L'AGENDA MAUDIT : - Acte 6- : LES OUVRIERS YOUNG LEADERS
Mes amis, attachez vos ceintures, car nous entrons dans l’arène flamboyante des "Young Global Leaders" et de leur rôle central dans ce grand théâtre du contrôle mondial. Parmi cette joyeuse bande d’idéologues au sourire séduisant se trouve une figure emblématique, la grande Ursula von der Leyen. Oui, celle-là même qui a su s’infiltrer dans les arcanes du pouvoir européen avec une aisance déconcertante, mais qui, derrière son vernis poli, cache des alliances douteuses et des choix controversés.
Elle est souvent présentée comme la championne de l’Europe, mais ne vous laissez pas tromper par cette image soignée ! Von der Leyen est sans doute la plus corrompue de tous, jonglant avec les intérêts des puissants tout en feignant de défendre les valeurs des peuples européens. En tant que Présidente de la Commission Européenne, elle a magistralement orchestré la mise en œuvre des politiques néolibérales, soutenant un agenda qui profite davantage aux multinationales qu’aux citoyens lambda.
Préparez-vous à découvrir comment cette architecte de la soumission, en harmonie avec les Young Global Leaders, contribue à façonner l’avenir de l’Europe, tout en s'assurant que les véritables décideurs restent bien cachés dans l’ombre. Dans ce billet, nous plongeons dans l’univers fascinant et hypocrite de ces élites qui, sous couvert de progressisme, n'ont qu'un seul objectif : maintenir leur emprise sur un monde qu'ils considèrent comme leur terrain de jeu.
Pour que ce plan fonctionne, il faut des relais dans les gouvernements. C’est ici qu’intervient le réseau des Young Global Leaders, un programme financé et piloté par le Forum Économique Mondial de Davos, et par les élites financières. Emmanuel Macron, par exemple, est l’un de ces produits. Formé et soutenu par ce réseau, il ne fait qu’exécuter les directives de ses mentors. Sous sa présidence, la France a vu l’introduction de réformes austères, la privatisation des services publics, et une soumission totale aux règles de l’Union Européenne, elle-même soumise aux intérêts des banques, de la BRI et du FMI.
Les Young Global Leaders, ces petits soldats bien dressés, élevés à la sauce néolibérale, sont prêts à tout sacrifier sur l'autel du globalisme. Ils ne gouvernent pas leurs pays, non, ils administrent des colonies pour le compte des élites financières. Ce programme, piloté par Klaus Schwab et financé par les grandes familles oligarchiques, est la machine parfaite pour produire des marionnettes dociles, formées dès leur jeunesse à exécuter des ordres, et à vendre ce Nouvel Ordre Mondial sous couvert de réformes progressistes et de modernité. Et quand on parle de forfaiture contre leurs peuples, les exemples ne manquent pas. Allez, sortons le carnet de bal de cette élite de pacotille.
Commençons avec le chouchou de Davos, Emmanuel Macron, l’homme qui a fait de la France un laboratoire grandeur nature pour toutes les réformes néolibérales imaginables. Propulsé par le réseau des Young Global Leaders et du Bilderberg, Macron n’a pas perdu de temps pour exécuter les ordres de ses maîtres. Il a commencé par s’attaquer aux services publics, les démantelant morceau par morceau, au nom de la fameuse "efficacité économique". Hop, on privatise les aéroports ! hop, on restructure la SNCF, et bientôt ce sera au tour de l'éducation et de la santé de passer à la moulinette.
Et n’oublions pas les réformes des retraites, ce joyau dans sa couronne d’infamie. Contre l'avis d'une majorité écrasante de la population, et malgré des grèves massives, Macron a imposé une réforme visant à allonger l’âge de départ à la retraite, tout en offrant de jolis cadeaux fiscaux aux plus riches. Pendant que les citoyens s'épuisent à travailler plus longtemps, les multinationales – et surtout les banques – continuent de s’engraisser. Une belle réussite pour ce Young Global Leader zélé !
Et parlons de l’autre marionnette de luxe, Justin Trudeau, le poster boy mondialiste par excellence. Trudeau, autre produit du programme des mondialistes, a parfaitement intégré les leçons apprises dans les couloirs de Davos : l’art de la trahison feutrée. Sous sa gouvernance, le Canada est devenu un modèle d’obéissance aveugle aux diktats internationaux. Prenez la crise sanitaire du Covid-19, par exemple. Trudeau n’a pas hésité à imposer des mesures autoritaires, confinant, limitant les libertés individuelles, tout en enrichissant les grandes entreprises pharmaceutiques et en marginalisant ceux qui osaient remettre en question la ligne officielle.
Et bien sûr, comment oublier son gel des comptes bancaires lors des manifestations des camionneurs ? Quand des citoyens canadiens, excédés par les restrictions sanitaires, ont osé défier le gouvernement, Trudeau a sorti les grands moyens : geler leurs comptes en banque sans procès, les étrangler financièrement, tout cela avec la bénédiction des banques. Encore une belle performance d’un pantin fidèle à la cause mondialiste.
Alors maintenant, passons à la douce Jacinda Ardern, l’autre star du réseau des Young Global Leaders, qui a fait de la Nouvelle-Zélande un véritable État policier sous prétexte de "protéger la santé publique". La crise du Covid-19 a été l’occasion rêvée pour Ardern d’introduire des mesures qui feraient rougir Big Brother. Confinements stricts, traçage numérique des citoyens, quarantaine forcée, et tout cela en agitant la bannière de la "solidarité".
Mais ce n’est pas tout. Sous son règne, la liberté d’expression a été méthodiquement érodée. Toute critique des mesures gouvernementales a été présentée comme dangereuse, et les dissidents ont été muselés sous des lois anti-désinformation. Ardern a été la parfaite exécutante de cette stratégie : un visage souriant et bienveillant à la surface, mais une poigne de fer invisible qui s’assure que personne ne s’écarte du chemin tracé par le Forum Économique Mondial.
Et que dire de l’Australie, ce continent-prison grâce aux bons soins de Scott Morrison, un autre produit parfaitement calibré du réseau Schwab. Morrison a transformé l’Australie en un terrain d’expérimentation pour les mesures liberticides, à commencer par des camps de quarantaine pour ceux qui refusaient de se plier aux diktats sanitaires. Qui aurait cru que l’Australie, pays des vastes étendues et de la liberté, deviendrait une zone de non-droit où la police traque les citoyens qui ont osé respirer sans masque ou désobéir aux couvre-feux ?
Mais ce n'est pas que la santé publique. Morrison a également supervisé la privatisation massive de ressources australiennes, laissant les multinationales internationales mettre la main sur des pans entiers de l’économie australienne, des mines aux infrastructures énergétiques. Et devinez à qui appartiennent ces sociétés ? Aux 13 familles ! Là encore, le modèle est toujours le même : affaiblir les nations pour les rendre dépendantes du système globaliste qu’il sert.
L’Allemagne aussi a eu son lot de marionnettes mondialistes. Angela Merkel, une autre Young Global Leader, a joué un rôle clé dans la mise en place de l’austérité en Europe, imposant des politiques budgétaires draconiennes qui ont écrasé des pays comme la Grèce sous une dette insurmontable. Merkel a agi comme une administratrice dévouée de l’Union Européenne, exécutant, avec une précision allemande, les ordres des institutions financières internationales.
Quand à son successeur, Olaf Scholz, il suit exactement le même chemin. En véritable exécutant des intérêts mondialistes, Scholz s’est assuré que l’Allemagne reste une locomotive économique au service des multinationales, tout en fermant les yeux sur les besoins sociaux de son propre peuple. Pendant ce temps, les citoyens allemands voient leurs services publics se dégrader, tandis que le pouvoir financier se concentre toujours plus dans les mains des élites internationales.
Enfin, comment ne pas mentionner Mario Draghi, "l’homme providentiel" de l’Italie, ancien banquier central et, bien entendu, Young Global Leader de la première heure. Draghi n'a jamais caché son allégeance aux banques et au système financier mondialiste. Sa nomination en tant que Premier ministre de l’Italie a été saluée par les élites comme une victoire, et pour cause : Draghi a passé son temps à imposer des réformes économiques pro-multinationales, tout en continuant à accumuler la dette publique italienne à des niveaux astronomiques.
Comme toujours, l’objectif est de rendre le pays dépendant des institutions financières internationales, pour pouvoir ensuite imposer des politiques d’austérité qui enrichissent les élites et étranglent les citoyens ordinaires.
Mais la cerise sur ce gâteau empoisonné, c'est quand même Ursula von der Leyen, l'une des plus grandes réussites du réseau des Young Global Leaders. Et dont le fils est à la tête de McKinsey Europe, celui de Schwab, McKinsey Asie, et celui de Fabius, McKinsey France. Bref, je m'égare ! Von der Leyen, ejectée d’Allemagne pour corruption, a trouvé une nouvelle couronne à Bruxelles, où elle peut tranquillement continuer ses machinations, bien à l'abri des critiques sous le voile de la bureaucratie européenne. Aujourd'hui, elle règne sur l’Union Européenne comme une impératrice sans couronne, transformant cette institution corrompue en une machine dictatoriale et belliqueuse, toujours sous les ordres de ses maîtres mondialistes.
Commençons par rappeler pourquoi l'Allemagne l’a si facilement éjectée. Ursula von der Leyen, ministre de la Défense allemande, a laissé une armée en ruine, mais plus important encore, elle s’est retrouvée au cœur d’un énorme scandale de corruption, lié à des contrats publics accordés à des consultants privés pour des millions d’euros. McKinsey, bien sûr, était dans le coup ! Mais dans ce grand théâtre de la politique, quand une marionnette mondialiste tombe en disgrâce dans un pays, elle est rapidement recyclée ailleurs, là où elle pourra continuer à servir les intérêts de ses maîtres.
C’est ainsi qu’elle a été parachutée à la tête de l'Union Européenne. Et là, elle a pu montrer l’étendue de son zèle au service de ses maîtres, les élites mondialistes. Mais que fait-elle exactement à la tête de l'UE ? Elle obéit, bien sûr, exécutant sans broncher le plan destiné à centraliser toujours plus de pouvoir à Bruxelles, au détriment des États-nations, et à servir les intérêts des multinationales en ruinant les peuples.
Depuis son arrivée à la tête de l'UE, Von der Leyen s’est appliquée à concentrer le pouvoir dans les mains des bureaucrates non élus de Bruxelles. Prenons par exemple sa gestion de l'arnaque du Covid. Ursula a acheté des millions de doses de vaccins sans la moindre transparence, négociant en secret avec les géants pharmaceutiques – et bien sûr, Pfizer, une entreprise où les intérêts financiers des grandes familles mondialistes ne sont plus à démontrer. Le résultat ? Un contrat de plusieurs milliards d’euros signé avec de l’argent public, sans qu’aucun citoyen ne sache réellement ce qui se passait dans ces négociations obscures. En revanche, elle a reçu des rétro-commissions, et son mari, des subventions !
Mais au-delà de la corruption, ce qui est réellement frappant, c’est comment Ursula transforme l'UE en une dictature technocratique, une machine implacable qui impose ses lois aux États membres, toujours contre la volonté de leurs peuples. Elle a pris pour cible les nations réfractaires, comme la Pologne et la Hongrie, en brandissant des sanctions financières pour forcer ces pays à se plier aux dogmes mondialistes sur des questions de gouvernance, de justice ou de politique migratoire. Sous sa direction, l’UE ne cherche pas à unir l'Europe, mais à briser la souveraineté des États qui osent défier le diktat de Bruxelles, et donc du WEF.
Et puis, il y a l'Ukraine. Sous sa présidence, l’Union Européenne est devenue un acteur belliqueux, finançant sans relâche une guerre qui n'a aucun intérêt pour les Européens mais qui, bien sûr, sert parfaitement les intérêts de l’oligarchie mondialiste. Pourquoi ? Parce que cette guerre en Ukraine est une bénédiction pour les industries de l’armement, détenues en grande partie par les mêmes familles qui dirigent le monde (les 13...) à travers des entreprises comme Lockheed Martin ou Northrop Grumman, où BlackRock et Vanguard ont d’importants intérêts. Sans parler des terres agricoles ukrainiennes qu'ils volent littéralement !
Sous la houlette de la hyène, l’UE a promis des milliards d’euros à l'Ukraine, tout en finançant indirectement l’effort de guerre contre la Russie. Les Ukrainiens sont littéralement envoyés à l’abattoir, avec la promesse illusoire d’un soutien indéfectible de l’Occident, pendant que les oligarques européens se remplissent les poches grâce aux contrats d’armement. Ursula ne s’intéresse pas aux morts ukrainiens, aux familles brisées ou à la dévastation économique de l’Europe. Non, son rôle est de pousser l’UE dans cette guerre sans fin pour affaiblir la Russie et enrichir les marchés financiers et l’industrie de la guerre.
Et ce n’est pas tout : l'Europe, sous sa direction, s’enfonce dans une spirale inflationniste avec les sanctions économiques contre la Russie, qui se retournent maintenant contre les citoyens européens. Les prix de l’énergie explosent, les économies s'effondrent, les entreprises ferment, mais que fait Ursula ? Elle continue, imperturbable, suivant la feuille de route mondialiste qui a pour objectif d'affaiblir les nations européennes, d'appauvrir leurs populations, et de les rendre totalement dépendantes de l'élite dirigeante.
Le rôle de cette furie, descendante de nazi, n’est pas seulement celui d’une bureaucrate obéissante. Elle est là pour transformer l’Union Européenne en un levier de guerre, un instrument de chaos perpétuel, servant à maintenir les nations en état de faiblesse et à renforcer la mainmise des élites globales. Elle ne se contente pas de détruire la paix en Europe, elle orchestrerait volontiers l’extension du conflit, tout en distribuant les bénéfices des destructions à ses amis dans l’industrie de l’armement et de la finance.
Pendant que les Ukrainiens se font massacrer sur le champ de bataille et que les citoyens européens paient la facture énergétique et économique, Ursula von der Leyen continue de jongler entre corruption, guerre et austérité. Et tout cela, bien sûr, sous le prisme d’une fausse bienveillance, drapée dans des discours vides sur la "démocratie" et la "solidarité", pendant qu'elle enfonce l’Europe dans la ruine.
En résumé, elle est l’incarnation parfaite de la marionnette mondialiste, une Young Global Leader triée sur le volet, programmée pour exécuter sans remords les ordres des élites. Elle transforme l’Union Européenne en un monstre bureaucratique, imposant des politiques autoritaires, alimentant les conflits internationaux, et faisant passer les profits des banques et des multinationales avant le bien-être des peuples européens. Une traîtresse à son propre peuple, pilotée par les mêmes forces qui dirigent le monde depuis les salons feutrés de Davos et des grandes banques d’investissement.
On le constate, les Young Global Leaders ne sont pas là pour gouverner ou représenter leurs peuples. Ils sont sélectionnés et formés pour être les zélateurs du globalisme, des administrateurs dociles d’un plan mondialiste qui, derrière un discours de "progrès" et de "modernité", ne vise qu’à concentrer le pouvoir entre les mains d’une élite restreinte, tout en réduisant les nations et leurs citoyens à l’état de simples rouages dans une machine mondialisée.
Les Merkel, Macron, Trudeau, Ardern, Morrison et autres sbires malfaisants ne sont que des pantins, et leurs forfaitures ne sont pas des erreurs ou des accidents, mais bien le produit d’une stratégie orchestrée d'une main de fer pour soumettre le monde à un ordre global où les peuples n’ont plus leur mot à dire.
Phil BROQ.
Commentaires
Enregistrer un commentaire