LA FIN D'ISRAEL

La patience de la communauté internationale a des limites, et Israël est en passe de les franchir, abandonnant de fait son statut d’État pour redevenir un paria mondial, une colonie sanguinaire et suprématiste condamnée par ses propres actions inhumaines. Depuis sa création, Israël piétine toutes les résolutions de l’ONU, méprisant ouvertement les principes fondamentaux du droit international et perpétuant des pratiques colonialistes arrogantes au mépris des appels constants de la communauté internationale. 

Ce chemin, pavé de violations systématiques et d’hybris, le mène droit vers la désintégration de son statut de nation légitime qu'elle n'a obtenue que par malversations et instrumentalisation, voire corruption. Pour rappel, le traité Balfour date de 1917 et n'a rien à voir avec la seconde guerre mondiale et la tentative d'extermination par des nationaux socialistes allemands. De fait, les violations perpétuelles israéliennes des résolutions de l’ONU ne sont pas des accidents isolés ; elles constituent une stratégie assumée de schizophrènes voulant faire croire au monde entier qu'ils ont un "droit divin" d'être des assassins. 

Or, il convient de noter que ce récit biblique est un texte mythique, et non un témoignage historique ou scientifique, mais qu'ils considèrent toujours comme sacré. Il est important de ne pas confondre la fiction avec la réalité, et de considérer ce récit comme une métaphore ou un symbole plutôt qu’une description littérale d’un événement, mais qu'ils essaient de perpétuer à nouveau en citant des prophètes du nom d'Isaïe ou Josué. 

Et malgré leur croyance en un Dieu malsain et agressif nommé YHWH, -commandant des exactions et imposant à des tribus nomades gardiennes de chèvres d'aller chercher leur terre en tuant "homme, femmes, enfants et même animaux de compagnie ou d'élevage", dixit leur livre- qui ne leur à jamais rien donnée, ni avant ni maintenant (chose normalement aisée si on est un Dieu, je présume !). Et s'ils en appellent toujours à leur recueil de contes et légendes mésopotamiennes qu'ils nomment "Torah" pour se justifier, en revanche, ils ne respectent pas plus leurs "10 commandements" que la charte des Nations-Unies ! 

Pas plus qu'ils ne respectent les paroles de leurs "prophètes", dès lors qu'elles leurs ont imposées le nouveau testament et donc la fin de leur prétendu "droit Divin", il y a plus de 2 000 ans dès l'apparition de Jésus-Christ. Jésus qui, dès l'âge de 6 ans leur expliquait déjà leurs erreurs dans le temple et qu'ils ont fait crucifier par ailleurs ! On comprend mieux la haine qu'ils ont envers les Chrétiens depuis ce jour. Ainsi, la fable millénariste du retour de leur messie n'est qu'une autre histoire leur permettant de se dédouaner de toutes leurs ignominies en justifiant vouloir "hâter son retour en faisant le mal sur terre". Rien que ça ! Et on les laisse faire, pire on alimente leur délire mental. 

Et que dire du plan immobilier expansionniste qu'ils nomment "Grand Israël", bâti sur les anciennes conquêtes territoriales assyriennes (issues de la fusion de plusieurs groupes ethniques, notamment les Araméens, les Chaldéens et les Perses, qui a existée du IIe millénaire av. J.-C. au VIIe siècle av. J.-C. et nullement judéens. Les Assyriens ont connu une période d’apogée sous les rois Assurnasirpal II et Assourbanipal, qui ont étendu l’Empire jusqu’à la Phénicie et la Babylonie). Autre mensonge pour mettre la main sur la plus grande réserve de pétrole et de gaz au monde et être au carrefour des échanges commerciaux avec le Canal de Suez.

Par ailleurs, "l'empire d'Israël" si empire il y a eu un jour (dans LEUR texte, j'insiste), ne correspond qu'à la ville de Jérusalem et sa proche banlieue, au mieux. Ainsi, comme avec leur livre, rédigé par une bande d'ascètes refusant de garder les chèvres, il n'a de valeur que symbolique et que pour eux, car le monde entier n'en a que faire de leurs croyances ! Et encore heureux qu'ils ne mangent pas le cœur de leurs ennemis comme le faisaient certaines tribus anciennes en croyant prendre leur force… Vous imaginez le bazar ?

Ainsi, comme avec leur Bible, maintes fois réécrite jusqu'à arriver à l'ignoble Talmud, dès la résolution 181 de l'ONU en 1947, Israël n’a cessé de mépriser les autres peuples et refusé les appels au partage équitable de la Palestine (qui les a pourtant accueillis lorsqu'ils étaient encore une fois chassés d'Europe), et plus tard, au retrait des territoires occupés (résolution 242), à la cessation des colonisations (résolution 446), et même à un cessez-le-feu en temps de crise (résolution 1860), et toutes les suivantes, en fait... Mais en qualifiant récemment le Secrétaire général de l’ONU "d’antisémite" et en bombardant des zones protégées, y compris des installations de l'ONU et des forces de paix, Israël a été jusqu’à déclarer la guerre aux fondements mêmes de l’ONU, et donc reniant ouvertement la charte qui régit les relations entre les nations. Ce faisant, ils se sont mis seuls au ban des nations ! Et c'est de bons augures.

Cette arrogance coloniale trouve son origine dans le soutien inconditionnel de certains pays occidentaux, dont les États-Unis, qui ont opposés leur veto aux résolutions condamnant les exactions israéliennes des dizaines de fois au Conseil de sécurité. Mais aujourd’hui, cette complaisance est de plus en plus contestée, par les juifs eux-mêmes. Les crimes de guerre documentés en Palestine et au Liban, les souffrances des civils, les destructions systématiques de Gaza et le traitement inhumain des populations locales, enfermées dans une enclave meurtrière, suscitent enfin un tollé international. 

Ces images de la destruction en direct, parfois relayées par les soldats eux-mêmes, révèlent une réalité brutale, loin des justifications sécuritaires avancées comme toujours de façon fallacieuse. N'oublions pas que le fameux 7 octobre, ce sont eux qui ont tirés sur leur peuple et leur jeunesse, faisant bien plus de victimes que le Hamas en 10 ans !

Israël, en persistant dans cette voie, risque de redevenir enfin une colonie proscrite, isolée sur la scène internationale, abandonnée par ceux qui n’acceptent plus que l’argument d’antisémitisme serve de bouclier à des crimes de guerre odieux et à une arrogance inacceptable. La communauté mondiale, indignée et révoltée, appelle à une justice pour le peuple palestinien et à la fin de l’impunité de ce gouvernement et de tout l'appareil israélien. Les sionistes comme le Talmud sont dorénavant connus et donc vus pour ce qu'ils sont : du racisme extrême ! 

Le monde ne peut plus rester silencieux face à des pratiques qui vont à l’encontre de toute éthique et de tout respect des droits humains. L’impunité d’Israël touche donc à sa fin, et avec elle, le chantage à l'antisémitisme perpétuel et à leur suprématie schizophrénique. Le soutien historique des USA s’effrite au fur et à mesure que le peuple américain comprend ce qu'il finance, au détriment des siens noyés par les ouragans et sans ressources, alors que la pression monte désormais ouvertement pour faire respecter la légalité internationale et cesser ces crimes de guerre commis avec autant d'atrocité que d'impunité. 

Pour certains observateurs, la solution réside simplement dans l’expulsion d’Israël de l’ONU, à l’image de l’exclusion de l’Afrique du Sud pendant l’apartheid. Et les yeux s'ouvrent sur ces dirigeants venus d'Europe de l'Est se revendiquant pourtant sémite de façon éhontée.

C'est pourquoi les dirigeants israélites venus de Pologne comme Benjamin Netanyahou, Ben Gourion, Sharon ou encore Benett, les biélorusses comme Yiga Allon, Shimon Peres ou Itzhak Shamir, les ukrainiens comme Golda Mair et Yitzhak Rabin, ou encore le lithuanien Ehud Barak (agent de liaison d'Epstein, je souligne !) tous venus d'Europe centrale pour conquérir cette terre perse, illustrent l’évolution de ce mouvement suprématiste donc le socle est le mensonge et la spoliation. Ils sont tous issus de la diaspora, faisant partie d'une élite suprématiste corrompue qui a trouvé dans l’idéologie sioniste une justification à l’occupation agressive de la Palestine. 

Aujourd’hui, Netanyahou et d’autres responsables israéliens emploient de plus en plus souvent la rhétorique de l’antisémitisme pour disqualifier toute critique des politiques israéliennes, y compris lorsqu'elle provient d’organisations internationales ou de groupes de défense des Droits de l’Homme. Cette stratégie abjecte et abusive, qui s’appuie sur une instrumentalisation politique de la mémoire de l'Holocauste, provoque une indifférence croissante face aux revendications de sécurité d’Israël, particulièrement quand ces revendications s’accompagnent de graves atteintes aux droits humains et au génocide des Palestiniens. Sans compter les tueurs d'enfants que sont les soldats de Tsahal, ou les assassinats quotidiens de civils désarmés, quand ce ne sont pas les hôpitaux et les écoles qu'ils détruisent.

Le sentiment sioniste originel de refuge s’est mué en une idéologie abjecte de domination régionale, sous couvert d’un État illégitime. Mais l’arrogance et l’impunité dont a bénéficié Israël pourraient bien céder sous le poids de la mobilisation internationale et le message est dorénavant clair : l’Histoire jugera sévèrement ceux qui auront fermé les yeux, et Israël, s’il persiste, perdra bientôt le peu qui lui reste de légitimité comme d'espace vital sur cette Terre.

Depuis la création de l’État israélien en 1948, le sionisme politique, avec le soutien inconditionnel de pays influents, a placé Israël au-dessus des lois internationales, notamment en matière de respect des résolutions de l'ONU sur le partage et la protection des territoires palestiniens. Cependant, après 75 ans, le monde assiste à une prise de conscience de plus en plus marquée. Ainsi, il n'y a plus de refuge ; les Israéliens redécouvrent une peur qu’ils avaient en grande partie oubliée par une arrogance malsaine doublée d'un conditionnement mental théologique absurde. 

La peur, autrefois diffuse est désormais omniprésente, érodant enfin cette sensation de sécurité qui, pendant des décennies, les avait protégés dans un environnement qu'ils ont rendu hostile par leurs actions quotidiennes. Cependant, ce que beaucoup en Israël refusent de voir, c'est que cette peur qu’ils ressentent aujourd’hui n’est que le reflet de celle qu’ils ont infligée, génération après génération, aux Palestiniens. 

Mais cette peur est inscrite profondément dans la mémoire palestinienne, comme une blessure ouverte depuis la Nakba -la catastrophe de 1948-, qui a vu près de 800 000 Palestiniens expulsés de leurs terres, victimes d’un nettoyage ethnique qui a accompagné, puis cimenté, la fondation même des colonies sanguinaires en État d’Israël.

Cet exode massif et cette dépossession ne sont pas de simples pages du passé, elles s’ancrent dans un présent où la dépossession continue sous des formes nouvelles et insidieuses, dorénavant s'étalant aux pays voisins et à la vue de tous. En 1967, l'occupation de la totalité de l'ancienne Palestine mandataire a marqué une nouvelle étape dans la stratégie expansionniste d'Israël, ravivant chez les Palestiniens la peur de perdre les derniers fragments de leur terre. 

Cette conquête s’est doublée d’une entreprise systématique de colonisation, et la judaïsation de Jérusalem, autoproclamée "capitale éternelle" d'Israël, n’a fait qu’attiser davantage les craintes des Palestiniens. Ces derniers déjà relégués à une existence marginale sur un territoire ancestral et dorénavant morcelé, avec un peuple parqué dans un camp bien plus grand que celui d'Auschwitz. 

L'arrivée au pouvoir de l'extrême droite israélienne en 2021 a exacerbé cette angoisse comme les exactions à leur encontre. Soutenue par une base électorale composée principalement de colons en Cisjordanie, cette frange politique extrême a ancré la peur palestinienne dans le quotidien. La violence des milices de colons, qui agissent souvent en toute impunité, a plongé la Cisjordanie dans un climat d'insécurité permanent, où les habitants vivent sous la menace constante de nouvelles dépossessions et de violences.

Pour les Palestiniens, seuls véritables sémites de cette zone, cette peur n'est pas une réaction temporaire, mais une compagne tenace, née de décennies de déplacements, de souffrances et de résistances face à un État qui, pour se consolider, n'a cessé de les reléguer à une position précaire. Si aujourd'hui les Israéliens ressentent à nouveau cette peur, c'est parce que le cycle de violences et de répressions qui s’éternise a réveillé des sentiments profonds de vulnérabilité. 

Cette peur, cette insécurité qui semblent aujourd’hui s’insinuer au cœur de la société israélienne, rappellent que la sécurité, pour être réelle et durable, ne peut pas être bâtie sur la dépossession et l’humiliation des autres. Le retour de bâton risque de leur être fatal. Les sionistes et les colons sanguinaires décomplexés vont bientôt l'apprendre à leur dépend, pour le plus grand soulagement du reste du monde, qui devrait pouvoir enfin se débarrasser du racisme israéliens à l'égard de nous tous, les non-juifs, et du chantage à l'antisémitisme, qui n'a que trop duré !

Phil BROQ.






Commentaires

  1. Que puis-je dire d'autre que merci pour cette analyse historique , géopolitique et sociologique de haut vol. Enfin , un texte clair et sans détours qui met les choses à plat pour rétablir la justice de ce peuple palestinien détroussé, malmené, terrorisé, massacré pour le seul fait d'avoir accueilli un peuple sans territoire en 1948 ! Les Palestiniens ont partagé leur terre, les sionnistes ne s'en sont pas contenté et veulent tout détruire y compris ceux qui leur ont ouvert leurs bras !
    Il faut que ça s'arrête et que la justice et l'humanité reprenne ses droits.

    RépondreSupprimer
  2. Enfin une analyse juste claire équitable et sans concession de cette inextricable situation au proche orient
    Merci 🙏

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

L’HISTOIRE SECRÈTE DE LA PLUS GRANDE SECTE DE TOUS LES TEMPS

VOYAGE EN DYSTOPIE -1- : L'ère des ténèbres

L'AGENDA MAUDIT -Acte 7 bis- COMMENT BRISER LES CHAINES DE LA MANIPULATION