Le GIEC : OFFICINE DE DÉSINFORMATION CLIMATIQUE

Depuis sa création en 1988, le Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat, plus connu sous le nom de GIEC, s'est autoproclamé arbitre incontesté de la "vérité climatique". Pourtant, un simple coup d'œil à la composition de ses dirigeants suffit à comprendre que cet organisme n'a jamais eu pour vocation d'être un bastion de savoir scientifique impartial. Les quatre présidents du GIEC, tous issus d'horizons différents, n’ont jamais été climatologues : deux météorologistes, un ingénieur des chemins de fer, et… un économiste ! On constate que l'expertise climatique n’est qu’un écran de fumée destiné à masquer une autre réalité : celle des petits intérêts personnels et surtout financiers. Dès lors, on comprend mieux pourquoi le GIEC est devenu la machine à désinformation favorite des gouvernants racketteurs.

Officiellement, le rôle du GIEC est d'évaluer l'état du climat et d'alerter les décideurs sur la base de données scientifiques qui devraient être rigoureuses. Mais qui pourrait encore croire à cette impartialité quand les rapports du GIEC, truffés de formules mathématiques incompréhensibles, sont eux-mêmes souvent difficiles à argumenter par leurs propres rédacteurs ? Prenons l'exemple de Ned Nikolov, un physicien scientifique qui remet en question lui aussi les conclusions du GIEC, en affirmant que le changement climatique n'est pas nécessairement dû aux niveaux de CO². Évidemment, ses observations dérangent l’appareil du GIEC et sont donc soigneusement ignorées. Pourquoi ? Parce que la remise en cause des hypothèses du GIEC signifierait la fin d’une des plus grandes arnaques financière de notre époque. (Derrière le "Plan-démi" du COVID et de l'Euro, bien sur !)

La diabolisation du CO² est et restera sans doute longtemps le plus grand tour de passe-passe réalisé par le GIEC. Ce gaz, qui ne représente que 0,04% de l’atmosphère terrestre et dont l'activité humaine n'est responsable que de 3,8% d'émission, est devenu en quelques années et de nombreuses "unes" de presse, l'ennemi numéro 1 et véritable "vilain petit canard" sur lequel se fonde toute la narration climatique frauduleuse. 

En réalité, il s’agit d’une quantité si infime que la comparaison avec une "odeur de pet de mouche dans un coin de véranda" ne paraît pas exagérée. Malgré cela, les gouvernements, armés des rapports tronqués sinon falsifiés du GIEC se servent de ce prétexte pour imposer encore plus de taxes abusives et restreindre nos libertés, sous couvert, cette fois, d’une prétendue lutte contre le réchauffement climatique.

Dans leur livre Merchants of Doubt, (marchands de doutes) Naomi Oreskes et Eric Conway affirment que les scientifiques "savent reconnaître une mauvaise science lorsqu’ils la voient : Il s’agit d’une science manifestement frauduleuse – lorsque des données ont été inventées, truquées ou manipulées. La mauvaise science est celle où les données ont été sélectionnées – lorsque certaines données ont été délibérément omises – ou lorsqu’il est impossible pour le lecteur de comprendre les étapes qui ont été suivies pour produire ou analyser les données. Il s’agit d’un ensemble d’affirmations qui ne peuvent pas être testées, d’affirmations basées sur des échantillons trop petits et d’affirmations qui ne découlent pas des preuves fournies. Et la science est mauvaise – ou du moins faible – lorsque les partisans d’une position tirent des conclusions hâtives sur la base de données insuffisantes ou incohérentes".

Rappelons tout d'abord que le CO² est ESSENTIEL à la vie sur Terre. Les plantes en ont toutes besoin pour survivre et prospérer. Dans les serres hollandaises, on augmente même la concentration de CO² pour stimuler la photosynthèse et maximiser les rendements. Ainsi, prétendre qu’une réduction de 0,008% de ce gaz pourrait "sauver" la planète est non seulement une farce ridicule, mais surtout un mensonge éhonté utilisé par les oligarques et le WEF, pour faire accepter à la population décérébrée des mesures de plus en plus répressives. Mais pourquoi faire ce focus sur le CO² ? Simplement parce qu’il constitue un parfait prétexte pour instaurer un contrôle croissant sur nos vies avec encore une fois, un élément invisible, incontrôlable et obligeant l'avis "d'experts" pour nous l'expliquer ! Ah tiens, comme avec le Covid, les nappes phréatiques ou le terrorisme...

Il est bien connu qu’il est bien plus facile de cacher un arbre dans une forêt que de s’attaquer aux vrais problèmes. Ainsi, derrière l’apparente neutralité scientifique du GIEC, on ne découvre que des intérêts militaires et économiques bien troublants. La manipulation du climat à des fins militaires, notamment par l'US Air Force et sa volonté hégémonique, est un sujet qui ne devrait surtout pas être pris à la légère, tant les effets sont actuellement visibles et destructeurs à tous points de vue. Pendant ce temps, la France, reconnue comme l’un des pays les plus corrompus du monde avec la clique à Macron, se targue en plus d’être l’un des principaux contributeurs financiers au budget du GIEC. Une manière commode de financer une désinformation qui sert avant tout à renforcer la mainmise des gouvernements sur les libertés individuelles et notre porte monnaie.

L’un des plus grands tours de magie réalisé par le GIEC est sans doute la manipulation des données climatiques pour servir ses intérêts. Les partisans du réchauffement climatique dû aux activités humaines trichent en permanence pour soutenir leur thèse. Allant jusqu'à inverser les résultats, voire supprimer ceux qui ne vont pas dans le sens de leur narration. En réalité, la température de la Terre est régulée par un équilibre entre la chaleur reçue par le soleil et celle qui s’échappe des volcans. Et c'est en fait, la couverture nuageuse qui joue un rôle clé dans cet équilibre, car plus il y a de nuages, moins la Terre reçoit de chaleur. CQFD. 

Mais ces phénomènes sont totalement indépendants de l’activité humaine. Sauf depuis l'arrivée des avions de Bill Gates - l'informaticien fou, devenu virologue et paysan eugéniste - qui sillonnent et lézardent le ciel de particules chimiques incontrôlables et douteuses, avec l'appui des armées !

Par ailleurs, les données satellites montrent que l’augmentation des températures coïncide exactement avec une diminution de la couverture nuageuse. Un véritable casse-tête pour le GIEC, car la couverture nuageuse ne peut en aucun cas être imputée aux activités humaines. Alors, que font-ils ? Ils trichent, tout simplement, en inversant la tendance du flux solaire réfléchi pour éliminer l’impact des nuages et réaffirmer à tout prix le rôle prédominant des gaz à effet de serre dans leur réchauffement climatique. Or, quand on en arrive à falsifier les données pour faire "coïncider" les faits avec une théorie, on sait que cette dernière ne tiendra jamais debout !

Mais, depuis des décennies, le GIEC et des organismes comme l’ONU, le WEF, l'OMS, etc. nous abreuvent de prévisions apocalyptiques, toutes plus alarmistes les unes que les autres. Or le problème, c'est que ces prédictions sont systématiquement démenties par la réalité ! Que ce soit sur la montée du niveau des mers, la fonte des glaciers, ou la fréquence des catastrophes climatiques, les prévisions du GIEC se révèlent régulièrement fausses. Pourquoi ces erreurs répétées ? Parce que ces prévisions ne sont pas basées sur la science, mais sur un agenda politique bien plus obscur. En matière de climat, il y a 2 éléments destructeurs notables que sont : le Système HAARP et SCOPEX. Renseignez-vous, c'est public !

C'est la raison pour laquelle les défenseurs de la thèse du réchauffement climatique anthropique (c’est-à-dire causé par les activités humaines) semblent coincés dans une spirale où la manipulation des données devient nécessaire pour maintenir la crédibilité de leur théorie. Quand les faits ne s’ajustent pas à leur discours, la solution la plus simple semble être de modifier l’interprétation de ces faits plutôt que de réviser leur hypothèse de base. C’est un signe clair que cette hypothèse s'effondre sous le poids de la réalité scientifique.

Un exemple encore frappant de cette manipulation réside dans l’analyse des données satellitaires concernant la hausse des températures terrestres. Ces données, obtenues par des instruments sophistiqués en orbite autour de la Terre, montrent qu’il existe une forte corrélation entre l'augmentation des températures globales et la diminution de la couverture nuageuse. Les nuages jouent donc un rôle fondamental dans la régulation du climat terrestre, dès lors qu'ils sont naturels, c'est à dire issus de la condensation ou de l'évaporation, et non des trainées chimiques laissées par les avions de Bill... Ils servent à soutirer la chaleur de la Terre par leur humidité et réfléchissent ainsi une partie du rayonnement solaire en empêchant une surchauffe de la planète. Et si cette couverture nuageuse diminue, moins de rayonnement est renvoyé dans l’espace, ce qui provoque une augmentation des températures à la surface. CQFD là aussi ! Ce phénomène lorsqu'il est entièrement naturel, n’est en aucun cas causé par les émissions humaines de gaz à effet de serre.

C’est là que le bât blesse pour le GIEC et les partisans de ce réchauffement qui doit absolument être anthropique. Car leur théorie du changement climatique causé par l’Homme repose en grande partie sur l’idée que ce sont les émissions de gaz à effet de serre, principalement le dioxyde de carbone (CO²), qui seraient responsables de l’élévation des températures mondiales. Si les données satellites montrent que la hausse des températures est liée à la réduction de la couverture nuageuse - un phénomène qui échappe totalement au contrôle humain - cela remet fondamentalement en cause la théorie selon laquelle l’Homme est le principal moteur du réchauffement climatique. Et par conséquent, difficile de nous soutirer des taxes pour quelque chose dont on est en rien responsables. Pire, il ne peuvent plus nous soumettre et nous appauvrir en fermant nos industries. C'est là que le prix de l'énergie entre en jeu, mais ce sera l'occasion d'un autre billet...

Donc, au lieu de revoir leurs hypothèses face à ces preuves, les défenseurs de la thèse anthropique, l'ONU, le WEF et le GIEC en tête, ont adopté une stratégie bien différente et plus radicale : contourner, voire éliminer les faits gênants ! Ainsi, pour expliquer cette hausse des températures, plutôt que d’admettre le rôle des nuages et du Soleil, ils se sont mis à manipuler les données en inversant l’ordre des causalités. 

Ce renversement consiste à affirmer que les gaz à effet de serre, et non les changements dans la couverture nuageuse, sont la cause principale du réchauffement. En d'autres termes, ils prétendent que la réduction des nuages serait une conséquence, et non une cause, de l’augmentation des gaz à effet de serre. Elle est pas belle la science des scientistes ?! Ils ont fait pareil en changeant la grippe en Covid, et on en vit encore les résultats désastreux - sauf pour les labos sionistes - là aussi on en reparlera dans un autre billet.

Bref, cette manipulation aussi grossière qu'indigne, a été mise en lumière par plusieurs scientifiques très critiques, qui soulignent que le GIEC se livre à des distorsions méthodologiques pour parvenir à ce type de conclusion. Pourtant, cette approche pose un sérieux problème de cohérence scientifique, mais aussi d'éthique. Elle repose sur l’idée que toute variabilité climatique doit "nécessairement" être liée aux activités humaines, sans tenir le moindre compte des phénomènes naturels, complexes et largement incompris par ces pseudos experts scientifiques, qui régissent le climat actuellement. Climat qui lui existe depuis des millions d’années, sans eux.

Lorsque les défenseurs du réchauffement anthropique en arrivent à ce genre de falsifications ignobles, c’est le signe clair que leur théorie est sur la défensive. Si une hypothèse scientifique doit être maintenue par la manipulation des données et des interprétations erronées, c’est qu’elle ne repose plus sur une analyse honnête des faits, mais sur de la corruption. Ce type de comportement illustre ce que les scientifiques appellent une "théorie irréfutable", c'est-à-dire une théorie qui refuse toute opposition, même lorsqu’elle est contredite par des preuves tangibles. Or, en science, lorsqu’une théorie ne tient plus face aux observations, elle doit être réévaluée, voire abandonnée. Mais dans le cas du réchauffement climatique anthropique, cette remise en question semble inacceptable pour ses partisans comme Bill Gates, Al Gore ou Schwab. Imaginez les milliards en jeu pour bien comprendre leur rage et comme dirait Brando dans le parrain de Coppola : “Je vais lui faire une offre qu’il ne pourra pas refuser”... C'est ce qu'ils font tous les jours avec ces "nouveaux scientifiques".

Le recours à ce genre de manipulations pour maintenir un "consensus" forcé sur le rôle des gaz à effet de serre trahit l’urgence politique des malthusiens, et économique de ces truands qui entourent, voire encadrent le débat climatique. Car de débat, il n'y en a aucun ! Et plutôt que d’admettre que des facteurs naturels comme les nuages jouent un rôle prépondérant, le GIEC et ses soutiens financiers préfèrent s'accrocher à une explication anthropique, car celle-ci permet de justifier des politiques environnementales restrictives, des taxes carbone, et des programmes d'énergie renouvelable - qui n'en sont pas - massivement subventionnés ruinant autant les peuples que l'avenir de notre civilisation. 

En somme, il est plus facile de désigner un coupable unique, le CO² et l'Homme, pour légitimer des mesures politiques contraignantes, que d’admettre la complexité des mécanismes climatiques auxquelles ils ne comprennent toujours rien !

Prenons l’exemple des travaux de Christian Gérondeau dans son livre "Les 12 mensonges du GIEC," où il démonte de façon claire, précise et argumentée, une par une les affirmations trompeuses de cet organisme corrompu. Il cite, entre autres, Narendra Modi, Premier ministre indien, qui souligne que "plus de 500 millions d’Indiens n’ont pas accès à des sources d’énergie propre pour cuisiner", causant la mort de centaines de milliers de femmes et d'enfants chaque année. L'Organisation Mondiale de la Santé estime que quatre millions de personnes meurent chaque année à cause des émanations des foyers. Alors, quelle est la véritable urgence ? L'accès à l'énergie dite "propre", ou les chimères climatiques du GIEC ? Et "propre" c'est vite dit, car "les moulin à vent" des éoliennes se posent sur des milliers de mètres cubes de bétons en pleine nature et sont en composites non recyclables ; et que les "miroirs aux alouettes" photovoltaïques sont faits de produits toxiques pour les sols... Mais c'est "vert", alors c'est bien, vous diront les escrologistes  à vélo électrique ! 

D'ailleurs, lors de la COP26 à Glasgow, l’Inde et la Chine ont refusé de signer un communiqué demandant la fin de l’usage du charbon. Pourquoi ? Parce que pour ces pays, le charbon est la source d’électricité la moins chère et la plus efficace pour sortir des millions de personnes de la pauvreté. Les lobbies escrologistes allemands nous ont fait diminuer le nucléaire français, mais se chauffent aussi au charbon ! Là aussi, il va bien falloir, un jour, que les responsables paient cette haute trahison…

Le GIEC peut bien fanfaronner avec ses injonctions moralisatrices, mais la réalité économique est têtue car les énergies fossiles représentent toujours 80% des sources d’énergie mondiales. Au grand dam des ayatollahs du climat. Quant aux énergies renouvelables, elles ne constituent qu’une infime fraction de la production mondiale, à peine 2%, mais bien plus en terme de pollution des champs et des horizons visuels.

Comble de l'escroquerie, leur intermittence impose d’ailleurs de recourir à des centrales à charbon ou à gaz pour compenser le manque à produire. On marche littéralement sur la tête, pourtant, le GIEC continue de prétendre que "80% de l’énergie mondiale pourrait être renouvelable d’ici 2050". Une affirmation définitivement grotesque qui ne repose sur absolument aucune réalité tangible. Mais on paie pour ça !

Le Club de Rome, dans les années 1970, prédisait déjà la fin du pétrole pour l'an 2000. Nous sommes en 2024 et les réserves prouvées suffisent encore pour 150 ans de production. La Russie venant de découvrir des champs pétrolifères aussi grands que ceux d'Arabie. Pire encore, les ressources perpétuelles en pétrole et en gaz de schiste, en particulier en France, sont soigneusement cachées au public. Pourquoi ? Parce que leur exploitation ferait s'effondrer le château de cartes des énergies renouvelables, un secteur qui ne survit que grâce aux subventions publiques, donc vos impôts… L'histoire se résume à cela, l'extorsion systématique de nos impôts pour enrichir les oligarques ! C'est pour cela qu'ils ont créé les "Young Leaders" ! Reprenez mes anciens billets pour comprendre ce cycle manipulatoire dans lequel ils nous enferment.

Donc, parmi les mensonges les plus flagrants du GIEC, figure aussi l’affirmation selon laquelle "97% des scientifiques soutiennent la thèse du réchauffement climatique anthropique", disons plutôt que c'est parce que 100% ont besoin de l'argent des finances des gouvernements pour survivre. Et comme dit le dicton: " C'est celui qui paie l'orchestre qui choisit la musique !"

En réalité, ces études successives depuis 15 ans sont des manipulations grossières et la majorité des scientifiques n’ont surement pas d’opinion tranchée sur la question. Ce ne sont que seulement 3% de ces chercheurs, qui estiment que le réchauffement est entièrement d’origine humaine. Eux, on l'aura compris, ce sont les chefs de file parce que les mieux rémunérés par Bill et sa clique... Or, Steven Koonin, expert reconnu, explique clairement que l’influence humaine sur le climat sera "minime d’ici 2100". Une réalité qui embarrasse tellement le GIEC que ses membres préfèrent directement l'ignorer !

En revanche, la taxe carbone, ce joyau de la machine à racket climatique, est bien réelle. Or, elle repose exclusivement sur la théorie falsifiée que les émissions humaines de CO² représentent une menace pour la planète. Mais ces émissions ne représentent qu’un faible pourcentage du CO² présent dans l’atmosphère, de plus, 98% de ce gaz est absorbé naturellement par les océans et la végétation depuis que la Terre existe. Mais, au lieu de tenir compte de cette réalité, le GIEC maintient que 44% des émissions humaines resteraient dans l’atmosphère. Cette manipulation des chiffres servant à justifier des taxes toujours plus élevées, qui étranglent des secteurs entiers de l’économie, n'a que trop durée !

On constate aussi que la montée en puissance du GIEC coïncide avec l’émergence d’une dictature,  cette fois sous couvert climatique, qui se sert des prétextes écologiques pour renforcer le contrôle des États sur les individus et les économies mondiales. Nous avons vu les premières mesures : interdiction des chaudières à fioul, restrictions des moteurs thermiques, taxes sur le carbone, taxes sur l'énergie, suppression des aides pour les carburants fossiles… Le tout au nom d’un combat contre un ennemi invisible que nous sommes censés croire sur parole, comme pour le COVID, je vous dis , ils ont le même scénariste !

En réalité, le vrai climat terrestre ne s’occupe pas de nous, insignifiants humains ! Tandis que nous, nous prétendons pouvoir nous occuper de lui… et nous n’y comprenons rien. Les gouvernants actuels, petite caste de malfaiteurs triés sur le volet, agissant exclusivement contre leur peuple et pour le compte de leurs maitres oligarques, se servent de la triade sanitaire/climat/guerre pour établir un régime de ponérologie politique qui n’a aucun sens. En somme, ne vous laissez pas berner par ce que l'on vous montre. Posez-vous une bonne fois la question de savoir que cherche-t-on à imposer derrière ce discours toujours plus alarmiste ? Car au fond, la vérité n’est pas toujours là où on croit la trouver...

En dépit de ses réserves, le livre de Christian Gérondeau est une lecture essentielle pour quiconque souhaite échapper au lavage de cerveau incessant des partisans de l’urgence climatique. C'est un appel à remettre en question le discours dominant et à rechercher la vérité au-delà de ces alarmismes, promus et financés par les oligarques. Et c'est pareil pour les meRdias, ouvrez un peu les yeux de temps en temps !

Alors, voilà pourquoi le GIEC n’est en rien un organe scientifique. Ce n'est qu'une machine à visées politiques, soutenue par des gouvernements corrompus, visant uniquement à contrôler la population. Population dont ils redoutent de plus en plus le réveil ! 

Quand les preuves ne sont pas là, on les fabrique, quitte à inverser les effets pour que "ça marche", mais on dira toujours que c'est "scientifique" pour éviter tout débat. 

A nouveau et comme d’habitude au fil de mes billets, depuis des décennies les oligarques, malthusiens fous d'hybris, manipulent le monde avec des illusions qui ne fonctionnent que sur tous les idiots qui peuplent cette Terre...

                    ... Mais ça en fait du monde !

Phil BROQ.




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