ordre de la violence, qui terrasserait le mal car seul son amour peut, s’il est accueilli dans la gratuité et librement, vaincre le mal par le bien. Et ainsi amener la lumière dans les ténèbres.

    On voit certains humains se conduire moins bien que des bêtes, mais ne désespérons pas de l'Homme puisqu'il n'est pas encore adulte et éduqué. Sinon nous baisserions les bras, et laisserions Dieu se débrouiller tout seul. Mais Dieu a besoin de nous, de notre cheminement vers lui afin de faire surgir la lumière dans les ténèbres, c'est cela l'Alliance. Et lorsqu'on se demande sincèrement : "Que puis-je faire à mon niveau ?", alors naissent la solidarité, les relations d'entraide, les idées positives et créatrices, les regroupements d'hommes de bonne volonté, les vertus et les solutions, tout en montrant l'exemple de la pratique du Bien. Et même si je ne mettrai pas forcément fin à la maladie du malade, je ne ferai pas sortir le prisonnier de sa prison, mais je serai là, présent, luttant avec lui et remplissant ma propre vie d'actions qui porteront forcement leurs fruits, même après ma mort. C'est le travail de la conscience et notre monde a grand besoin d'éclaireurs de conscience. Car il faut comprendre le mal comme cette réalité profonde qui se trouve à notre porte, tentant de nous séduire, et que nous sommes appelés à dominer (voir Genèse 4,7) : "le mal nous habite, et nous devons lutter contre". Nous ne le subissons donc pas en raison de la faute d’un aïeul désobéissant et il n’est pas la conséquence ou la répercussion d’un acte passé sur les générations suivantes. Nous sommes responsables de nous-mêmes et de nos actes durant toute notre vie. Tout comme nous cherchons à transmettre quelques richesses à nos enfants pour une vie meilleure, le Christ nous incite à faire tout pour leur transmettre surtout un héritage de force spirituelle qu’ils puissent développer et multiplier pour en avoir en abondance lorsque le mal les tentera. Mais l'Évangile de Jésus n'est pas un programme de "mieux-être" ou de développement personnel. Il ne nous centre pas sur nous, nos soucis et nos besoins. Au contraire, l'Évangile nous invite à nous décentrer, à aider les autres plus que soi-même et à accueillir toute expérience comme une chance de s'améliorer.

    Et s'il y a des Hommes qui souffrent, il y en a aussi beaucoup d'autres qui se lèvent pour lutter contre cette souffrance, et c'est là le témoignage vivant que Dieu n'abandonne pas le monde à la souffrance. Si Lucifer était si intelligent et sage, et non pas rempli de stupide orgueil et de jalousie, comment a-t-il pu réellement penser qu’une rébellion contre Dieu pourrait aboutir, et lui être profitable ? Ce ne sont là que des visions d'esprits retords et étriqués, qui avaient surtout besoin de justifier leurs incapacités à être des Humains issus du Divin, alors ils ont créé leurs héros maléfiques afin d'éviter la honte de se savoir être de minables incapables. Car Dieu n’utilise pas le Mal pour nous tenter, il ne nous tente qu’avec des dons bénéfiques. C’est à nous de savoir les reconnaitre et les saisir.  Et le fait que, de nos jours, se répande l’hérésie qui nie l’humanité divine pour faire de lui un simple homme bon et sage, s’explique facilement grâce au manque d’amour dans le cœur humain et à son incapacité à aimer. Lucifer fit de son orgueil une arme de séduction lorsqu'il séduisit ses compagnons les moins attentifs. Il les détourna de la contemplation de Dieu comme Beauté suprême. Cette révolte tua, en lui et en ses partisans, la charité, l'ordre et l'harmonie. Depuis des siècles et des siècles, l’Homme lutte contre le venin infernal et Satan perpétue une interminable série de crimes de vengeance. C’est donc bien de l’incubation de l’orgueil qu’est né le Mal. Et le Mal existait donc avant que l’Homme ne fût créé. Dieu avait déjà précipité hors du Paradis l’Incubateur maudit. Mais ne pouvant plus contaminer le Paradis, il a contaminé la Terre...

    En forme de conclusion de ce long billet, je terminerai par une injonction biblique souvent associée au "Memento mori" dans ce contexte. C'est  "In omnibus operibus tuis memorare novissima tua, et in aeternum non peccabis" (Siracide 7:36) : "Dans toutes tes actions souviens-toi de ta fin, et tu ne pécheras jamais !"

    Alors en cette période de fin d'année 2021 où les humains, quelles que soient leurs croyances et obédiences même pour les anti-chrétiennes, s’apprêtent à fêter et célébrer de concert la nativité du Christ grâce à l'amour qu'ils vont s'offrir les uns les autres, je dirais alors, en guise de conseil méditatif pour profiter de ce moment béni où les ténèbres reculent, et afin de se recentrer sur le bien que nous pourrions faire aux autres : 

    Dieu n'a pas créé le Mal dans le coeur des Hommes, 
mais si le Mal existe, c'est justement 
parce que les Hommes n'ont pas mis Dieu dans leur coeur !

Phil BROQ.

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09 décembre 2021

1,2,3... MOUREZ !

    J'aurais pu titrer ce billet, "1 dose, 2 doses, Thrombose..." Mais c'était déjà écrit par d'autres. Et comme l'infantilisation de la population est totale, j'ai opté pour ce type d'humour noir se rapportant à nos jeux d'enfants. Puisque finalement, à part pour mes lecteurs assidus dont je sais qu'ils sont convaincus de la folie meurtrière qui est à l'oeuvre actuellement, pour les autres, nous en sommes encore au stade de l'explication et de l'éducation aux forceps pour essayer de les sauver malgré eux de ce projet génocidaire et totalitaire.

    Car il est très facile à présent, pour ceux qui le veulent, de constater que les morts provoquées par les injections successives du poison sous-cutané sensé immuniser contre leur COVID, qui se chiffrent déjà en milliers de personnes et qui est aussi accompagnée de centaines de milliers d’effets secondaires graves dans le monde, est une triste réalité. D'un autre point de vue, ceux qui ont acceptés sans sourciller cette piqure néfaste méritaient surement leur sort, allant jusqu'à la mort, tant ils étaient incapables visiblement d'utiliser leur cerveau pour survivre dans ce monde de duplicité et de mensonge. Leur bêtises naturelle et leur volonté d'ignorance auront eu le dernier mot sur leur vie pathétique, faite exclusivement d'aveuglement et de soumission. C'est une des lois fondamentales de la nature qui est à l'oeuvre, celle qui fait disparaitre les plus faibles du paysage. Evidemment, à ce stade je n'évoque pas nos ainés en Ehpad, vue qu'ils n'ont pas plus de choix que de subir et bien malgré eux, les délires génocidaires des dirigeants actuels. Délires qui ont pour buts de supprimer les retraités issus du "baby-boom" d’après-guerre et les malades de longue durée, de stériliser les plus jeunes, d'infecter les biens portants et de soumettre tout le monde à leur nano technologie de traçage et de contrôle numérique.

    Suivant ce schéma de génocide planétaire planifié à Davos, il est alors normal que les plus cons d'entre-nous disparaissent plus rapidement que les autres, et paradoxalement, ce sera grâce à l'injection suicidaire qui leur est proposée pour leur "sécurité" et pour la troisième fois en moins d'une année, qu'ils seront surement beaucoup moins nombreux à encombrer notre décor d'ici très peu de temps. Pour l'instant, dans le camp de ces abrutis volontaires, il y a encore ceux qui acceptent de devenir des êtres à l'organisme génétiquement modifié, comme du mauvais maïs Monsanto, avec une injection expérimentale, ce sont les véritables cons... Et ceux, beaucoup plus dangereux, qui, pour se gaver de l'argent sale des morts qu'ils génèrent par leurs agissements quotidiens, ont acceptés cette tuerie de masse sous couvert sanitaire. Eux, ce sont les véritables "putains" du système. Je parle là de ceux qui sont passés du statut de policiers à celui de meurtriers, du statut de médecins à celui d'assassins, et de celui de fonctionnaires à celui de tortionnaires. Et dans le même temps, l'essentiel des citoyens apeurés et incapables de sauver leur propre vie, ni celle de leurs enfants, sont devenus par lâcheté volontairement des crétins serviles bons à être supprimés de l'équation. 

    Car, il est de notoriété à présent que la première dose d'injection de cette thérapie génique, qui n'a rien d'expérimentale tant ses effets sont connus depuis des années par les labos et l'armée, provoque l'explosion de la protéine SPYKE dans le corps humain. Cette protéine qui permet ensuite au virus de pénétrer dans la cellule humaine où il va libérer son ARN (et déstructurer l'ADN) et se répliquer à l'infini avant d’infecter d’autres cellules saines. C'est une explosion de poison qui se produit sur tous les organes vitaux, en provoquant des cancers, des AVC, des myocardites, etc. Et dont les composants, totalement néfastes au corps humain, sont en oeuvre dès le premier quart d'heure après l'injection. Et tous les détails de cette monstruosité sont largement expliqués par des grands médecins, tels que le Pr Montagné, le Pr Peronne ou encore Alexandra Henrion-Caude dans de très nombreuses vidéos. Aussi, je vous invite à regarder urgemment toutes les explications offertes gratuitement, du moins à ceux qui ont encore des capacités intellectuelles normales. 

    La seconde dose vous injecte une solution contenant du graphène, dont on sait à présent qu'il sert à donner une identité numérique aux vaccinés, tout en construisant des canaux synthétiques dans le corps, favorisant thromboses et autres malformations sanguines. Il devient magnétique à température humaine, capable de s’agglomérer dans le cerveau et autour des organes vitaux. Il s’insère dans tous les tissus humains, transformant l’hôte en zombi, marquant ainsi comme des produits de consommation courante les êtres humains ainsi génétiquement modifiés. Tel du bétail bon pour l'abattoir, les lâches, les peureux et les soumis qui ont acceptés ce chantage odieux pour pouvoir aller au resto, au ciné ou en vacances, sont à présent porteur de cette marque de la bête indélébile. Et oui, on parle là autant de l'animal sans cervelle qu'ils sont devenus, que de celle de l'apocalypse qui, selon le texte biblique permettra à ceux ainsi frappés de ce sceau satanique, de pouvoir vendre et acheter à leur guise. Bref, de continuer à consommer leur vie insipide comme un produit bon marché, comme si rien d'autre ne comptait à leurs yeux que d'obtenir un Pa$$ nazitaire... Ceux-là non plus, je ne les pleurerai pas. Je trouve d'ailleurs, comme Bill Gates que les poisons injectés ne fonctionnent pas aussi bien qu'ils devraient et que les piquouzés mettent du temps à s’effondrer. 

    La troisième dose est nommée cyniquement "booster". Car, elle sert visiblement à terminer le travail de destruction du système immunitaire de ceux qui sont encore debout et en bonne santé après les deux premières injections. Sachant que, d’après le Pr Montagné, chaque injection détruit à hauteur de 30% le système immunitaire, tout en transmettant le VIH (SIDA), la malaria et quelques autres surprises inavouables. Il ne faudra pas longtemps en effet, pour voir disparaitre cette catégorie de pseudo-humains, génétiquement modifiés et porteurs de tous les germes dangereux à la vie. Ils auront joué, ils ont perdu ! Pire, ils ont entrainé leurs enfants dans leur déchéance sanitaire avec empressement et masques sur la gueule ! Le jeu n'en valait pas la chandelle comme dit le dicton, mais ceux-là, n'avaient de toute façon déjà plus la lumière à tous les étages... Au moins ça débarrasse un peu le monde entier de toute cette bêtise crasse et malsaine. Ne laissant donc sur l'échiquier, que les fous de Davos, ces eugénistes mondialistes instruits par le Talmud, et ceux qui ont encore un cerveau et un système immunitaire sain grâce à leur sang pur. 

    La partie va se durcir clairement dès l'année prochaine. Les dérives totalitaires déjà utilisées par les nazis, dont est issue l'idéologie des membres directeurs et ultra-corrompus de l'Union Européenne, étant déjà en marche en Australie, en Autriche et dans d'autres pays. Mais avec plus de rigueur, de méchanceté et de méthodologie qu'avant. Le projet socialo-communiste d’éradication du genre humain est de retour. Les lucifériens et autres satanistes sont au manettes puisque les peuples ne prient plus Dieu. Et comme les populations asservies et lobotomisées sont incapables de se défendre correctement et de punir physiquement et naturellement leurs bourreaux, il ne nous reste qu'à nous préparer à l'infamie. Ce qui ne saurait tarder !

    Et lorsque je pense qu'il suffirait que les gens disent NON à ce génocide, à ce suicide de masse programmé par les dirigeants de la secte Covid, une fois pour toute et en coeur pour faire cesser tout ceci, je suis atterré. Car, je ne comprends pas pourquoi ils continuent à se soumettre à cette débilité galopante qui a envahit les cerveaux des dirigeants comme des plus faibles d'entre-nous. Lorsque j'entends les gens qui sont encore prêts à accueillir à leur table de festivité les membres de leur famille qui les tuent au quotidien, comme les policiers, les médecins, les enseignants, les fonctionnaires de tous bords... C'est qu'ils méritent vraiment leur sort ! Notre espèce est donc vouée à sa disparition prochaine, et finalement, je pense que c'est mieux ainsi tant les Hommes sont inaptes à la vie sur cette planète qui était un paradis, avant l'émergence de cette catégorie de raclures issues de la synagogue rebelle. Bref, nous approchons de la Fin et c'est finalement très bien !

    Vous, les vaccinés, avez toujours refusé de vous rebeller contre l'infamie, vous avez préféré rester assis sur vos canapés, vous avez choisi le parti de la lâcheté, vous avez arrêté de vivre par peur de la mort... Vous n'avez jamais crus les lanceurs d'alertes, vous avez traité de tous les noms ceux qui souhaitaient vous éveiller à la folie de ce monde. Bref, vous avez accepté d'être piquouzés ! Alors, vous avez ainsi accepté et souhaité votre misérable sort, tout en entrainant les autres dans votre déchéance par votre immobilisme. 

    Cet immobilisme parfait, dont on trouvait les premiers fondements dans ce jeu pratiqué dans les cours d'écoles. Celui où il fallait courir le temps que le compteur soit de dos, en énumérant les "1, 2, 3" avant de se retourner pour attraper ceux qui bougeaient encore, pour éviter de se faire évincer de cette place par un tonitruant "Soleil !" lancé par le plus rapide. Par celui qui avait su profiter du temps où le regard se tournait vers le tronc d'arbre pour parcourir le chemin. C'était l'époque bénie de l'insouciance. Celle où l'on croyait encore que les adultes étaient là pour nous aider à grandir. Celle des tables de multiplications, des dictées et des récitations... Et dont, comme pour celle de "la cigale et la fourmi", d'ailleurs, vous avez préféré aller vous amuser au resto, au ciné ou en vacances, plutôt que d'aller manifester ou de travailler au bonheur du monde et de vos propres enfants... 

    Alors, en guise de conclusion et pour paraphraser la fable de Sieur de La Fontaine, je dirais aux vaccinés qui ont reçus 1, 2 et 3 doses, dans l'insouciance la plus puérile...

 ...Et bien, mourez maintenant !

    Phil BROQ.


     



07 décembre 2021

L' ESPOIR BIENTÔT RETROUVE...

  Définitivement mes contemporains ne deviendront jamais mes vrais copains. Plus je les regarde vivre et plus ils m’exaspèrent. Ils me font même honte pour certains, comme ils font honte à leurs espèces et autant qu'ils le font à tout le règne du vivant. Et, je ne parviens même plus à leur trouver des circonstances atténuantes aux malheurs qu'ils se créent au quotidien. Car cette meute d'animaux hébétés et mal apprivoisés, soumis et lâches, égoïstes incapables d'utiliser leurs cerveaux pour vivre en pleine conscience et développer un havre de paix à leur progéniture, ne mérite en rien un quelconque respect, ni apitoiement. Car en réalité, ils sont les premiers et véritables responsables de l'état catastrophique de notre société, comme ils le sont aussi de l'impossibilité que nous avons de ne pas finir écrasés contre le mur de notre destiné. Alors, pour essayer de comprendre un peu mieux ce qu'il se passe dans notre monde déstructuré, je me suis arrêté de marcher dans la nature et je me suis posé devant leur nouveau temple divin, en forme de supermarché, là où ils vont prier en masse et jusqu'à trois fois par jour pour les plus tarés d'entre-eux. 

    J’ai donc passé de longues heures à observer comment s'activait tout ce petit monde décadent et déficient qui m’entourait, et sur quelle folie il s’appuyait pour fonctionner si lamentablement. J'ai vraiment tenté de comprendre quel type de société carcérale s'était mise en place à mon insu, comment essayer de réveiller ses acteurs dépravés et surtout, quels seraient les moyens qu'il faudrait employer pour revenir à un monde civilisé. J'ai donc longuement observé la ronde des "cons-sommateurs", car ils sont cons et c'est une évidence à présent, et ils nous somment sans cesse d'accomplir tout un tas d'actions absurdes et pleins d'autres choses stupides, défiant toute forme d'intelligence, à nous les êtres humains encore libres et souverains. Car ces nouveaux moutons dociles et dorénavant génétiquement modifiés, que certains prennent et à raison aussi pour des veaux ou des pigeons, sont tondus tous jours par leurs nouveaux dieux à la tête des multinationales. Pivots dématérialisés et à présent non-humains, sur lequel repose tout cet abrutissement massif.

  Masques plaqués sur le museau, mains aseptisées, smartphones et QR codes bien en évidence, tous en file indienne et sagement alignés devant un vigile qui parle à peine Français, pour pouvoir entrer dans leur temple adoré aux multiples divinités à acheter. Soumis, humiliés et contrôlés en permanence, contents d'être regroupés entre abrutis et d'être identifiés comme tels. Ils en sont d'ailleurs certifiés par leur pa$$ nazitaire et conditionnés à présent par une DLC (date limite de consommation) comme n'importe quel produit d’étalage. Ils jouissent pleinement de ce nouveau privilège, étrange à mes yeux, d'être devenus eux-mêmes des produits bientôt périmés tous les six mois. Et cela, pour seulement pouvoir enfin aller de nouveau dépenser frénétiquement les fruits de leurs labeurs, en restos, en ciné, en vacances contrôlées ou en gadgets et autres produits inutiles et manufacturés essentiellement en Asie du Sud-Est par des populations d'esclaves. 

    De prime abord, je voulais juste regarder comment ils encaissent leur désespoir, les voir s'agiter dans tout ce qu'ils appellent mensongèrement "la vie en société" et percevoir (percer pour voir) l’autre côté de leur miroir, l’envers de leur décor fallacieux, qu'ils se fabriquent à grand renfort de technologie, pour ne pas sombrer dans le vertigineux abîme de leur inconsistance. Je souhaitais surtout regarder l’arrière façade de leur vie insipide et morne, rythmée par les journaux télé, la mode de l'année et la bagarre physique pour le pot de Nutella à 1€ le kilo, un jour de Black-friday ! Masses frénétiques, la tête baissée, ils se dépêchaient tous pour gagner cette course à la stupidité dont ils ont le secret. Ils n'achetaient pas des denrées vitales, ils courraient quasiment dans les allées vers je ne sais quel but, ou produits synthétiques et plastifiés, soldés et présentés en tête de gondoles, dont aucun n'a réellement besoin. Pas un seul d'entre-eux n'était normal, le regard hautain mais l'allure physique du bonhomme Bibendum, tous étaient pressés, stressés et l'air agacé. Non pas stressés en fait, mais carrément électrisés. Comme s'ils avaient une peur viscérale de ne pas pouvoir consommer et acheter à leur satiété, de devoir rentrer frustrés chez eux, avant de pouvoir s'abrutir encore plus, assis sur leurs canapés bon marché, devant leurs chaines de télé hypnotiques et aussi insipides que leur intelligence.

    J’ai malheureusement commencé par vouloir m’assoir à la terrasse d’un bar bien français, situé à coté de l'entrée, avec l'envie d'un café chaud et croissants frais. Moment de détente agréable entre tous, lorsque l'on n'est pas obligé d'aller travailler comme un forcené. Bien entendu, sans avoir donné la preuve de mon allégeance au système satanique en place, c'est-à-dire que l'on a bien reçu deux injections mortelles dans le bras, je n'en ai pas eu le droit. Et il ne reste dorénavant, pour les gens non "cons-formés" comme moi, que l'offre d'un café américain "Starbuck",  pris au drive en extérieur, uniquement disponible à emporter et dans des gobelets carton, pour pouvoir espérer se sustenter d'une boisson chaude par -2° sous un crachin gelé. Servi derrière une fenêtre  de 30 cm de large, par un personnel masqué de la tête aux pieds, au regard perdu dans le vide sidéral de leur esprit et ne réagissant plus que par réflexes conditionnés, dont un distributeur/machine à pièce en ferait tout autant. Alors je n'ai rien pris... Ne restant alors pour moi que la possibilité d'une bouteille d'eau minérale fluorisée à 2€ les 25cl, sortie d'un véritable distributeur cette fois et placé à l'extérieur de l'entrée principale.

    C'est donc, assis sur un banc inconfortable et empêchant surtout les SDF de s'allonger, que j’ai observé mes congénères ou plutôt les cons dégénérés, ainsi électrisés par les incessants rappels à l'ordre Nazitaire nouveau et établi par leurs nouveaux maîtres auto-proclamés, de la muselière et du pa$$ en toutes circonstances. Ils avançaient dans la rue, emmitouflés dans leurs blousons en plastique, remplis de plumes pour les plus riches et synthétiques pour tous les autres, la tête baissée sur leur Smartphone pour la grande majorité, arpentant les rues sans jamais se voir, ni se regarder les uns les autres. Et d'ailleurs comment le pourraient-ils ? 

    Les yeux baissés sur leur prison virtuelle, la bouche muselée, les oreilles verrouillées de casques ou oreillettes sonores, les pieds posés sur coussins d’air des dernières baskets à la mode. Vivant dans leur propre monde et éloignés au possible de toute forme d'unité. Ils sont totalement déconnectés et complètement hermétiques à leur environnement proche. Ils n'ont désormais plus qu'une pseudo vie virtuelle, mais devenue plus importante et intéressante à leurs yeux, que celle, bien réelle, qui se déroule tout autour et surtout sans eux... Volontairement soustraits au rythme commun de la société, ils circulent et marchent de plus en plus rapidement, sans ce soucier des désagréments qu'ils occasionnent aux autres, comme si l'activité de chacun d'eux était tellement plus importante que celle de leurs voisins. Chacun évoluant dans son propre tempo, et tant pis pour l’harmonie de la vie. 

  En vérité la ville et sa foule, de moins en moins bigarrée et de moins en moins attirante, mondialisée et uniformisée par les spots télé des multinationales, n’offre plus de vrais espaces de liberté, mais plutôt des moments vides d'un total anonymat pressé, voire pressurisée et  hautement surveillé par caméras HD à chaque coin de rue. La pseudo-réussite sociale ou professionnelle de chacun se lit d'ailleurs sur sa façon de se déplacer, plus ou moins rapidement dans l'espace public, et à sa façon de communiquer sur son Smartphone avec ses contacts invisibles, mais dont les conversations à sens unique sont offertes à tous dans un brouhaha général incroyable. Les "actifs" sont littéralement pendus à leur téléphone (pourtant sans fils), les touristes font des photos de tout et de rien avec, et les jeunes font des "selfiiiiies"  (avec le sourire svp) à n'en plus finir. Leur semblant de vie, dans cette société devenue carcérale, ne se résume plus qu'à cette intéraction technologique, à cette interface robotique qui leur ouvre les portes de leur auto-satisfaction pathétique, égotique et crasse. Il n’y a désormais plus aucun respect de l’espace public et de son harmonie. Plus de respect pour autrui. Chacun jugeant que SA conversation est plus importante que le bien-être et le respect de tout ce monde qui l'entoure. Nous vivons donc désormais entourés d'ondes électromagnétiques, provenant des sommes de conversations privées plus ou moins bruyantes et toujours sans intérêts pour ceux qui sont à coté et se partageant, en plus, l'espace sonore avec la musique toujours plus forte dans le cas des supermarchés. 

    Et moi dans tout cela, j’avais l’impression d’être le seul, ou un des derniers, à vouloir regarder encore le ciel, lorsqu'il n'est pas voilé par des dizaines de "Chemtrails". Car même si j’ai, de tout temps, fait selon mes propres envies, selon mon inspiration du moment, je l'ai toujours fait en faisant attention de ne pas déranger ou choquer qui que ce soit autour de moi, ni même me faire remarquer. De sorte à être en osmose, en harmonie avec mon environnement proche. Même si tout petit déjà, je n’ai pas écouté les paroles et railleries des médisants, plus jaloux que méchants, plus cons que bons. Pas plus que je n'ai écouté les conseils aimants que me prodiguaient mes parents d'ailleurs, ni aucun de ceux donnés par les autres adultes, ou tout au moins savants/sachants, qui étaient là autour de moi à encadrer et diriger toute ma jeunesse scolarisée sous la Raie-publique. Non pas que j'étais réfractaire à leurs dires, mais simplement parce qu'ils ne m'ont jamais donné l'envie de suivre leurs pas ! 

    Dans la société qui m'a vue naître et me developper, j'ai eu la chance de croiser beaucoup de personnes bien intentionnées, mais ça, c'était seulement au siècle dernier. Car à l'époque, les bonnes paroles échangées valaient souvent beaucoup plus que les fortunes amassées. Et ce n'est que dans la galère, que l'on finit par voir les gens vrais. J’ai croisé des valeureux et des malins, des humbles et des roitelets, des gens qui ont tout et qui n’en font rien, et ceux qui de rien en font tout. Des bonnes âmes comme les esprits noircis. Les humains qui pensent à demain et les sapiens qui pensent qu’à leurs biens. Mais finalement depuis Platon, rien n’a changé, depuis l’invention des règles et de la hiérarchie héritée par consanguinité afin de préserver l'autorité d'un petit groupe sur la masse de l'humanité. Et oui, depuis toujours l’Homme aime être dirigé car il a réellement peur de la liberté.

    Et finalement, je constate à présent combien au milieu de mes questions d’enfants de l'époque, puis ensuite d’adolescent, je n’ai jamais mieux appris qu'en grandissant de mes erreurs et en pratiquant par moi-même. J’ai d'ailleurs toujours voulu comprendre par moi-même sans filets, sans le filtre des autres, sans l'appui des gens dits "expérimentés". Et comme je me suis assez souvent ramassé les dents par terre, à ne rien écouter et toujours vouloir tout faire selon ma propre volonté, j'ai développé un sens de l'observation qui m'a souvent permis, depuis lors, de me préserver. C'est usant et je reconnais aussi que j'aurais dû plus souvent écouter ceux qui ont fait face à l'adversité et se sont relevés devant les moments durs de la vie, bien avant moi. J’ai regardé mes tords sincèrement, j’ai compris de mes erreurs souvent, j’ai suivi la route du concret régulièrement, je me suis appuyé de l’exemple par les faits pour me construire au mieux dans cette société en trompe-l'oeil. C'est par le cheminement de la connaissance par la pratique que je me suis fait. Suivre son idée malgré les colibets et toujours croire en son étoile comme en sa propre destinée. Et franchement je ne regrette rien de mes errements du passé, car il n’y a plus que ça de vrai dans tout ce merdier qui se croit civilisé. Bref, j’ai osé, j’ai raté, j’ai appris, j’ai recommencé et j'y suis arrivé. Je suis passé au-delà, et même si cela a pris surement plus de temps, c’est ancré en moi à présent .

    J’aime tracer ma propre route, marquer mon chemin et tant mieux si cela guide certains. Si mes erreurs ainsi racontées, permettent aux autres de ne pas les faire à leur tour. Je ne prétend pas ne plus avoir de doutes, mais je pars dorénavant plus serein, confiant dans ce que sera demain, même aujourd'hui dans cet ère  malsaine. J’ai voulu défier mon époque et pour avoir dévié les codes et leurs habitudes, j’ai dû traverser mes propres déserts, mais sans jamais trop en souffrir, finalement. Je suis allé à la rencontre de mon prochain, j'ai écouté d’où il vient, appris de son chemin et parcouru le mien au rythme de mes pensées. A présent qu'a sonné l’âge de la moitié de ma vie, je sais au moins que jamais je ne ferais d’autres détours malsains proposés par ceux qui les connaissent trop bien, par peur d’y perdre ma route, mon destin et tous mes plus beaux desseins. Je ne m’encombre plus de doutes, mais plutôt d’états d'esprits sereins offerts par l’expérience et les livres des anciens. Apprendre par n’importe quel moyen et confronter l’expérience sur le chemin. Voilà ce que j'aime. Et puisque je n’en attends plus rien, demain sera forcement bien !

    Certes demain, est une notion que beaucoup de mes contemporains n’ont plus… Vivre jusqu’à ce soir, jusqu’au prochain sms, au prochain selfiiie, est déjà une gageure pour eux, les tarés vaccinés, bâillonnés, QRcodisés, contrôlés et dirigés par leur techno-structure aliénante, car leur vie est devenue instantanée, suspendue à un réseau de câbles que l’on nomme social et incapables de se projeter dans un avenir naturel. Désormais leur seule inquiétude est de paraître et non plus d'être. Et pour être, ils doivent Avoir, ils doivent posséder et surtout le montrer à tous. Le seul soucis du pratiquant de cette folie est de présenter sa non-vie au mieux. Quitte à user de tous les artifices illusoires proposés par leur machine dont ils sont devenus les prisonniers. Nous vivons dans l’ère de la culture de l’instant, du paravent, du faux-semblant, du tout est faux mais "pourvu que je sois bien affiché". Le confort qu'ils en retirent, si on peut dire, est d’être "connectés" tout au long de la journée, et offre en définitive bien moins d’avantages physiques et psychologiques que celui d’une brise légère sous le soleil du matin d'été. 

    J'aimais observer et prendre des notes sur le monde et ceux qui le peuplaient. J'aimais ressentir les ambiances, voir les farandoles de couleur qui s'agitaient devant moi, écouter vibrer le son des gens comme des lieux où je me promenais et sentir toutes ces odeurs qui donnaient aux lieux fréquentés leur unicité. J'aimais user mon temps à regarder passer les gens, les instants, les âmes qui font la ville et la vie, imaginer les désirs et les soucis de chacun, les espoirs et les frustrations de ceux qui s'agitaient sous mon regard… L’esprit toujours aux aguets, ouvert aux sons, aux odeurs, aux bruits de la ville et des passants, alors je me sentais vivre. Je ne me sentais rien de moins que libre, ouvert et connecté sur l’univers. Mais tout cela est révolu. Tout cela est à présent terminé dans ce monde ultra-connecté à un réseau fait d'électricité et de technologie carcérale pour décérébrés. Dans cet univers devenu illusoire, dématérialisé, mensongé et inhumain. Je ne me sent finalement bien qu'en forêt et au milieu des prés, des montagnes à me promener, loin de mes contemporains que je ne vois plus que comme des animaux bien dressés à la servilité. Et je ne me sens bien désormais que surtout très loin de ce rectangle illuminé offert par Satan, où finalement ne rentrent que les esprits carrés comme les écrans de télé...

    Contemporains abrutis et conditionnés à ne plus être des humains, happés que vous êtes par votre technologie castratrice, je vous hais affectueusement, jusqu'à ce que soudain,  je me rassure sincèrement sur l'avenir de votre destiné et du monde futur ainsi programmé, lorsque je me souviens, inopinément, de vous savoir finalement tous vaccinés !

    Phil BROQ.



03 décembre 2021

DU DROIT DE S'OPPOSER AU DROIT

     Parce que la démocratie serait un idéal à atteindre, la loi sera toujours perfectible, mais comme l’obéissance aveugle est un abandon de notre libre arbitre et une démission de notre conscience, la question de la désobéissance de fait, verbale ou violente en fonction de la répression, peut légitimement se poser aujourd'hui. Certes nous sommes dans un Etat de Droit, c’est à dire que la puissance publique serait logiquement elle-même soumise au Droit et l’existence d’une hiérarchie des normes constituerait une des plus importantes garanties de l’Etat de Droit. Dans ce cas, la désobéissance à la loi ne devrait intervenir qu’en dernier recours et une fois épuisés tous les moyens légaux pour faire valoir une revendication ou une contestation. Or, plus rien n'est appliqué normalement dans notre pays et encore moins le droit, spolié par cette caste de malfaisants. Implicitement, on comprend que la désobéissance civile, parce qu’elle suppose avoir épuisé toutes ces modalités de contestation, implique aussi un niveau de conscience et d’information citoyenne élevés. Pour autant, il faut reconnaître l’imperfection naturelle des lois, puisqu'il est évident que nous ne sommes pas dans une démocratie idéale et parfaite. Bien au contraire, nous sommes confrontés à un système de type mafieux et sectaire, et je vous renvois à mes billets précédents à ce sujet. De plus, Gandhi aurait dit en substance :"Renoncer à la désobéissance, c’est mettre la conscience en prison" ... Et, nous sommes tous incarcérés dorénavant, dans ce pays où les truands font leur loi et abusent des mensonges !

   Or, en notion de droit, on emploie que trop rarement le mot "mensonge". Et les juges français n’ont d'ailleurs jamais utilisé le mot "mensonge" d’une manière claire et précise, puisqu’ils ont opté plutôt pour le mot "tromper" afin de qualifier, via l’escroquerie, l’acte perpétré par l’agent nommé alors "l’escroc". Et Dieu sait que d'escrocs, le gouvernement en est farci. Par exemple, en droit civil, le mensonge s’inscrit dans un ensemble plutôt confus, dont les notions de fraude et de dol sont le centre, car si ces notions contiennent l’une et l’autre implicitement la notion de mensonge, il n'est jamais nommé comme tel. Et l’absence de définition juridique du mensonge, est source de difficultés et suscite de nombreuses interrogations quant à la pertinence des textes juridiques en vigueur, car la définition revêt une importance majeure pour la constitution de nombreuses infractions mensongères dont sont coupables les acteurs gouvernementaux au quotidien. Comme celles dont le peuple français subit les conséquences depuis bientôt 2 ans au sujet de cette fausse "pandémie" et de ce faux virus pour justifier l'injection d'un poison nano technologique dans le bras. Mais, la problématique centrale qui se pose est notamment de savoir si toute énonciation mensongère constitue une manœuvre frauduleuse et/ou un acte punissable par la loi. Car pour convaincre autrui, plus ou moins crédule, l’escroc a recours à une machination pouvant entrer dans la notion de manœuvres frauduleuses que la loi n’a pas défini ou ne veut pas définir, au risque de mettre tous les magistrats et autres politiques sous les verrous.

    Donc, en l’absence de définition juridique précise, le mensonge incriminé doit avoir un but précis, tel qu’une atteinte à une valeur sociale, car normalement et dans un pays correctement géré, c'est-à-dire avec une justice indépendante (ce qui n'est plus le cas en France depuis belles lurettes et notamment depuis le passage de Valls), la loi punit normalement ce mensonge toutes les fois qu’il porte atteinte aux biens et droits d’autrui. Et la définition française de la fraude "suppose une mauvaise foi caractérisée, une tromperie, une ruse employée par le débiteur pour se soustraire à ses obligations", mais on ne le constate que lorsqu'il s'agit d'argent ou d'action commerciale, mais pas dans le cas de folie des dirigeants. La fraude est donc bien un mensonge au regard de la loi, mais le mensonge n'est pas non plus caractérisé comme étant clairement une fraude. Alors que le dol qui est : "une manœuvre, une réticence employée par une personne pour tromper une autre afin de l’amener à conclure un contrat" en est une. Mais, le simple mensonge verbal ne peut constituer à lui seul des manœuvres frauduleuses, et si une personne donne son argent suite à ce mensonge, il sera victime de son inattention, et son manque d’expérience, et non pas une victime d’escroquerie punissable pénalement. C'est la dessus que jouent tous les politiques pour nous embobiner régulièrement et nous soutirer de l'argent sans jamais avoir à se justifier.

    De ce fait, et dans son acception courante, le terme de "mensonge" désigne une contre-vérité, réalisée intentionnellement, avec pour but de dissimuler la vérité. Et l’analyse des définitions permet d’affirmer que le mensonge peut être défini davantage comme une contre-réalité, qu’une contre-vérité. Car, la contre-réalité, "suppose que l’auteur a connaissance de la fausseté mais poursuit en action et réalise le fait mensonger punissable." Et cette définition contient bien l’élément matériel et l’élément intentionnel du mensonge. Par conséquent, on doit tenir pour un mensonge, non seulement ce qui est qualifié comme tel par la loi pénale, mais aussi, toute tromperie, toute fraude, toute déloyauté destinée à tromper un tiers comme un peuple tout entier. Ainsi on peut observer un panel allant de l’escroquerie par l’émission de chèque sans provision jusqu'au faux en écriture, ou encore inclure le faux témoignage, le faux serment, l’usurpation de titre de fonction, l'extorsion sous la contrainte, etc. Ainsi rapidement déterminée, la notion de "mensonge punissable" permet de mieux apprécier la criminalité dont elle relève, criminalité faite d’astuce, de ruse et de tromperie . Le mensonge s’entend donc pour toute conduite trompeuse ET volontaire. Mais pour retenir l’existence d’un élément extérieur en plus du mensonge, occasionnant dès lors la constitution de l’escroquerie, les juges s’attachent essentiellement à l’intention de l’auteur, bien plus qu’à la valeur probante de l’élément extérieur, car pour qu’il y ait manœuvre frauduleuse, l’élément extérieur doit être indépendant du mensonge. S’il n’est que la reproduction du mensonge, il n’apporte rien de nouveau et ne peut constituer une manœuvre. C'est pourquoi tant qu'on ne prouve pas que nos ministres touchent des pots-de-vin, on ne peut les condamner pénalement au mensonge et à la malversation ! Ils ont tout prévu, mais...

    Le secteur le plus explicite en la matière se situe dans le droit des affaires. Et à la lecture des définitions apportées par la doctrine et par la jurisprudence, il ressort que la constitution des manœuvres frauduleuses exige un mensonge initial, auquel s’ajoutent un acte extérieur corroborant le mensonge initial. Ce sont les traits invariables des manœuvres frauduleuses en droit pénal des affaires. Donc, une manœuvre frauduleuse se constituent par un ou plusieurs actes matériels, qui prend d’une façon artificielle pour vraie une affirmation, présentation, qui est en réalité mensongère et en connaissance de cause par l'auteur du mensonge. La manœuvre suppose le rattachement au mensonge, d’un acte extérieur de nature à lui donner force et crédit. Ce qui est exactement ce que fait Veran à longueur de journée, accompagné en cela par les truands patentés comme Buzyn, Salomon, Delfraissy ou Lacombe, et tous les autres médecins de plateaux qui nous surinent à longueur de journée de leurs inepties crasses concernant les chiffres et la dangerosité de ce virus créé en laboratoire par l'armée et les labos de Big-pharma.

    Mais si les manœuvres frauduleuses sont constituées par des actes multiples concourant à l’obtention de la chose convoitée, elles se basent principalement sur la tromperie afin de soustraire le consentement ou d’obtenir un bien matériel ou pécuniaire. Or, les manœuvres ne sont pas définis dans le Code pénal, mais ont été apportées par la jurisprudence. De plus, les manœuvres frauduleuses, contiennent tous mensonges corroborés par des actes extérieurs, qui a pour but de faire tromper la victime, qui en croyant l’escroc, il lui donne son argent. Comme nous augmentons notre dette du pays en payant les laboratoires pour nous livrer du poison injectable, nous avons là un cas d'école en matière de droit des affaires. Et la caractérisation des manœuvres frauduleuses nécessite un fait extérieur voire externe constitué d’une mise en scène, la production d’un écrit, ou par l’intervention d’un tiers, donnant par la suite force et crédit aux mensonges perpétrés par l’auteur des manœuvres. Là encore, toutes les cases sont cochées concernant cette fraude massive à l'encontre de nos droits comme de nos deniers. Et selon les Professeurs Adolphe CHAUVEAU et Faustin HELIE : "cette expression suppose une certaine combinaison de faits, une machination préparée avec plus ou moins d’adresse, une ruse ourdie avec plus ou moins d’art". Dont la mise en scène est définie généralement comme une "manière affectée de présenter, d’organiser quelque chose pour éblouir, pour tromper ou pour obtenir quelque avantage". En l'occurence l'injection du poison à but de génocide et de stérilisation des masses.

    Ainsi, mis bout à bout tous ces éléments, nous observons le caractère mensonger, frauduleux et inhumain des agissements des membres du gouvernement, comme celui des putains de Big-pharma à travers le monde entier, qui s'enchainent sur tous les plateaux télés et dans les journaux à leur solde. Il ne faut pas être un grand juriste pour qualifier leurs manoeuvres quotidiennes de frauduleuses, mensongères et dangereuses. En plus de nous dérober des sommes inimaginables, que nous versons par l'intermédiaire de nos impôts ponctionnés à la source. Donc, là interviennent les questions essentielles à cette démonstration : Que fait la police ? Que font les juges? Que fait la justice? Où sont les avocats? Et surtout, que fait le peuple pour défendre sa vie et ses droits ? Car les preuves sont factuelles, les démonstrations de la fraude et du dol aussi et les manoeuvres frauduleuses de nos gouvernants sont visibles, même pour les plus abrutis d'entre-nous !

    Ainsi, pour couvrir les agissements frauduleux, la République s'est dotée d'un arsenal de mesures à notre encontre. Comme avec l’article 7 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, qui dispose que "nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l’instant : il se rend coupable par la résistance". Et cette perception de la nécessaire obéissance à la loi se retrouve dans notre Code pénal prévoyant et réprimant le fait  "d’opposer une résistance violente à des dépositaires de l’autorité ou chargés d’une mission de service public, agissant dans l’exercice de leur fonction pour l’exécution des lois" (art. 433-6). Et dans le cas d'une juridiction ultra-répressive comme la nôtre actuellement, la rébellion, comme l’outrage qui vont généralement de pair puisque celui qui se rebelle reste rarement muet, et que la violence physique s’accompagne souvent en premier lieu de violence verbale, c'est toujours le citoyen le fautif...  

    Bien entendu, les violences commises par ces "dépositaires de l’autorité publique", que sont les voyous assermentés par cet état ripoux, ne sont pas pénalement répréhensibles, puisqu'étant réalisées pour  "accomplir un acte prescrit ou autorisé par des dispositions législatives ou réglementaires" (art. 122-4 du CP) et/ou étant défense, nécessaire, proportionnée et concomitante à une atteinte injustifiée constitutive d’un délit (art. 122-5 et 122-6 du CP). C'est avec cet article qu'ils couvrent tous les actes volontairement violents et se cachent derrière leur phrase favorite : "on obéit aux ordres", comme avec les nazis en 39-45. La rébellion est donc délicate à prendre en considération et à mettre en oeuvre en dehors de la clandestinité. Constituée à la fois par le fait de ne pas obéir à la loi mais, de plus, de le faire avec violence puisqu'aucun autre choix n'est possible. Donc, si l’individu appréhendé se rebelle et a quelques blessures, il importe surtout de la part des dépositaires de l’autorité publique de mentionner "la rébellion" dans leurs procès-verbaux, afin de parer à un éventuel dépôt de plainte contre eux pour violences volontaires. Donc que ce soit une insulte ou un coup de poing, le citoyen est systématiquement sanctionné, mais dans le cas contraire tout va bien, circulez, y'a rien à voir ! Par conséquent, la nécessité de la désobéissance à la loi viendra alors de l’urgence à agir quand la dignité de l’Homme est menacée, quand les libertés fondamentales sont bafouées, quand la loi paraît servir des intérêts particuliers ou quand l’inacceptable advient. Ce qui, vous en conviendrez, est parfaitement le cas depuis 2017. Alors, à quelles conditions peut-on ou doit-on désobéir aux lois ?

    Cette question vient à un moment où l’on assiste en France à une forme d’hyper-inflation législative, clairement identifiée, parfois dénoncée mais jamais contrée. Phénomène qui pourrait à lui seul justifier que l’on se demande ce qui aujourd’hui fait loi, et surtout ce qui fonde le recours du gouvernement à la loi contre ses propres citoyens. N'étant pas juriste, ni avocat, je n'ai aucune légitimité à répondre à ces questions. Mais en tant que Français, citoyen et surtout contribuable, ma réponse a ces question est donc très simple et assumée. Oui, je dois me défendre et user de tous les moyens nécessaires à ma survie. Car, braver l’autorité apparaît, avec le recul, comme le seul moyen de faire valoir mes droits les plus essentiels à la vie. De la mythique Antigone, à Gandhi, en passant par Rosa Parks, Martin Luther King ou aux "Justes" de la dernière guerre mondiale, les exemples de cette nécessité vitale ne manquent pas. Et ils forcent d'ailleurs mon admiration, tant il paraît à posteriori évident qu’ils ont œuvré au progrès de l’humanité à leurs risques et périls. Et en l'occurence, il s'agit non seulement de mon argent qui est dilapidé par les gouvernants pour engraisser leurs copains banquiers, mais aussi de mon consentement et de mon droit le plus élémentaire à ne pas être pris pour un pigeon ou un mouton à abattre par des truands génocidaires, même s'ils sont au gouvernement ou simples agents de coercition comme dans le cas des policiers ou des médecins. Car c'est dans mon droit le plus élémentaire de ne pas vouloir me faire extorquer un consentement illégal à des pratiques condamnées par le Tribunal de Nuremberg. C'est aussi de mon devoir de résister à toute oppression fut-elle de la part des "forces de l'ordre" dès lors qu'elle est illégitime et illégale, comme c'est trop souvent le cas depuis le début des "Gilets Jaunes" ! 

    Il est clair et acté que la justice n’existe plus en France et par conséquent, je suis dans l'obligation d'avoir recours à ma propre défense personnelle afin de me préserver et de ne pas subir les attaques monstrueuses et mensongères dont je suis victime au quotidien, et qui me coûteraient ma santé, comme ma liberté. Et n'ayant même pas le droit de contester verbalement ou physiquement, j'encours la même sanction au final. Donc, dans cette logique visiblement autant aller "casser directement du flic et du politique", ça fera au moins ça de moins sur le pavé à nous harceler, qu'à simplement les insulter. Puisque de toutes façons, on sera condamnés pour avoir voulu seulement défendre des droits qui n'existent plus dans notre pays ! Etant beaucoup plus nombreux qu'eux, si nous agissions comme en Guadeloupe, alors le problème serait réglé en un seul Samedi de manifestations, et ce avant 18H, au lieu d'attendre les nasses et autres pluies de Lacrymos, tirs de LBD dans la tête et grenade dans le dos ! 

    Or, dans le cas présent, on peut cependant retenir de l’histoire quelques grands enseignements. Le premier est que, par l’obéissance aveugle à un gouvernement né de l’Etat de droit, il est possible de laisser advenir un Etat autocratique. Et c'est là aussi clairement le cas avec l'arrivée au pouvoir de la catin hermaphrodite élevée par sa pédo-criminelle de femme, nommé "le poudré de l’Élysée" par les plus gentils d'entre-nous. Le second est que dans toutes les situations de non droit, désobéir c’est d’abord avoir du courage. Rien ne se produit si l'on ne change pas soi-même son comportement amorphe face à la répression et si l'on ne s'érige pas contre l'injustice. Car s’attaquer à un Etat de non droit, c’est d'abord accepter de sortir du confort de l’immobilisme et de la soumission facile, c'est sortir de cette illusion sociale et c’est prendre des risques. Mais c'est surtout offrir à ses enfants un avenir dans monde viable, tout en se respectant soi-même. Le troisième enseignement qui peut être tiré d’une référence à des situations de non droit comme la ségrégation, la dictature ou encore un régime autoritaire, comme ce régime sanitaire, est qu’il est simple en ces circonstances de légitimer la désobéissance en invoquant simplement le besoin naturel de justice, afin d'avoir une société juste et viable pour tous. D’ailleurs, notre constitution, se référant à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, reconnait tout de même comme droit imprescriptible, "la résistance à l’oppression"Et c'est là que ça devient interessant... Car, si dans tous les cas, il faut donc du courage de la part de chacun d'entre nous, pour faire advenir une société juste, il est aussi nécessaire de s'opposer, même pacifiquement.

    Ceci dit, on peut évidemment considérer la désobéissance comme possible par principe, au nom de la liberté et de la défense de la vie. Cependant cette liberté ne saurait s’exercer autrement qu’en conscience et avec responsabilité. Et entendu comme un acte politique, la désobéissance à la loi ne saurait être envisageable qu’à la condition où son but ultime est de faire évoluer la loi comme la justice et non de simplement vouloir s’y soustraire. Ainsi, deux formes de résistance s'offrent à nous : 

- La première est la transgression criminelle ou délictuelle de la loi dans la perspective d’un intérêt particulier. Ce qui en l'occurence, n'est pas le cas puisqu'il en va aussi de l'avenir de nos enfants comme de la civilisation, actuellement. 

- La seconde est plus délicate car il s’agit de l’objection de conscience, (entendue dans un sens plus large que l’objection de conscience légale prévue pour ceux qui refusent de servir militairement), qui est une des voies pour un individu singulier d’exprimer son refus moral de se soumettre à une loi jugée dangereuse ou délictueuse. Elle exprime une position individuelle, même si elle est dans le but d'obtenir des satisfactions universelles et régie par une philosophie subjective qui n’a, par conséquent, pas nécessairement un caractère universel. Et donc, un certain nombre de conditions découlent alors de ce principe de finalité quant aux modalités de la désobéissance. 

    Les modalités de la mise en œuvre de la désobéissance sont exposées par des théoriciens de la désobéissance civile, qui empruntent la notion à Henry-David Thoreau, poète et philosophe américain du XIXe siècle, qui le premier a théorisé la résistance passive au gouvernement. Cette doctrine, sans être figée, semble caractériser la désobéissance civile légitime au travers de six conditions, mais qui vont encore une fois, dans le sens du gouvernement et non du simple citoyen :

1-L’acte de désobéissance doit être une infraction consciente et intentionnelle.
2-Il doit être un acte public (Gandhi a prôné d’avertir par avance les autorités de l’intention de l’acte).
3-Il doit s’agir d’un mouvement à vocation collective, même s’il est éventuellement initié par une personne seule.
4-Cela doit rester une action pacifique.
5-Son but ultime doit bien être de modifier le Droit.
6-Enfin, il engage la responsabilité civile et pénale de son auteur.

 Ainsi, toutes ces conditions posent le désobéissant comme un dissident et non comme un délinquant, mais elles ne donnent bien sûr aucune garantie de bonne fin, et l’infraction expose le ou les désobéissants aux sanctions prévues par la loi. Ce qui dans les faits est toujours en défaveur du citoyen et salutaire pour la mafia d'état. Car, notre système juridique prévoit bien qu’au-dessus des lois ordinaires et organiques, il est des principes qui définissent un ordre supérieur du droit. Ainsi, la constitution de la Vème République pose comme principes de droit, ceux qui sont établis par la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, complétés par le préambule de la constitution de 1946. Mais à la différence de l’objection de conscience, elle entendra rendre public le procès de ce qui est juste et de ce qui ne l’est pas. Elle entendra aussi engager un rapport de force salutaire avec les institutions pour faire valoir le sens supérieur du droit ainsi défendu. Et la constitution entend aussi garantir, entre autres droits fondamentaux, des droits imprescriptibles et naturels de l’Homme définis comme la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression. Sauf que dans les faits, cela n'est encore qu'un mensonge de plus, les opposants actuels sont soit enfermés en hôpital psychiatriques et ruinés par les services de l'état, financièrement comme socialement. Soit mis directement en prison si les slogans des pancartes de manifestation vont à l'encontre de l'idéologie dominante. Souvenez-vous du "QUI?" ...


    Donc, désobéir aux lois est surement un acte grave, mais absolument nécessaire en certaines circonstances exceptionnelles comme celles d'aujourd'hui, qui poussent les Hommes au suicide collectif par injection. Et grave, parce qu’il est la preuve d’un énorme défaut de ce que l'on nomme à tort comme étant la démocratie institutionnelle, et surtout parce qu’il engage la responsabilité des désobéissants et jamais des ordonnateurs du massacre. Il ne s’agit certainement pas ici de prôner la désobéissance violente et armée, quoique, mais surtout d'éviter les écueils du passé qui ont conduits par exemple à la déportation des juifs en camps d'extermination, tout comme aujourd'hui on veut placer en camps sanitaires les opposant à ce régime meurtrier et totalitaire. 

    Il est donc ici question de savoir quand, comment et où se rebeller efficacement, sans crainte de la loi, puisqu'elle est de fait établie contre nous, les humains au sang non-contaminé, par cette caste malfaisante qui s'est accaparée frauduleusement le pouvoir pour notre plus grand malheur. Et qui l'exerce grâce aux mensonges, à la duperie, à la violence de ses forces armées et contre toute humanité ou logique vitale. Ainsi et pour conclure, une certaine dose de désobéissance est compréhensible comme étant le signe de la vitalité de l’esprit démocratique et l’expression ultime de la souveraineté d’un peuple qui entend rester vigilant pour défendre sa liberté, sa vie et celle de ses enfants, comme de ses ainés.
    
    Alors au regard de cet exposé, certes long mais factuel et étayé tant le sujet est délicat, je vous conseille de trouver rapidement le courage nécéssaire pour reprendre le cour de votre vie et non plus essayer de survivre dans ce monde devenu fou et dangereux à cause de ses élites. La loi est contre nous et elle est fabriquée par des truands et des délinquants de droits communs qui président l'assemblée, le sénat, et toutes les strates de l’exécutif comme du législatif à présent. Nous n'avons plus le choix, sinon celui des armes et des actions de résistance à mettre en place quotidiennement et sans relâche pour nous sortir de ce traquenard mondialiste. Et de se retrouver ensembles et unifiés, sous notre drapeau tricolore, quelle que soit votre position actuelle, pour suivre les premiers conseils de notre hymne national, qui a fait le rayonnement de notre pays à travers le monde et la fierté de nos ancêtres qui ont offert un avenir à notre nation par leur sacrifice. 

    Et bien que cette fois-ci, le sang impur est celui des vaccinés, comme des politiques qui nous ont trahis volontairement, qui nous soumettent, nous volent et nous tuent, il nous faut prendre au pied de la lettre cet hymne national, pour pouvoir enfin prétendre à une libération du genre humain. Suivons ce conseil ultime :

"Aux armes citoyens, 
formez vos bataillons, 
 qu'un sang impur, 
abreuve nos sillons! ..."
Phil BROQ.