L'AGENDA MAUDIT DE LA SECTE DU MAL - Acte 1-

Mes chers lecteurs, préparez-vous à plonger dans un tourbillon d’absurdités et de manigances où les enjeux sont aussi grands que l’avidité de nos élites ! Bienvenue dans cette série de billets qui va vous éclairer sur ce que nous pourrions appeler "L’ Agenda Maudit de la Secte du Mal". Un titre qui, avouons-le, n’est pas sans un certain humour noir.

Dans le premier acte, nous explorerons comment des institutions comme l’ONU, l'OMS, le Forum Economique Mondial et des géants financiers tels que Black-Rock sont devenus les architectes d’un plan qui ne vise rien de moins que le contrôle total de nos vies et l'asservissement de tous. On parle de mettre en place un véritable empire de l’absurde, où la souveraineté nationale se plie comme une serviette sur une table de banquet pour nos élites.

Ensuite, nous entrerons dans le royaume technologique des GAFAM, ces titans numériques qui, avec un clic, transforment nos vies en un vaste laboratoire d’expérimentation. Qui aurait cru que la quête de la commodité quotidienne nous mènerait tout droit vers une surveillance sans précédent ?

Puis, nous décortiquerons les stratagèmes des Rothschild et de leurs treize familles complices, véritables marionnettistes tirant les ficelles dans l’ombre. Ces architectes du mal, invisibles sur les pages de Forbes, orchestrent un plan séculaire d’une précision diabolique. Leur arme favorite ? La dette, cette chaîne dorée qui transforme les nations en esclaves dociles. Chaque guerre, chaque crise économique, est un coup de pinceau dans leur chef-d’œuvre occulte. À ce niveau de richesse et d'influence, leur jeu se joue dans une autre dimension, où même les milliardaires ne sont que des pions sur leur échiquier.

Dans notre quatrième acte, nous dévoilerons leurs maîtres d'œuvre : les milliardaires "philanthropes". Ces visages publics de la bienfaisance moderne, tels que Bill Gates, Elon Musk et Jeff Bezos, incarnent l'idéale couverture pour des manœuvres plus sombres. Sous les projecteurs, ils sauvent le monde avec un sourire éclatant ; dans les coulisses, ils exécutent scrupuleusement les directives de leurs mentors invisibles. Leur pouvoir ne réside pas seulement dans l’argent, mais dans leur capacité à masquer un contrôle global sous une façade de charité et d'innovation.

Puis viendra le tour de leurs œuvres avec leurs fondations méphitiques. Ces entités soi-disant philanthropiques, comme la Fondation Bill & Melinda Gates ou la Rockefeller Foundation, sont les outils avec lesquels ils façonnent le monde à leur image. Officiellement dédiées à la santé et au bien-être global, elles cachent toujours des projets aux conséquences éthiques douteuses. Ces fondations ne paient évidemment pas d’impôts, échappent à toute régulation, et se délectent d’une opacité qui ferait rougir n’importe quel gouvernement digne d'Al Capone. Elles ne servent qu'un seul maître : l'Agenda Maudit des 13 familles.

Et pour notre sixième acte, nous exposerons leurs bâtisseurs : les "Young Global Leaders". Ces jeunes loups, soigneusement formés et triés par le Forum Économique Mondial, sont les maçons de ce monde dystopique en devenir. Ils n'ont pas encore le poids de leurs aînés, mais ils façonnent déjà l'avenir, implantant discrètement les valeurs et les idéologies qui permettront à cette machine infernale de continuer à tourner. Leur rôle ? Bâtir brique par brique, un monde où liberté individuelle et vie privée ne sont plus que des reliques du passé.

Et enfin, nous conclurons notre voyage dans l’obscurité avec une analyse de l’asservissement de l’humanité, un plan parfaitement orchestré, où chaque note est soigneusement réglée pour que le concert de la servitude se déroule sans accroc, en coulisse de cette pièce jouée par la Secte du Mal.

Alors, préparez-vous à déguster cette série sur le cynisme et l’absurde, car nous allons nous plonger tête la première dans cet univers fascinant et dérangeant. Restez attentifs, car le spectacle ne fait que commencer !

Mais si vous pensiez que ces réflexions sur l’absurdité du monde étaient un simple divertissement, détrompez-vous ! Toutes ces analyses croustillantes et révélations sur l’agenda de la secte du mal, ainsi que ses manigances, se trouvent dans ma série de livres intitulée "Chroniques amères d'un monde à l'agonie", prêts à illuminer les esprits obscurcis par les notifications incessantes de vos smartphones et le poids écrasant de vos factures. Oui, ces analyses littéraires sont à votre disposition sur le site thebookedition.com à cette adresse :

https://www.thebookedition.com/fr/34715_philippe-broquere

Et en attendant de vous compter parmi mes soutiens, voici en détail ce qu'est cet Agenda Maudit ! 

Le Pacte pour l'Avenir, l'Agenda 2030, les actions de l'OMS, de l'Union Européenne, et la montée en puissance de BlackRock, des GAFAM et des dynasties financières telles que Rothschild et Rockefeller ne sont que les instruments d’un plan bien plus vaste. Derrière ces initiatives, une stratégie sombre se dessine : supprimer les souverainetés nationales et imposer un nouvel ordre mondial fasciste, dirigé par une poignée d’individus et de conglomérats qui, grâce à une dette fictive, parviennent à enfermer les peuples dans un esclavage moderne. Ce plan est soutenu par des figures-clés, des politiciens zélés comme Emmanuel Macron et une génération de Young Global Leaders, formée pour servir ces intérêts mondialistes.

L’ Agenda 2030 est vendu comme une solution pour "éradiquer la pauvreté" et "sauver la planète", mais en réalité, il s’agit d’un plan machiavélique pour imposer une dictature de la dette. Les Objectifs de Développement Durable (ODD), qui semblent sur papier des promesses de justice sociale, ne sont qu’un mécanisme de contrôle sophistiqué. Pour financer ces projets soi-disant humanitaires, les pays, notamment les plus pauvres, se retrouvent contraints d’emprunter massivement auprès d’institutions financières contrôlées par des élites privées, comme le Fonds Monétaire International (FMI), la Banque Mondiale, et bien sûr les banques d’affaires détenues par les dynasties Rothschild et Rockefeller.

Évoquons ensemble la dette fictive, ce chef-d'œuvre des élites financières ! Quel génie ! Imaginez une arme tellement subtile, tellement élégante, que ses victimes ne la voient même pas venir. Pas besoin de chars d'assaut ni de coups d'État. Non, ces méthodes-là sont bien trop grossières. Pourquoi s’embarrasser de telles brutalités quand on peut tout simplement gonfler une bulle de dette artificielle et regarder les gouvernements se noyer dans les intérêts composés ?

Les Rothschild, les Rockefeller, et consorts ont vraiment perfectionné l'art de la soumission par la dette. C’est simple : vous prêtez de l’argent à un pays, en sachant très bien qu'il ne pourra jamais rembourser. Le piège se referme doucement, mais sûrement. Le gouvernement, tout heureux de recevoir ces montagnes d'argent, signe les contrats les yeux brillants, sans se rendre compte qu'il est en train de vendre son âme. Et voilà, une fois endetté jusqu’au cou, ce pauvre pays devient un jouet, un pion dans le grand échiquier mondial. Tel que nous l'a imposé Macron...

Adieu, souveraineté nationale. Place à la soumission complète. Les élites n’ont même pas besoin de lever le petit doigt pour que les gouvernements, réduits à de simples exécutants, commencent à privatiser leurs ressources naturelles. Du pétrole au lithium, tout est mis en vente au plus offrant. Forcément, les acheteurs ? Toujours les mêmes conglomérats internationaux, ces charmantes entreprises qui siègent confortablement dans les salons feutrés des grandes capitales mondiales.

Et ce n’est que le début ! L’étape suivante ? "Réformer" les systèmes de protection sociale. Parce que, bien sûr, protéger les citoyens, c'est trop coûteux ! Les pensions, les retraites, les hôpitaux publics... Il faut réformer tout ça, c'est-à-dire démanteler, brader, privatiser. On dégraisse l'État, on réduit les dépenses sociales, et les citoyens n'ont plus qu'à compter sur le marché libre. Un marché, évidemment, contrôlé par ceux qui ont provoqué cette crise.

Mais la cerise sur le gâteau, c’est l’ouverture totale des marchés. Après tout, pourquoi un pays aurait-il besoin de protéger ses industries locales ou ses travailleurs quand les multinationales peuvent tout gérer pour lui ? L’agriculture ? Importons tout. L’industrie ? Délocalisons. Le pays devient un terrain de jeu pour les conglomérats, un supermarché à ciel ouvert où tout est à vendre, sauf peut-être la dignité nationale et encore, ça reste négociable.

Et tout ceci, mesdames et messieurs, avec une dette fictive, un simple tour de magie comptable. Une bulle qui n’existe que dans les livres des banques mais qui parvient à mettre des nations à genoux sans qu'une seule goutte de sueur ne perle sur le front des élites. Pourquoi prendre le risque d’une guerre quand on peut tout avoir avec un clic de souris sur une feuille Excel ?

Quel spectacle ! Les élites regardent tout cela, amusées. Les gouvernements rampent, quémandent une restructuration de leur dette, suppliant pour un peu plus de temps. Mais non, le jeu est trop amusant pour s’arrêter là. Ils appuient un peu plus, juste pour voir jusqu’où un pays peut plier avant de rompre. Et quand il est à terre, ils lui vendent la solution : plus de dettes, plus de privatisations, plus de soumission. Le cycle continue, et les profits — ah, les profits pour lesquels ils sont prêts à vendre leurs âmes ! — continuent de gonfler, tout comme cette bulle de dette fictive qui, finalement, est peut-être la seule chose réelle dans ce grand cirque mondial.

Le "pacte pour l'avenir", une nouvelle folie mondialiste, qu'ils ont une fois encore décidé pour nous, ou plutôt contre nous, est très simple : adopté à New York par les Nations-Unies, 193 nations, par une procédure appelée "la procédure du silence", est l'aboutissement du traité initial de l'OMS qu'elle n'avait pas réussi à faire adopter. Voici, en substance, un tout petit aperçu du "bonheur carcéral" qui nous attend :

- Une structure de pouvoir entièrement numérique et maximisée par l'IA, pour le contrôle total des masses et géré uniquement par ces cancrelats. Pour son fonctionnement, bien entendu, tout le monde devra disposer d'une ID numérique et biométrique. De plus, afin d'éviter de faire émerger la vérité sur ce "pacte de l'avenir suicidaire", toutes personnes aux opinions dissonantes seront étiquetées avec un historique conservé et utilisable à tout moment. Si le secret des affaires reste d'une opacité sans nom, celui sur le secret de vos pensées sera en "Open bar" pour ces truands de la dictature. Et donc, les auteurs d'informations "non approuvées", c'est à dire celles qui informent véritablement sur leurs méfaits, seront largement punis par le système, aidé en cela par l'I.A. Et ces sanctions comprendront tout un panel d'incération et d'ostracisation du candidat à la liberté, à savoir, le blocage de comptes bancaires, interdiction de certains achats, interdiction de certains déplacements - avion, voiture, train, et surement interdiction d'utiliser le net ! Voilà, à présent, vous savez ce qu'est le Pacte Pour l'Avenir. C'est un pacte de plus, entre personnes malfaisantes bien connues de tous et vivant dans l'opulence et l'impunité pour imposer leur tyrannie technologique et spirituelle.

Et tout cela avec un sourire bienveillant, bien sûr. Parce que ces élites, ne l’oublions pas, ne font que "travailler pour un monde meilleur", où "vous n'aurez plus rien mais serez heureux !". Quelle chance n'est-ce pas de payer des impôts et des taxes en tous genres pour entretenir ce cancer mondialiste, basé sur le mensonge, la corruption et la punition violente des opposants.

L’un des acteur-clés dans ce processus de corruption à outrance est Black-Rock, la plus grande société de gestion d’actifs au monde. Black-Rock, avec ses 9 000 milliards de dollars d’actifs sous gestion, a infiltré chaque coin de l’économie mondiale. Non content de gérer des fortunes colossales, Black-Rock utilise ses algorithmes d’intelligence artificielle pour influer sur les décisions des gouvernements et des entreprises, façonnant ainsi l'économie mondiale à son image. Et sanctionnant ceux qui désobéissent. Black-Rock n’est pas un simple gestionnaire d’investissements : c’est un véritable pouvoir dans l'ombre, capable de décider quel secteur prospère ou s'effondre, contrôlant littéralement d'une main de fer la destinée des nations par ses participations massives dans les entreprises stratégiques. Sans omettre la corruption des membres des instances internationales.

BlackRock et Vanguard, ces deux titans insatiables qui façonnent le destin du monde. D'un côté, BlackRock, le maître de la finance moderne, qui tisse méthodiquement sa toile de contrôle sur les gouvernements et les économies mondiales. De l'autre, Vanguard, cette mystérieuse société, presque fantomatique, tenue par les oligarques et grandes familles comme les Rothschild et les Rockefeller, pour laquelle aucun commun des mortels ne peut acheter d’actions. Il n'y a pas de marché public pour Vanguard, et pour cause : Vanguard est le marché. C’est la main invisible qui contrôle tout, sans jamais se montrer. Ils ne veulent pas être achetés, parce qu’ils ont déjà tout acheté.

Donc, Black-Rock. Ce géant de la gestion d’actifs qui dépasse le PIB de la plupart des nations. Grâce à des connexions privilégiées avec des personnalités politiques et des institutions internationales, cette succursale du mal a trouvé le moyen de s'infiltrer dans tous les coins et recoins des gouvernements. Mais comme tout grand stratège, Black-Rock ne le fait pas tout seul. McKinsey, cette entreprise de conseil omniprésente dans les pays où la corruption règne en maître, est son fidèle bras droit. C'est McKinsey qui orchestre les réformes économiques et politiques nécessaires pour ouvrir la voie à l’empire financier de son président, Larry Flint. L'ONU, le FMI, L'OMC, l'OMS, etc. N'ont plus qu'à valider ce qui se décide en conseil d'administration, afin de donner le vernis de la légalité et utiliser ensuite les milices d'état à l' envie.

Ils imposent des politiques d’austérité sans l'ombre d'une hésitation. Leurs conseils ? Toujours les mêmes : coupez dans les services publics, privatisez, réduisez les protections sociales. C’est un plan classique de domination par la dette, mais à une échelle mondiale. Et pourquoi cette austérité ? Pas pour sauver les économies, non, mais pour permettre à Black-Rock d'acquérir les infrastructures publiques à moindre coût. On commence par "conseiller" les gouvernements de vendre leurs actifs, leurs entreprises d'État, leur eau, leur électricité, sous prétexte de combler le déficit budgétaire. Ensuite, BlackRock arrive en "sauveur", prêt à tout racheter pour une bouchée de pain.

Mais attendez, tout cela n'est que la première couche du gâteau.

Le vrai pouvoir, celui que personne ne voit mais qui contrôle tout, c’est Vanguard. Vanguard, c'est l'ombre derrière chaque décision, la société des oligarques, qui détient des parts dans toutes les entreprises qui comptent, dans toutes les banques, et dans tous les secteurs stratégiques. Mais vous, pauvre mortel, ne pourrez jamais acheter une action Vanguard, parce que Vanguard ne se vend pas. Ils n'ont pas besoin de votre argent ; ils ont déjà le vôtre. Ils volent votre argent pour vous le reprêter ensuite, en attendant que vous leur remboursiez avec intérêts, bien entendu !

Ce n’est plus un secret : Vanguard détient Black-Rock. Et donc, toute cette vaste machinerie de privatisation, de soumission des États, d'endettement global ? Tout cela revient, en dernier recours, à Vanguard et ses maîtres oligarchiques. Ces familles historiques, toujours discrètes mais omniprésentes, sont les véritables architectes du plan mondial. Leur projet ? Contrôler non seulement les gouvernements, mais par-dessus tout, la totalité du vivant sur Terre.

Et c'est là que leur folie sans limite se dévoile. Ce n'est plus seulement une question de contrôler l'économie, non, ce serait trop facile. Ces élites veulent tout contrôler, absolument tout, jusqu'au dernier souffle d’air que vous respirez. Il ne suffit plus de posséder vos infrastructures ou de dicter vos politiques économiques, il leur faut aussi posséder la nature, brevetée, privatisée, sous leur contrôle absolu.

Imaginez un monde où chaque graine, chaque goutte d'eau, chaque ressource naturelle serait protégée par des brevets détenus par ces mêmes groupes. Si vous voulez cultiver votre terre ? Vous paierez une redevance. Si vous voulez boire de l'eau ? Préparez vous à être facturé par des multinationales dont Black-Rock et Vanguard possèdent les parts majoritaires. Le contrôle est total, de la terre jusqu’au ciel. Et toutes les institutions que l'on nous présente comme unies pour "un monde meilleur"

Et bien sûr, tout cela est fait avec une impunité absolue. Qui oserait se dresser contre eux ? Ils contrôlent les médias, les gouvernements, et même les organisations internationales. Chaque tentative de dénonciation est soit étouffée, soit dénigrée comme une "théorie du complot". Et ils le savent. Ils savent qu'ils sont intouchables, parce qu’ils ont bâti un réseau si complexe de connexions et d'influence, que personne ne peut remonter jusqu'à eux. Vanguard, c'est la boîte noire de l'élite mondiale. Personne ne sait exactement qui en détient les parts, mais tout le monde sait qui en tire les ficelles.

Et quand vous ajoutez à cela des agents zélés comme Emmanuel Macron et d'autres Young Global Leaders, formés et placés là précisément pour exécuter ce plan global, vous obtenez un système parfait. Ces leaders ne sont pas au pouvoir pour leurs peuples, non. Ils sont là pour ouvrir les portes des États, pour faciliter l’arrivée de Black-Rock et Vanguard, pour s’assurer que chaque pays cède ses richesses, ses libertés, et, ultimement, son autonomie.

Et bien sûr, tout cela se fait sous un masque de bienveillance. On vous dit que c'est pour "réduire les inégalités", "sauver la planète", "réformer les systèmes inefficaces". Mais la réalité est beaucoup plus sombre. L'impérialisme financier de Vanguard et Black-Rock n'a qu'un seul but : accumuler le pouvoir jusqu'à ce qu'il n'en reste plus une miette à quiconque d’autre. Les États deviennent des marionnettes, manipulées à travers la dette et la dépendance financière, et les peuples se retrouvent coincés dans un piège invisible, où chaque action, chaque produit, chaque ressource est contrôlée par une poignée d’individus.

Leur folie, leur soif de contrôle, n’a pas de limite. Ils savent qu’ils ne risquent rien, et ils avancent sans honte, sans gêne, convaincus que personne ne pourra jamais les arrêter. Le futur ? Une planète gouvernée non par des lois démocratiques, mais par des algorithmes financiers et des groupes d’intérêts privés. Et nous, spectateurs impuissants, ne faisons que suivre le spectacle, fascinés par leur audace.

Et pourquoi s'arrêteraient-ils ? Ils ont déjà tout : les banques, les multinationales, les gouvernements. Et bientôt, ils auront nos âmes. Oui, mes amis, on pourrait penser qu’avec un tel empire, un soupçon de scrupule pourrait les freiner, mais que nenni ! Pour eux, c'est un peu comme un buffet à volonté, où chaque plat est plus savoureux que le précédent. Pourquoi se contenter de contrôler nos portefeuilles quand ils peuvent également régner sur notre esprit et nos désirs les plus profonds ?

Et c'est là que nos chers GAFAM entrent en scène, tels des héros aux capes scintillantes, mais avec des intentions qui feraient rougir le plus machiavélique des tyrans. Ces géants technologiques sont devenus les armes fatales du contrôle total, et ils ne s’en cachent même plus. Alors restez bien accrochés, car demain, nous plongerons dans cet univers fascinant, où chaque clic, chaque "j’aime", et chaque donnée que nous offrons sur un plateau d’argent les rapprochent un peu plus de leur objectif ultime : capturer notre essence même. Ne manquez pas la suite de ce captivant feuilleton, car croyez-moi, ce n’est vraiment que le début de la grande saga de notre soumission joyeusement acceptée !

Phil BROQ.






Commentaires

  1. Formidable analyse, merci pour ces explications. À quand des billets en audio ?

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  2. Je cherche a promouvoir la lecture, seul vecteur permettant d'avoir du vocabulaire, de la mémoire et des sources qui ne disparaissent pas ... Alors, l'audio, comme la vidéo, sont si éphémère et dévoyables ( regardez avec l'IA ce que l'on peut faire !) qu'il contribuent, à mon sens, grandement a cette perte d'intelligence qui fait tant défaut à notre monde actuel. Un livre, 100 ans aprés, n'a pas bougé d'une ligne !

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  3. La parole est volatile, mais les Écrits demeurent. Très belle analyse Mr Philippe.

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