VOYAGE EN DYSTOPIE -3- : Les Prisonniers de l’illusion

Dans cette ère de désillusion et de déshumanisation, l’esprit humain se voit soumis à un assaut sans précédent. Les médias, devenus des instruments de propagande, infiltrent chaque recoin de notre quotidien, transformant l’information en un flot incessant de mensonges et de désinformation. Que reste-t-il de notre libre arbitre lorsque l'histoire est réécrite, où chaque pensée, chaque émotion est minutieusement calibrée par un système qui ne cherche qu’à nous asservir ? Dans cet épisode, nous examinerons de près les méthodes de manipulation mentale utilisées par le Comité des 300, et comment, dans ce climat de contrôle, l’individu se retrouve dépossédé de son autonomie et de sa capacité à penser par lui-même. Préparez-vous à découvrir la face cachée de ce Nouvel Ordre Mondial, où le véritable pouvoir réside non pas dans la force, mais dans la capacité à contrôler les esprits.

Imaginez la scène : dans une salle de conférence luxueuse, ces élites se regardent, un sourire narquois aux lèvres, alors qu’ils manipulent les masses comme des pions sur un échiquier géant. La guerre, pour eux, est un excellent moyen de renflouer les caisses tout en justifiant leurs interventions "humanitaires" – des résolutions de l’ONU soigneusement rédigées pour légitimer leurs manigances sournoises. "Regardez comme nous sommes altruistes !", diront-ils, tout en remplissant leurs poches. Et vous, cher spectateur, serez là, accoudé à votre canapé, à applaudir cette pièce tragique, persuadé que le monde est en train de changer. Comme un spectateur hypnotisé devant un spectacle de magie, vous resterez émerveillé par les illusions savamment orchestrées. Mais rassurez-vous, tout est sous contrôle... du moins, celui des puissants.

Dans cette tragi-comédie, les discours enflammés se succéderont, tandis que les véritables enjeux seront dissimulés sous des couches de rhétorique et de manipulation. Les véritables acteurs, eux, ne porteront pas de masques, mais des costumes impeccables et des cravates soigneusement nouées, alors que vous serez laissé sur le bord de la scène, tel un figurant anonyme dans cette tragédie mondiale. Et pendant ce temps, les conflits éclateront comme des feux d'artifice, chaque explosion étant un coup de pouce pour leurs plans bien rodés. N'oubliez pas, chers spectateurs : tout cela n'est qu'un grand jeu pour eux, un divertissement macabre où vos souffrances ne sont que des accessoires. Et le meilleur dans tout ça ? La pièce continuera tant que vous resterez passif, tranquillement installé dans votre fauteuil, persuadé que le changement viendra de ceux qui se délectent de votre silence.

Mais, l'essentiel de ce scénario digne d’un cauchemar a déjà été écrit en 1991 par le Dr John Coleman. Avant lui, il y avait déjà Huxley et Orwell, ces visionnaires, qui avaient dressé un tableau alarmant de notre futur à travers leurs œuvres. Scénario que l’on retrouve également dans "Les Protocoles des Sages de Sion" et "Les Manuels de Toronto" ! Regardez autour de vous : le futur est déjà là, pas besoin de machine à remonter le temps pour le constater. Nous glissons déjà dans ce gouffre, comme des canards dans une flaque de boue.

Ah, le contrôle mental par les ondes et les images subliminales, ce doux ballet de manipulation insidieuse, orchestré avec le soin d’un chef horloger. Imaginez un monde où chaque onde radio, chaque pixel sur votre écran, est minutieusement calibré pour influencer votre esprit sans que vous n’y prêtiez la moindre attention. Ces messagers invisibles, habillés de promesses d’évasion et de bonheur, infiltrent votre subconscient comme un virus informatique, tranquillement et sans crier gare.

Vous, confortablement affalé sur votre canapé, pensant innocemment à votre dernier achat en ligne, êtes la proie idéale. Pendant que vous êtes captivé par ces images lumineuses et ces sons envoûtants, une petite voix, dissimulée derrière un jingle accrocheur, vous murmure discrètement quoi penser, quoi acheter et même comment aimer. C'est ça la magie de la publicité subliminale ! Un coup d'œil furtif, un soupçon de couleur, et voilà : vous êtes maintenant un fervent défenseur de la dernière tendance, convaincu que c’est vous qui avez choisi, alors que vous n’êtes que le produit d’un algorithme savamment calculé.

Les images subliminales, ces petites perles de manipulation cachées dans les publicités, les films et autres séries, agissent comme des arnaques délicieuses. Une cuillère de sucre pour faire passer la pilule : un clin d'œil à une belle vie que vous pourriez avoir en achetant tel ou tel produit, tout en vous faisant croire que vous êtes à l’avant-garde de la modernité. Mais, oh surprise, cette soif de consommation effrénée que vous ressentez ? C’est précisément ce que l’on attend de vous. N'est-ce pas touchant de voir à quel point le marché a appris à vous connaître ?

Bien sûr, pendant que vous vous demandez pourquoi vous ressentez cette irrésistible envie de courir acheter un nouveau smartphone ou de voter pour le candidat le mieux apprêté, la vérité est que vous n’êtes qu’un pion sur l’échiquier de la consommation. Au fond, qu’est-ce que la liberté, si ce n’est une illusion, soigneusement entretenue par ceux qui se délectent de votre passivité ? La prochaine fois que vous vous laisserez emporter par une pub accrocheuse ou même virale, rappelez-vous : la seule chose qui se met vraiment à jour ici, c’est votre degré de soumission à un système qui, avec un sourire diabolique, se réjouit de vous voir ainsi dans le flou. Après tout, dans ce grand théâtre qu’est la vie moderne, vous n'êtes qu'un spectateur devant la scène, et le script, eh bien, il a été écrit par d’autres. 

Vous vous imaginez peut-être en train de siroter un cocktail sur la plage, les pieds dans le sable chaud, tandis qu’ils orchestrent le grand nettoyage ? Quelle belle vie ! Mais voilà, ne vous laissez pas berner par cette douce illusion. Vous pourriez tout aussi bien être un personnage dans un film d'horreur, ignorant que la véritable trame du récit se déroule juste derrière vous, à votre insu. Rester stoïque, c'est comme si vous applaudissiez le spectacle tout en étant en train de sombrer dans l'oubli. 

Et si vous ne vous réveillez pas maintenant, il sera trop tard, mes amis. Mais après tout, pourquoi s’inquiéter ? Le Comité des 300, ce club exclusif des 13 familles qui tirent les ficelles dans l'ombre, contrôle déjà tout avec l'habileté d'un marionnettiste. Imaginez-les, assis dans leur salle de guerre, fumant des cigares et se moquant de nos petites inquiétudes pendant qu'ils manigancent les coups d'État, les crises économiques, et les pandémies à la chaîne. Vous n’avez qu’à rester là, tranquillement, en mode passif, pendant qu’ils continuent à tuer, à détruire, et à réduire l’humanité en esclavage, le tout avec le même aplomb qu’un chef d’orchestre dirigeant une symphonie macabre.

Pourquoi se soucier des petites choses comme la liberté, l'individualité, ou même un brin de dignité humaine quand vous pouvez profiter d’un soleil radieux qui cache si bien les nuages noirs de la tyrannie ? Alors, pourquoi s'inquiéter de savoir qui contrôle vraiment vos vies ? Après tout, ce n'est qu'un petit détail insignifiant dans ce grand show, où vous êtes à la fois acteur et spectateur. Alors, tendez vos oreilles et écoutez, la musique sinistre qui joue encore !

Parce que tant que personne ne bougera, la tyrannie ne cessera de progresser, s'enfonçant comme un serpent venimeux dans les moindres recoins de votre quotidien. Levez-vous, ou soyez avalés par cette marée de désespoir. De toute façon, votre inertie vous a déjà enlevé toute humanité. Après tout, à quel point êtes-vous prêt à supporter votre propre aveuglement ? Laissez-vous aller à la douce mélodie de la fatalité, mais sachez que cette musique ne fait que masquer le cri strident de votre liberté qui se meurt, étouffée sous le poids de votre indifférence.

Ainsi, vous voilà avertis. Le monde de demain ne sera pas un simple dérèglement de notre société actuelle, mais une refonte totale et cynique de l’existence humaine, une réinvention orchestrée avec une précision machiavélique. La liberté, l’individualité, la famille - tout ce qui fait de nous des êtres pensants et vibrants d'énergie - sera broyé dans la machine bien huilée du contrôle global. Imaginez un instant : vos rêves d’autonomie jetés aux oubliettes, écrasés par le poids d’un État omnipotent qui se délecte de votre résignation, comme un chef cuisinier savourant un plat mijoté à la perfection.

Dans cette dystopie flamboyante, l'État deviendra votre géniteur, votre mentor, et même votre conscience, car pourquoi se donner la peine de penser par soi-même lorsque vous pouvez laisser les bureaucrates décider de votre vie à votre place ? Les choix personnels, un concept si démodé, deviendront des reliques du passé, et vous n’aurez qu’à vous plier à l'inéluctable. À quoi bon rêver de liberté, quand on peut s'installer confortablement dans une existence bien rodée, où chaque pas est surveillé, chaque pensée modulée ? Si vous avez toujours voulu être un pion dans une gigantesque partie d'échecs, alors réjouissez-vous, car la partie ne fait que commencer.

Préparez-vous à abandonner toute illusion d’autonomie, car la douce mélodie du contrôle global est déjà en train de s'élever, prête à transformer vos rêves en un cauchemar savamment orchestré. Une fois que le rideau se lèvera, vous réaliserez que vous n'êtes pas le protagoniste de cette histoire, mais bien un figurant dans un spectacle tragique, où le libre arbitre n’est qu’un souvenir lointain. Alors, qu'attendez-vous pour agir ?

La question n’est pas tant de savoir si cela arrivera, mais plutôt quand vous déciderez d’agir – ou de vous résigner à cet avenir misérable, à la manière d’un mouton qui suit le troupeau vers l’abattoir. Le Comité des 300 a déjà commencé son œuvre, sous nos yeux, comme un prestidigitateur révélant des tours de magie funeste. Tant que nous resterons immobiles, ils ne feront que raffermir leur emprise, en ajustant les ficelles de cette marionnette qu’est devenue notre société.

Alors, serez-vous de ceux qui regardent passivement l’humanité s’enfoncer dans cette servitude ? Ou oserez-vous relever la tête avant qu’il ne soit trop tard, avant que la lumière de votre conscience ne s’éteigne définitivement dans l’obscurité d’une soumission silencieuse ? Le temps presse, et chaque minute de votre inertie est une minute de plus accordée à ceux qui rêvent de vous voir à genoux, muselés et dociles. Le choix vous appartient : agir maintenant ou sombrer dans l'oubli, emporté par le tourbillon d’une réalité que vous aurez laissée filer entre vos doigts.

 Phil BROQ.