GUERRE CIVILE OU JUSTICE NATURELLE : LE CHOIX DU PEUPLE FRANÇAIS

Depuis le 7 octobre 2023, un tournant dramatique s'est opéré sur les ondes télévisées françaises. De nombreux plateaux sont désormais les vitrines infâmes d’une apologie ouverte des crimes de guerre et de génocide, orchestrée par une élite sioniste trop influente et profondément corrompue par des intérêts contraires à la France et à la morale, sinon à la vie elle-même.

Ce phénomène est particulièrement alarmant, car il viole de manière flagrante l’article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, qui prévoit des sanctions sévères pour toute personne incitant à la guerre ou justifiant des crimes contre l'humanité. Pourtant, la loi n’est jamais appliquée contre ces personnalités nauséabondes et révélant une justice complice et corrompue.

Cette impunité est d'autant plus scandaleuse que ces figures juives hautement médiatiques, protégées par des réseaux puissants et des lobbies sanguinaires, légitiment systématiquement des actions violentes et inhumaines allant jusqu'à l'horreur. Il n'est pas ici seulement question d'opinions divergentes, mais d'une apologie claire et assumée de la violence, du génocide et de la destruction, par une caste malfaisante dont tout le monde connait les volontés suprématistes. Ainsi, des discours glorifiant le massacre de civils, particulièrement dans les territoires palestiniens, sont diffusés sans retenue à longueur de journée sur les chaines télé et les ondes radios, faisant de la France un terrain d’expression jubilatoire pour ces infâmes assassins, lançant chaque jour des appels à la haine et relayés par les autres chaines à portée internationale qui leur appartiennent. Le silence et l'inaction des autorités judiciaires face à ces discours, qui seraient sanctionnés dans tout autre contexte, montrent que la loi est appliquée de manière sélective, au profit de cette caste ignoble et schizophrène qui se croit intouchable. Mais le vent tourne !

Les citoyens français, sidérés par cette dérive, assistent à ce spectacle désolant qu'est la justification de l'injustifiable. L’apologie des crimes de guerre et des génocides à l’encontre des Gazaouis n'est plus une simple déclaration marginale. C'est devenu une idéologie guerrière, sanguinaire et abjecte soutenue par une poignée de suprématistes juifs, dégénérés, avide de pouvoir, qui se permettent de prôner publiquement la destruction d'un peuple et même d'une région, sans jamais en subir les conséquences.

Leur idéologie, profondément ancrée dans un sentiment de supériorité mégalomaniaque, appuyée sur des textes mensongers qu'ils se sont écrits pour justifier leur haine des autres, que sont leur Ancien Testament (détruit par la venue du Christ) et le Talmud, n’a rien de nouveau et se nourrie d'une haine ancestrale. Ce peuple d'esclaves qui a voulu se donner un espoir en inventant son histoire à partir de contes et légendes de la Mésopotamie, met aujourd'hui le monde en péril par cette idéologie.

Aujourd'hui, ils se permettent tout, bien protégés par leur pseudo statut octroyé lors de l'épisode hitlérien (financé par QUI ?) et leur réseau de corruption allant d'Epstein à BHL. Cette engeance sanguinaire, dont la vision du monde est basée sur la suprématie ethnique et religieuse, n’a qu’un seul but : étendre son influence à n'importe quel prix et supprimer toute opposition à leur délire messianique débile.

Le constat est limpide quant à leurs véritables motivations et agissements. Ces figures, qui se permettent de glorifier les pires atrocités, ne devraient plus avoir leur place sur les plateaux télévisés, ni jouir d’une quelconque impunité sur le sol français, que la plus part ne respectent en rien puisqu'ils sont bi-nationaux dévoués à une colonie étrangère qu'est Israel, à l'image de Yaël Braun-Pivet pourtant présidente (?) de l'Assemblée Nationale française.

Si des discours similaires étaient tenus par d'autres groupes, comme les nationalistes français ou simplement Chrétiens par exemple, les condamnations tomberaient rapidement. Les dissolutions et les sanctions ne prendraient pas la journée pour être effectives. Mais ici, la justice comme la milice, je veux dire "police", restent silencieuses, complices d'un système corrompu où les lois sont systématiquement détournées pour protéger les intérêts de cette petite caste insatiable et dorénavant arrogante.

Ce déni total de justice est le symptôme d’un mal plus profond : une corruption généralisée de nos institutions par cette caste en kippa. La justice, loin d’être laxiste, devient complice active d’un système qui protège une idéologie aussi mafieuse que suprématiste. Les loges maçonniques, ces cercles d’influence insidieux créés par ces mêmes synagogues jalouses et rebelles, jouent le rôle de relais pour ces idéologies perverties, soutenant la domination de cette élite qui se croit au-dessus des lois grâce au chantage qu'elle exerce sur toutes les strates de l'état. L’existence même de ces réseaux permet à cette caste de détourner les institutions démocratiques, de manipuler les décisions politiques et d'imposer une vision du monde qui va à l'encontre des intérêts du peuple français, comme de tous les peuples libres qui savent que Dieu, ne les a jamais élus, si tant est qu'il leur ait parlé un jour !

Cette caste de suprématiste circoncis, biberonnée à une idéologie violente sinon agressive, considère les lois de la République et internationales simplement comme des outils à leur service, et non comme des règles destinées à protéger la population native. Notamment de leurs méfaits quotidiens. Ils se sont ainsi octroyés le droit de prôner la guerre, la destruction, et même l'extermination, tout en restant systématiquement à l'abri des sanctions légales et prévues à cet effet. Leur objectif est clair et agressif : étendre leur pouvoir sur le monde entier à travers la manipulation des élites et la domination médiatique, tout en piétinant les principes d'humanité.

Plus grave encore est le silence complice et soumis à cette engeance méphitique des responsables politiques. Depuis des années, la France est dirigée par des individus qui, au lieu de défendre les intérêts de la nation, s’inclinent devant ces lobbies destructeurs sans foi ni loi. François Mitterrand, sous l'influence directe du juif Robert Badinter - dont la femme prônait l'inceste - a supprimé la peine de mort, privant le pays d'un outil essentiel pour rétablir la justice face aux crimes les plus graves. Ce choix idéologique, imposé par une caste coupée des réalités, a conduit à un ensauvagement sans précédent du pays, où les criminels agissent en toute impunité. Et dont les sionistes, à l'instar des clandestins sous OQTF en liberté, sont le symbole criant.

Les politiciens, loin de servir le peuple, l'asservirent pour favoriser systématiquement cette caste suprématiste et corrompue. La suppression du crime de haute trahison par Nicolas Sarkozy, lui aussi juif – comme par hasard direz-vous, mais encore une coïncidence qui fait une évidence - en est l’exemple le plus flagrant. Ce dernier, lui-même issu d’un réseau d’influences très opaques, a ouvert la voie à la trahison nationale la plus totale en livrant le pays aux intérêts étrangers - USA et Israël -, tout en détruisant les moyens de poursuite contre tous ces dirigeants qui trahissent la patrie, sans vergogne. Emmanuel Macron s'inscrit évidemment dans cette continuité, ne servant jamais les citoyens français, mais ces mafias cachées derrière des apparences de respectabilité douteuse à qui regarde de près.

La figure de Franck Tapiro, publiciste insignifiant mais protégé par son appartenance à cette caste dégénéré (oui, par les gènes et je pèse mes mots!), incarne à elle seule la déliquescence d'un système qui se croit au-dessus des lois et méprise non seulement la France, mais également le principe même de la vie humaine. Tapiro et son entourage, composés exclusivement de bi-nationaux et d'israélites fous, sont des acteurs d’un réseau sioniste qui prône une idéologie raciste et suprématiste à tout bout de champ. Mais par les grâces du chantage et de la corruption, ce réseau bénéficie d'une impunité totale malgré les lois en vigueur. Ces individus, motivés par une folie schizophrène démontrée, ont à présent constitué des milices privées et armées (la DDF, renseignez-vous!) sur le sol français, défiant les lois de la République, et ce bien entendu, en toute impunité.

Pourtant, la loi du 10 janvier 1936, interdit explicitement la formation de milices privées en France, mais elle est régulièrement piétinée par cette élite sioniste exaltée. Selon cette loi, la constitution de groupes paramilitaires est une menace directe pour l’ordre public et, est passible de lourdes sanctions pénales. Cependant, des figures influentes comme Tapiro ou d'autres acteurs du sionisme français se permettent d’encourager la création de ces milices sur tous les meRdias (leur appartenant), défiant ouvertement les autorités et le peuple de France qui les accueille gentiment. Ces milices sont, en réalité, des instruments de pouvoir pour contrôler et intimider la population, sous couvert de protéger leurs propres intérêts ethniques et idéologiques issus de mensonges (séculaires certes, mais de mensonges tout de même). Ce dévoiement de la loi révèle l'étendue de la corruption totale qui gangrène l'État et la justice française.

Malgré la gravité de ces actes, l'État reste silencieux, voire est le complice le plus zélé. Le gouvernement, au lieu de dissoudre ces organisations dangereuses, semble même leur offrir une protection tacite. Or, l'article L. 212-1 du Code de la sécurité intérieure, qui prévoit la dissolution de tels groupes et la poursuite de leurs responsables, est systématiquement ignoré lorsque ces infractions sont commises par des membres influents de cette caste. Cette impunité légale est la preuve qu’un système parallèle de pouvoir s'est instauré en France, où les lois ne s'appliquent plus de la même manière à tous les citoyens. Étonnamment la 17ème chambre correctionnelle, pourtant si prompte à punir la liberté d'expression des français, reste très passive face à cette milice et ses déclarations ignobles.

Alors que les citoyens français sont littéralement désarmés, privés de moyens de se défendre face aux OQTF, illégaux et toute cette racaille importée par millions sur notre sol, ces milices illégales et armées se déploient en toute liberté, créant un nouveau climat de terreur et d'insécurité digne de leurs colonies sanguinaires à l'encontre des palestiniens. La Constitution française garantit pourtant le droit à la sécurité et à la protection des citoyens. Mais, en réalité, cet État, corrompu jusqu’à la moelle, chapoté par l'immonde juif Fabius et sa clique de repris de justices, qui constituent le conseil constitutionnel, trahit systématiquement ses citoyens en abandonnant ce droit fondamental, tandis que les élites sionistes s’organisent pour protéger leurs intérêts à travers la violence et l’intimidation. C'est du terrorisme mental et physique qui n'a que trop duré !

Il est indéniable que la France est poussée vers le bord du gouffre par ce groupe pourtant largement minoritaire dans la population mais majoritaire dans les strates du pouvoir, où la guerre civile devient désormais une menace réelle. Ces milices, qui devraient être jugées illégales, démantelés et les meneurs comme Tapiro mis sous les verrous, constituent un outil de pression contre l'État, et elles renforcent le sentiment d’impunité parmi tous les dirigeants. Le pays sombre dans l’anarchie, et les citoyens, soumis à des lois restrictives et incapables de se défendre, deviennent les victimes d’un système qui favorise la violence organisée au profit de ces groupuscules néfaste depuis des siècles à tous les autres peuples de la Terre.

Le constat est implacable : l'État ne défend plus les intérêts du peuple français mais celui d'un groupuscule suprématiste incontrôlable et connu. En fermant les yeux sur la constitution de ces milices sionistes, il abandonne sa mission première de maintenir l'ordre public et de garantir la sécurité des citoyens. Pire encore, les clandestins qui tuent et violent sur le territoire national sont protégés par ce même système judiciaire complice, afin de détourner l'attention sur les véritables terroristes que sont les porteurs de kippa au pouvoir. Ces criminels étrangers, venus grâce à des ONG appartenant toujours aux mêmes, souvent sous OQTF, continuent désormais leurs méfaits en toute impunité, tandis que la population vit dans l'angoisse.

Depuis l’abolition de la peine de mort en France, soutenue par les lobbies sionistes et une élite déconnectée des réalités quotidiennes des citoyens, a eu des conséquences dramatiques pour la sécurité et le développement de la nation. Aujourd’hui, l’abolition de cette peine apparaît comme un acte de haute trahison envers le peuple français !

Cet acte a été promu comme un progrès de la civilisation, mais dans les faits, il s’agissait d’un outil de désarmement du peuple face à la montée de la délinquance et de la criminalité prônée par les sionistes, afin de justifier un ennemi contre lequel ils doivent se défendre et qu'ils ont eux-mêmes fabriqué. Alors que la peine de mort servait de dissuasion pour les criminels les plus dangereux, son abolition a retiré une barrière importante, laissant ces assassins agir en toute impunité. Cette décision a marqué un affaiblissement de la souveraineté nationale, les élites influencées par des lobbies étrangers imposant une vision de la justice totalement détachée des réalités de la rue, voire contraire à la défense de la vie.

Depuis cette décision, les chiffres sont implacables : la France connaît une explosion de la criminalité violente. Meurtres, viols et agressions se multiplient. Les citoyens vivent dans une insécurité croissante soumis à ces hordes de clandestins comme à cette caste d'assassins en cols blancs. L'abolition de la peine de mort a donné un signal clair : les criminels ne risquent plus la sanction ultime, et cela s'est traduit par une banalisation de la violence dans les rues et les institutions.

Cette situation est particulièrement préoccupante dans les quartiers d'immigrés et chez les clandestins sous OQTF, où l’impunité est devenue la règle grâce à ces magistrats débiles. Ces populations, souvent manipulées par des réseaux criminels, bénéficient d’une justice qui semble plus soucieuse de protéger les droits des coupables que de garantir la sécurité des victimes. En effet, la suppression de la peine de mort a réduit la capacité de l'État à protéger ses citoyens contre les criminels les plus dangereux et notamment ceux issus des milieux sionistes ou pédophiles. Les juges, influencés par ces mêmes lobbies qui ont promu l’abolition de la peine de mort, ont aussi transformé le système judiciaire en un outil de soumission des citoyens face à une délinquance qui hait tout ce qui fait la beauté de notre pays.

Ainsi, les décisions de justice se multiplient où les victimes sont laissées sans recours, tandis que les coupables sont systématiquement libérés ou bénéficient de peines dérisoires. Le dysfonctionnement de la justice et la protection accordée à ces criminels sont les preuves d’une haute trahison envers le peuple français, sacrifié sur l’autel des intérêts d’une caste minoritaire puissante. Aujourd'hui, la France paie le prix de cette trahison avec une insécurité croissante, une justice impuissante, et des citoyens livrés à eux-mêmes face à la criminalité.

Mais la question de la peine de mort pour haute trahison n’a jamais été aussi cruciale pour la survie de la France. Bien que cette notion ait été diluée dans le discours juridique et politique, les actes de haute trahison commis par certaines figures du pouvoir ne peuvent plus être ignorés. Parmi ces traîtres à la nation, Nicolas Sarkozy (encore!), le président sous bracelet électronique (qui peut aller jusqu'à New-York) et sous influence de cercles juifs sionistes, incarne parfaitement cette dérive au plus haut niveau. Son rôle dans des interventions militaires, comme en Libye, a non seulement déstabilisé un pays, mais a également créé un chaos aux répercussions désastreuses pour la sécurité de la France.

Lorsque Sarkozy, sous la pression de lobbies internationaux et en lien avec des puissances financières influentes, a mené la France dans une intervention militaire en Libye, il a donc posé un acte de haute trahison. Cette intervention a permis la création de nouveaux foyers islamistes et a gravement déstabilisé la région, entraînant des vagues migratoires incontrôlées et une montée en puissance de groupes terroristes pour le plus grand bonheur des sionistes pouvant financer et manipuler cet ennemi sur le sol français. En soutenant des opérations extérieures qui ont causées un désastre sécuritaire pour l’Europe et la France, Sarkozy a agit non pas dans l'intérêt de la nation, mais pour des agendas étrangers messianistes et des intérêts financiers personnels.

Ce type de trahison est le reflet de la soumission de nos dirigeants à des intérêts supranationaux dominés par des élites corrompues. La soumission de Sarkozy aux cercles de pouvoir juifs sionistes est manifeste. L’ascension fulgurante de l’ancien président, avec l’appui de puissants réseaux financiers, n’est pas le fruit du hasard. L’image d’un Sarkozy soutenant des décisions qui ont déstabilisées la France n’est qu’un symptôme d’une trahison systémique au plus haut niveau.

L’un des aspects les plus frappants de cette situation est le silence et l’inaction des gouvernements successifs face à ces actes de haute trahison. Non seulement Sarkozy a ouvert la porte à des catastrophes géopolitiques avec des conséquences directes sur la France, mais les dirigeants qui lui ont succédés, ont laissé cette dérive se poursuivre. Emmanuel Macron, ancien employé de la banque Rothschild, est la parfaite illustration de cette continuité de la trahison nationale.

L’alliance de Macron avec les cercles financiers juifs sionistes est flagrante. La scène de sa campagne électorale, où il est littéralement brandit par le bras de l’ancien président du CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Juives de France), est emblématique de la soumission du pouvoir politique à ces réseaux aussi mafieux qu'haineux. Loin d’être une simple posture symbolique, cet acte témoigne de la prise de contrôle du pouvoir politique par une minorité en kippa qui manipule les institutions à son avantage, au détriment de la majorité des citoyens français.

Le CRIF, machine de propagande, de corruption et de pression pour défendre les intérêts sionistes en France, n'est que le rouage visible de cette mainmise sur l’État. L’organisation a progressivement imposé un discours qui non seulement défend des positions pro-sionistes, mais qui cherche également à museler toute opposition sous prétexte de lutte contre l’antisémitisme. Rappelons que de nos jours, est antisémite toute personne qui refuse la soumission aux lobbies juifs, par ailleurs non sémites mais talmudistes et européens de l'est. Cette domination du discours est un moyen d’empêcher toute critique légitime des élites corrompues et de leur influence toxique sur la gouvernance de la France.

Derrière cette inertie politique se cache un système profondément gangrené par la corruption et le chantage. Epstein en est le symbole. Les élites au pouvoir, qu’elles soient dans les cercles politiques ou financiers, agissent de concert pour maintenir leur emprise sur le pays. Ces réseaux, largement dominés par des intérêts sionistes, utilisent leur influence pour faire taire toute forme d’opposition et protéger ceux qui servent leurs intérêts. Le chantage étant l’un des outils principaux de cette mafia. Qu'il s'agisse d’hommes politiques, de médias ou de juges, beaucoup sont maintenus en place grâce à des systèmes de faveurs mutuelles, où la menace de divulguer des informations compromettantes est constante. Ce mécanisme pernicieux empêche toute véritable réforme ou changement, car ceux qui osent défier ce système savent qu’ils risquent de perdre leur carrière, leur réputation, voire leur liberté.

La réalité est claire : le pouvoir politique en France ne repose plus dans les mains du peuple souverain, mais dans celles d'une minorité schizophrène, guidée par ses propres intérêts économiques et leur folie idéologiques. Les citoyens assistent, impuissants, à la confiscation de leur destin, pendant que les dirigeants, manipulés par ces élites, mènent le pays vers le chaos. Les décisions politiques ne sont plus prises pour le bien commun, mais pour préserver les intérêts d’une caste dont la loyauté ne va plus à la nation française, mais à des agendas supranationaux israélites.

L'idée que la France soit dirigée par une oligarchie corrompue et soumise à des lobbies étrangers est plus qu'une simple théorie. Elle est visible dans la manière dont les politiques sécuritaires et économiques sont menées, dans l’incapacité des gouvernements à rétablir la justice pour les citoyens, et dans la répression systématique de toute forme de révolte populaire. Le CRIF est la pièce maîtresse de ce dispositif. Ce lobby, loin de se contenter de représenter les intérêts de la communauté juive, agit comme un véritable instrument de pouvoir. Il utilise son influence pour s’assurer que les intérêts sionistes soient défendus à tous les niveaux, qu'il s'agisse de la politique étrangère ou des décisions économiques internes. Son rôle dans l’ascension de Macron est révélateur de cette alliance entre les sphères politiques et financières. Macron, qui a été propulsé par ces cercles, incarne cette haute trahison totale de ces élites autoproclamées.

Il est désormais évident que si les citoyens français ne se soulèvent pas, de manière radicale et définitive, la France disparaîtra sous le poids de cette mafia organisée. La caste sioniste suprématiste se pense invincible. Mais elle ne l’est pas. Les lois doivent s’appliquer à tous, et ceux qui se permettent de prôner la guerre et la destruction au nom de leurs intérêts personnels doivent être jugés et condamnés. Si le peuple ne réagit pas, c’est toute la nation qui sera perdue. La réinstauration de la peine de mort couplée à celle de haute trahison, pourrait être l’un des moyens de restaurer l’ordre et de mettre fin à l’impunité dont jouissent ces criminels.

L'autorité corrompue ne peut plus garantir la protection des citoyens, et la seule voie pour rétablir l'ordre et la sécurité est celle de l'autodétermination. La peine de mort s'inscrit dans la loi divine et naturelle, celle de la légitime défense du peuple qui reprend son destin en main, et le délit de haute trahison punit par pendaison devient la seule réponse possible face à l’effondrement des institutions et à la corruption généralisée.

Il est donc impératif de procéder à une purge radicale des cercles du pouvoir, ainsi la France ne pourra retrouver sa souveraineté qu’en se débarrassant de cette gangrène qui paralyse l’État et empêche tout progrès. Il ne s'agit plus de réformes superficielles, mais d'une ablation profonde de ce cancer qui doit curer tous les niveaux de l’administration et de la politique, pour expulser cette mafia juive sioniste qui a pris le contrôle du pays. 

Il est donc temps de reprendre le contrôle de la France et de restaurer la justice. Les criminels de guerre, les corrupteurs et les manipulateurs, dont les bi-nationaux, doivent être expulsés du débat public et de nos institutions. Seule une révolte populaire, ferme et soutenue par l'armée, peut désormais sauver le pays de cette mainmise schizophrénique et destructrice, protégée par leur kippa devenue symbole de totalitarisme et de crime.

Phil BROQ.



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