L'AGENDA MAUDIT : - Acte 4- : LES MAÎTRES D'OEUVRES MILLIARDAIRES ET PHILANTHROPES

Aujourd'hui, nous allons évoquer "les 13 familles," illustres architectes de l’Agenda le plus Maudit et machiavélique que l’histoire ait jamais connu ! 

Ils sont les vrais maîtres du jeu, ceux qui, tapis dans l'ombre, tirent les ficelles d’un plan eugéniste et malthusien dont l'objectif ultime est simple : s'accaparer le monde, non pas par la force brute (quoique la guerre, c’est bien pratique), mais par la dette, la douce et insidieuse dette qui enchaîne les nations comme des vassaux. 

Mais ces grands architectes ne travaillent jamais seuls. Pour la partie visible de l'iceberg, ils ont leurs maîtres d'œuvre : ces milliardaires "philanthropes" que l'on encense dans les magazines comme Forbes et ailleurs, avec des classements ridicules qui nous vendent des récits de self-made men. En réalité, ces figures publiques, Jeff, Elon, Bill et compagnie, ne sont que de simples pions bien coiffés sur l’échiquier mondial, manipulés avec élégance.

Parce que, soyons sérieux, avez-vous déjà vu un Rothschild ou un Rockefeller se battre pour une place dans ce fameux classement de Forbes ? Non, voyons. Ils sont tellement au-dessus de cela puisque que ce sont eux qui impriment les cartes du jeu. Ils créent ces classements comme on distribue des bonbons, récompensant leurs fidèles serviteurs milliardaires, ceux qui suivent scrupuleusement le cahier des charges de la grande œuvre constitué de manipulation médiatique, contrôle par la technologie et influence politique par la corruption... C'est une grande famille, après tout.

Et puis, en dessous encore, il y a les "Young Global Leaders", ces bâtisseurs de demain, formés dans des écoles secrètes à l'art délicat de la dystopie. Eux, ils n'ont pas besoin de comprendre le plan dans son ensemble – ils exécutent, simplement- ils sont frauduleusement placés à leurs postes pour cela. Ils érigent ce monde fou, où la technologie contrôle nos vies, leurs meRdias contrôlent nos esprits et la dette contrôle les nations.

Bref, si les 13 familles sont les cerveaux, les milliardaires sont les coordinateurs, et les jeunes leaders les petits maçons, posant les briques de la dystopie l'une après l’autre. Mais nous parlerons d'eux dans un prochain acte. Pour l'heure, parlons de ces milliardaires fous, les maîtres d'œuvre du Mal. Et commençons, par celui qui à mon sens est le pire de tous, car il est le mégalomane le plus médiatisé de la bande. J'ai nommé : Bill Gates, bien sur !

Bill, ce magnat de la technologie devenu "philanthrope", a pris un virage radical dans la malfaisance, depuis le début du siècle, qui ferait frémir même les plus cyniques. Derrière son masque de bienfaiteur milliardaire, qu'il paye à coût de millions de subventions auprès des meRdias, on découvre un homme obsédé par une vision dystopique, eugéniste et malthusienne d'un monde qu'il veut à sa botte. Vision propre ou surement insufflée par ses maîtres architectes, mais où l'expression de l’humanité n’est plus qu’une vaste expérience à ciel ouvert et grandeur nature. 

Ainsi, vue de près, ses prétendus projets altruistes révèlent surtout une soif incontrôlable de pouvoir et un désir pathologique de redessiner la planète à sa convenance. Il se prend vraiment pour un démiurge. De la santé publique à l’agriculture, de l'effacement du soleil jusqu’à la démographie mondiale, Gates ne se contente pas seulement de jouer les faiseurs d'opinion. Trop simple ! Il s’est hissé, avec ces milliards entachés de corruption, en marionnettiste invisible de toutes les politiques mondialistes, sur tous les sujets et sans jamais avoir été élu par quiconque et pour quoi que ce soit.

C'est avec un mélange bien ficelé de corruption, de manipulation et d’une obsession pour la domination, que ces maîtres l'ont naturellement désigné comme porte étendard de leur délires. Sous son vernis sans cesse lissé de philanthrope, Bill s’immisce dans les secteurs les plus cruciaux pour l’humanité, sans aucune expertise véritable et avec un mépris glacial pour les conséquences. Comme si l'argent avait une fois dans l'histoire rendu quelqu'un intelligent, ça se saurait ! L'argent, je parle là de milliards, seuls les grands truands en ont autant, vraiment, et c'est surement pour cela que nous, nous sommes pauvres…

Loin de chercher le bien commun, ce qu'il veut, Bill, c'est transformer la planète en un laboratoire géant où ce serait lui qui fixerait les règles. Prenons, pour illustrer l'absurdité de sa mégalomanie, l'exemple simple et sordide à la fois, de son obsession pour les excréments humains. Avec une arrogance sans bornes mais égale à son incompétence, il finance des machines capables de recycler des déjections humaines en eau potable, et évidemment, soi-disant pour sauver les populations défavorisées. Magnifique, n’est-ce pas ?

Mais creusons un peu. Pourquoi un milliardaire sans la moindre compétence en santé publique ou en ingénierie de l’eau se lance-t-il dans des projets aussi déroutants, sinon dégoutants ? C'est très simple. Il se sert des plus démunis, des sans voix et souvent sans dents, comme cobayes humains dans ses expérimentations à grande échelle. De l'eau "propre", tel est son slogan, mais obtenue à partir d'excréments (Sic...) et bien entendu, testée sur ceux qui n'ont même pas la possibilité de refuser. Oserait-il imposer cette "solution" dans les rues de Manhattan ou de Londres ? Absolument pas. Mais quand il s’agit des pauvres, tout devient permis. Puisqu'il voit l'humanité comme une variable d'ajustement à éradiquer.

Et ça ne s'arrête surement pas là. Gates ne se contente pas de jouer avec l’eau, puisqu'il tente aussi de manipuler la nature elle-même. En finançant des moustiques génétiquement modifiés, où il prétend lutter contre la malaria et la dengue avec ces monstruosités chimériques créées en laboratoires. C’est peut-être bien sur le papier de ces chercheurs débiles et corrompus qui travaillent sur ce genre de projets, mais en réalité, c’est une bombe à retardement que tout un chacun, études ou pas, peu comprendre aisément. 

Et bien, comme prévu, en 2018, une épidémie de dengue éclate justement dans les zones où ces moustiques OGM, génétiquement modifiés et porteur des toutes les maladies avaient été libérés. Coïncidence ? Ce projet prétendument "humanitaire" ressemble davantage à une arme biologique dirigée vers l'humain et testée en plein air, qu'à une solution viable. Et qui en paie le prix ? Une fois de plus, les plus pauvres, réduits à de simples pions dans son jeu meurtrier, et vous et moi avec nos impôts qui lui servons des subventions à outrance.

Et puis, il y a aussi ses sinistres campagnes de vaccination. L’une des plus grandes aberrations de son règne sur la santé publique mondiale depuis qu'il s'est acheté l'OMS et en a corrompu tous ces membres. En Inde, par exemple, des vaccinations financées par sa fondation ont provoqué des paralysies et même des décès parmi des centaines jeunes filles. Un scandale étouffé avec la discrétion d’un claquement de doigt. Pas de justice, pas de comptes à rendre. Aux Philippines, des vaccins contre le tétanos, toujours financés par ce grand malade, contenaient une hormone pouvant provoquer la stérilité. Des millions de femmes et d'enfants ont été affectées, manipulées sans même le savoir. Mais qu’importe, puisque Bill reste intouchable grâce à son financement obscène de tous les médias et des institutions, qu’il tient fermement dans sa poche.

Et s’il s’arrêtait là, on pourrait presque en rire. Mais non, Gates, comme tous ceux de sa caste, ne sait pas s’arrêter ! Sa soif de contrôle s’étend maintenant à l’agriculture. Devenu le plus grand détenteur de vastes étendues de terres agricoles aux États-Unis, que fait-il avec cette richesse terrienne ? Pas de cultures biologiques durables, non, bien sûr que non. Il préfère les OGM, en partenariat avec Monsanto-Bayer, cette entreprise qui incarne à elle seule la destruction de l’agriculture naturelle. Sous prétexte d’une "révolution verte", il pousse des cultures toxiques et des produits chimiques ravageurs, non pour nourrir le monde, mais pour le soumettre à l’industrie agrochimique et ajouter des "vaccins ARNm" dans les légumes et les fruits. Ce sont ceux-là, les produits pour les pauvres, ceux à bas prix. D'où l'explosion des cancers ou des… Tumeurs ! Si tu en manges, tu meurs… Cynique et machiavélique !

Et que dire de son idée encore plus délirante de bloquer les rayons du soleil pour ralentir le pseudo réchauffement climatique, ou plutôt empêcher l'agriculture naturelle de se développer ! Car ça aussi c'est une arme redoutable pour soumettre les peuples ! Injecter des particules chimiques dans l’atmosphère comme dans une mauvaise dystopie de science-fiction eugéniste. Qu’importe les conséquences environnementales imprévisibles, ce qui compte pour Gates, c’est de prouver qu’il peut contrôler même les forces de la nature pour nous enfermer dans un environnement empoisonné par ses soins. Son véritable objectif n’est pas de sauver la planète, mais de bâtir un empire lucratif en transformant la lutte contre le "changement" climatique (inventé par ses scientifiques qu'il subventionne allégrement, tel le GIEC) en une machine à profits pour lui et tous ces petits copains.

Ce pouvoir démesuré en totale impunité, Bill l’a acquis en infiltrant et corrompant les institutions publiques grâce à ces virus et back-doors placées dans tous les logiciels Microsoft. Lorsqu'on sait tout de son adversaire en lui volant les informations grâce à ces logiciels utilisés par toutes les administrations, les dés sont pipés ! Et il est aujourd’hui l’un des plus gros financeurs privés de l’OMS, dont le président, Tedros, n'est autre qu'un acteur mais responsable du génocide Rwandais - Exit les pauvres ! - et lui permettant surtout d’orienter les politiques mondiales à son avantage. L’OMS, censée être une organisation indépendante, est devenue sa marionnette, comme l'ensemble des institutions à 3 lettres (ONU, OMS, OMC, WEF, FED, etc.). Mais Gates ne s’arrête toujours pas là puisqu'il a aussi acheté le silence total des grands médias soit avec des publicités, soit directement des subventions, et comme si ça ne suffit pas, directement les rédacteurs. En France, par exemple, il verse des millions tous les ans à des organes de presse comme l’AFP, pour garantir que ses sinistres projets ne soient jamais critiqués. Et ça fonctionne !

Comment un simple informaticien boutonneux et bigleux, certes aux parents déjà milliardaires quand même…, a-t-il pu s’emparer d’un tel pouvoir dans des domaines aussi cruciaux que la santé, l’agriculture, les meRdias et le climat ? Domaine, vous le constaterez, qui servent de base d'asservissement pour tout humain. La réponse est encore très simple : C'est grâce à ces milliards ! Il a acheté son image, ses études factices créées par ces scientifiques véreux, achetés eux-aussi, puis il a acheté son influence, corrompu des gouvernements entiers, et tissé grâce à cela un réseau mondial de dépendance politique et financière. Sous couvert de philanthropie, il impose sa vision au monde, sans aucun contre-pouvoir réel.

Vous le constatez, il ne s’agit pas là d’altruisme, mais bien d'une ambition dévorante et sans bornes, typique chez les psychopathes. Oui, Bill Gates veut contrôler l’humanité, réguler les naissances, manipuler le climat, décider de ce que nous mangeons, de ce que nous buvons, de ce que nous disons et surtout la manière dont nous vivons ! Et bien loin d’être un bienfaiteur, il est surtout un prédateur, utilisant sa fortune comme seule arme, pour remodeler le monde selon ses délires eugénistes et malthusiens.

Il est urgent de dénoncer et de mettre en lumière l'influence toxique de Gates et de ses semblables sur notre monde. Derrière leur façade de bienveillance se cache une réalité bien plus sombre, où l’argent devient un outil de domination absolue. Leurs projets, loin de résoudre les vrais problèmes de l’humanité, ne servent qu’à renforcer leur emprise et à soumettre les plus vulnérables à des expériences aussi hasardeuses que dangereuses. Leur objectif, de moins en moins caché, est de réduire drastiquement la population, contrôler les ressources et enfin, régner sur le destin des autres. Même les pharaons en leur temps et pourtant moins riches, avaient au moins œuvrés pour leur peuple à minima, et laissé des constructions pour une civilisation entière. Lui ? Rien du tout !... Des virus et des logiciels obsolètes tous les 3 ans !

Il est impératif de diagnostiquer la maladie si on veut l'éradiquer et en connaissance de cause, s’opposer à cette nouvelle forme de colonialisme, où des "philanthropes" milliardaires se prennent pour les maîtres d'oeuvre du monde. Il est temps de tirer la sonnette d’alarme et de revendiquer une véritable souveraineté populaire sur les questions de santé, d’agriculture et de justice sociale, de liberté d'expression, de mouvement et d'autonomie vis-à-vis de ces psychopathes fortunés. 

Il est donc grand temps de stopper Bill Gates et tous ceux qui, sous couvert de bienveillance, utilisent leur fortune pour façonner un monde où pouvoir et profit règnent sur l’éthique et l’humanité. Unissons nos forces pour défendre les droits des plus faibles et préserver l’intégrité de notre société face à ces prédateurs insatiables. Nous devons exiger une transparence totale sur ces projets qui touchent les ressources naturelles qui appartiennent à tous et non pas à cette caste de débiles. Il est aussi grand temps de demander des comptes sur leurs méfaits.

Mais attention, Bill n'est pas le seul, bien au contraire. Le monde des ultra-riches est un terrain fertile pour les controverses, notamment lorsqu’il s’agit de philanthropie. Derrière des initiatives en apparence bienveillantes, se cachent souvent des ambitions personnelles délirantes, des agendas cachés par des complots dans les hautes sphères financières, voire des projets dangereux pour la société et la planète tout entière. 

Voici une liste de quelques milliardaires connus, autres maîtres d'œuvres, du plan des architectes que sont les 13 familles, qui, tout comme Bill Gates, suscitent des polémiques avec leurs actions prétendument philanthropiques. Ceux-ci ne sont pas les vrais architectes du mal, car pas nés dans la caste héréditaire comme les 13 familles, mais leurs pantins préférés, à qui ils donnent les moyens financier de mettre en œuvre leur malfaisance. Ainsi, voici en suivant ces pervers fortunés, sans foi ni loi, mais surtout sans âme ni éthique.

Pour débuter, le vieux George Soros, célèbre pour sa fondation Open Society, figure incontournable des causes progressistes et dépravées. Certes, il est régulièrement accusé d’influencer et de manipuler les politiques intérieures des pays dans lesquels il investit, et à juste titre. À travers des donations et des soutiens à des mouvements politiques, il pousse souvent à des changements radicaux qui provoquent de graves divisions sociales. Mais jamais arrêté ni inculpé ! Son dernier coup de maître ? L'acquisition de plus de 200 stations de radio aux États-Unis, marquant ainsi son entrée dans la guerre de l'information. Ted Turner se faisant trop vieux, Soros prend la relève et met le pied à l'étrier à son fils. Que veut-il vraiment accomplir ? Une domination totale sur la diffusion des idées dites "progressistes" ! Un progrès qui mène vers l'abîme de notre humanité. C'est juste un manipulateur de plus qui, sous couvert de bienfaisance, orchestre des révolutions silencieuses pour son propre compte... en banque.

En suivant, il y a Elon Musk, le jeune de la bande qui fascine le monde avec ses entreprises révolutionnaires, de Tesla à SpaceX, en passant surtout par son projet transhumaniste de puces cérébrales via "Neuralink". Trop chargés en "connerie naturelle", ils comptent tous sur l'Intelligence Artificielle pour les sauver ! Mais derrière cette image d'innovateur se cachent des préoccupations éthiques majeures qui font reculer les limites de l'inacceptable et surtout de la nature. Ses positions souvent déroutantes sur les réseaux sociaux, limite autiste schizophrène, son approche libertaire et ses projets futuristes carcéraux, inquiètent grandement. Jusqu’où va-t-il pousser la frontière entre technologie et humanité ? Sa vision d’un monde transhumaniste, où l’homme fusionnerait avec la machine, peut laisser perplexe, mais n'a rien d'un progrès, c'est une mise en esclavage technologique et une déshumanisation véritable. S’agit-il réellement d'améliorer nos vies ou plutôt de contrôler l'humanité à un niveau jamais atteint auparavant ? Ceux qui de nos jours, ne savent plus s'ils sont homme, femme ou grille pain… Choisiront sans problème le grille-pain ! Et oui, tout est prévu dans leur plan maudit ! Surtout la manipulation des cobayes.

Un autre de ces maîtres d'œuvre est Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon, qui s’est récemment engagé dans la philanthropie avec la création de la Bezos Day One Fund. Trop riche pour payer des impôts, autant tout garder ! Vive les fondations je vous dis ! Mais ses critiques soulignent l’ironie de la situation. Comment peut-on prétendre aider les familles sans-abri tout en exploitant des milliers d’employés dans des conditions de travail déplorables au sein de ses entrepôts ? Comment aller chercher de l'eau sur Mars et ne pas aider le Sahel ? Comment avoir une fusée, 3 Yacht, 17 voitures et nous demander de rouler à vélo contre la pollution ? De plus, ses très maigres contributions à la lutte contre le changement climatique semblent pâles en comparaison des milliards accumulés grâce à Amazon, une entreprise critiquée pour son empreinte écologique considérable. Les data-centers sont les plus grands réchauffeurs d'atmosphère de notre siècle et très gros consommateurs d'électricité. Bezos est-il réellement motivé par l'altruisme, ou bien utilise-t-il la philanthropie pour blanchir son image comme son argent ? Je vous laisse juge...

Dans sa lignée, il y a le petit Mark Zuckerberg, (petit fils de Rockefeller – la caste, toujours la caste !) qui, à travers Facebook (volé durant ses études et financé par la CIA) a bouleversé le paysage médiatique mondial. Sa "Chan Zuckerberg Initiative" finance d'importants projets dans l'éducation et la santé. Il y a de quoi frémir ! Quand on sait que la plateforme même qui lui a permis d'amasser sa fortune est une arme redoutable pour faire taire la dissidence et plus généralement, la repérer, est aussi à double tranchant. Accusé de favoriser la désinformation, d’influencer les élections et de négliger la vie privée de ses utilisateurs, Zuckerberg est enfin vu pour ce qu'il est : un manipulateur des esprits. Alors, quand il investit dans des initiatives philanthropiques, est-ce vraiment pour corriger ses erreurs, ou plutôt pour continuer à asseoir son influence dans le domaine de l’information et des meRdias ? L'un des maîtres d'œuvre favori des architectes… Mais c'est la famille, alors bon !

Dans ces seconds couteaux maléfiques, il y a aussi Richard Branson. Autre milliardaire qui se dit "écolo", avec ces avions et ces fusées, qui a fondé Virgin Galactic, une entreprise de tourisme spatial. Bien que Branson soit un fervent défenseur du développement durable, ses projets de tourisme spatial semblent totalement déconnectés de ses prétendues préoccupations environnementales. Voyager dans l’espace est un luxe réservé à une élite fortunée, et les coûts environnementaux de ces vols sont considérables. Encore une fois, la question se pose : à qui profite réellement cette initiative ? À l’humanité ou à une poignée de milliardaires en quête de frissons ? Et combien de milliards blanchit-il avec sa fondation, nous ne le saurons jamais…

Vous avez aussi des vrais sales types comme Larry Ellison, cofondateur d’Oracle, qui a transformé l’entreprise d’une petite start-up en un géant mondial de la technologie. Tiens, comme les autres alors ? Et qui a lui aussi consacré une partie de sa fortune à la philanthropie capitaliste. Et évidemment, sa réputation dans le monde des affaires reste très controversée. Comme de forcer les clients à utiliser uniquement ses produits, tiens comme Bill et ses virus avec les mises à jour !  Sa gestion agressive, ses projets immobiliers extravagants et ses investissements dans des initiatives technologiques suscitent des inquiétudes quant à l'impact sur les libertés individuelles, surtout dans un contexte de surveillance numérique accrue.

Reste le vieux de la bande, Warren Buffett qui est l’un des milliardaires les plus respectés pour son engagement à donner la majeure partie de sa fortune, mais à Bill Gates ! Pourtant, ses choix d'investissement, notamment dans des industries polluantes, comme les combustibles fossiles, ne jettent aucune ombre sur ses bonnes intentions. Peut-être profite t-il du réseau des meRdias soumis à Bill ? Car peut-on vraiment être un bienfaiteur tout en tirant profit de la destruction systématique de l’environnement ? Tout ceci n'est que foutaise, c'est une caste, une mafia et la pire, car celle-là, elle ne protège pas, elle tue !

Mais, ces milliardaires ne se contentent pas de dominer le monde des affaires, ils utilisent également tous leurs fondations pour exercer une influence disproportionnée sur les décisions politiques et économiques mondiales. Les fondations philanthropiques, créées par les milliardaires, sont souvent perçues comme des entités dédiées à des causes nobles qui officiellement luttent contre la pauvreté, font de l'amélioration des soins de santé, soutiennent à l'éducation, entre autres.

Cependant, derrière cette façade généreuse se cache une réalité bien plus complexe et surtout très préoccupante. Car toutes ces entités bénéficient d'un ensemble d'avantages, notamment fiscaux, tout en échappant à un contrôle strict de la part des autorités. Car ces fondations philanthropiques sont loin d'être de simples outils de charité désintéressée. En échappant aux régulations fiscales et en opérant sans une véritable transparence, elles représentent une zone de non-droit où les ultra-riches peuvent préserver, accumuler et utiliser leur richesse pour influencer la société à leur manière, tout en évitant de contribuer équitablement aux systèmes fiscaux nationaux.

Ces dynamiques interrogent profondément sur la nature de la philanthropie moderne, et sur les risques qu'elle présente en termes de démocratie et de justice sociale. Cette situation soulève des questions majeures sur leur véritable rôle dans la société que nous aborderons dans le prochain acte. 

Phil BROQ.








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