06 octobre 2024

L'AGENDA MAUDIT : - Acte 7- : UN PLAN PARFAITEMENT ORCHESTRÉ

Quel spectacle réjouissant, n’est-ce pas ? Nous voilà donc tous réunis dans cette grande farce qu'est la scène mondiale, où le désespoir des masses est le divertissement préféré de nos chères élites. Un peu comme une pièce de théâtre absurde, mais sans le charme du grand écran, ici, le scénario est aussi prévisible qu’un mauvais film. Oui, mes amis, tout ceci n’est pas le fruit du hasard. Nous assistons à une pièce en plusieurs actes, où la souveraineté nationale est littéralement découpée en petits morceaux, comme un gâteau d’anniversaire, à la gloire d’un ordre mondial centralisé, dirigé par une poignée de notables fous à lier, dont le but est de refondre le monde à leur délire.

Imaginez un peu la scène : d’un côté, des dirigeants en costume-cravate, les visages figés dans des sourires de façade, jonglant avec des promesses d’un monde meilleur, tout en siphonnant les dernières gouttes de liberté des citoyens. De l’autre, des citoyens, affamés d'espoir et de changement, applaudissant à tout rompre, persuadés qu’un nouvel acte va bientôt leur apporter l’éclair de génie tant attendu, voire le sauveur providentiel ou le Machia'h pour certains. Les acteurs ? Des oligarques, des banquiers, et bien sûr, nos amis les Young Global Leaders, qui, avec leur flair pour le grandiose et surtout l'aide de McKinsey, savent exactement comment tenir le public en haleine.

Chaque annonce de politique, chaque nouvel accord international, est salué comme un chef-d'œuvre, tandis que la réalité, elle, se transforme peu à peu en une toile de souffrances, d’inégalités et de désillusion. Et pendant ce temps, nos élites se régalent, comme des enfants à un festival de sucreries, savourant leur victoire sur un monde qui se débat, confus, dans les méandres de leur mise en scène.

Rien de tout cela n’est accidentel, mes amis. C'est une orchestration minutieuse, une danse macabre où chacun a son rôle à jouer. Alors, levons nos verres à cette tragi-comédie et applaudissons nos brillants metteurs en scène, en espérant qu’un jour, peut-être, le rideau tombera sur leur spectacle, révélant la vérité qui se cache derrière les coulisses. Mais pour l’instant, rions et profitons de ce spectacle où la satire et la réalité s’entrelacent, car tant que le rideau est levé, nous avons encore quelques larmes à partager !

La dette, l’écologie, la santé publique et la technologie, que des jouets entre les mains de ces architectes du contrôle ! Leurs outils de manipulation, et croyez-moi, ils savent les utiliser avec une dextérité déconcertante. Imaginez un peu : ils ont réussi à transformer l’argent en un concept aussi insaisissable qu’un mirage dans le désert. Les fameuses 13 familles, ces véritables marionnettistes de l’économie, tissent leur toile avec une finesse remarquable. La dette fictive ! Cette belle invention, cette promesse de bonheur futur, qui n’est rien d’autre qu’un joli piège ! Une fois qu’un pays est piégé dans ses filets d’endettement, il devient un serviteur docile, un pantin, une marionnette, toutes ficelles tirées par les banques et les géants de la technologie, grâce à nos impôts.

Et là, mesdames et messieurs, voilà notre réalité : les citoyens, ces serfs modernes, sont réduits à la simple condition de consommateurs. Leur existence dépend désormais des grandes entreprises et des GAFAM, qui leur fournissent leurs doses quotidiennes de confort illusoire. À quel point cela est tragique et comique à la fois ! Regardez-les, ces masses anesthésiées, se plier et se soumettre, alors qu'ils pourraient -oh, que c'est beau de rêver- se lever, se rebeller, et exiger la restitution de leurs droits ! Mais non, ils préfèrent baisser les yeux sur leur smartphone, se lamenter sur leur sort en sirotant leur café, tout en continuant à scroller leur fil d’actualités.

Quelle époque fascinante que la nôtre ! Nous assistons à la mise en scène d’un esclavage moderne, et tout le monde semble trop occupé à matcher sur tinder pour s’en rendre compte. Oui, mes amis, la dette, cette douce mélodie à laquelle nous sommes tous contraints de danser, a transformé nos vies en un vaste enclos. Ajoutez à cela la surveillance numérique omniprésente et les restrictions imposées par des agences internationales comme si nous étions de petits enfants mal élevés, et vous obtenez un cocktail explosif d’aliénation. La liberté individuelle ? Perdue dans un labyrinthe de paperasse numérique et de conditions d’utilisation d'une communauté fantôme et que personne ne lit !

Pendant ce temps, nos élites mondiales, ces sommités réunies sous le drapeau du WEF, avec le soutien de géants tels que BlackRock et les GAFAM, concoctent leur potion secrète. Ils sont guidés par les dynasties illustres des Rothschild, des Rockefeller et les 11 autres, véritables pharaons éternels et modernes, bâtissant un monde illusoire où la liberté n’est plus qu’un souvenir nostalgique, un doux rêve pour les romantiques. Vous savez, le genre de rêve que l’on évoque en fumant un joint autour d’un feu de camp, mais qui ne tient pas la route à la lumière du jour.

Regardons d’un peu plus près ce tableau. Le véritable visage de ces réformes, de l’Agenda 2030 au Pacte pour l’Avenir, est celui d’un ordre mondial fasciste. Ah, oui, ce mot fait frémir ! Mais avouons-le, quelques individus, cloîtrés derrière leurs fortunes colossales, leurs réseaux d’influence, et leurs monopoles étouffants, dirigent ce monde comme des marionnettistes sur une scène en flammes. Et pendant ce temps, nous, simples mortels, sommes contrôlés par nos dettes, surveillés à chaque pas grâce à nos smartphones, manipulés comme des pions avec leur IA sur un échiquier géant leur appartenant.

Les gouvernements ? Oh, ces pauvres créatures ! Ils sont devenus de simples administrateurs locaux, des petites mains au service des seigneurs de ce Nouvel Ordre Mondial. Imaginez-les, en train de faire le ménage pour ces grandes fortunes, ramassant les miettes de pouvoir qu’il leur reste tout en souriant aux caméras. Leurs discours vides de sens, leurs promesses creuses, tout cela ne fait que renforcer le spectacle tragi-comique de leur propre désespoir.

Alors, que faire face à ce tableau absurde ? Continuer à jouer le jeu lorsqu'on le sait truqué ? Regarder le monde se transformer en une dystopie où nous serons tous des acteurs involontaires ? La vraie tragédie ici, c’est que tout le monde semble s’en moquer, perdu dans la routine du quotidien, comme si la fin de la liberté n’était qu’un autre épisode d’une série Netflix. Mesdames et messieurs, bienvenue dans le grand cirque de l’esclavage moderne, où l’inertie est notre seule réponse. Alors applaudissons, puisque le spectacle continue !

Il faut l’admettre, la désillusion est presque ironique. Nous sommes témoins d’une chorégraphie mortifère où l’ignorance est le pas de danse principal. La technologie, loin d’être un outil d’émancipation, est devenue le piège doré qui nous empêche de voir les chaînes invisibles qui nous lient. Et que dire de l'écologie ? Voilà un autre terrain de jeu pour nos seigneurs, utilisant la peur du cataclysme pour justifier un contrôle toujours plus oppressant. Pendant ce temps, ils trament leurs pactes et leurs agendas, traçant lentement mais sûrement notre chemin vers un suicide collectif assisté qu’ils observent avec un sourire satisfait, comme des spectateurs devant une œuvre d’art.

Alors, continuons à applaudir, mes amis, car ce spectacle tragique ne fait que commencer. La grande comédie de l’inertie humaine est un chef-d'œuvre que nous avons tous choisi de jouer, et, pour l’instant, les acteurs restent sur scène, immobiles, les yeux fixés sur un avenir de servitude volontaire. Mais à ce stade, la question se pose : allez-vous rester là, les bras croisés, à regarder cette farce se dérouler, ou allez-vous, armés de votre nouvel éclairage sur ces malfaisants mondialistes, réagir et sortir de cette torpeur ?

Il est temps de sortir de l’ombre et de dire "Assez !" à ce cirque infernal. Car derrière cette façade réjouissante se cache une réalité bien plus sombre. Si nous restons silencieux, nous ne serons que des figurants encombrants dans leur pièce. Mais si nous choisissons de nous lever, de dénoncer ces pactes pour l’avenir qui ne profitent qu’à leur avidité insatiable et à leurs visions eugénistes et malthusiennes, alors peut-être, juste peut-être, pourrons-nous réécrire le scénario. Que le spectacle continue, oui, mais à condition que nous en soyons les maîtres et non les victimes !

Chers lecteurs assidus, à présent que nous avons dressé un tableau plutôt sombre du cirque mondial où les puissants jouent avec nos vies, il est temps de parler des solutions. Car, oui, il existe des alternatives à cette manigance, même si certaines peuvent sembler radicales. Après tout, il ne s'agit pas simplement de mettre un terme à un spectacle que nous n'avons pas choisi, mais de reprendre le contrôle de notre destin.

1. Démantèlement des institutions corrompues : Tout d'abord, il est impératif de démanteler les institutions qui facilitent cette tyrannie. Le FMI, la Banque Mondiale et d'autres organisations similaires doivent être réformées, voire abolies. Ces entités sont devenues des instruments de contrôle au service des élites. Un processus similaire à celui de Nuremberg pourrait être envisagé, où les responsables de la manipulation systématique des nations seraient jugés et, espérons-le, condamnés.

2. Responsabilité pénale pour crimes économiques : Nous devons commencer à traiter les crimes économiques avec la même sévérité que les crimes de guerre. Les dirigeants d’entreprises, les politiciens et les banquiers, qui ont sciemment détruit des vies pour le profit, devraient faire face à des conséquences. En finir avec l'impunité qui les protège est essentiel. Pourquoi ne pas envisager des peines sévères, allant jusqu'à l'emprisonnement à vie pour ceux qui orchestrent cette exploitation à grande échelle ? Comme ils l'ont fait à Madoff qui avait eu l'audace de les arnaquer.

3. Éducation et sensibilisation : Il est temps d'éveiller les consciences. La population doit être informée de la réalité des systèmes qui nous contrôlent. Organiser des mouvements, des débats, des forums, où chacun peut partager ses idées et s'informer, pour finalement s'unir contre cette domination, c'est essentiel ! En éclairant les masses sur ces enjeux, nous pouvons créer un front uni qui fera trembler les fondations de ces systèmes.

4. Révolte pacifique mais déterminée : Les révolutions pacifiques ont prouvé leur efficacité par le passé. Mobilisons-nous pour des manifestations massives, des grèves générales, et surtout des boycotts ciblés contre les entreprises qui nous exploitent. Lorsque les élites réalisent que nous ne sommes pas simplement des figurants, mais des acteurs déterminés, elles commenceront à ressentir la pression et paniqueront.

5. Restaurer la souveraineté nationale : Exiger que nos gouvernements retrouvent leur souveraineté et leur indépendance par rapport aux institutions internationales et aux multinationales est crucial. Il faut d'ores et déjà interdire les binationaux dans les gouvernements. Et des référendums pourraient être mis en place pour que le peuple reprenne le contrôle de ses ressources et de ses choix politiques.

6. Créer des alternatives économiques : Développer des systèmes économiques locaux et durables qui ne dépendent pas des grandes multinationales. En investissant dans les entreprises locales, les coopératives et les initiatives citoyennes, nous pouvons créer un modèle qui défie les géants et redonne du pouvoir aux citoyens.

Alors oui, mes amis, il est peut-être temps d’envisager des solutions radicales. Ces malfaisants mondialistes, qui se régalent de notre désespoir, doivent être tenus responsables de leurs actes. L'histoire nous a montré que lorsque le peuple se lève, il peut réaliser l'impossible, souvenez-vous de Nuremberg ! Il est temps de sortir de notre apathie et de crier haut et fort que nous ne sommes pas des marionnettes soumises, mais des êtres humains dignes de liberté. Que ce cirque tragique prenne fin, et que nous écrivions ensemble un nouveau chapitre de notre Histoire !

Mais si vous pensiez que ces réflexions sur l’absurdité du monde étaient un simple divertissement de ma part, détrompez-vous ! Toutes ces analyses croustillantes, ces révélations sur l’agenda maudit de la secte du mal et ses manigances, se trouvent dans ma série de livres intitulée "Chroniques amères d'un monde à l'agonie." Oui, ces réflexions littéraires sont à votre disposition sur le site TheBookEdition.com, prêtes à garnir vos bibliothèques et à illuminer vos esprits obscurcis par les notifications incessantes de vos smartphones et le poids écrasant de vos factures.

Chaque tome est un véritable appel à la résistance, une bouffée d’air frais dans cette atmosphère de conformisme ambiant. J’ai écrit ces ouvrages dans un élan de générosité, avec l’espoir que mes contemporains, trop souvent absorbés par leurs écrans et leurs préoccupations quotidiennes, prennent enfin conscience des enjeux qui nous entourent.

Alors, n'attendez plus ! Rendez-vous sur :

https://www.thebookedition.com/fr/34715_philippe-broquere 

Procurez-vous vos exemplaires, et ensemble, mettons un terme à ce cirque tragique, car seule la vérité nous libèrera ! Après tout, comme dirait le sage : "La meilleure manière de prédire l'avenir, c'est de l'écrire." Alors, dorénavant, écrivez le vôtre avec moi, je vous attends !

Phil BROQ.



 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire