DE GAZA A LA SYRIE, ISRAËL ET LES USA SONT LES MAÎTRES DU CHAOS MONDIAL !
Le 20 février 2024, les États-Unis avaient une nouvelle fois opposé leur veto à une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU appelant à un cessez-le-feu immédiat à Gaza. Ce geste, le troisième de ce genre, est la preuve flagrante du soutien inébranlable de Washington à Israël, malgré la violence extrême qu’il inflige aux Palestiniens. Tuant femmes et enfants sans discernement, tout en bombardant écoles et hôpitaux en s'amusant à afficher leurs crimes odieux sur les réseaux sociaux.
En bloquant cette résolution, les États-Unis ne se sont pas contentés de soutenir un régime d’apartheid, mais ont ouvertement cautionné aussi un génocide en cours. Cela va bien au-delà d'une simple alliance stratégique ; cela révèle un lien profond avec les objectifs expansionnistes d’Israël, un État délinquant qui, sous couvert de sa seule "sécurité", a fait de la violence sa politique étrangère, cherchant à anéantir un peuple entier. Israël tue, car la violence est dans son ADN, dans ses racines mêmes de psychopathes, façonnées par des décennies d'oppression envers les véritables sémites, d'occupation d'une terre qu'ils ont décidé de voler pour ses richesses naturelles et bien loin d'un projet "biblique". Sans parler de la colonisation sanguinaire de cette région qu'ils ont décrétée qu'elle leur a été donnée depuis plus de 2000 ans, mais qu'ils n'ont pu conquérir qu'à partir du Traité Balfour-Rothschild et avec les armes modernes.
Les États-Unis, eux, ne sont pas moins responsables de cette tragédie. Ils tuent au lieu d'acheter, ne cherchant jamais la paix ni la réconciliation, mais toujours l'imposition de leur volonté par la violence et la puissance de leurs bombardements. Leur soutien inconditionnel à Israël, couplé à leur politique belliqueuse envers tous ceux qui refusent de se soumettre à leur hégémonie, est un des moteurs de cette guerre totale déclarée contre le monde entier. Sous les gouvernements successifs, les États-Unis ont nourri et soutenu des conflits partout dans le monde, non pas par souci de justice ou de liberté, mais par soif de domination et de contrôle, notamment sur les ressources énergétiques. Les États-Unis ne cherchent pas des partenaires, mais des vassaux ; ils ne négocient pas, ils imposent leur loi par la force. Lorsqu’un pays comme la Syrie ou l'Iran ose contester leur autorité, ils en font une cible, une victime de leur machine de guerre impitoyable, toujours prête à semer la terreur sous couvert de "démocratisation", fomentée par les assassins de la CIA.
La situation en Syrie, exacerbée par l'implication des États-Unis, montre à quel point cette politique est dangereuse. En soutenant (armant et finançant) des groupes islamistes radicaux comme Hayat Tahrir al-Sham, les Américains ont contribué à la déstabilisation totale d'une région entière, transformant un pays laïque en un terrain de jeu pour le terrorisme islamiste. En réussissant à renverser Bachar Al-Assad, qui ne sera évidemment pas pour le bien du peuple syrien, ils ouvrent la voie à des régimes islamistes qui ne serviront que leurs intérêts. La victoire des rebelles islamistes est donc dores et déjà un désastre pour la région, plongeant la Syrie dans le chaos et permettant la montée de groupes terroristes qui menacent déjà l'Europe et particulièrement la France.
Mais ce n'est pas seulement dans la région du Moyen-Orient que les États-Unis et Israël sèment la guerre et le chaos. Leur projet d'expansion géopolitique est global. Israël rêve de dominer toute la région, d'annexer Gaza et la Cisjordanie, de fragmenter le Liban, et d’imposer sa dictature sur ses voisins, jusqu'à écraser la planète entière. Les États-Unis, à travers leurs interventions directes et indirectes, renforcent uniquement cette vision belliqueuse et expansionniste afin de garder une main sur le pétrole.
Ce n’est pas un simple conflit régional, mais un plan mondial de domination basé sur la loi du plus fort et non plus sur celle des Nation Unies. Si les États-Unis et Israël continuent sur cette voie, la guerre qu’ils mènent aujourd’hui au Moyen-Orient s'étendra inévitablement à d'autres régions du monde, notamment en Europe, où leurs politiques impérialistes créent des foyers de radicalisation et de violence extrême. Ainsi, ce qu'il se passe là-bas, se passera chez nous dans un avenir très proche.
Les États-Unis et Israël se nourrissent mutuellement de cette dynamique de guerre. Tandis qu'Israël détruit, bombarde et écrase, les États-Unis financent, arment, et encouragent cette machine de destruction qui fait de notre monde un enfer. Leur objectif est clair : imposer un ordre mondial où leurs diktats sont les seules lois qui comptent. Ils ne négocient pas, ils effacent, ne cherchant pas des accords mais des capitulations. Ils tuent, ils détruisent, et le monde entier en subit les conséquences. La fragmentation de la Syrie, le soutien aux islamistes en Irak, le carnage à Gaza, tout cela fait partie d’un plan plus vaste de déstabilisation et de domination dont chacun peut se rendre compte à présent. Et tant que ce système ne sera pas confronté et démantelé, il ne cessera d'étendre sa guerre, détruisant tout sur son passage.
Nasrallah, leader du Hezbollah, n’a jamais caché la reconnaissance profonde qu’il éprouve envers la Syrie de Bachar Al-Assad pour son rôle essentiel dans le soutien à la résistance libanaise et palestinienne. Ce soutien ne se limitait pas à des paroles de solidarité, mais se traduisait par une aide concrète avec des armes, des financements et des ressources vitales pour les Palestiniens, qui, pendant ce temps, étaient affamés et abandonnés par de nombreux régimes arabes dits "modérés".
La Syrie, sous Al-Assad, a été l’un des rares pays à maintenir son engagement ferme et indéfectible envers la cause palestinienne, malgré l'isolement régional et les pressions internationales. En revanche, d'autres régimes arabes, particulièrement ceux qui sont en pleine collaboration avec les puissances occidentales et Israël, ont non seulement ignoré les souffrances des Palestiniens, mais ont activement œuvré à leur abandon, préférant aligner leurs intérêts avec les États-Unis et les sionistes, au détriment des droits du peuple palestinien. Faisant fi de toute solidarité musulmane.
Ce constat tragique met en lumière la réalité d’une guerre géopolitique où les intérêts de certains régimes arabes ne coïncident plus avec la lutte pour la liberté et la dignité du peuple palestinien. Ces régimes, en collaborant avec Israël et les États-Unis, mais aussi l'Angleterre, s'inscrivent dans une logique de soumission et d’accommodement avec l’impérialisme occidental, à une époque où la Palestine, de plus en plus, semblait être le dernier bastion d'une résistance courageuse contre l'impérialisme et le sionisme. En conséquence, la Palestine et l'axe de résistance qui s'est formé autour d'elle deviennent des cibles privilégiées de cette collaboration, avec l’objectif de les éliminer physiquement et politiquement. Le soutien syrien à la résistance, tout comme celui de l'Iran, du Hezbollah et de groupes de résistance en Palestine, s'inscrit dans une lutte de survie contre cette dynamique d’effacement et de soumission.
Les régimes réactionnaires arabes, en se ralliant aux intérêts des puissances impérialistes et en participant activement à la déstabilisation de la région, trahissent non seulement la cause palestinienne mais aussi la dignité et la souveraineté de leurs propres peuples. Alors que l’axe de résistance continue de défier les pressions extérieures, la Palestine et la Syrie deviennent des symboles de cette lutte. C’est dans cette logique que le rôle de la Syrie de Bachar Al-Assad, en tant que pilier de la résistance contre l’impérialisme et le sionisme, prend une signification cruciale. La Syrie n’a pas seulement été un refuge pour les Palestiniens et un soutien militaire à la résistance libanaise, elle a incarné un front de lutte face à la dévastation géopolitique orchestrée par ces puissances étrangères.
La chute de Damas marque donc un tournant tragique et symbolique dans le destin des résistances libanaise et palestinienne, un jour funeste où l'axe de résistance, longtemps soutenu par la Syrie, perd une de ses dernières bases d'opération. En contrôlant désormais la route Téhéran-Bagdad-Damas-Beyrouth-Jérusalem, les forces sionistes et impérialistes franchissent une étape majeure dans leur projet de domination totale du Moyen-Orient. Ce n’est pas seulement un revers pour la Syrie et ses alliés, mais un coup dévastateur pour la résistance palestinienne, qui voit s'effondrer l'un de ses principaux soutiens.
Ce passage de contrôle entre les mains des sionistes ne se limite pas à un enjeu régional, mais a des répercussions mondiales, notamment pour nous, Européens. Faut-il rappeler que la déstabilisation de cette région, orchestrée par l'Occident et ses alliés israéliens, est l'une des causes principales de l'afflux massif de migrants vers l’Europe ? Les guerres, les invasions et la destruction de pays comme la Syrie, l'Irak et la Libye n'ont fait qu'engendrer des vagues de réfugiés fuyant la violence, tandis que l’Europe, en silence ou avec des gestes de complicité, ne fait que gérer les conséquences de sa propre ingérence.
Ce qui rend cette situation encore plus troublante, c’est la manière dont l'Occident, en particulier les États-Unis et leurs alliés européens, qualifient les forces islamistes rebelles comme étant "modérées" ou "gentilles". Cela devient d'autant plus absurde lorsque l’on se souvient que ces mêmes groupes, hier encore, étaient des branches actives de Daech ou d'Al-Qaïda, les pires ennemis désignés de l’Occident. Mais, comme à leur habitude, l'Occident choisit qui sont les "bons" et les "méchants", en fonction de ses propres intérêts géopolitiques. Ceux qui hier étaient des terroristes sont aujourd’hui des alliés stratégiques, et ceux qui résistent à l’occupation, à la domination impérialiste et sioniste, sont qualifiés de tyrans ou de régimes autoritaires. Ce double standard est non seulement une insulte à la vérité et à la justice, mais aussi une preuve supplémentaire de l’hypocrisie de l'Occident, qui choisit ses partenaires et ennemis en fonction de ses objectifs, et non de principes éthiques.
Tout était prévu : l’effroyable plan de domination mondiale, tel que révélé par Wesley Clark, ancien commandant suprême de l’OTAN, suit une logique implacable de destruction et de soumission. Selon lui, peu après le 11 septembre 2001, un projet avait été esquissé au Pentagone : éliminer sept pays en cinq ans, parmi lesquels l’Iran et la Syrie. Ce projet, issu des stratèges du PNAC (Project for the New American Century), avait déjà lancé ses premières phases avec l’invasion de l’Irak et les bombardements en Afghanistan, sans la moindre justification solide. Le schéma est clair : d’abord, les "assassins économiques" détruisent l’indépendance économique des nations ; ensuite, les "chacals" tentent des coups d’État ou des assassinats ciblés ; et si cela échoue, c’est la guerre ouverte. Cette stratégie ne se limite pas au Moyen-Orient. Elle est une machine de mort globale, orchestrée par des monstres qui, après avoir détruit des peuples entiers, s’en prennent désormais à d’autres. La Russie, gangrenée depuis la révolution bolchevique de 1917, n’est pas exempte de ce jeu macabre. Les 110,7 millions de Russes orthodoxes massacrés dans le silence de l’Histoire montrent que ce plan de domination ne connaît ni limites ni frontières. Nous sommes face à un système qui annihile les identités, les nations et les peuples pour asseoir une hégémonie mondiale.
Dans ce contexte, il est essentiel de comprendre que l’Occident n’est pas innocent dans cette dynamique de déstabilisation. Au contraire, il est l’instigateur principal de cette violence systémique, en armant, en finançant et en soutenant des groupes qui sèment le chaos, tout en désignant les gouvernements légitimes, comme celui de Bachar Al-Assad, comme des tyrans à abattre. Cette politique de "changer les régimes" est un leurre, une façade pour masquer une volonté d'appropriation des ressources et de domination géopolitique. Et tandis que l’Europe subit les conséquences de ces choix, les puissances impérialistes continuent d’imposer leur agenda, sans se soucier des souffrances humaines qu’elles génèrent.
La perte de Damas, donc, n’est pas seulement une victoire pour les sionistes, mais une défaite pour la liberté et la justice dans le Moyen-Orient. Elle marque la consolidation d’un projet de domination mondiale, porté par Israël, les États-Unis et leurs alliés, et qui trouve des ramifications bien au-delà des frontières de cette région. Ce 8 décembre 2024 est un jour sombre, non seulement pour la Syrie et la résistance arabe, mais pour l’humanité toute entière, car il annonce l’extension de cette guerre d’occupation et de soumission à l’échelle mondiale.
Baba Vanga, célèbre mystique bulgare décédée en 1996, avait fait une prédiction troublante qui résonne aujourd'hui avec une intensité glaçante. Elle avait annoncé que Damas tomberait l’année du Dragon (donc en 2024), et que cet événement marquerait le début d’une tragédie mondiale. Selon ses visions, "dès que la Syrie tombera, il faudra s’attendre à une grande guerre entre l’Occident et l’Orient". Elle avait également prédit qu’au printemps suivant, un conflit majeur éclaterait à l’Est, entraînant une troisième guerre mondiale qui détruirait l’Occident. Aujourd’hui, alors que la situation en Syrie atteint un point critique et que les tensions géopolitiques ne cessent de s’aggraver, les paroles de Baba Vanga hantent l’esprit de ceux qui, comme moi, craignent que cette prophétie apocalyptique ne soit en train de se réaliser...
Par ailleurs, l’arrestation cette semaine de trois jeunes, soupçonnés de préparer un attentat djihadiste contre la mairie de Poitiers et d’autres cibles, souligne non seulement la persistance de la menace terroriste en France, mais aussi son inquiétant renouveau chez ces jeunes. Ces individus, âgés de 19 et 20 ans, ont été repérés par la DGSI après des échanges troublants sur des réseaux chiffrés, où ils manifestaient une volonté explicite de passer à l’acte. Leur choix de cibler la mairie de Poitiers, en raison de la symbolique bataille de Charles Martel en 732, reflète une instrumentalisation idéologique de l’histoire au service d’une haine destructrice envers notre nation. Parmi leurs autres cibles évoquées figuraient le siège de la DGSI, mais aussi un éventuel départ en Syrie, illustrant leur enracinement dans une idéologie djihadiste.
Ce cas met en lumière une tendance inquiétante où la menace djihadiste reste diffuse en France, mais le profil des acteurs change. Les mineurs et jeunes majeurs constituent désormais l’essentiel des arrestations liées à la mouvance djihadiste sunnite, signalant un rajeunissement préoccupant de cette menace endogène. Ces jeunes, souvent radicalisés en ligne, sont la preuve que le phénomène s’enracine au sein même du territoire français, alimenté par des fractures sociales, des manipulations idéologiques et les conséquences des politiques internationales.
Il est important de rappeler que cette radicalisation trouve une partie de ses racines dans le chaos géopolitique orchestré par les grandes puissances. Les interventions occidentales destructrices au Moyen-Orient, la chute de Damas et la complaisance envers certains groupes qualifiés de "rebelles modérés" ont nourri un terrain fertile pour l'extrémisme. Ces jeunes, pris dans une logique de vengeance et d'endoctrinement, sont autant les produits d’un système mondial de domination que des victimes d’une idéologie toxique exploitée par des agendas géopolitiques cyniques. La France, confrontée à cette violence, doit non seulement lutter contre ces menaces internes qu'elle a importée par milliers d'individus avec des ONG subventionnées, mais aussi reconnaître son rôle dans un système global qui contribue à ces dérives, dont nous sommes tous les futures victimes.
Le monde, et en particulier l'Europe, doit vite prendre conscience de la nature de cette guerre ignoble cachée sous des relents messianiques qui cherchent à provoquer la collision entre l'Islam et la Chrétienté pour ne laisser que les talmudistes debout sur un champ de ruine. Ce n’est pas un simple conflit régional, ce n’est pas une "erreur de politique étrangère", c’est une guerre totale contre l'Humanité tout entière, menée par ces deux factions américano-sionistes, saoules de leur hybris, pour anéantir toute résistance à leur hégémonie archaïque.
Les peuples du monde doivent se dresser contre cette violence mondiale, contre ce projet impérialiste qui ne cesse de détruire des vies, des nations et des espoirs. C’est une lutte pour la survie, pour la justice, pour la paix ! Et il est grand temps que le monde réagisse avant qu’il ne soit trop tard...
Phil BROQ.
Bonjour Phil. Je partage en totalité vos déductions ô combien réaliste de ce qui se déroule en Syrie. Le régime de Bassar El Assad était dur et sans pitié mais il était la garantie d'un non embrasement du Moyen Orient. Peu l'ont compris ou le comprennent. La Russie a décidé de ne plus soutenir ce régime. Elle sacrifie une pièce dans cette partie d'échecs entre "l'Est et l'Ouest", "l'Orient et l'Occident" qui nous mène inexorablement vers un conflit sans précédent. Les USA, Israël et ses alliés affaiblissent donc la Russie et l'Iran mais attention au retour de boomerang sachant que l'attaque est la meilleure défense. Un blocage du Détroit d'Ormuz p
RépondreSupprimerJe pense aussi que si Potine a laissé tomber la Syrie, c'est parce qu'il sait que l'Europe sera rapidement envahie par des terroristes et donc affaiblie. Ainsi, la Russie sera tranquille car l'Angleterre, la France et l'Allemagne seront sous pression intérieure et ne pourrons pas continuer la guerre en Ukraine.
SupprimerIdlib en Syrie vs. Les Territoires perdus de la République en France.
SupprimerTakîya quand tu nous tiens…
Quand ?
Camisard
C'est moins la Tkiya que la corruption de tous ces truands barbus....
SupprimerMon message est parti trop vite, oups ! Je disais donc qu'un blocage du Détroit d'Ormuz par l'Iran pourrait provoquer une crise sans précédent en Occident et affaiblir, voir détruire complètement, les alliés européens des USA et d'Israël. Et nous ne parlons même pas de la Chine avec Taïwan.....
RépondreSupprimeroui, un blocage d'Ormuz serait la fin des échanges commerciaux , mais c'est la chine qui en souffrirait le plus !
SupprimerEn effet, la Chine souffrirait, mais que dire des occidentaux ?
SupprimerQue nous aurions ce que nous méritons....
SupprimerUne autre nation absorbée dans la masse de l'Empire
RépondreSupprimerEt maintenant, la masse impériale se dirige vers sa prochaine cible, ayant grossi d'un incrément de la taille de la Syrie après avoir passé des années à digérer cette nation par le biais d'une guerre par procuration, de sanctions, de campagnes de bombardements incessantes d'Israël et d'une occupation militaire conçue pour voler sa nourriture et son carburant.
Notre monde ne pourra pas connaître la paix tant que nous serons dirigés par un empire alimenté par des fleuves interminables de sang humain. Espérons que la fin de cet empire surviendra le plus tôt possible.
Espérons en effet !
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