DÉCRYPTAGE D’UN SUPRÉMATISME GLOBAL

Dans un monde où les lignes de fracture géopolitiques s'accumulent, il devient crucial de s'interroger sur les forces obscures qui façonnent notre réalité. Le suprématisme, cette idéologie périmée qui prétend défendre une "pureté" illusoire, n'est rien d'autre qu'un prétexte pour justifier les guerres, manipulations et la domination des peuples. Les acteurs de ce drame ne sont pas seulement des figures politiques, mais des oligarchies financières qui, dans l'ombre, tirent les ficelles d'un grand théâtre mondial.

En France, la situation est d'autant plus préoccupante. Tandis que le pays fait face à des crises internes, des réseaux d'influence, souvent liés à des intérêts extérieurs, s'ingénient à maintenir le chaos et à diviser les citoyens. Ce n'est qu'en dévoilant ces dynamiques cachées que nous pourrons commencer à comprendre l'urgence de résister et de réclamer une souveraineté véritable. L'heure est venue de faire face à ces vérités dérangeantes, car la paix et la liberté des nations en dépendent. Comme les États-Unis, ces champions autoproclamés de la "liberté", qui se comportent comme un éléphant dans un magasin de porcelaine, imposant leur loi sur le monde, et écrasant toute résistance sous le poids de leur violence hégémonique.

Dans ce grand théâtre mondial, la France reste enchaînée, incapable de se libérer de ses entraves et de s’unir avec la Russie – l’ennemi juré du rêve américain de domination totale. Imaginez un instant, une France émancipée, qui s'allie à une Russie puissante. Ce serait la fin du jeu pour Washington et leurs sbires. Leur mainmise sur l’Europe, patiemment construite à coups de manipulations géopolitiques, s’effondrerait en un claquement de doigts. Mais ça, c'est hors de question de le permettre. Le chaos et la division, voilà leurs véritables instruments de pouvoir. Et si le chaos ne s'installe pas de lui-même, ils s’assurent de le fabriquer de toutes pièces. Attentats du 11 septembre, crise des "subprimes", pandémie, pénuries, technocratie de surveillance, guerre en Ukraine ; puis re-pandémie (ratée parce que le singe est remonté dans l'arbre de l'OMS) ; alors re-pénuries pour gonfler les prix à la consommation et affamer les populations pour soumettre à la dette les peuples, sans oublier la tentative de dérèglement climatique avec les chemtrails et HAARP ; puis re-guerre avec Israël ! Tout ceci n'est qu'un scénario concocté par les milliardaires juifs, mis en place par le WEF et l'OTAN, et orchestré par McKinsey…

Mais prenons d'abord Zelensky, ce comédien devenu président, qui joue à merveille son rôle de pion dans le jeu de domino de la domination occidentale. Son ascension fulgurante n'est pas le fruit du hasard, mais le résultat d’un soutien massif de fonds provenant de milliardaires juifs, qui voient en lui un instrument parfait pour maintenir le chaos en Europe de l'Est. Les grandes entreprises de capital-risque, dont beaucoup ont des racines juives, ont investi dans son gouvernement, transformant ainsi l'Ukraine en un terrain de jeu pour des politiques pro-sionistes. Loin de défendre une nation souveraine, Zelensky agit comme un porte-parole des intérêts d'une élite dont le but est d'assurer la pérennité de l'Ordre Mondial Sioniste qu'elle a elle-même façonné. Sa loyauté envers ces bailleurs de fonds est sans équivoque : chaque décision politique qu’il prend est un pas de plus vers la réalisation d’un rêve suprématiste.

De l’autre côté du globe, Benjamin Netanyahou représente l’épitomé de cette stratégie. En tant que leader d’un Israël qui ne recule devant rien pour maintenir la position hégémonique de cette colonie meurtrière au Proche-Orient, Netanyahou est également soutenu par une pléthore de milliardaires juifs, dont beaucoup résident aux États-Unis. Ces financiers influents ne se contentent pas de soutenir "l'État d'Israël" ; ils y investissent des sommes colossales pour maintenir un appareil militaire omniprésent, justifiant ainsi les politiques de guerre perpétuelle qui alimentent le cycle de violence dans la région. Leur motivation ? Assurer la domination d'Israël, tout en stigmatisant ceux qui osent critiquer ce système, faisant de toute contestation une offense à la mémoire historique juive. Techniquement, préserver les intérêts pétroliers des Américains dans cette région.

Le CRIF, quant à lui, agit comme un prolongement de cette influence sur le sol français. Cet organisme, qui prétend représenter les intérêts de la communauté juive en France - mais ne défend que ceux de ses membres faisant fi de la religion judaïque - fonctionne en réalité comme un puissant outil de propagande, imposant un agenda qui favorise les politiques pro-israéliennes. Le CRIF est soutenu par des milliardaires juifs (encore) qui lui fournissent les ressources nécessaires pour contrôler le discours public, contrôler les médias et museler toute critique à l’encontre d’Israël ou du sionisme. Chaque dîner annuel du CRIF est une démonstration de ce pouvoir, où les élites politiques françaises viennent prêter allégeance, comme des pupilles devant un maître. Leurs liens financiers et politiques avec ces milliardaires sont flagrants et illustrent à quel point la machinerie sioniste est bien huilée, le chantage sexuel et la pédophilie étant leurs armes préférées.

Dans cette orchestration bien rodée, Zelensky, Netanyahou et le CRIF ne sont pas des entités isolées, mais les acteurs d'un drame global dont l'objectif ultime est de maintenir un système où la domination est synonyme de survie. Leurs soutiens financiers, issus des familles juives les plus riches, servent à imposer un modèle de suprématisme qui vise à subjuguer l'humanité tout entière sous le prétexte fallacieux d’une défense de la "pureté" et de la "sécurité". En somme, l'alliance entre ces figures politiques et les intérêts financiers sionistes constitue un projet machiavélique, où l’ombre des ambitions suprématistes plane sur la scène mondiale, menaçant la souveraineté des nations et la liberté de tous les peuples non déclarés juifs. 

Tout ça pour quoi ? Pour maintenir l'ordre mondial ignoble qu'ils ont établi avec le système monétaire basé sur l'usure et l'extorsion, mais aussi pour empêcher quiconque, surtout la France, de rêver d'un avenir plus libre et plus autonome. D'où la dette insurmontable concoctée par Macron, l'agent des Rothschild. La stratégie reste la même : diviser pour mieux régner, maintenir le chaos pour éviter l'union, et masquer le tout sous un voile hypocrite de liberté et de démocratie. Dans cette grande danse macabre du pouvoir, le sionisme joue sa partition à merveille.

Attention, on ne parle pas ici des sémites historiques, de ces peuples du Moyen-Orient persécutés et en quête de refuge. Non, ceux qui mènent le bal aujourd'hui sont souvent des élites issues d'Europe centrale, ayant troqué la foi pour une idéologie suprématiste. Pour eux, le judaïsme n’est qu’un bouclier idéologique, une arme de manipulation pour asseoir leur domination géopolitique. C'est une appropriation identitaire où la spiritualité a laissé place à une ambition froide et calculatrice. Le chaos, leur allié fidèle, est soigneusement entretenu. Pourquoi viser la paix quand la guerre perpétuelle offre tant d’opportunités ? Chaque conflit détourne l’attention des masses, consolide leur contrôle et enrichit les fabricants d'armes tout en se présentant comme les garants de la sécurité.

Et qu’en est-il d’Israël ? Un autre pion stratégique au cœur du Proche-Orient, ce pays entouré d’ennemis qu'il s’est déclaré en imposant sa colonie. Une guerre sans fin où il n’est pas question de défense nationale, mais d'un mécanisme prémédité et bien orchestré. Israël est un avant-poste des États-Unis, garantissant leur emprise sur le Moyen-Orient et ses ressources précieuses, si nécessaire pour... faire la guerre ! Soutenir Israël, pour Washington, c’est garantir un contrôle sur toute la région, tout en cultivant un état de guerre perpétuelle qui justifie leurs actions les plus sordides et enrichit au passage les fabricants d'armes, dont il n'est pas nécessaire de rappeler l'obédience. La même chose s’applique aux laboratoires pharmaceutiques, qui appartiennent à ce complexe militaro-industriel qui ne fait que grandir et qui est de moins en moins complexe !

Ce n’est pas juste une affaire de territoire, d'eugénisme ou de pétrole. Non, la machine sioniste s’exporte bien au-delà du Moyen-Orient. Elle s’infiltre dans les gouvernements européens, en particulier en France, où la politique étrangère devient de plus en plus alignée avec les intérêts israélites. C'est du totalitarisme basé sur le suprématisme ! Pourquoi la France, ce grand pays laïc et souverain, se retrouve-t-elle agenouillée devant une petite colonie ? Simple : chantage, corruption et réseaux d'influence. Certains de nos dirigeants sont corrompus jusqu’à la moelle, tandis que d’autres sont tenus en laisse, sous la menace de révélations compromettantes ou d’intérêts financiers bien dissimulés.

Dana Goldstein dans la véritable nature du judaïsme, écrit ceci :

"Israël se situe à un carrefour de ces lignes Ley : l’une traverse le continent européen et va jusqu’à la côte Est des États-Unis et l’autre va de l’Asie à l’Afrique et rejoint celle qui fait Australie/États-Unis."

Aussi, il n’y a pas de meilleure situation géographique pour un contrôle mondial surtout lorsque l’on veut établir l’esclavage. Ensuite toute la technologie de contrôle peut être programmée en fonction de ces paramètres. Vous voyez que nous sommes loin d’avoir affaire à des enfants de cœur. Ces entités maléfiques savent exactement que chaque guerre, chaque massacre, chaque souffrance, chaque mort du Moyen-Orient inscrit une mémoire dans la terre. Toutes ces mémoires s’unissent et se jettent dans les lignes d’énergie qui sont encore amplifiées par leur disposition. Après des millénaires de conflits, massacres et horreurs, la terre est profondément imprégnée par ces énergies négatives destructrices qui vont ensuite se déployer sur toute la planète, relayées par les rituels qui prirent place sur les points d’énergie.

Et pendant que le chaos s’installe, ces architectes du désordre prospèrent. À chaque guerre, chaque tension internationale, ils renforcent leur emprise. Ce n’est pas une question de défendre Israël ; c’est bien plus vaste : c’est une domination globale qu’ils recherchent, une consolidation de pouvoir à travers le monde entier. Leurs actions sont savamment orchestrées, et tant pis si des millions de vies doivent être sacrifiées pour que leur empire, basé sur le mensonge, l'extorsion et la violence, continue de croître.

Au cœur de cette machination mondiale, l’AIPAC, l’American Israel Public Affairs Committee, joue un rôle crucial. Véritable incarnation des intérêts sionistes aux États-Unis, l’AIPAC agit comme un chef d’orchestre, manipulant les politiques pro-israéliennes à coups de milliards de dollars, tout en s’assurant que toute critique de l’État d’Israël soit immédiatement étouffée, sinon réprimée. Sa puissance ne réside pas uniquement dans ses financements colossaux, mais dans sa capacité à manipuler le jeu politique américain en mettant la pression sur les élus grâce  à Epstein par exemple, faisant plier des gouvernements entiers à sa volonté. Leurs méthodes, peu avares de moyens, sont souvent comparées à celles de la mafia, où la loyauté s’achète, où les menaces et les chantages sont monnaie courante, et où le silence des médias est assuré par une armée de lobbyistes et d'intellectuels à leur solde.

Ce parallèle avec le CRIF en France n’est pas une simple coïncidence. Tout comme l’AIPAC, le CRIF ne se contente pas de défendre des intérêts communautaires ; il impose une vision unique et réductrice de la réalité politique, orientant le débat public et stigmatisant ceux qui osent le remettre en question. Les deux organisations partagent cette même mentalité de forteresse assiégée, persuadées que la survie de leur communauté repose sur la domination des discours et des institutions. Dans ce cadre, toute voix dissidente devient un ennemi à abattre, et la tactique reste la même : intimider, réduire au silence et, si nécessaire, détruire ceux qui s’aventurent sur des terrains jugés trop dangereux. Ensemble, ils tissent une toile d’influence qui transcende les frontières, où la France et les États-Unis deviennent les scènes d'un théâtre sioniste où la liberté d'expression se heurte à des intérêts bien plus obscurs.

Mais la vraie guerre, celle qui nous intéresse aujourd'hui, se déroule ici, en France, dans les journaux, sur les plateaux télé, dans les discours politiques. Le CRIF, ce lobby omniprésent, orchestre chaque mouvement de cette symphonie sinistre qui vise à soumettre notre pays ou, sinon, à le détruire par des politiques immigrationistes imposées par nos élus bi-nationaux. Mais derrière ce spectacle se cache une mainmise totale, où des armées de journalistes, d’intellectuels et d’éditorialistes sionistes, sinon israélites, travaillent en coulisses pour verrouiller toute discussion, et empêcher tout débat.

Le paysage médiatique en France est entièrement sous leur contrôle. Une poignée de milliardaires sionistes détient la majorité des médias, et comme par "curieuse coïncidence", tous semblent suivre la même ligne agressive pro-israélienne et anti-tous les autres. Ce n’est pas un fantasme conspirationniste, c’est une réalité visible par tous, mais que le déni français évacue. Ils dictent ce que vous devez voir, penser et croire, avec une précision chirurgicale. Chaque tentative de critique, chaque voix dissonante est immédiatement écrasée, étouffée sous l'accusation d'antisémitisme, le coup de grâce ultime pour faire taire toute opposition. Or, faut-il le rappeler ? Ils ne sont pas sémites, mais Européens de l'Est, chassés comme il se doit de tous les endroits où ils ont tenté d'imposer leur suprématisme. C'est une maladie mentale, génétique, que l'on retrouve sous les vocables psychiatriques de schizophrénie et de mégalomanie.

Et maintenant, entre en scène Frank Tapiro, ce publiciste médiocre mais juif, donc riche et médiatisé à outrance. Ce gérant de la société "Hémisphère Droit" a eu une idée démoniaque : créer une "armée citoyenne de défense de la diaspora juive" (DDF) en France, avec l'aide du ministre israélien de la Diaspora, Avichai Chikli. Et dont fait partie Astrid Panosyan-Bouvet, la nouvelle ministre du Travail français, qui a déclaré son soutien à la Diaspora Defense Forces (DDF) – ceci expliquant cela. Ne vous y trompez pas, cette armée n'est que le premier pas vers la mise au pli, sous les bottes juives, du peuple français cherchant à préserver leur pays, comme les Gazaouis l’ont fait. Frank est là pour veiller à ce que toute vérité gênante reste bien enterrée. Il le peut, il a la carte magique de l'impunité. Essayer de dire ou de faire un dixième de ce qu'il fait ou dit… C'est le tribunal assuré ! Il s'est propulsé à la tête de ce groupe de défense, il orchestre la riposte à toute tentative d'émergence de la vérité. Ses méthodes ? Asphyxier les journalistes curieux, détruire les carrières des opposants, et enterrer sous des procès en diffamation ceux qui osent parler.

La France est infiltrée à tous les niveaux, et tant que cette machine bien huilée continuera de fonctionner, la vérité restera un luxe inaccessible pour le citoyen lambda. Le bal des hypocrites perdurera, et la souveraineté de la France, autrefois si fière, continuera de glisser vers une soumission totale à cet ordre mondial suprématiste qui prie Satan et déteste le Christ, dans le pays de la Fille aînée de l'Église. L’antisémitisme, cette arme de destruction massive brandie à tout bout de champ, n'est pas seulement un "anti-non-juif", mais leur atout maître depuis la fameuse "Shoah" que nul d'entre eux n’a vécue ! Avec ce qui sert de justice en France – entre francs-maçons talmudistes aux ordres et gauchos caviars.

Dans le vaste échiquier géopolitique actuel, des personnages tels que Zelensky en Ukraine et Netanyahou en Israël ne sont pas de simples chefs de guerre, placés là pour emmener leur peuple et le monde, s'ils arrivent à déclencher une guerre mondiale, voire nucléaire ; ils incarnent les ambitions d'un suprématisme global, soutenus par une élite de milliardaires juifs qui tirent les ficelles dans l’ombre du monde. Ces figures politiques, à première vue indépendantes, sont en réalité des marionnettes habilement manipulées par une confluence d'intérêts financiers et politiques qui s'alignent parfaitement sur les objectifs expansionnistes de cette élite sioniste.

La nécessité d'éradiquer ces groupes mafieux ne pourrait être plus urgente. Leur influence pernicieuse, qu'elle soit géopolitique ou économique, constitue désormais une menace directe à la paix et à la souveraineté des nations. Le suprématisme, cet archaïsme qui a causé tant de souffrances, ne doit plus être toléré. Il est grand temps de se libérer de ce carcan qui prétend défendre une "pureté" tout en justifiant des guerres, des manipulations et une domination effrénée. Ces puissances agissent comme des artisans du chaos, cultivant la division pour mieux régner, au détriment des peuples qui aspirent à la liberté.

Imaginez un instant un monde où la France, affranchie de ses chaînes, s'unit avec d'autres nations pour contrecarrer cette hégémonie. Un monde où les peuples se rassemblent pour défier le système qu'ils ont établi, où la vérité émerge et où les intérêts particuliers ne dictent plus les lois des États. Ce rêve est possible, mais il requiert un courage collectif, une volonté indéfectible de briser les chaînes de ce suprématisme sioniste. Il pourrait commencer en faisant tomber les masques des pédophiles, comme ce qui se passe aux USA, tous étrangement très proches de ceux dont je viens de vous démontrer l'idéologie et la corruption.

Il est essentiel de démasquer ces manipulations et de s'opposer fermement aux groupes qui tirent les ficelles dans l'ombre, grâce à la corruption et à l'impunité, et "de botter leurs culs hors de La Gaule" ! Nous devons nous unir pour préserver la paix, défendre nos souverainetés et revendiquer un avenir libre et autonome, loin des influences néfastes qui ont trop longtemps façonnées notre destin. La destruction de ces réseaux mafieux financiers, pédophiles, médicaux ou militaires tenus par cette clique de circoncis malfaisants n'est pas seulement un acte de résistance, mais un impératif moral pour garantir un avenir où les droits de chaque nation et de chaque individu seront respectés, loin des machinations d'un suprématisme dépassé, détenu par un complexe militaro-industriel devenu incontrôlable et mis en lumière de nos jours !

Phil BROQ.





 

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