LA GRANDE FARCE DU MENSONGE CLIMATIQUE

Bienvenue dans l’ère des prophètes de malheur, où la réalité climatique est outrageusement manipulée par des forces obscures. Récemment, une tempête a frappé de façon très dirigée la Floride, (un État qui vote massivement pour Trump, noyant sa maison et mettant des milliers de personnes à la rue , pendant que la FEMA empêche toute forme de secours !), illustrant à quel point notre climat, modifié artificiellement par de nombreuses manipulations qui n'ont rien de naturelles, est devenu un terrain de jeu pour ces élites malveillantes. Des apprentis sorciers, armés de technologies dangereuses, orchestrent des catastrophes climatiques qui sèment la peur et le chaos, non seulement en Floride, mais aussi en Europe centrale depuis plus d'un mois à présent. Noyant tout sur son passage et fatalement, créant les premiers réfugiés climatiques européens, dans une indifférence notable.

Alors que ces forces inavouées transforment les événements météorologiques en armes de désinformation massive, la narration alarmiste qui nous entoure nous pousse à croire que notre survie dépend de sacrifices toujours plus grands et surtout du vol de nos économies. Dans cet article, nous explorerons cette manipulation, où la lutte contre le réchauffement climatique devient un prétexte pour asservir encore plus les peuples récalcitrants et siphonner leurs dernières ressources, tout en profitant de la propagande désinformation ambiante. Ouvrons les yeux sur cette mascarade climatique qui nous veut nous dépouiller et nous maintient dans l’ignorance.

Bienvenue dans la folie de la guerre climatique orchestrée par ces prêtres du réchauffement climatique, ou devrais-je dire "ces Ayatollahs du CO²". Car selon leurs saintes écritures, financées par le WEF, évidemment, l’Apocalypse est encore et toujours à nos portes : glaciers en pleine fonte, océans menaçants, la planète qui crame sous nos pieds. Comme depuis les 60 dernières années... Où rien ne s'est produit d'autres que le développement inouï de l'ingénierie climatique, trafiquant abusivement notre climat,  comme une arme dirigée quotidiennement contre les peuples.

Et vous, pauvres spectateurs impuissants, êtes priés d'applaudir la pièce tout en vidant votre portefeuille et abandonnant vos maisons. Parce qu'on le sait, maintenant, seul votre argent peut arrêter un ouragan !! Mais arrêtons-nous deux minutes. Qui orchestre vraiment ce spectacle apocalyptique ? Car ce n'est ni la nature, ni l’intérêt général … Qui a intérêt à mettre des milliers de gens à la rue, pour ensuite les "injecter" d'identification numérique contre eau et nourriture ? Qui à besoin de déplacer et éliminer les populations ? BlackRock, bien sur !

Ce qu’on nous vend sous le label "Sauver la planète", est une manipulation pure et simple, soigneusement orchestrée par une élite avide de pouvoir, et surtout, de profits. Ceux-là mêmes qui agitent sous notre nez des chiffres terrifiants, des modélisations apocalyptiques, et des pseudo-catastrophes concoctées et dévoyées dans des bureaux feutrés. 

Leur but ? Vous convaincre que la fin est proche, alors que tout ça n’est qu’une illusion savamment entretenue. Un grand spectacle de marionnettes, où vous êtes à la fois le public et la cible sous les projecteurs.

Lorsque vous prenez votre véhicule, c’est rarement par plaisir coupable de "brûler" du carburant juste pour le fun. Non, généralement c'est parce que vous n'avez pas d'autre choix : aller bosser, faire les courses, ramener les enfants… Peu importe la raison, vous n'êtes pas là à faire des ronds de fumée dans le ciel pour vous amuser. Mais pendant ce temps, savez-vous réellement ce qu'il se passe juste au-dessus de vos têtes ? Avez-vous la moindre idée du ballet incessant des avions commerciaux ou non, jets privés et autres cargos militaires qui se moquent éperdument de votre petite vignette "Crit'Air" ? Et parlons des océans, combien de mastodontes flottants y croisent, jour et nuit, brûlant des tonnes de fioul lourd pour acheminer des produits dont vous ne soupçonnez même pas l'origine ?

Faites le calcul : des milliards de produits que vous consommez quotidiennement ont fait un petit tour du globe pour arriver jusque dans vos mains. Et vous, brave citoyen, on vous fait culpabiliser parce que vous osez prendre votre voiture pour aller bosser ? Tout cela pendant que les vrais pollueurs se régalent de vos efforts dérisoires pour sauver la planète. Et bien sûr, cette magnifique manipulation ne manque pas de rapporter des milliards sur les marchés financiers. Ces marchés qui, par une coïncidence étonnante, ne vous rapportent rien à vous, mais qui sont bien utiles pour mieux vous culpabiliser. Vous êtes l'idiot responsable du désastre écologique, évidemment. Nous sommes à l’ère des crétins qui paient pendant que d'autres profitent ? Alors, "Crit'Air" ou plutôt "Crétin'ère" ? 

Le grand méchant de ce conte moderne ? Le CO², bien sûr ! Si l’on en croit les apôtres de la panique climatique, chaque respiration que vous prenez est une traître contribution à l'extinction de l’humanité. Pourtant, le CO², ce même gaz qui fait verdir la planète depuis des milliards d’années, est désormais présenté comme un poison mortel. On omet soigneusement de vous dire que lors des périodes géologiques où le CO² était dix fois plus élevé, la Terre foisonnait de vie. 

Plus de CO² ? C'est plus de plantes et plus de vie. Et au cas où vous l’auriez raté, les dernières décennies ont vu la végétation mondiale bondir de 20% grâce à une légère hausse du CO². Catastrophe écologique, vraiment  ? Vous voyez l’ironie ?

Car si la Terre se met à produire davantage de légumes, de fruits, et de bonnes herbes pour nos braves ruminants, devinez quoi ? Plus besoin de cette obsession absurde pour les insectes croustillants, ces OGM mutants ou même des vaccins pour nos animaux. Le scénario cauchemardesque des larves au menu disparaît, tout comme la mainmise de ces entreprises toxiques, pilotées par nos chers oligarques de l'agro-industrie, sur nos assiettes.

Et là, tout s’effondre pour eux. Plus de dépendance à ces corporations méphitiques, plus besoin de leurs graines brevetées, de leurs pesticides miracles ou de leurs potions chimiques. C'est le retour du bon vieux "bon sens agricole" : des vaches heureuses dans les prés, des légumes qui poussent sans assistance de Frankenstein, et des agriculteurs libérés des chaînes de l’agro-business.

Mais attendez, ça ne s’arrête pas là. Si la gestion des ressources devient aussi simple que de laisser la nature faire ce qu’elle fait depuis des millions d’années, alors c'est un autre coup dur pour nos chers gouvernants. Plus besoin de leur bureaucratie étouffante pour réguler chaque brin d’herbe ou chaque goutte d’eau. Finis les impôts verts inventés pour "gérer" ces ressources, qui ne servaient qu'à engraisser toujours les mêmes décideurs. Imaginez, un monde où les impôts ne seraient plus nécessaires pour gaver les gouvernements et leurs copains des multinationales. Quelle tragédie pour eux, non ? Parce que la seule chose qui soit verte là dedans, c'est la couleur des dollars.

On diabolise le CO² avec une telle ferveur qu’on en oublie la véritable star des gaz à effet de serre : la vapeur d’eau, responsable de la majeure partie de l’effet de serre avec les produits chimiques des usines qu'elle transporte. Mais pourquoi s’embarrasser de détails scientifiques quand on peut blâmer un coupable plus pratique, plus rentable ? C’est tellement plus simple de pointer du doigt ce qui sert les intérêts de nos chers milliardaires escrologistes.

En conséquence, le WEF et d'autres fanatiques du climat mondialistes exigent maintenant que les gouvernements interviennent et interdisent aux individus de cultiver leur propre nourriture afin de “sauver la planète” du réchauffement climatique. S'appuyant sur une étude, sortie en mars 2024 et menée par des scientifiques financés directement par le WEF, de l'Université du Michigan, a été publié dans la revue Nature Villes. Et le premier auteur de l'article, n'est autre que Jake Hawes, brillant esprit mondialiste derrière cette découverte — qui a touché surement le pactole avec cette publication —, a expliqué que les coupables principaux étaient les infrastructures utilisées pour cultiver ces légumes subversifs à domicile... Mais Monsanto, avec ces hectolitres de poison, ça va !

Et puis, on nous balance le fameux "consensus scientifique", cette formule magique censée clore tout débat. En réalité, la science évolue constamment, elle vit du doute, du questionnement. Mais si vous osez remettre en question ce soi-disant "consensus", préparez-vous à être taxé de "négationniste", le mot fourre-tout qui vous bannit du débat. Parce que remettre en cause ces saintes écritures climatiques, c’est presque aussi grave que nier sa gravité. Bienvenue dans l'obscurantisme 2.0 !

Quant aux politiques climatiques, ne vous y trompez pas, elles ne sont là que pour vous plumer sous couvert d'altruisme planétaire. Taxes carbone, restrictions énergétiques, et tout le tintouin. Mais derrière cette façade vertueuse, une poignée d’oligarques se gavent de subventions, de marchés du carbone, et de crédits d’impôt. Warren Buffet, lui, ne s’embarrasse pas de faux-semblants en avouant : "Le seul intérêt des éoliennes, ce sont les crédits d’impôt." Ces fameuses éoliennes, louées comme la solution miracle, tournent mollement, souvent à vide, et, accessoirement, massacrent des millions d'oiseaux tout en dénaturant les plus beaux paysages. Car, la seule chose de renouvelable dans l'éolien et le solaire, ce sont les subventions ! Ironique, non ?

Mais venons-en à la pièce maîtresse de ce grand théâtre : la soi-disant montée des eaux. Voilà des décennies qu'on nous chante cette fable. Les villes côtières vont être englouties, disent-ils. Pourtant, derrière cette narration apocalyptique se cache un vaste programme immobilier secret, piloté par une élite de milliardaires. Oh surprise ! 

Or, depuis 50 ans, ces mêmes puissants achètent des villas somptueuses en bord de mer, à des prix ridiculement bas. Pourquoi ? Parce qu'ils savent très bien que ces terrains ne seront jamais submergés, malgré les prédictions catastrophiques. Ils jouent sur la peur pour faire dégringoler les prix, et pendant que vous tremblez pour Venise, eux rient dans leurs somptueuses propriétés en bord de mer.

Les rapports exagérés sur la fonte des glaciers et l’élévation du niveau des océans ne sont que des outils bien pratiques pour justifier des rachats massifs de propriétés paradisiaques. Pendant que la population gobe ces récits alarmistes, les vrais gagnants sont ceux qui, dans l’ombre, amassent des fortunes immobilières. Ah, le génie ! On nous a vendu une montée des eaux qui n’arrive pas, mais les profits, eux, coulent à flots.

Et si l’on se penche sur d’autres prédictions apocalyptiques, elles sont tout aussi farfelues. L’ours polaire, vous vous souvenez ? Symbolisé comme la victime numéro un du réchauffement climatique. Al Gore, avec son documentaire "Une vérité qui dérange", avait prédit leur disparition imminente. Résultat ? La population d’ours polaires n’a jamais été aussi florissante, et ce, grâce à la réduction de la chasse. Mais Al Gore a capté des milliards de subventions avec son tour de passe-passe. 

La Grande Barrière de Corail, supposément "en train de mourir" en 2009 ? Eh bien, elle se porte aujourd’hui à merveille, avec une couverture corallienne record depuis 1985. Mais chuuut, on ne va pas gâcher une belle histoire apocalyptique avec des faits vérifiables par tous.

Et que dire de Venise, cette ville romantique vouée à disparaître sous les flots, nous dit-on. Mais en réalité, Venise s’enfonce naturellement, rien à voir avec le climat. Mais bon, pourquoi s’embarrasser de détails géologiques quand on peut utiliser cette image poignante pour illustrer la fin du monde ? L’essentiel, c’est de faire frémir, pas d’informer.

Même les îles du Pacifique, comme Tuvalu, qu’on nous promet englouties par la montée des eaux, sont en fait en expansion grâce à l’accumulation de sédiments. Oups. Des faits qui dérangent, mais qui font tache dans la belle narration alarmiste.

Oh, et il y a aussi ces fameuses îles soi-disant englouties ? Elles sont avant tout victimes de l’érosion, provoquée par le dragage de sable, comme aux Maldives, pour construire des îles artificielles comme celles qu’on voit fleurir à Dubaï. Et oui, malgré un désert entier à leur portée, ils ont importé du sable, car il était plus propice à la construction. Mais ça, allez l’expliquer aux climato-catastrophistes, ça risquerait de gâcher leur grand spectacle.

Ceci dit, n’oublions pas le véritable problème : la pollution. Là, oui, on a un vrai souci. Mais au lieu de chercher des solutions pragmatiques pour la réduire, on agite le spectre du climat pour justifier des taxes toujours plus nombreuses et des politiques de plus en plus liberticides. On ne vous parlera jamais de ces entreprises qui ne vivent que sur la destruction de la nature et la production à outrance de plastique. Regardez tous les emballages, l'eau en bouteille, tous les produits chimiques et hautement toxiques que l'on déverse dans les champs et les rivières. 

Parce que dans le fond, qui veut vraiment sauver la planète ? Certainement pas ceux qui continuent de s'enrichir à coups de subventions vertes et de destruction du naturel par leurs solutions chimiques et artificielles. Car, ce sont les pets des vaches et surement pas les Jets et les Yachts des oligarques qui polluent l'air et l'eau, non, ce sont les animaux !! D'ailleurs, Ils ont également affirmé que l'agriculture animale représente 14,5% des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Pour faire simple, les masses doivent cesser de manger de la viande et d'utiliser des combustibles naturels pour atteindre les objectifs de l'élite de nous faire manger des insectes et des produits toxiques infestés de pesticides et dorénavant d'ARNm.

Et ce n’est pas tout. Ces vagues de chaleur, souvent brandies comme le nouveau fléau du climat, tuent beaucoup moins de personnes que le froid extrême, qui demeure le principal facteur de mortalité, surtout dans les pays développés. Mais ça, on préfère l’ignorer, histoire de maintenir le narratif alarmiste bien en place. Sinon, à quoi pourrait bien servir HAARP et la DARPA ?

Et que dire de ces incendies qui ravagent les forêts primaires, lorsque ce ne sont pas exploitation agricoles, un peu partout ? Étrangement, juste après ces feux aussi spontanés qu'inexpliqués, des champs de panneaux solaires ou des complexes immobiliers voient systématiquement le jour sur les cendres encore fumantes. Vous la voyez la coïncidence ?

Tout cela pour vous dire qu'il est temps d'ouvrir vraiment les yeux. Le mensonge climatique est devenu une machine à asservir les peuples, à drainer leurs économies, et à renforcer l'emprise des élites. Les cycles solaires, les volcans, la dynamique des nuages, tout cela a toujours stabilisé le climat, bien avant que des oligarques corrompus décident qu'il fallait tout réécrire. Et que les "escrologistes" en tirent leurs revenus !

La farce a bien assez duré. Il est temps de reprendre notre esprit critique, d’exiger des débats honnêtes et d’en finir avec ce théâtre de l’absurde. Boycottons ces tueurs de nature et engageons la vraie lutte contre la pollution induite par toutes ces multinationales, dont BlackRock est en tête, qui se croient dorénavant propriétaires de la Terre. Mais non à cette mascarade climatique qui n'a d'autre but que de nous priver de nos libertés, nous mettre à leurs dictats et nous appauvrir. Le tout pour servir leur "Agenda 2030" machiavélique destiné à éradiquer l'humanité.

Alors, vivement que vous leviez les yeux au ciel pour constater que nous sommes loin de la fin de ce spectacle déplorable et inacceptable !


Phil BROQ.



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