LA GUERRE DES B*TES COUPEES...

Un titre plus choquant que "la guerre des circoncis," qui pourrait sembler amusant et destiné à attirer le chaland, mais qui, au fond, est aussi épineux qu'un cactus dans un salon de thé. 

Dans un monde où seul le commerce de la guerre trône en majesté, surpassant même le trafic de drogue et la prostitution, on pourrait presque en rire… si ce n'était pas aussi tragique pour toutes ces victimes innocentes. Victimes de ces horribles suprématistes de tous bords. Mais, ce n’est qu'un grand cirque, qui dure depuis des siècles, où les vrais marionnettistes restent toujours invisibles, et où tout le monde sait exactement ce qui se trame, in fine, mais préfère surtout regarder ailleurs.

Parlons de la France. Un pays où le peuple n'est plus qu'une masse amorphe d'individus englués dans une béatitude consentie. Pendant que les révoltés de canapés s’épanouissent comme des champignons après la pluie, nos "dissidents" des bacs à sable s’enflamment sur des débats aussi futiles que l'arrivée d'un autre ministre de l'Europe pour nous taxer encore et toujours plus, sans aucune retenue, ni opposition. 

Qui prend le temps de s’inquiéter des véritables enjeux vitaux ? Personne ! On préfère s’attarder sur des sujets plus "consensuels", offerts ou dictés par les MeRdias, tout en omettant scrupuleusement de dénoncer les véritables fléaux et leurs protagonistes qui minent le cœur notre société.

Et évoquons, juste une seconde, Les bi-nationaux qui dictent nos lois, les véritables prédateurs de notre Raie-publique s’installant confortablement au sommet de la pyramide pour nous asservir corps et âmes à leurs délires, en siphonnant nos économies. Ce système archi corrompu qui nous sert d'état, organisé comme une bande de truands et de petits marquis inutiles mais couteux, continue de dépenser des sommes colossales pour leurs fêtes somptueuses ou leurs manigances détestables, rackettant systématiquement les citoyens pour pérenniser leur pouvoir et emprise. Cette Raie-publique est devenue l’ennemi juré de ses propres citoyens, dans un drame tragique que nous choisissons tous les jours d’ignorer.

À côté de cela, les vraies menaces continuent de grandir et de s'installer pour longtemps: hyper-technologie intrusive, impossibilité de reconstruire notre tissu industriel, milice d'état ultra violente, justice inexistante, gouvernance de voyous, corruption partout, dette colossale et insurmontable, héritée de l’ère Pompidou, qui nous effacent du monde libre. 

Qui se souvient encore que ce même Pompidou, premier banquier Rothschild, nous a planté un coup de couteau dans le dos avec ses lois ? Et que notre cher Macron, également issu de cette ignoble lignée bancaire, se comporte comme un monarque, les yeux rivés sur son propre enrichissement et sa soif de pervers narcissique au détriment du peuple.

Pendant ce temps, nos magistrats, cette armée de gauchistes minables et corrompus, préfèrent laisser couler le pays plutôt que de condamner les véritables coupables. La surveillance de masse se généralise, entraînant la promesse d’une prison numérique, alors que notre avenir s’évapore sous nos yeux, comme un mauvais tour de magie. Qui s’en soucie encore, alors qu’un bon petit tweet bien placé, suffit à occuper les esprits pour la journée ?

Le déni est devenu notre meilleur ami, et la complaisance, un lot quotidien où l'on se vautre avec aisance. Plutôt que de se lever et d’abattre cet état devenu aussi tyrannique que maléfique, le peuple se complaît dans une réalité préfabriquée à coups de faux débats et de distractions médiatiques. En fin de compte, alors que la France se dissout lentement, nous continuons à applaudir le spectacle, pensant qu'il suffit de critiquer le décor sans jamais regarder les coulisses. 

C'est la loi de la vie, quand tu n'es pas apte à te défendre, ni protéger tes enfants, tu disparais… Alors, dans ces conditions, vive la guerre ! Au moins, ça nettoie le troupeau de cons que sont ces veaux,  moutons,  pigeons,  castors et  autruches qui encombrent le paysage depuis trop longtemps. De toute façon, les injections font déjà le bouleau !

Il n'est même plus temps d’essayer d'informer ou d'ouvrir les yeux de ce peuple engoncé dans sa douce torpeur. Nous avons franchi le point de non-retour, là où l’illusion d’une vie paisible a remplacé la volonté d’agir. Les véritables enjeux, ces monstres tapis dans l’ombre de notre quotidien, continuent de nous échapper, comme des fantômes dans la nuit, pendant que notre pays s’éteint lentement, avalé par l’indifférence générale. 

Regardez autour de vous, ces foules happées par des écrans, cette jeunesse hypnotisée par des divertissements insignifiants, ces ainés refusant de sortir de leur égoïsme, ces parents maltraitant leurs enfants sur demande, ces milliers de clandestins violeurs et tueurs dans toutes les rues des villages, tandis que les véritables problèmes – la dégradation de nos institutions, la montée de l’autoritarisme, l’éradication de nos libertés – s’épanouissent à nos portes, sans que personne ne cherche à les empêcher. Cette dépravation et cette décadence morale se sont installées comme une mauvaise herbe tenace levant les pavés dans un jardin oublié, et nous, spectateurs de notre propre chute, continuons à regarder sans jamais réagir.

Et que dire des "hommes" qui peuplent ce sol désormais dépravé ? On dirait que le sens de la responsabilité collective a disparu, remplacé par une quête égoïste de confort personnel. Les véritables héros, ceux qui osaient défier l’ordre établi, sont étouffés par le bruit assourdissant de l’indifférence ambiante. Ces voix courageuses se heurtant à un mur de désintérêt, perdant leur écho dans un océan de passivité. 

La société française, autrefois vibrante d’idées et de débats, qui a fait notre renommée planétaire, ressemble désormais à une mauvaise scène de théâtre, mal jouée, où tout le monde tient son rôle à la perfection, sans jamais vouloir se soucier du drame qui se déroule derrière le rideau. Pendant que les élites continuent de manigancer notre suicide, les citoyens se complaisent dans un confort illusoire, comme des grenouilles dans une casserole d’eau chaude, ignorant la température qui monte lentement mais très sûrement.

Il est tragique de constater que cette apathie est le fruit d’un système qui, par ses manipulations, a réussi à déshumaniser les individus. La consommation effrénée, la désinformation et la surveillance généralisée ont façonné une société d’êtres désincarnés, où l’empathie et la solidarité semblent avoir été reléguées aux oubliettes de ce qui était autrefois la base de l'humanité. Ainsi, dans ce tableau dégradé, où chacun se bat pour sa propre survie dans une compétition malsaine, il devient de plus en plus évident que la véritable lutte n’est plus seulement contre un gouvernement défaillant, mais contre cette indifférence, cette torpeur qui a envahi les esprits. Mais comme nous ne faisons rien, alors oui, notre pays s’éteindra doucement ou non, tandis que nous resterons là, témoins passifs de notre propre désintégration. Refusant le réveil, nous acceptons que ce soit notre triste et funeste destinée.

Le spectacle que nous offrent les MeRdias à la solde des oligarques est divertissant, il est vrai. C'est d'ailleurs le but même de la propagande, divertir pendant que le pire se passe sous nos yeux ! Les actualités défilent comme des scènes d'un film catastrophe et sanglant, tentant et persistant à créer la peur dans les cœurs alors que le public abruti, reste assis dans son fauteuil moelleux acheté à crédit, continuant de consommer des pop-corn OGM et de l'eau empoisonnée, persuadé que tout va toujours bien dans le meilleur des mondes, puisque lui n'a rien ! 

Les oligarques, avec leur sourire en coin, s'accrochent à leurs chapeaux haut de forme, riant aux éclats de voir les foules s’agiter pour des miettes, en place et lieu de les punir définitivement, eux et leurs engeances. Le pacifisme restant le seul argument des lâches ! Car, avouons-le, ce qu’on appelle la "paix" n'est en réalité qu'un accord tacite pour laisser prospérer, sans s'y opposer, le commerce de la guerre et l'hégémonie anglo-saxonne sioniste cachée aux USA. 

Avec des budgets militaires qui feraient rougir les plus grandes entreprises, ou simplement feraient un monde meilleur, il est clair que les véritables bénéficiaires de cette mascarade sont ceux qui, en coulisses, tirent les ficelles et empochent les bénéfices. Ils nous vendent des armes tout en brandissant le drapeau de la liberté, un paradoxe savoureux qui mérite un clin d'œil cynique. Ils ont finalement raison de nous faire la guerre souvent, car il faut en éliminer, régulièrement, un paquet  de ces cons qui vivent sur cette Terre, sans même comprendre ce qu'ils y font !

Et parlons des enjeux plus sombres, que là aussi tout le monde voit : la prostitution, devenue trop souvent infantile, se glisse à la suite du commerce d’armement, mais toujours devant la Drogue. De toutes façons, c'est bon pour le PIB. On parle ici d'une industrie tellement florissante, où l'exploitation est maquillée par des lois laxistes et un déni généralisé, que toutes les "élites" s'y vautrent allégrement. Sachant qu'en France la pédophilie n'est même pas condamnable et qu'en Israël elle est même encouragée ! (Tous les rabbins de new-York le savent, tout comme Tom Hanks, c'est pour cela qu'ils y vont tous, pour s'y réfugier). Pendant que les consciences s’endorment, le vrai monde se nourrit toujours plus des souffrances des plus vulnérables.

La guerre des circoncis, c’est aussi cela : un grand spectacle orchestré par les puissants, qui nous divertissent tout en nous dépouillant allègrement. Pourquoi hésiteraient-ils ? Face à un troupeau aussi docile et distrait, applaudissant sans réfléchir, se demandant quel sexe choisir pour leurs enfants à Noël - ou devrais-je dire Hanoukka - tant le pays semble gangrené par des enjeux de pouvoir et de manipulation imposés par cette population de circoncis. 

Parce que Juif ou musulman, c'est juste les deux cotés de la même médaille, qui écrase et asservit ce pays. Anciennement chrétienne, la France est devenue wokiste, grâce à la gauche caviar et aux imports "made in USA" ! Les rats se multiplient dans les ruelles de Paris aussi vite que dans les strates du pouvoir, tandis que les vrais problèmes, désormais vitaux, se diluent dans un océan d’indifférence.

Mais tant que la télé, avec ses paillettes et ses fake news, reste cette scène de théâtre pour neuneus hypnotisés, les libertés et notre avenir fondront comme une glace au soleil. Les gens regardent de plus ne plus d'horreurs avec un sourire béat, s'amusant des absurdités du quotidien, préférant le confort d’une série télé à la lutte pour leur intégrité physique et mentale. 

Ainsi, les nouveaux rebelles, de canapé, confortablement installés devant leur seul ami qu'est leur smartphone, s'égarent des heures entières dans des discussions inutiles et stériles sur Twitter, Snapchat ou TikTok, pensant faire résonner leur voix ou avoir le moindre poids dans cet océan de vacarme stérile. Leur rébellion, à coups de tweets peut bien continuer, puisqu'elle ne dérange vraiment aucun des faiseurs de malheur. Mais pendant ce temps, la réalité continue de s’assombrir, emportée par un système mortifère et violent qui ne demande qu’à perdurer grâce à nos deniers.

Nous sommes tous spectateurs d’un drame, où la manipulation et l’indifférence se marient dans une danse macabre et dont les dernières notes de musique approchent aussi vite que le bruit des bottes. Les véritables enjeux sont là, sous nos yeux, mais tant que l’écran scintille, nous restons figés, les bras croisés, attendant que le prochain épisode commence. 

Je ne peux même plus dire qu'il est temps de sortir de cette torpeur et de réaliser que notre avenir est interdit, tant les combattants manquent, ou sont déjà tous embauchés dans la milice qui nous maltraite au nom d'une raie-publique de voyous que rien n'arrête.

Alors, avec ce constat à la fois triste et accablant, levons nos verres à cette farce grandiose, à cette danse suicidaire où les vérités se perdent dans le vacarme des explosions virtuelles, là-bas, à l’autre bout du monde, avant de frapper inexorablement, bientôt à votre porte. Car, au fond, dans cette guerre éternelle et volontaire entre circoncis qui rêvent de suprématie, c’est bien le silence de nos âmes – chrétiennes,  ou simplement humaines – qui résonne encore le plus fort dans ce pays.

Chers français, spectateurs de ce drame, il est temps de se regarder dans le miroir. Qui a permis cette lente dégradation ? Qui applaudit encore devant ce spectacle pathétique, les yeux rivés sur l'écran, tandis que la manipulation opère en sourdine ? Les bites coupées de tous bords, même pas de ce pays, habiles et patients architectes de notre désolation, savent jouer de notre inertie pour nous plonger un peu plus dans l’obscurité qui est leur véritable patrie. 

Et pendant que nous rions et nous moquons, faute de pouvoir et vouloir se rebeller sans pacifisme, la France s’éteint lentement, comme une flamme vacillante sur le point de se noyer dans cette cire qu'elle a elle même produite.

À quel moment allez-vous sortir de cette torpeur ? Quand comprendrez-vous que c'est notre passivité qui est responsable et complice de cette destruction ? Y-a-t 'il encore une once de courage et de panache dans cette contrée, jadis Terre d'excellence et de chevaliers ? 

Car en définitive, ceux qui se sont vraiment coupés la bite - émasculés volontaires -, ce sont surtout les Français. Devenant des eunuques, sans honneur ni panache. Incapable de retrouver une once de virilité pour défendre leurs enfants et leur patrie face à ces hordes malfaisantes et emplies de mépris. Ce qui était jadis un pays, n'est plus qu'une autre colonie, entretenant ces êtres circoncis.

Les vérités, autrefois criantes, deviennent des murmures étouffés, noyées par nos choix de confort et de distractions surannées. Préférant se croire "humaniste" en accueillant l'inacceptable, plutôt que d'exiger le respect de notre culture en défendant nos progénitures. Et comme nous ne réagissons pas, comme nous continuons à baisser les yeux et à détourner le regard, nous ne serons plus que des ombres, dans cette tragédie, qui voient le dernier acte arriver sans surprises.

Alors, levons nos verres, mais non pas pour célébrer, mais pour commencer à réfléchir, pour enfin agir et reprendre en main notre destinée. Puisqu'il vaut mieux être saoul que con, car il parait que ça dure moins longtemps !

Cependant, la libération ne se fera pas sans faire couler du sang et des larmes, sans combattre pour sauver ce qu'il reste d'une pauvre vie déjà sacrifiée, même enchainés à ces utopies pacifistes. Parce que la liberté comme la vie, ça ne se défend pas avec des tweets, mais avec les tripes ! 

Alors, à la vôtre, et que ce soit un toast à la prise de conscience, à la résilience et, surtout, à l’espoir d’un réveil qui ne saurait tarder plus, tant l'urgence est grande. Car dans le cas contraire, il ne restera bientôt plus rien à célébrer d'autre que de s'être soi-même coupé... de la vie !

Phil BROQ.


 



Commentaires

  1. EL EFECTO CORIOLANO. LA GRAN TRAICIÓN DE LAS ÉLITES https://anunnakibot.blogspot.com/2024/10/01-58-anunnakibot-el-efecto-coriolano.html

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    1. es cierto, pero hay que empezar por cautivar a la gente antes de ir más lejos en la enseñanza!

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  2. Remarquable édito comme d'habitude. Vous éveillez les âmes perdues . Merci d'être ce que vous êtes !

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    1. Merci surtout à vous de me lire et de partager, sans cela , mon travail n'aurait aucune raison d'être !!

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    2. Il a plus qu'une raison d'être, il est INDISPENSABLE !! Merci encore , votre travail est absolument remarquable !

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    3. Merci infiniment !

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