BRIEFCAM : NOUVEAU FLÉAU POUR NOS LIBERTÉS

La France, pays des libertés ? Arrêtons de se mentir, elle est déjà à genoux, vendue, infiltrée et surtout ultra-surveillée. Connaissez-vous Briefcam ? Un logiciel israélien qui nous observe, analyse chaque mouvement et espionne nos vies en toute illégalité depuis 10 ans, mais avec l'aval de la Police, aux mains des loges maçonniques, elles même tenues par la synagogue de Satan. 

Sous couvert de la sempiternelle illusion de la "sécurité", on nous livre sans vergogne, corps et biens à une machine d'ultra-contrôle social déshumanisante, une vraie descente directe vers une dictature numérique. Et le pire ? Nos dirigeants actuels sont tous complices de ce crime dont nous restons les victimes amorphes. Ils ne nous gouvernent plus : ils obéissent ! Le nombre incroyable de binationaux israéliens à des postes clés dans notre pays ne serait-il pas l'explication à cette invasion silencieuse ? Ils sont si bien infiltrés, si bien incrustés même, que le gouvernement Français leur appartient déjà. On ne parle pas seulement de l'agent des Rothschild qui nous sert de tyran, non. On parle de tous les rouages judiciaires et sécuritaires déjà soumis à la mafia Kippa !

Briefcam, donc, cette perle technologique de contrôle israélienne est pourtant un modèle parfait de cette dérive. Créé par des universitaires israéliens à Jérusalem, rachetée par Canon, et aujourd'hui utilisée partout, de Tel Aviv à New York, de Singapour à Paris pour surveiller tous les citoyens. Officiellement, c'est pour “notre protection”. En réalité, c'est un outil de surveillance de masse qui piétine nos droits, notre vie privée et toute prétention à une démocratie. Il permet à la police, et donc à ceux qui les manipulent, de nous suivre à la trace en toute illégalité. Oui, en toute illégalité. La loi ? Ils s'en moquent, ce sont eux qui la font...

Rien qu'en 2023, les chiffres des violences en France sont déjà catastrophiques et 2024 s'annonce pire. Les tentatives d'homicide, souvent par agression au couteau, par des "Chances pour la France" ont bondi à 4 055 cas, soit une hausse de 13% par rapport à l’année précédente. Les vols avec violence, y compris ceux commis avec des armes, ont grimpé de 2%, et les cambriolages et vols de véhicules de 3% et 5% respectivement. Les violences sexuelles elles, explosent ! 

Mais que voulez-vous, c'est parce qu'ils n'ont pas les "codes de notre société" ces pauvres clandestins - Dixit les magistrats. Bien que je ne sache pas vraiment où et depuis quand on peut vivre en violant, tuant et volant en toute impunité dans le monde, hormis dans notre pays, bien sur ! On les accueilles même avec carte de crédit et smartphones, subventionnés par les impôts des victimes elles-mêmes. Elle est pas belle l'histoire des Droits de l'Homme où l'on a supprimé la peine de mort pour les assassins alors que les victimes -décédés elles en revanche- se comptent par milliers. 

Pays où les plaintes pour viols et tentatives de viols ont augmenté de plus de 10%, avec environ 42 700 cas déclarés en 2023 ! Alors que les associations estiment qu’environ 94 000 femmes sont victimes de viol ou tentative de viol chaque année sur notre sol. Et je ne m'épancherait pas non plus sur la "moyenne" de plus de 110 enfants signalés disparus chaque jour et dont on ne retrouve pas trace entre 2 et 3 000 par an !

Et que font nos fameuses caméras de surveillance, ces outils coûteux censés nous "protéger" ? Rien. Elles n’empêchent absolument pas cette montée de la violence. En réalité, elles sont là pour justifier leur propre prolifération, à coups de millions d’euros, alors qu’elles ne servent qu’à alimenter un système de contrôle toujours plus oppressant, sans jamais endiguer les crimes qu’elles sont censées prévenir.

N’oublions pas que cette technologie est bien plus qu’un simple outil de surveillance. C’est surtout une arme de chantage, semblable à celles qu’utilisait Jeffrey Epstein, agent du Mossad, pour compromettre les puissants avec l’aide d’Ehoud Barak, son agent de liaison israélien. Ces vidéos compromettantes de ses soirées privées sont devenues un moyen de pression pour imposer une soumission généralisée. C’est le même scénario qui se déroule sous nos yeux, sauf que cette fois-ci, c’est toute la population qui est prise au piège. Chaque caméra est une menace, un potentiel outil de manipulation. Chantage et surveillance sont les armes ultimes de l’infiltration pratiquée par Israël.

Le gouvernement français a même été contraint de restreindre la participation des entreprises israéliennes dans des salons de défense, comme Eurosatory et Euronaval. Un acte dérisoire quand on sait que ces mêmes entreprises israéliennes truffent nos rues de technologies qui espionnent chaque instant de notre vie. Et pour bien montrer à quel point ils se moquent de nous, ils prolongent l'utilisation de ces technologies jusqu'en Mars 2025, au-delà des Jeux Olympiques, car évidemment la soi-disant "sécurité" olympique n'était qu'un écran de fumée. Une couverture pour normaliser la surveillance de masse et l'installation de caméras.

Les mairies de Vannes, Nice, ou encore Perpignan se précipitent pour adopter ces outils, preuve que nos élus aussi sont sous influence. Briefcam, Verint, Elbit Systems, toutes ces entreprises israéliennes prospèrent ici, non pas pour notre sécurité, mais pour étendre leur emprise sur nos vies. Chaque caméra qui s’allume est une victoire pour cette mafia technologique et une défaite pour notre liberté. Et quand les citoyens osent s'opposer à cette surveillance, que se passe-t-il ? Ils sont condamnés, comme à Nice, où des citoyens ont été forcés de payer 3 000 euros à la ville, sans preuve de l’utilisation de Briefcam.

La justice ? Elle est devenue un outil entre les mains de ceux qui souhaitent nous contrôler. Les juges ferment les yeux, la CNIL reste muette, et les lois sont bafouées. Nous sommes en pleine déchéance démocratique. Chaque jour, une nouvelle caméra est installée, chaque jour un nouveau pan de notre vie privée est arraché. Nous ne vivons déjà plus dans une démocratie, mais dans une dictature numérique qui avance masquée, sous couvert de cette fameuse "sécurité" qu'ils s'évertuent à détruire au quotidien. Certes, il y a bien quelques députés européens lucides, une poignée (miracle !), qui se sont opposés à l'utilisation de la reconnaissance faciale dans l'espace public. Mais soyons clairs, le vrai changement viendra de nous, les citoyens. Comme pour les radars routiers, nous devons passer à l'action directe : brûler, détruire, démanteler ces outils de surveillance chaque fois que possible.

Ces caméras, plutôt que de surveiller chaque coin de rue, devraient être installées dans les tribunaux pour surveiller ces magistrats félons qui osent encore prétendre agir "en notre nom". C’est là, dans les coulisses du pouvoir, que se joue la vraie criminalité, celle des juges corrompus, des politiciens véreux, et des élites qui échappent constamment à la justice. 

Pourquoi ne pas placer ces caméras dans les bureaux du Sénat, de l'Assemblée nationale, ou encore au Conseil des ministres, là où des décisions nous volent nos économies pour garantir à cette caste d'élus et de ministres un train de vie de petits marquis nantis ? Et surtout, pourquoi la technologie, qui devrait être au service de la transparence, n’est-elle pas utilisée pour contrôler les comptes bancaires de ces élus archi-corrompus ? 

Plutôt que de les laisser prospérer dans leur impunité, il est grand temps d’utiliser cette surveillance pour empêcher les dérives économiques et financières qui ruinent ce pays, en exposant au grand jour les pratiques mafieuses des puissants qui prétendent nous gouverner. Voilà où les caméras devraient être : sur ceux qui nous trahissent chaque jour et qui, sous couvert de représenter le peuple, ne servent que leurs intérêts propres.

L'avenir est entre nos mains. Nous devons combattre la montée de cette prison numérique et le contrôle insidieux qu'exercent ces entreprises étrangères sur nos vies. Il est temps de cesser de parler et de passer à l’action. Le temps des plaintes est révolu. Nous sommes en guerre, une guerre invisible mais bien réelle, une guerre pour nos libertés, notre dignité et notre souveraineté. Le réseau de surveillance de masse doit être détruit sans délai. 

Comme les radars routiers, autres machines à racket qui n'ont absolument rien à voir avec la sécurité, ces caméras espions à base de soumission doivent être démantelées, neutralisées. C’est un devoir de citoyen de résister à cette invasion. Nous ne devons plus tolérer cette mafia technologique qui a pris le contrôle de nos institutions.

Si nous ne faisons rien, si nous restons passifs, ils continueront à étendre leur pouvoir. Nous finirons par vivre dans une société où chaque geste, chaque mot, chaque regard sera analysé, contrôlé, et utilisé contre nous. Une société où la moindre dissidence sera écrasée sous le poids de la surveillance tandis que les véritables malfrats nous inventeront encore plus de lois. Une société où la liberté n’existera plus que comme un vague souvenir d’un passé révolu. 

Il est temps de purger le pays de cette mafia qui s’est infiltrée jusque dans nos gouvernements. Il est temps de reprendre le contrôle de notre destin, de nous débarrasser de ces traîtres qui nous vendent à la surveillance israélienne. Il est temps de sortir les poings contre toutes ces agressions au couteau, ces viols et ces vols perpétrés par une immigration clandestine protégées  par ces associations appartenant justement aux mêmes qui nous parlent "sécurité à longueur de journée. 

Si nous n'agissons pas, nous serons condamnés à vivre dans un esclavage numérique perpétuel et serons les prochains gazaouis sur la liste de ces assassins d'enfants qui ont pris leur rêve de conquête du monde, ou plutôt leur mensonge messianique aussi fictif que l'histoire de leur dieu, pour une réalité. Mais cette fois, c'est dans l'espace européen. Ce n’est donc plus une question de choix, c’est une question de survie et urgente ! 

Phil BROQ.





Sources :

1. Disclose, "La police nationale utilise illégalement un logiciel israélien de reconnaissance faciale"

2. Le Monde, "Vidéosurveillance algorithmique : Gérald Darmanin annonce le lancement d’une enquête administrative"

3. La Quadrature du Net, "Vidéosurveillance algorithmique : des faits passibles du droit pénal"

4. Mediapart, "Reconnaissance faciale : l’agglo de Deauville condamnée pour l’usage d’un logiciel israélien"

5. Wikipedia, page sur Briefcam, consultée le 2 octobre 2024.

 

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