30 août 2021

L'ENFER ME MENT...

    L'Enfer, du latin "infernus" signifiant "qui est en dessous", est selon de nombreuses religions, un état de souffrance extrême du corps ou de l'esprit humain. Étymologiquement ce mot est aussi à la source de l'enfermement. On parle alors de l'enfermement mental lorsqu'il s'agit d'exclusion sociale ou plus communément de la folie. Alors que l'enfermement corporel est surtout utilisé lorsqu'il s'agit d'emprisonnement, d'internement, de mise en isolement d'un individu. Et c'est exactement cela que nous vivons à l'heure actuelle, un enfer couplé à un enfermement voulu et créé de toutes pièces par cette bande de truands malsains, par ces gouvernants sans vergogne tous plus corrompus les uns que les autres qui ont décidés de nous contraindre de force à leur folie. Ce mythe de l'enfer a exercé une influence considérable sur la culture occidentale après avoir été intégré au dogme chrétien par l'église, dont il contribuera à consolider le pouvoir temporel tout en introduisant un élément de violence au cœur même de la religion. 
    
    Dans son grand ouvrage de théorie politique,"La République", Platon expose le mythe d'Er. Ce mythe sert au philosophe à préciser celle-ci afin d'en faire un instrument du contrôle politique sur lequel puisse se fonder une cité, tout en reprenant les croyances populaires sur l'après-vie. Il est le premier auteur à offrir une description concrète des punitions corporelles graduées qui attendent les méchants après la mort et à marquer la séparation géographique de l'enfer, du purgatoire et du paradis. Mais de nos jours, l'enfer est sur Terre et les geôliers et gardiens sont connus et réputés. Ils font la Une des journaux, ils sont à la tête de toutes les multinationales comme des institutions mondialistes. Et il n'est pas besoin d'être grand clairvoyant pour connaitre leur identité. 

    Dans cette schizophrénie ambiante, fabriquée par les annonces d'un gouvernement à la dérive et alimentée par les médias propagandistes, nous assistons à la mise en place planétaire d'un syndrome d’enfermement. C'est une maladie mentale qui ressemble à un état de stupeur ou à un coma, car les personnes n’ont aucune façon évidente de répondre, même si elles sont totalement conscientes. Bien que certaines personnes atteintes de ce syndrome d’enfermement, tel que le physicien de génie stephen Hawkins, peuvent apprendre à communiquer en utilisant un ordinateur qui interprète l’activité cérébrale et qui peut être contrôlé par les mouvements des yeux et parfois par d’autres moyens, c'est loin d'être le cas de la majorité des personnes qui en souffrent et qui nous entourent à l'heure actuelle. Ce syndrome est généralement provoqué par un AVC, mais peut être causé par le syndrome de Guillain-Barré ou par un cancer qui touche une certaine partie du cerveau. Et ce sont là les 3 grandes causes de dommages corporels qui correspondent à l'inoculation du poison que les hallucinés de Davos ont appelé "Vaccin". 

    Notre monde s'est donc enfermé volontairement dans sa stupeur, il s'est livré corps et âme à la folie d'un groupe d'hommes devenus ultra-puissants financièrement par l'acceptation passive de la grande majorité des humains. Par le pacifisme et la soumission incroyable dont font preuve les dits humains, les élites auto-proclamées ont réussi à mettre à genoux l'ensemble de la planète grâce à une nouvelle doctrine que l'on peut nommer "covidisme" ou "hygiéniste" pour être plus large. Ils ont manipulé la peur, ils ont fabriqué des contraintes inhumaines pour tous ceux qui refusaient de devenir des corps OGM par injections de plus en plus létales de leur soupe chimique expérimentale, ils ont mis en place une série de mesures totalitaires à l'encontre de tous les peuples libres grâce à la duplicité des forces armées, ils ont génocidé les vieux et des malades avec la complicité du corps médical, ils ont détruit l'éclosion de la vie spirituelle et de la jeunesse avec l'assentiment des enseignants, des parents et tous ces gens lobotomisés par leurs écrans. 

    Aujourd’hui synonyme de cataclysme, le terme d'apocalypse, qui veut dire "révélation" en grec, est devenu le mot le plus adapté à la séquence mortelle et suicidaire dans laquelle nous ont plongé cette bande organisée d'assassins milliardaires. Et en signe de symbolisme de leur toute puissance maléfique, c'est effectivement bien de ce terme à présent dévoyé dont il s’agit, puisqu'il est titre du dernier livre de la Bible, qui raconte les derniers temps de l’Histoire humaine. Après avoir vécu les révélations sur leurs malversations politiques, leur corruption systémique, leur pédophilie assumée, leurs délires de sacrifices sanglants à l'encontre des enfants, leur volonté de pollution de tout ce qui est de l'ordre du vivant et de la nature, bref après la démonstration du dévoiement total de notre monde grâce à leur argent, nous y sommes. Ces anomalies humaines que sont tous ces dirigeants, surement à force de consanguinité et mauvaise hérédité, ont décidé qu'ils plongeraient notre monde vers le chaos absolu de toutes les manières possibles et quoi qu'il en coûte.

    Ayant réunis autour d'eux les pires abrutis qu'ils ont armé et assermenté afin d'être en sécurité, ils ont placé leurs pions et marionnettes à la tête de tous les pays pour promouvoir notre extinction prochaine. Si les sionistes, messianistes et talmudistes y ont trouvé leur compte pour satisfaire leur haine et leur vengeance envers tous les peuples de la Terre d'avoir perdu l'ascendant sur les idiots depuis des siècles avec la venue du Christ libérateur, ils ne sont pas les seuls à favoriser notre misère. Ce sont surtout les mondialistes et leur armées de lobbyistes (mot inventé pour cacher un homme corrompu sans foi ni loi et mu uniquement par le gain de pouvoir et d'argent) de tous bords qui ont activé cette déchéance totale, physique comme morale et spirituelle, dans laquelle nous sommes englués. Et ils y ont été aidés par l'inertie de tous face à cette agression inacceptable et quotidienne.

    Car ces groupes de pression n'auraient jamais atteint leurs buts malsains s'il y avait eu la moindre résistance de la part des peuples solidaires et soudés en face d'eux. Ils n'ont fait que profiter de la bêtise des médiocres, de l'incapacité de chacun à défendre sa vie comme celle de ses enfants, de l'acceptation crasse et soumise d'une population ayant refusé volontairement de s'éduquer comme de s'offusquer. Ils ont certes créé des divisions au sein des peuples égoïstes autant qu'égocentriques, mais ils ont surtout su enfermer chacun de nous autour de ses propres petits intérêts personnels au lieu de défendre simplement le droit universel à la vie. C'est donc armés de leur intelligence artificielle que cette bande de tarés mondialistes a réussi à gagner sur notre stupidité naturelle. C'est en flattant l'égo des si nombreux médiocres, de ces abrutis qui se programment volontairement et quotidiennement avec leurs écrans, qu'ils ont pu éteindre la flamme de la conscience que nous avait offert le Divin.

    Notre espèce, de prime abord destinée à jouir des bienfaits gratuits et renouvelables du monde et du jardin créé par Dieu, n'a su que se repaitre de sexe et de sang depuis son avénement.  Nous sommes tous fautifs d'inertie et de manque de courage, de négation de notre être et de refus d'élévation personnelle. Nous allons nous excuser de notre lâcheté et justifier notre médiocrité en manifestant pacifiquement, habillés en clowns et au son des bandas, en place et lieu d'une véritable guerre obligatoirement violente et sanglante contre les forces du mal à l'oeuvre contre nous. Nous ne méritons pas de nous en sortir vivant, tant nous sommes des êtres décadents. Et comme dans "la ferme des animaux" d'Orwell, les cochons ont pris le pouvoir, et nous ne sommes pas mieux que la masse grégaire, grouillante, bêlante et caquetante des animaux qui ont finalement plus de conscience que l'homme, qu'ils ont chassé de ce monde dans cette dystopie à peine romancée.

    Le constat est certes amer, mais sincèrement énoncé, quant à notre incapacité de nous rebeller pour sauver ce qu'il peut encore rester de vivace dans notre humanité. Nous avons perdu notre âme par le truchement du nouveau dieu Argent. Nous avons abdiqué à nous élever par amour de nos biens matériels, nous avons condamné notre espèce à l'enfer par oisiveté et passivité, nous sommes arrivés à la destination finale de notre humanité par notre renoncement forcené. Sans le dernier sursaut de notre dernier vice qu'est l'orgueil, nous ne sortirons pas de cet état de fait induit pas notre médiocrité. Et si nous ne nous levons pas violemment et courageusement aujourd'hui pour contrer cette emprise du mal et du vice sur nos vies, alors rien ne saura sauver demain les quelques miettes qui restent encore debout de ce monde paradisiaque que nous avons gâché par notre lâcheté. 

    Et ce n'est pas demain ou samedi prochain qu'il faut aller manifester en chantant, mais il faut de suite combattre pour gagner, ici, partout et maintenant afin de faire cesser cette chute programmée vers l'abîme de notre destinée. Si l'on veut combattre cet état de fait, il faut s'armer, se regrouper, se préparer et aller lutter dès à présent contre tous ceux qui, enfermés dans leur médiocrité, ont voué leur vie à nous sacrifier. Et si un soupçon d'orgueil vous habite encore, alors il est temps, seul et sans personne d'autre, que vous et votre conscience alliez lutter physiquement, et malheureusement violemment, contre ce groupe de fous mondialistes clairement identifiés. Ne restez pas sous le joug de ces affameurs, mais passez enfin au dessus de vos peurs. 

    Alors, Peuples du monde entier, si vous voulez encore avoir une chance de vivre en liberté, levez vous maintenant, osez combattre le démon jusqu'au sang car sinon demain, vous et vos enfants en serez les uniques perdants...
Et pour très longtemps !
Phil BROQ.

     


28 août 2021

MANIGANCES D'ETAT Vs LEGITIME DEFENSE

     La pire des mafias, jamais mise à l'œuvre dans le monde moderne, est aux manettes. Et cette fois c'est la police et les forces armées qui aident ces assassins à régner en maitre sur notre quotidien. Menaces, vols, extorsions, rackets, humiliations et dépossession sont devenues les usages de cette caste politique qui dirige à l'heure actuelle le monde vers sa déchéance. L'agression perpétuelle des peuples, par cette pseudo élite mondialiste totalement déconnectée du réel est arrivée à son paroxysme dès le début du XXIème siècle, dont la date du 11 septembre fût le signal de départ de cette course à la mort programmée de l'humanité. Notre planète et ses habitants de base vivent donc leur vingtième année de viol en continu. Et rien ne semble pouvoir stopper cette avancée mortelle.

    L’utilisation de la force et du pouvoir, physique comme psychique, pour contraindre, dominer, tuer, détruire ou endommager tout ce qui  jusque là a fait notre monde, est devenu la norme de cette élite auto-proclamée et corrompue jusqu'à la lie. Elle implique aussi bien les coups qu'ont reçu les manifestants lors de la manif pour tous, les blessures subies tout au long du processus des gilets jaunes, la souffrance occasionnée et souvent à long terme pour tous les français spolié de leurs droits élémentaires, ou encore la destruction de la liberté comme des acquis sociaux gagnés par nos ancêtres, sans parler de la destruction des éléments naturels et vitaux. Selon la définition célèbre de Max Weber, un "monopole de la violence légitime" est exercé par les états et celle-ci peut dégénérer en terrorisme d'État ou d'autres formes de violence les plus extrêmes telles que le génocide, que les auteurs tentent alors de légitimer par l'emploi d'oxymores tels que ceux des doctrines de la "guerre juste".

    Les véritables racailles de notre époque ne sont plus dans les quartiers dits défavorisés, mais se nomment BAC, BRAVM, CRS, gendarmes, policiers etc. Toute cette corporation, bien avant la corruption systémique de la justice, est aux ordres d'un tout petit groupe de meurtriers patentés par les milliardaires de Davos. Les forces dites de l'ordre ne sont plus qu'un ramassis d'abrutis, violents, assermentés et sur armés, qui jouent le rôle de miliciens contre le peuple pacifiste et sans défense (et qui paie pourtant leurs salaires). Cette catégorie professionnelle des "Gens d'armes", comprenant les plus stupides et les moins doués des représentants de notre espèce, est devenue en moins de dix ans plus nombreuse que le nombre de paysans qui nous nourrissent, mieux payés que les enseignants qui éduquent, plus choyés que les infirmiers qui soignent et plus protégés dans leurs tenues de robocops contre une population en short et en tee-shirt que s'ils combattaient contre des hordes de paramilitaires  entrainées à la guérilla urbaine.

  Depuis le début de ce siècle, les marionnettes malsaines qui font office de politiques se sont retranchées derrière ce paravent ultra violent que sont ces milices décérébrés, qui officient au grand jour et en toute impunité sous couvert "d'ordres venus d'en haut". Utilisant cette excuse à tout bout de champs pour justifier leurs méfaits quotidiens dans et contre notre société. "Forts avec les faibles et faibles avec les forts", ils ont abandonné depuis longtemps leur rôle de gardiens de la paix pour se concentrer exclusivement à réprimer le citoyen lambda où qu'il soit et quoi qu'il fasse. Laissant les dealers envahir les rues et les écoles et les assassins et égorgeurs courir d'églises en églises. Ils n'endiguent que le droit de s'exprimer par les manifestations pourtant légitime des sans dents, des pauvres, des obéissants, des derniers croyants en la démocratie, tout en laissant les voleurs et violeurs assumés siéger dans les parlements. Les véritables délinquants sont en cols blancs et les pires des scélérats sont armés et assermentés contre l'application du simple droit. 

    Recrutés pour leur incapacité à être de vrais êtres humains, incompétents en tout, au point de n'avoir pas d'autres possibilité de métier, ces tristes individus à l'imbécilité accrue sont regroupés et uniformisés pour détruire la société, pendant que les vrais truands se frottent les mains. On leur fournit armes et protections pour pouvoir exercer leurs vices à l'encontre de toutes les populations. Incapables de savoir discerner le bon et le juste, ils opèrent en meute, tels des chiens dressés à mordre fort dès que l'on s'approche de leurs maitres. Soumis comme des caniches à leur hiérarchie, ils n'en sont pas moins fiers de jouer les lions au milieu des moutons que constitue la majorité de la population. Leur réalité de médiocres étant masquée par leurs aptitudes à frapper fort et durs sur les personnes mettant en lumière l'incohérence et la vraie violence des gouvernants, dont chacun subit les effets. Et ils sont bêtes au point de tuer l'avenir de leurs propres enfants. 

    Accablés par les taxes qui prennent plus de la moitié des salaires, enfermés par des normes et décrets qui empêchent toute liberté, apeuré de pouvoir sortir sous peine de recevoir des PV, mutilés et éborgnés dès qu'ils vont manifester, contrôlés et rackettés lors des contrôles routiers, humiliés et maltraités dès qu'on parle d'eux à la télé, insultés et infantilisés à chaque discours qui est prononcé, les français sont pourtant toujours pacifistes pour aller manifester. Le peuple ne veut jamais détruire ce qu'il a fabriqué ou payé, ni les villes, ni les rues, ni aucun des lieux où s'élisent et s'exercent contre eux les lois faites par les ruiner et les enfermés. Ils n'attaquent jamais, ni les maires, ni les préfets, ni les députés, ni aucune personne politique, dont ils savent pourtant qu'une bonne raclée leur ferait passer l'envie de recommencer. 

    Le peuple est bon et pacifiste par essence et par nature. Seuls des déracinés, des mal éduqués, des enfants trop gâtés peuvent s'abandonner à tout saccager par bêtise, par vice ou par haine. Seule cette petite frange de l'humanité dite "d'en bas", celle des abrutis n'ayant pas reçu ou ayant refusé l'instruction, ne sachant pas vivre autrement que par la rapine et la violence, n'ayant pas d'avenir plus lointain que celui du jour, dans un environnement malsain, peuvent s'adonner à la dégradation volontaire. Mais ceux là, ils sont aujourd'hui les nouveaux rois de ce monde voué à sa destruction par les élites autoproclamées. Ce sont les multirécidivistes qui restent des "chances pour la France", pendant que les familles natives, brimées, maltraité, humiliées, essaient de sauver ce qu'il reste de l'héritage moral et architectural séculaire de leurs ancêtres.

    Connaissant le prix à payer des guerres organisées par les banquiers, sachant le coût du sang versé pour continuer à vivre tel que nos anciens ont lutté pour le créer et  préserver ce monde entier,  étant conscients qu'une petite étincelle pourrait tout faire flamber et pour de longues années, le peuple français si résilient n'a pas vocation, pour l'instant,  à trop se rebeller. Mais à trop pousser le bouchon ou à tirer si fort sur l'élastique, à faire monter si fortement la pression comme la répression, à enlever toute chance d'avenir comme à présent pour leurs enfants, il se pourrait bien que dans un avenir très prochain, ce soit les hommes qui se mettent à mordre les chiens.

    Car, il n'y a pas besoin d'armes sophistiquées pour punir comme on devrait, ceux qui aujourd'hui ont renversé l'ordre normal de ce qu'est une véritable société. Lorsque le nombre est là, déterminé, convaincu qu'il n'a plus rien à perdre de plus puisque tout lui a été enlevé, que les hommes ont retrouvé le courage d'assumer, que les femmes ont retrouvé la conscience de lutter, que les peuples ont compris qu'il s'agit d'un combat ultime pour défendre leur vie, alors la peur, le doute, les exactions et les punitions changeront définitivement de camps. Ce ne sera pas difficile d'entrer dans les cantonnements pour châtier les responsables en uniformes puisqu'ils sont regroupés avec leurs familles dans leurs casernes. Ce ne sera pas non plus compliqué d'aller chercher dans leurs lits les préfets, les députés, les maires et tous les responsables de cette misère. Ce ne sera même pas amoral de faire justice soi même dans un pays ou la justice est absente depuis trop longtemps. Ce ne sera pas non plus la fin, ni la guerre puisque les ennemis sont à portée de main. 

    Mais si cela devait arriver, si cela se produisait, si le peuple enfin s'enflammait et se retournait contre ses geôliers, alors beaucoup de ceux qui se pavanent à l'heure actuelle, ne verraient probablement pas le jour se lever. Peu de ceux qui se croient à l'abri derrière leurs milices surarmées et de leur lois votées pour eux-mêmes, pourraient profiter d'un jour de plus sur cette Terre, et encore moins nombreux seraient ceux qui s'en sortiraient simplement avec la tête rasée. Car, de traîtres à collabos le pas étant si vite franchit, la vindicte populaire, si elle devait s'exprimer à nouveau, ne leur laisserait surement pas la possibilité de se relever et de respirer le jour nouveau. La défense légitime, qui devrait alors s'abattre sur cette petite partie des "gens d'armes" comme sur les responsables politiques de la dérive actuelle, serait si violente et si soudaine, si libératrice et enivrante pour les hommes et les femmes qui construisent ce pays chaque matin de leurs mains, que rien ni personne ne pourrait plus jamais leur enlever leur souveraineté retrouvée.

    Il suffirait de si peu pour que le peuple se soulève vraiment, qu'il reprenne le cours interrompu de son destin, qu'il offre un avenir plus sain à ses enfants. De si peu pour qu'il soit débarrassé à jamais de cette engeance de truands en cols blancs, de cette caste de malfaisants qui se disent gouvernants, de ce groupe de faux puissant qui ne le sont uniquement par le vol de leur argent et de leurs agents corrompus caché sous des uniformes rutilants. Il suffirait de si peu de courage, mais tous ensemble, pour voir le monde redevenir cet Eden où l'on vivait librement. 

    Il suffirait simplement de prendre conscience pour l'ensemble de ces gens, pour tous ceux qui font vivre cette société, pour ceux qui travaillent d'arrache pieds pour donner un élan à leurs enfants, pour tous ceux qui œuvrent au quotidien à construire un monde digne et moral, que leur mort a été programmée par des  banquiers scélérats protégés par une milice armée. S'ils comprenaient que leur ennemi premier est juste à coté d'eux, à table et en famille. Il verraient combien leur oncle, cousin, père, frère qui s'est glissé sous l'uniforme des "gens d'armes" est la cause unique et le rempart ultime de cette gangrène mondialisée.

    Si chacun réalisait combien les rouages de cette machination meurtrière et néfaste sont fragiles. Combien les agents déterminants qui empêchent l'évolution du monde sont assis juste là, à portée de main, chaque jour. Si tous ceux qui connaissent de près ou de loin ces traitre assermentés et le leur faisait payer en les chassant simplement de sous leurs toits, de leurs tables, de leurs fêtes de famille sans même être violents, mais juste fermes et déterminés. En leur disant par exemple "sortez d'ici, quittez cette table vous qui nous condamnez moi et mes enfants,  chaque jour que Dieu fait ! Je n'ai plus rien à partager avec vous, ni repas, ni amitié tant que vous serez dans les forces armées !", alors le monde changerait pacifiquement, radicalement et pour longtemps. 

    Mais ceci n'est qu'un doux rêve de pacifiste, une fiction intellectuelle d'un idéaliste, une volonté pieuse de voir l'homme revenir à la raison par de simples actions, par des paroles sincères et assumées dès lors que l'on possède une conscience éveillée. Car le monde réel est autrement et la violence y est exercée librement par ceux qui sont armés. Dans notre monde, les hommes seront toujours tentés d'abuser de leur autorité, d'user de leur force pour faire plier les faibles, d'assouvir leur brutalité envers ceux qui se laissent dominer. Et par goût du pouvoir beaucoup se laissent tenter et font des choses que leur propre mère interdirait. 

    Alors, en attendant l'éveil de la conscience de chacun, en espérant l'honnêteté des participants, en priant pour que la justice et la bonté entrent dans les cœurs de tous, il faut malheureusement se rendre à l'évidence que pour le moment, c'est la violence, la cupidité, la corruption et la bêtise qui dominent cette période. Il n'existe pas d'autres méthodes plus douces dans cette société sans solidarité pour se préserver. Il n'existe pas non plus d'échappatoire à cette autodestruction orchestrée. Il ne nous reste alors, pour nous protéger de cette violence illégitime à laquelle nous devons faire face si nous ne nous voulons pas périr en condamnant aussi nos descendants, que le sursaut d'orgueil d'un homme vrai, que l'abnégation d'une mère voulant sauver ses enfants, que le courage du condamné qui est de pratiquer réellement et consciemment la légitime défense pour tout arrêter.

Le combat est la seule issue !

Phil BROQ.

    

    



    

    

    

    

26 août 2021

L' ECOLE DE LA VIE...

  En Égypte ancienne, l’éducation des enfants divergeait selon leurs origines sociales et leur sexe. Les enfants de sexe masculin, quelle que soit leur condition sociale, étaient eux appelés à embrasser la carrière de leur père. Les jeunes filles participaient aux tâches domestiques et étaient de ce fait préparées dès leur plus jeune âge à devenir des épouses capables de tenir une maison. On remarque alors deux lieux distincts d’enseignement : "l’ât sebayt" signifiant littéralement le "lieu d’enseignement", que l'on appelle communément l'école et le "per ânkh" signifiant la "Maison de Vie" ; et seuls les enfants issus de la noblesse, de la prêtrise, et de l’administration allaient à l’école. L’enseignement principal consistait à inculquer aux enfants l’apprentissage du hiératique, qui était l’écriture de l’administration. À côté de l’apprentissage de l’écriture et de la lecture, les mathématiques y étaient également enseignées. Les étudiants désireux de se perfectionner dans telle ou telle voie étudiaient alors durant plusieurs années leur spécialité dans une Maison de Vie.

    Les conquêtes d’Alexandre le Grand, puis l'annexion de la Grèce à l'Empire romain, permirent de répandre l’esprit grec, son rationalisme et son humanisme, mais aussi son goût pour l’art de la rhétorique. Ainsi, dès l’antiquité, il existait déjà des écoles, mais celles-ci étaient toujours réservées aux plus riches ou aux garçons. Mais les plus anciennes institutions éducatives possédant une structure institutionnelle sont apparues aussi dans de très nombreuses civilisations. Ces centres enseignaient généralement la philosophie et la religion. Soulignons que la pensée antique s’était peu préoccupée de l’enfant, et se focalisait plutôt sur la formation de l'Homme adulte.  Il faut aussi  distinguer que ces institutions de l'université moderne occidentale, dont le modèle a pris naissance durant l’antiquité grecque avec "le Lycée" sous la direction d’Aristote, se sont développées au Moyen Âge entre le VIème et le XVème siècle. Ce type d’université a ensuite été adopté dans d'autres régions du monde depuis le début de l'époque moderne.

    En France, c'est en 1792, sous la Révolution française, que la Convention projette de rendre l’école obligatoire et gratuite. Cette idée est développée par le philosophe et mathématicien Condorcet dans son "Rapport et projet de décret sur l'organisation générale de l'instruction publique", qui recommande un système d’enseignement laïc, ainsi que l’égalité entre filles et garçons.  Il faudra cependant attendre le 28 juin 1833 pour que le libéral protestant et franc-maçon François Guizot, alors ministre de l’Instruction publique sous Louis-Philippe, fasse voter une première loi relative à l’enseignement primaire, qui prévoit la scolarisation des garçons, ainsi que l’obligation pour les communes de plus de 500 habitants d’avoir une école primaire. Et s’il n’est pas encore prévu d’obligation scolaire dans le cadre de cette loi, en revanche, il est prévu que l’enseignement soit gratuit pour les élèves dont les familles sont hors d’état de payer une rétribution. Mais il faudra cependant attendre encore jusqu'en 1882 pour que l’école devienne véritablement obligatoire en France. Guizot écrit en trois mois une oeuvre immense, l'Esquisse d'un tableau historique des progrès de l'esprit humain, qui retrouve l'inspiration de ses maîtres chéris : d'Alembert et Turgot. Par cet ouvrage, il donne toute sa force au message de la philosophie de l'Encyclopédie.  Le 8 juillet 1793, Chabot obtient d'une poignée de députés présents à la Convention un décret d'arrestation contre Condorcet. Arrêté dans une auberge (imprudent, il y avait demandé une omelette de douze oeufs !), il fut emmené dans la prison de Bourg-la-Reine sur une charrette, car il n'était plus capable de marcher. Le lendemain matin, il fut découvert mort dans sa cellule : il s'était empoisonné.

    Lorsque sous la IIIe République le franc-maçon Jules Ferry, alors président du Conseil et ministre de l’Instruction publique, décide d’instaurer la gratuité absolue de l’enseignement primaire, sa loi du 16 juin 1881 n’est donc pas une mesure vraiment nouvelle. Car avant son adoption, on comptait déjà près de 7 000 communes françaises ayant établi cette gratuité.  Il fera voter la loi le 28 mars 1882, rendant l’école obligatoire pour tous les enfants qui vivent en France, de 6 ans à 13 ans, et pouvant être donnée, "soit dans les établissements d’instruction primaire […], soit dans les familles, par le père de famille lui-même ou par toute personne qu’il aura choisie". Il a été également décidé à ce moment là que l’école serait gratuite et laïque afin que tous puisse y aller, riches, pauvres, garçons et filles. Mais c’est en matière de laïcité que la loi du 28 mars 1882 change véritablement les choses, en supprimant tout enseignement chrétien à l’école, et en le remplaçant par une instruction morale républicaine. De fait, rendre l’enseignement primaire obligatoire, c’est donc surtout affirmer la neutralité de l’État dans le domaine religieux en séparant la sphère publique de la sphère privée et en inculquant déjà une autre forme de conception d'un monde loin des idéaux divins. Jules Ferry échappe par deux fois, en 1883 et 1885, à des attentats perpétrés contre lui, le second par un déséquilibré partisan de Clemenceau, qui lui laisse une balle dans la poitrine. Cela le handicapera jusqu'à sa mort d'une crise cardiaque au 1 rue Bayard, le 17 mars 1893.

     Par la suite, le Front populaire avec sa loi du 9 août 1936 initiée par un autre franc-maçon du nom de Jean Zay, prolongera cette obligation jusqu’à 14 ans, bien que les élèves titulaires du certificat d'études primaires pouvaient déjà quitter l'école dès 11 ans. Jean Zay a 32 ans, lorsque le 4 juin 1936, Léon Blum lui propose le ministère de l'Education Nationale et de la Culture. Il est aidé par deux femmes dont Irène Joliot-Curie à la recherche scientifique. Il était ministre de l'éducation mais aussi de la culture. Il est à l'initiative de la médecine préventive, de la radio scolaire, du CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique). Étant juif par son père, protestant par sa mère, franc-maçon et radical de gauche... Il suscitait la haine de la part des nazis et miliciens. Le 20 juin 1944 des miliciens déguisés en résistants l'abattront puis le jetteront dans un puits. Son corps ne sera retrouvé qu'en 1946. Ainsi, le principe de laïcité en matière religieuse est au fondement du système éducatif français depuis la fin du XIXe siècle. L'enseignement public est laïque depuis les lois du 28 mars 1882 et du 30 octobre 1886. Elles instaurent l'obligation d'instruction et la laïcité des personnels et des programmes. L'importance de la laïcité dans les valeurs scolaires républicaines a été accentuée par la loi du 9 décembre 1905 instaurant la laïcité de l'État.

     Et en 1959, l’école deviendra obligatoire jusqu’à 16 ans. On doit cette mesure à une ordonnance signée par le général De Gaulle, le 6 janvier de cette année là. Récemment, le Grand-Maître du Grand-Orient, Fred Zeller et celui de la Grande Loge, Richard Dupuy, ont fait quelques confidences à un journal nommé "Europe-Parlement", destiné à la  classe politique européenne. Ils avouèrent que : "C’est le général De Gaulle, c’est lui qui nous a rendu force et vigueur". De Gaulle aurait dit "Je vais redonner la République à la France et il n’y a aucune raison que je ne lui redonne pas aussi les francs-maçons"  dans une déclaration faite à Alger en 1943 et citée dans le livre de Zeller "Trois points, c’est tout". Sous la Ve République, le Grand-Orient ne disposait que de 150 affiliés à l’Assemblée nationale et au Sénat, contre 350 sous la IIIe République. Ainsi, la dissolution de la Franc-Maçonnerie en 1940, par le gouvernement du Maréchal Pétain, avait porté un coup sévère à la Maçonnerie. Par le décret du 19 août publié au journal officiel de cette année là, il dissout le Grand orient de France et la Grande loge de France, les autres obédiences seront dissoutes le 27 février 1941. Et bien que les mandats politiques ne seront plus accessibles aux franc-maçons, ils continueront d'exister dans la clandestinité. Ce qui prouve que l’on peut bel et bien briser cet État dans l’État avec un peu de volonté.

    Mais revenons au sujet, la construction du système éducatif a été un processus complexe combinant surtout enjeux politiques et idéologiques, économiques et sociaux, pédagogiques et didactiques, dans lesquels, la lutte contre l'enseignement de la morale chrétienne fut de tout temps au coeur du débat.  Ainsi, les professeurs du réseau SLECC (Savoir Lire, Ecrire, Compter et Calculer) se sont posés la question dans une conférence qui s'est tenue à Gien en 2008, face aux incohérences de l’enseignement actuel. Notant au passage un constat accablant lors de leurs journées d’études. Des propos extrêmement durs et alarmants ont été tenus par des gens compétents qui en ont marre et ne pratiquent pas la langue de bois, comme l’instituteur Marc Le Bris (auteur du livre "Et vos enfants ne sauront pas lire ni compter" chez Stock) ou, à l’autre bout de la chaîne, le professeur d’université Jean-Pierre Demailly, éminent mathématicien membre de l’Académie des Sciences et président du GRIP (Groupement de réflexion interdisciplinaire). Ils ont souligné entre autre, un "système éducatif français en décadence totale", une "déstructuration et incohérence des programmes" une "ambitions excessives" et plus encore une "prise du pouvoir il y a trente ans d’une coterie qui a imposé une méthode d’enseignement unique et générale dangereuse pour le pays, les familles, etc" . Et pour eux, les répercussions de ce triste état des lieux vont bien au-delà de la faiblesse du niveau des élèves, de la dérive des violences urbaines et des récentes manifestations puisant également leurs sources dans cet échec. Et ce n’est pas la loi Jospin de 1989 qui a arrangé les choses, bien au contraire.    

    Marc Le Bris estime que "L’école aujourd’hui ne fait plus son travail techniquement » étoffant son discours d’exemples criants aussi bien en français (et sa « fameuse » méthode globale ou idéovisuelle), en arithmétique (où pendant deux ans, on n’apprend que l’addition sans pouvoir la comparer avec les autres opérations), qu’en histoire (où l’on demande à des gamins de CM2 de faire, quasiment: une analyse de la guerre d’Algérie). C’est stupide et dangereux". "Et ces jeunes seront les futurs professeurs de vos enfants alors qu’ils seront incapables de transmettre la connaissance »… ; c'est terrifiant!". Pour ces professeurs en colère, c’est dans les années 95/96 sous la présidence Chirac, et où Bayrou était ministre de l'éducation nationale,  que le véritable déclin s’est fait sentir et d’ailleurs, les chiffres d’aujourd’hui se passent de commentaires : plus de 20% des élèves entrant au collège ne comprennent pas ce qu’ils lisent et 38% ne savent pas faire une opération.

    L’historien et sociologue américain Christopher Lasch (décédé en 1994) a publié "La Culture du narcissisme", sous-titré "La vie américaine à un âge de déclin des espérances", en 1979. Il écrira : "La foi dans le pouvoir merveilleux de l’enseignement est l’une des composantes les plus durables du progressisme ; même par les idéologies hostiles à ce dernier. Pourtant, la démocratisation de l’enseignement n’a pas accompli grand-chose qui justifie cette foi. Elle n’a, ni permis au peuple dans son ensemble de mieux comprendre la société moderne, ni amélioré la qualité de la culture populaire, ni enfin réduit l’écart entre riches et pauvres. En revanche, elle a contribué au déclin de la pensée critique et à l’abaissement des niveaux intellectuels." Et contrairement aux affirmations de la plupart des théoriciens de l’éducation et de leurs alliés des sciences humaines, la société industrielle avancée ne repose plus sur une population conditionnée à désirer la réussite. Elle exige plutôt un peuple abruti, résigné à effectuer un travail sans intérêt et de mauvaise qualité, et disposé à ne chercher satisfaction que dans les heures consacrées au loisir.

    Comme R. P. Blackmur en faisait la remarque en 1954, "la crise de notre culture tire son origine de la fausse croyance selon laquelle la société ne réclame que peu d’esprits capables de créer et de faire fonctionner les machines, mais exige, en revanche suffisamment de nouveaux illettrés pour que les autres machines – celles des mass médias – puissent les exploiter. C’est sans doute la forme de société la plus coûteuse et la plus gaspilleuse de talent que l’espère humaine ait jamais créée. (...) L’éducation de masse, qui se promettait de démocratiser la culture, jadis réservée aux classes privilégiées, a fini par abrutir les privilégiés eux-mêmes. La société moderne, qui a réussi à créer un niveau sans précédent d’éducation formelle, a également produit de nouvelles formes d’ignorance."

    Quel est le point commun entre André-Marie Ampère, Blaise Pascal, Pierre Curie, Marguerite Yourcenar et Jean d’Ormesson ? Ils ont tous fait l'école à la maison. Et celui entre les fondateurs de Google, d'Amazon et Wikipédia ? Ils ont tous bénéficié de la pédagogie Montessori. La pédagogie Montessori est une méthode d'éducation alternative basée sur la confiance en soi, l'autonomie, les expérimentations et l'apprentissage en douceur. Ses objectifs : favoriser l'éveil, les sens, l'ouverture au monde et le développement de l'enfant tout en respectant son rythme d'apprentissage et ses centres d'intérêts. Et ce serait une erreur de croire que les familles qui font l’instruction à domicile passent leurs vies enfermées à la maison : c’est en réalité tout le contraire, avec une large ouverture donnée sur le monde qui les entoure. On peut par ailleurs noter les nombreux bienfaits de l’école à la maison : respect du rythme biologique de l’enfant, adaptation permanente de son "institutrice" à ses difficultés, absence de devoirs le soir et le week-end, multiplicité des activités extrascolaires, qu’elles soient sportives ou culturelles. 

   La liberté des parents de faire l’école à la maison n’est-elle pas garantie par la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, en son article 26, qui précise : "Les parents ont par priorité le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants". Et pourquoi M. Macron a-t-il amalgamé les familles faisant l’école à la maison avec les écoles clandestines, quand on sait que d’après l’Éducation nationale elle-même, "les cas d’enfants exposés à un risque de radicalisation et repérés à l'occasion du contrôle de l'instruction au domicile familial sont exceptionnels ?" (Vademecum de l'Éducation nationale sur l'école à la maison, publié en octobre sur le portail Eduscol). De plus, actuellement nous savons qu’en maths, en 5ème, ils ont un niveau équivalent péniblement à un niveau CM1 d’il y a 20 ans. On le sait parce que l’on mène des enquêtes, par exemple une enquête qui vient de sortir qui montre que la France est avant-dernière de tout l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques). 

    Pour comprendre cette chute drastique du niveau actuel, il faudrait remonter au Protocole de Lisbonne (1999-2000) qui, sous une directive européenne – c’est facile à vérifier pour tout le monde – décide que nous avons besoin de 10% de cadres de haut niveau, bien formés, et de 90% d’une main d’oeuvre multitâches. Ce qui d’ailleurs correspond à l’état du libéralisme actuel, et qui n’a rien à voir avec le capitalisme des années 60 où l’on avait une progression globale des classes moyennes qui essayaient de monter (socialement). Donc on n’essaie pas de former ces gens-là d’une façon supérieure, on essaie de les former "a minima". Ça coûte moins cher. 

    Ce que l’on constate en France c’est que le niveau s’est effondré; le niveau des enseignants s’est effondré lui-même. Plus vous mettez des enseignants sous-qualifiés face à des élèves, forcément ces élèves à l’arrivée sont sous-sous-qualifiés. Et de toutes façons, l’emploi à vie c’est terminé, on va leur faire faire des métiers différents, ils seront comme on disait jadis, taillables et corvéables à merci et ainsi, "Plus ils sont incultes, plus ils feront ce qu’on leur dira." Comme aller se faire injecter un poison expérimental sous la peau sans se poser de questions. Donc supprimer l’école telle qu’elle était, la remplacer par Cyril Hanouna et vous avez le résultat que l'on connait à l'heure actuelle.

 Mais il y a une volonté véritable d’écraser le niveau en sauvegardant quand même une certaine élite.  Du coup, on a des élites autoproclamées nourries à la Star-Ac', qui n’ont plus grand chose à voir avec l’élitisme. Cela fait un certain temps que la France ne récolte plus tellement de prix Nobel. L’ensemble s’effondre en France alors que dans d’autres pays l’ensemble monte. Nous sommes devenus une nation de services et Uber nous mangera, car un certain nombre de ministres successifs (tous franc-maçons) ont fait de leur mieux pour détruire ce qui existait. Une institution comme l’Inspection générale et les Inspections secondaires ou primaires ont fait de leur mieux pour interdire aux profs de transmettre des savoirs.

   On sait depuis très longtemps ce qui marche, mais on a choisi de faire autrement. On a vraiment choisi pour des raisons au fond libertaires et ces raisons libertaires sont venues au secours du libéralisme le plus débridé. Et ce libéralisme n’a pas besoin d’une classe intermédiaire qui aspirerait à s’élever, qui a besoin d’une oligarchie qui s’auto-perpétuera. On est donc entré dans une culture de l’immédiateté renforcée par les réseaux sociaux, et parce qu’on flatte les crétins sans discernement grâce au : "ce que tu dis est bien et ça t'appartient", sans jamais contrer par l'argumentation factuelle les bêtises proférées à longueur de journée sur ces dits réseaux que l'on prétend "sociaux". On est passé dans une ère qui n’est même plus l’occupation, le divertissement des élèves, qui viennent en classe comme ils viennent au supermarché, car ils viennent butiner des choses à droite, à gauche, soit vous les intéressez, soit vous ne les intéressez pas, et à ce moment là ils se reportent sur leur portable, ils se racontent des bêtises.

   L' Agrégé de lettres, prof en classe préparatoire au lycée Thiers à Marseille, essayiste, romancier, polémiste, Paul Brighelli nous signale d'ailleurs que nous avons eu de nombreux exemples d'effondrements de civilisations à cause du niveau général ; la civilisation romaine s’étant effondrée de la même manière. A un certain moment, les Barbares qui venaient et qui n’étaient pas de méchantes gens, contrairement à ce qu’on a voulu nous représenter, dans un premier temps essayaient de se romaniser. Et dans un deuxième temps en voyant l’état des Romains, ils se sont dit "nous sommes des Burgonde et nous allons gérer les choses comme des Burgonde, on n’a pas besoin des Gallo-Romains". Ils ont créé leur royaume. C’est pareil pour les Vandales. On aime bien les représenter comme des envahisseurs qui violaient les femmes, etc, mais ce n’est pas du tout le cas. Ils ont pris Rome mais il ne restait plus rien à Rome, c’était fini. Puis lorsqu’ Alaric prit Rome, il ne resta rien. Et actuellement l’Europe s’écroule de l’intérieur, dont la France. Il y a là encore, la civilisation occidentale en train de s’effondrer, juste sous nos yeux et à cause de cela.

    Alors, pour contrer cette décadence, voulue et orchestrée depuis l'avénement de la Raie-publique, demandez-vous en tant que parent, en tant qu'adulte, ce que vous êtes capables de transmettre directement à vos enfants. Sans ce questionnement personnel, vous condamnez votre enfant à l'errance dans un monde taillé pour le rejeter et le rendre soumis, mais surtout le laisser à l'abandon dans ce monde voué à la décadence. Car à ce stade, ce ne sont pas des moyens qu’il faut pour changer le sens de notre civilisation, c’est une évolution générale et drastique dans leurs têtes d'enfants. Ce sont eux notre avenir ! 

    La seule chance qu'il nous reste de revivre dans un monde évolué, loin de la technocratie totalitaire et numérique abrutissante créée par ces fausses élites, elle est en vous ! Alors encore une fois, vous êtes la solution à nos maux, vous êtes la réponse à l'évolution de notre civilisation, et si vous sortez immédiatement votre enfant du système non-éducatif actuel, qui veut en plus lui injecter du poison expérimental dans le corps, vous le sauverez lui, et nous tous aussi. Il faudrait dans l'absolu, que vous lui fassiez la classe "à l’ancienne" et très loin de cette machine à crétins voulue par les Fous de Davos. 

        La meilleure école à offrir à nos enfants, 

c’est encore l’école de la Vie !

Phil BROQ. 


 


 

25 août 2021

VIVE LE PA$$ NAZITAIRE...

    Cela fait maintenant vingt mois que cette fausse crise sanitaire est due à un pseudo-virus inconsistant. Elle fut seulement inventée de toutes pièces par les mondialistes, pour servir leurs desseins totalitaires, et amplifiée par les médias propagandistes corrompus avides de subsides monétaires. Elle s'est installée sur l'ensemble de la planète Terre, devenue plutôt "taire" en quelques jours. Et voilà, après ces longs mois de mensonges et de propagande débridée en faveur d'une injection expérimentale meurtrière, stérilisante et handicapante, que nous avons enfin une véritable solution à tous nos maux grâce au pa$$ nazitaire en cours d'installation... 

    Nous avions déjà pu constater un énorme bénéfice de cette crise fomentée en haut lieu, lors du premier confinement en France. Lorsque toute la planète s'est aussi arrêtée d'un seul coup de gesticuler et de produire durant quatre semaines entières. Nous avons constatés tous ensemble combien ce fut agréable et salvateur pour la nature en plein éveil printanier à ce moment là, de ne plus être polluée par les avions et leur cortège de Chemtrails. Il n'y avait aucune des voitures polluantes et pétaradantes du quotidien pour encombrer nos narines et nos oreilles de leurs méfaits. Toutes les industries étaient à l'arrêt, même la Chine avait coupé ses flux de saleté et ses fumées nocives. Nous avions retrouvé le monde d'il y a deux cent ans en arrière, en moins d'une semaine. 

    La nature s'est alors mise à respirer normalement de nouveau, n'étant plus contrainte par toutes nos inventions polluantes et par tout ce que nous avions créé pour la soumettre à nos moindres envies. Chacun a pu voir le ciel bleu revenir en moins de trois jours, le soleil chauffer le sol et alimenter la flore, les animaux réinvestir les lieux citadins jusque là couverts de véhicules, la nature déborder de vie à nouveau, les oiseaux revenir chanter sous nos fenêtre, bref, avoir un aperçu de ce que serait l'Eden, si nous stopions enfin nos bêtises d'enfants puérils. La consommation excessive et compulsive de produits plus inutiles les uns que les autres avait cessé, les mauvaises habitudes d'avant se changeaient, les esprits s'ouvraient à d'autres formes de processus. Les Humains couraient le matin et le soir, faisaient du sport et du yoga, méditaient, certains même se remettaient à lire et à s'instruire. Mais voilà, cela n'aura duré qu'un petit mois malheureusement, mais quel mois pour notre planète !

    Depuis ce mois d'Avril 2020 et en redoublant quasiment d'efforts pour rattraper le temps perdu sur les productions inutiles et notre besoin de consommation effrénée, nous sommes repartis de plus belle et encore plus vite vers le mur d’exécution sommaire de notre destination finale, que nous avons construit de nos mains en tant qu’espèce suicidaire. Nous avons vu le ciel se voiler à nouveau, les animaux s'en aller, les oiseaux et les insectes mourir par millier, les eaux se polluer, la terre se rétracter. Nous avions relancé l'usine salle et polluante de notre monde à plein régime. Les abrutis du pouvoir qui nous dirigent ont multiplié, grâce à leurs multinationales illégales, leurs milliards par cinq ou par dix, et dupliqué les populations pauvres d'autant. C'est ce que l'on nomme la balance commerciale et qui ne penche que vers la mort de tous. Le rythme de croisière de notre décadence avait rejoint son potentiel habituel, et malgré le port d'un masque contraignant depuis lors, la vie de merde et de misère des populations hypnotisées par leur télé et voulue par les dirigeants mondiaux avait repris son cours.

    Et c'est dans le marasme le plus complet, dans cette ambiance de délation et de contrition totale, dans cette folie qui gagne tous les jours les esprits les plus faibles et les moins aiguisés qui continuent de regarder la télé ou d'écouter la radio, qu'est apparue la solution. Face à cette promotion perpétuelle de la peur de tout, de la peur de l'autre, de la peur de la maladie, de la peur de mourir au point d'arrêter de vivre, nos bourreaux talmudo-mondialistes ont eu l'idée de génie de continuer avec les recettes du IIIème reich. Après la promotion de leur piqure en lieu et place de l'administration simple des médicaments connus et efficaces, après l'interdiction absolue de tout produit naturel et ancestral pour se soigner et contrer les effets de ce rhume, après la campagne ratée de vaccination tous azimuts de leur poison version Joseph Megele, après l’exécution sommaire des trop vieux et des trop malades, après la stérilisation des jeunes influençables, après l'intégration de nanoparticules traçables dans le sang, après avoir fiché numériquement les plus idiots et les plus peureux, voila qu'ils nous offrent enfin la porte de sortie !

    Ressortant encore une fois des tiroirs poussiéreux et nauséabonds, des objets issus des plus sombres heures de l'histoire, c'est cette fois le Pa$$ nazitaire qui fait son entrée sur l'avant scène de ce monde moribond. Car ceux qui tiennent le monde à l'heure actuelle, s'ils ont su corrompre leurs agents avec de l'argent et des places de pouvoir, n'ont pour autant aucune imagination. Ils utilisent et reproduisent seulement ce que le monde moderne a produit de pire durant les cent dernières années. Et le pa$$ nazitaire, en fait parti, au même titre que le slogan "En Marche" !

    Donc, grâce à ce pa$$ de la honte destiné à "enfermer dehors" la population active, et empêchant, dans l'esprit mortifère des élites auto-proclamées, à tout un chacun d'aller festoyer avec ses amis et surtout de se regrouper, nous avons la vraie solution à la construction active du monde d’après. Car avec cette ultime chaine qu'ils essaient de nous mettre au cou, ils aident les guerriers de la Lumière que nous sommes à éduquer enfin ceux qui pourront être sauvés. Ceux qui refusent cette injection expérimentale dans leur corps, ceux qui se sentent libre d'aller et venir où bon leur semble, ceux qui considèrent la Terre comme une mère nourricière, ceux qui cherchent à élever leur esprit plutôt que leurs processions. Comme ceux qui préfèrent les balades dans la nature que les bars de nuit enfumés, ceux qui préfèrent un bon livre à un film alambiqué et si mal scénarisé par Netflix, ceux qui préfèrent penser à construire demain qu'à sauver hier.

  Le pa$$ nazitaire va donc permettre enfin de fermer, par manque de chiffre d'affaire, ces restaurants collaborateurs qui crachaient sur leur clientèle en gilets jaunes, ces cinés abrutissants qui ne diffusent que des rééditions de films aux scénarios identiques, ces salles de cultures qui dépravent l'esprit des plus jeunes plus qu'elles ne le nourrissent, ces lieux communs de rencontres inutiles autour de smartphones, tous ces endroits créés pour abrutir l'Homme et l'obliger à dépenser de l'argent mal gagné tout au long de l'année. Ainsi devenu obligatoire pour les jeunes et les moins jeunes, sans ce sésame maudit, ils ne peuvent plus aller dans tous ces endroits ruineux. Sa mise en place va réouvrir le monde tel qu'il n’aurait jamais dû cessé d'être. Il sera d'ici peu le seul garant de l'AOC, voulue par les mondialistes, certifiant un Homme "manipulé et hypnotisé par la peur". Il permettra alors de distinguer la véritable humanité saine et naturelle de cette espèce  devenue OGM.

    Il va aussi et surtout permettre de connaitre et de reconnaitre le bon grain de l'ivraie, et je vous laisse seul juge de savoir qui est qui. Le pa$$ sera alors salutaire et non sanitaire, pour tous ceux qui ont dit "oui" à la vie, "oui" à l'esprit, "oui" à la vraie liberté, "oui" aux vraies rencontres entre amis réels, "oui" à l'humanité vraie. Et surtout "non" à l'injection ! Car sans lui, les générations vont redécouvrir les joies simples et vraies que nous offre la nature. Ils vont pouvoir revenir vers leur spiritualité intérieure, vers leur amour propre, vers la découverte et l’expérimentation de leur potentiel unique, vers la connaissance et l'appréciation des véritables bienfaits de notre monde. Il vont être poussés loin de cette société factice de la consommation, loin de ces centres d'apparats mondains et illusoires, loin de ces lieux qui formatent et normalisent tout un chacun.

    Tous ceux-là vont découvrir très vite qu’ils n'ont absolument pas besoin de quoi que ce soit de ce monde là. Surtout pas d'un smartphone, ni d'une carte de crédit pour les surveiller à toute heure de la journée. Ils vont comprendre combien la sobriété est heureuse, le minimalisme salutaire, combien le désir matériel est une illusion néfaste face à l'acquisition de connaissances spirituelles et intellectuelles. Ils vont devenir conscients de la beauté et des offrandes du monde. Ils vont aimer ce qu'ils ont, plutôt que de vouloir avoir ce qu'ils croient aimer. Ils vont enfin pouvoir changer la tournure du monde grâce à leurs acquis et non leurs acquisitions. Ils vont façonner le monde sans son superflus, sans ses matières inertes et couteuses mais avec leurs âmes et leurs esprits ouverts et solidaires. 

    Les sages vont retrouver des oreilles et des cerveaux bien préparés à qui enseigner. Les philosophes vont pouvoir enfin explorer ces nouvelles contrées de l'esprit libre de l'humanité pour l'aider à s'élever. Les véritables guérisseurs vont pouvoir commencer à oeuvrer pour le bien complet de l'espèce. Les artisans de talent vont pouvoir transmettre un véritable art et savoir faire, une vraie création durable et fiable dans le temps... Bref,  ils vont, grâce à tout cela, tuer enfin le règne de la quantité en apportant dans leurs cœurs et pour le bien futur de toute l'humanité, celui de la qualité et de la beauté. Tout cela est en gestation à présent, cette évolution est en fonction et en opération à l'heure actuelle. Ce renouveau tant attendu est en train de se developper dans les esprits et les coeurs de ceux qui, nullement énervés de se voir prohiber l’accès à cette ancienne société de sur-consommation, vont de l'avant créer le monde de demain. 

    Comme disait Charles Darwin, à juste titre pour une fois : "celui qui n'évolue pas disparait" ! Alors pour tout cela et pour tout ce que l'humanité consciente et libre inventera encore durant cette évolution, et dont je n'ai pas le moindre soupçon du succès de cette aventure nouvelle, loin de ces lieux surannés et infestés par les vaccinés, je vous le dis sans arrière pensées, ni cynisme pour notre future vie sur cette Terre :

    Vive le pa$$ nazitaire !

                    Phil BROQ.



       

LES NINJAS DU DEMON...

    Dans l'ouvrage rédigé en 1576 par Étienne de La Boétie "Le Discours de la servitude volontaire", on apprend qu'un pouvoir, même quand il s’impose d’abord par la force des armes, ne peut dominer et exploiter durablement une société sans la collaboration, active ou résignée, d’une partie notable de ses membres. Il recherchait une explication à l’étonnant et tragique succès que connaissent les tyrannies de son époque, comme il en est de nos jours. Car ils sont toujours aussi nombreux à croire, sous les apparences trompeuses, que cette obéissance est obligatoirement imposée. De plus, beaucoup s’imaginent encore, quand ils pensent, que la servitude est forcée alors qu'elle est en vérité toute volontaire. Et il posait une question troublante : "Comment peut-il se faire que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations endurent quelquefois un tyran seul, qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent ?" 

    Loin de notre occident natal, le ninja désignait, à une époque à présent révolue mais contemporaine de celle de La Boétie, les pratiquants confirmés du "ninjutsu" (discipline d'arts martiaux rigoureuse, élaborée au cours des conflits du Japon médiéval, afin d'entraîner les mercenaires destinés aux missions spéciales). Ainsi, ce terme japonais servait à désigner une catégorie particulière d'espions ou de mercenaires capables d'envenimer ou de déstabiliser un ennemi, et furent actifs jusqu'à la période d'Edo, au début du XVIIème siècle. Les fonctions du "ninja" comprenaient donc l'espionnage, le sabotage, l'infiltration, l'assassinat et surtout la guérilla. Leurs méthodes cachées de guerre non conventionnelles furent jugées déshonorantes pour la caste de samouraï qui observait des règles strictes concernant l'honneur et le combat mais, pour autant, qui ne rechignait jamais à acheter leur service contre leurs rivaux. Après l'unification du Japon sous le Shogunat Tokugawa (XVIIIème siècle), les seigneurs ayant conquis le pays en totalité, le ninja très utilisé à l'époque s'est alors évanoui dans l'obscurité. 

    Les ténèbres étant leur meilleure cachette pour faire croître le mal, on peut toutefois observer leur grand retour actuellement. Notamment avec les "fous de Davos" qui, se prenant pour des samouraïs modernes mais sans éthique cette fois, réutilisent leurs "ninjas politiques" contre les peuples. Et ayant appris de leurs erreurs, à la différence des peuples, ces mercenaires se sont comme toujours vendus au plus offrant sans jamais chercher l'éthique de leurs actions. Ainsi, les oligarques du mondialisme ayant besoin de garder leur troupe d'élite financée et formée par les "Young leaders" ou les "Bilderberg" à la déstabilisation du monde, ont non seulement réuni une armée de ces assassins, mais aussi généré toute une légion de petites mains quasi gratuite et sacrifiable à desseins. Et suivant ce principe à présent établi d'inversion des valeurs et du détournement des mots, qui caractérise notre époque, ils leur ont aussi donné exactement le même nom. Leur seul point commun étant de vendre corps et âme pour une poignée de dollars, sans ce soucier le moins du monde des conséquences de leurs actions assassines.

     Ainsi, les nouveaux "ninja" des temps modernes, sont des pauvres humains sans aucune foi ni conscience, répondant sous l’acronyme américain cette fois de "No-Income, No-Job-&-Asset" signifiant "sans revenu, ni emploi et biens" et utilisés comme "trolls" pour soustraire, grâce à leurs actions néfastes, à la masse sa légitimité. Ils correspondent donc à cette catégorie d'humains n'ayant plus aucun avenir tracé, plus de diplômes utiles, ni aucunes capacités personnelles leur permettant d'être indépendants. Et ils sont en revanche, de plus en plus nombreux dans nos sociétés à être ainsi prêts à faire ou dire n'importe quoi pour un peu de ressources vitales, pour quelques miettes pouvant pérenniser leur souffrance miséreuse sur notre Terre. Ce ne sont plus du tout des combattants japonais à l'agilité entrainée, mais des esclaves volontaires, incapables d'affronter le vrai monde tant leurs capacités sont restreintes. Ils ne sont que des petits pions jetables et utilisés comme tels sur l'échiquier du mal.

    Alors, de même qu'avec l'inacceptable soumission et la plus crasse obéissance de nos dirigeants envers ces malfaisants criminels de l’Ordre mondial réunis dans les montagnes suisses, utilisés tels des Ninjas rompus aux techniques non plus du combat mais de la réthorique, ils expliquent et argumentent leurs comportements délictueux grâce à cette servitude financière qu'ils assument. Les temps ont changé en cela, car aujourd’hui ils ne s'en cachent plus. Ils avouent aisément que le peuple les encombre et les dérange dans leur obsession de se remplir les poches, de s’enrichir comme des malpropres sur le dos des travailleurs. Nous vivons donc à l'heure actuelle une véritable guerrilla d’élimination totale, et menée par les troupes assujetties des élites dirigeantes, contre une population devenue trop nombreuse et inutilement coûteuse à leurs yeux. Elle est l'instauration d’un nouvel esclavage, appelé par goût de l'inversion "libéralisme" et simultanément menée par l’accroissement exponentiel de la répression contre le citoyen lambda. 

    Et pour prêcher leurs paroles prophétiques, qui sont loin d'être bonnes, ils ont même recréé le langage qui leur sert d'argumentation devant un public hypnotisé à souhait par les meRdias du monde entier. Cette dernière armée de la pénombre étant une troisième faction de ces ninjas modernes, moitié éduqués et entrainés mais malgré tout sacrifiables à volonté, comme un petit rempart au courroux des peuples. Mais "Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous déguisés en brebis, mais au-dedans ce sont des loups féroces. Vous les reconnaîtrez à leur conduite", comme disait Matthieu (7:15). 

    Et ce langage récréé est basé sur l'emploi abusif des Oxymores. En rhétorique, un oxymore ou oxymoron, est une figure de style qui vise à rapprocher deux termes (un nom et un adjectif) que leurs sens devraient éloigner, dans une formule en apparence contradictoire, telle "une obscure clarté" utilisée par Pierre Corneille. Il exprime donc ce qui est inconcevable. Il crée une nouvelle réalité, mais il rend surtout compte de l'absurde. Celui dans lequel nous sommes plongés quotidiennement par exemple.

    De nos jours, cette technique de communication, ou plutôt de manipulation verbale et écrite, est employée dans tous les secteurs de notre vie. On en connaissait déjà les utilisations faites par les ayatollah de l'écologie sous leurs slogans de "developpement durable", de "capitalisme vert", "d'écotourisme de masse", et plus récemment de "réalité virtuelle", ou de "seul choix possible". Puis avec le langage des vendeurs de guerre talmudo-sionistes lorsqu'ils annonçaient leurs "guerres humanitaires", leurs  "bombardements chirurgicaux", leur "mal nécessaire" ou encore la "flexisécurité" et "la tolérance zéro". C'était l'époque du "en même temps" tant chéri par nos gouvernants nationaux depuis l’avénement des pantins de l'Élysée.

    Avec la nouvelle guerre génocidaire nommée sanitaire, envers les peuples devenus contraignants pour les esprits totalitaires des dirigeants des multinationales, entreprise sous couvert de sauver la vie des gens ordinaires, on atteint des sommets dans cette ignoble manipulation du langage. Et utilisant les techniques de communication éprouvées du IIIème reich, et dont Joseph Goebbels en a été l'architecte malsain. Il disait alors :  "Nous ne voulons pas convaincre les gens de nos idées, nous voulons réduire le vocabulaire de telle façon qu'ils ne puissent plus exprimer que nos idées."  Ou encore "À force de répétitions et à l'aide d'une bonne connaissance du psychisme des personnes concernées, il devrait être tout à fait possible de prouver qu'un carré est en fait un cercle. Car après tout, que sont "cercle" et "carré" ? De simples mots. Et les mots peuvent être façonnés jusqu'à rendre méconnaissables les idées qu'ils véhiculent."  Et ce n'est là que l'expression de ce que nous revivons 80 ans plus tard, avec toujours Rothschild au financement. 

    Ainsi, la fausse crise sanitaire créée de toutes pièces et amplifiée par les meRdias aux ordres, nous a gratifié de quelques pépites dans le genre sus-cité. Laissez moi vous en citer quelques unes et pas forcement les meilleures, telles que : "Le pass sanitaire" qui est devenu par enchantement un "passe sécuritaire" et qui rend libre grâce aux contrôles perpétuels de la police... "le libre consentement est acquis par obligation" pour "une thérapie génique expérimentale qui est devenue un vaccin fiable mais à 39%", où "l’expérimentation qui ne peut avoir que de bons résultats". Car à présent "se réinventer sans cesse construit notre identité" et "faire de la ségrégation sanitaire est un acte altruiste". De plus, on peut lire grâce à l'affaire Fabius que "Le conflit d'intérêt est la garantie de toute expertise fiable",  là où "le peuple use de violence pour récupérer ses droits"  en voyant ses "cotisations sociales devenues des allocations"... et "Plus le mensonge est gros, mieux il passe", disait encore Goebbels.

    Alors qu'en réalité, plus le peuple laisse passer de mensonges plus ils en feront des gros, voire des grossiers ! Car cet artifice, utilisé depuis des décennies par les talmudo-sionistes qui mènent le monde à sa perte par leur haine et qui est nommé l’inversion accusatoire, est un processus de défense bien connu des prétoires et consistant à imputer la cause finale d’un délit non pas au coupable mais à sa victime. De fait, ils ne cessent, en effet, d’accuser leurs opposants et les peuples de leurs propres vices. Et de bourreaux, ils se font passer pour les victimes, comme le faisaient en leur temps, les seigneurs japonais avec le ninja. Ils traitent de complotistes ceux qui les dénoncent complotant notre perte, ou d'antisémites ceux qui dénoncent les sionistes venus d'Europe centrale nullement sémites, et de racistes ceux qui veulent garder leur identité nationale et souveraine... Ainsi fait, les oligarques nomment liberté, ce qui désigne en réalité la nouvelle condition d'humanité servile et contrôlée, qu’ils veulent nous imposer.

    Que ce soit dans les valeurs, dans les mots ou dans les actes, tout va à l'envers de la plus simple logique et du bon sens qui a fait évoluer l'Humanité jusqu'à là. Tout est à présent retourné, chamboulé, détruit par le ninja d'aujourd'hui, afin de créer le Chaos nécessaire pour que ces fous messianistes, totalitaires et meurtriers puissent prendre la main, instaurer leur nouveau désordre satanique, sur l'humanité créée par le divin et le monde en général. En ouvrant les yeux sur les pièges de l’inversion accusatoire, nous découvrirons que ceux qui jouent en permanence les procureurs des peuples, sans jamais en faire partie, les accusent en réalité des crimes qu’ils ont l’intention de commettre contre eux. Il faut donc éclairer les ténèbres si l'on veut les voir disparaitre à jamais, car c'est en nommant le mal qu'on en trouve le bon remède.

 Leur "novlangue", basée sur l'oxymore et inventée par George Orwell pour son roman d'anticipation 1984, est donc une tromperie universelle imposée sur et par le langage. Et l’inversion accusatoire est alors une tromperie encore plus grave, car elle porte sur la distinction entre le Bien et le Mal. Car avec l’inversion accusatoire, le Mal se pare des couleurs du Bien et du Juste, et en cela leur maxime issue des illuminati et reprise par les franc-maçons "d'ordo ab chaos" (l'ordre du chaos) en est la plus symbolique.


Ainsi, le "monde" à l'envers est bien l'oeuvre du "démon" ! 


Phil BROQ.



    




24 août 2021

HIKIKOMORI... MON MEILLEUR ENNEMI

     "Hikikomori", ce mot japonais désigne simplement un état psychosocial et familial concernant, principalement dans ce pays, ceux qui vivent coupés du monde et des autres, et ne sortant de leur chambre que pour satisfaire aux impératifs des besoins corporels. Non, ce ne sont pas les ados, bien que ce soit un trait flagrant d'une enfance non aboutie, frustrée et capricieuse, mais bien de jeunes adultes censés représenter la force vive d'un pays. Dans ce pays soumis aux radiations de Fukushima comme aux séismes dévastateurs, ils se sentent constamment accablés par la société et ont le sentiment de ne pas pouvoir atteindre leurs objectifs de vie. Généralement faibles de caractère, ils réagissent alors en s'isolant totalement de la société. Bloqués intellectuellement et physiquement entre leur frigo et leur ordinateur, et vivant dans un monde imaginaire, une prison dorée numérique que la technologie d'internet a su créer spécialement afin de les maintenir sous contrôle absolu. Ce sont en fait des rats à enveloppe humaine pris au piège dans le labyrinthe du grand laboratoire des GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft).

    Si ce phénomène ne touchait, il y a encore peu de temps, que ce pays contrasté à l'extrême, à la fois saturé de technologie avant-gardiste et de respect absolu des rites et traditions immuables, il s'est dorénavant très largement développé dans le monde entier. Et le plan démoniaque imaginé par les cerveaux sataniques qui veulent gouverner notre planète d'une main de fer, grâce à une guerre sanitaire, n'a rien arrangé à l'affaire. Isolant tout un chacun, apeurant les plus jeunes, stérilisant les futurs adultes, éliminant les malades les plus faibles et tuant les personnes les plus âgés, ils ont fait de notre vie sur Terre un véritable enfer contrôlé technologiquement. 

     Ainsi, dans notre monde occidental devenu fou - et à présent éloigné le plus possible des véritables valeurs d'échange, d'entre-aide, d’élévation personnelle et spirituelle qui ont fait la grandeur de l'humanité depuis des siècles, et où chacun s'est cru libre de pouvoir poursuivre sa destinée en toute quiétude grâce au pseudo modernisme de notre ère - il est un élément essentiel qui prohibe à tous le bonheur présent et à venir auquel nous aurions pu prétendre naturellement sans son avénement. Il y a UN facteur dominant qui est la cause des raisons essentielles de notre enfermement. Un seul objet qui nous trahis à longueur de journée et qui fournit à nos bourreaux tous les éléments pour nous cadenasser dans leur prison virtuelle et dorénavant bien réelle. 

    Cet élément maléfique et néfaste à tous les point de vue, cette arme de guerre passive dont vous êtes le détenteur, cet objet abominable qui a été jusqu'à remettre l'esclavage des enfants africains à l'ordre du jour pour pouvoir exister, cet instrument de contrôle inouï, qui épie chacun de vos gestes et mots faisant de vous un rat d'expérimentation perpétuelle, est sur vous. Cette chose immonde qui connait à la minute votre localisation, qui sait qui vous rencontrez et de quoi vous parlez, où vous allez et combien de temps vous restez. Cette invention désastreuse que l'on vous a donné sous couvert de liberté et de modernisme, qui a enfermé chacun de ses propriétaires dans un microcosme sclérosant créé par et pour lui, vous le chérissez, vous le choyez, vous ne le quittez plus jamais, tant vous êtes soumis volontairement et constamment à son dictat hypnotique. 

    Votre pire ennemi jamais conçu est à l'heure actuelle entre vos mains et vous le dorlotez. Vous le faites croître jusqu'à l'infini de ses capacités. Vous garantissez son écrasante victoire sur vous-même à chaque instant de votre vie. Vous vous offrez en pâture et en sacrifice continuellement, et surtout volontairement. Vous êtes sa meilleure nourrice, son meilleur aide de camp, son plus fidèle compagnon et espion, vous êtes devenus, et uniquement grâce à lui, votre propre prison personnelle et portable en tout instant. Vous vous êtes incarcérés seul et avez avalé la clé. Vous renforcez vous-même les barreaux qui occultent le soleil de la vie. 

    Et il n'est pourtant rien d'autre qu'un objet inerte, dans des mains devenues expertes. Car, sa seule et unique force est de vous avoir tellement bien éduqué que vous en êtes devenus autant la corde qui vous pend que le cou à tordre, la balle qui jaillit et la tête à exploser. Vous vous êtes transformés par sa faute, en ce gardien malsain et humiliant qui détruit toute possibilité d'espoir de vous sortir de la prison mentale que vous avez construite pour vous même. Vous êtes votre bourreau et vous le revendiquez !

    Une fois cet état de faits présenté, et avec un peu d'honnêteté, vous comprendrez combien il est facile de finir cette "Guerre" illusoire dans laquelle vous êtes l'unique soldat sacrifié. Il vous suffit de si peu de choses pour terminer cette bataille, pour sortir du charnier, pour revenir à votre point d'humanité, pour vivre à nouveau dans le monde ensoleillé, pour être libre et souverain de sa destinée. Vous pouvez gagner dès à présent et pour toujours, sur cette fausse fatalité que vous avez vous-même créée. Vous êtes le héros que vous attendez, le sauveur que vous priez, l'être suprême dont vous rêvez. Vous êtes la Lumière qui terrasse les ténèbres, vous êtes le raz de marrée qui va purifier le monde, vous êtes unique, beau, libre, souverain. Vous êtes capable de détruire en un instant tout l'empire du mal qui vous assaille, vous êtes l'arme absolue contre les légions sataniques, vous êtes tout cela et bien plus encore, vous êtes un Humain ! 

    Pierre Rabhi, dans sa sagesse nous a appris la légende du Colibri, dont voici l'histoire: "Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : "Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu !" Et le colibri lui répondit: "Je le sais, mais je fais ma part."    

    Et pour atteindre cette apogée, cette quintessence de votre être, cette magnifique gloire qui vous est réservée, cette promesse qui vous est adressée, vous n'avez qu'une seule et minuscule chose à faire. Un tout petit geste qui peu, s'il est coordonné et fait simultanément avec vos proches, sauver toute l'humanité. Ce geste incroyable de courage et d'abandon qui va vous libérer et vous offrir la possibilité de faire tout ce que l'Homme a toujours rêvé, je vous l'enseigne avec plaisir. Il n'est pas compliqué, il n'a besoin que d'une simple pression, d'un doigt bien placé, pour faire basculer tout l'édifice de saleté qui nous entoure et nous étouffe. Ce geste sera votre médaille d'honneur durement gagnée, votre acte de bravoure ultime, votre action de grâce parfaite, votre salut et la reconnaissance de votre grandeur à jamais... 

    Soyez un Héros, soyez un grand personnage devant l'humanité, un Sage parmi les sages, un Fort parmi les forts, soyez l'ultime combattant qui aura détruit à lui seul les forces du mal, soyez puissant et conquérant.  Soyez ce nouveau doigt de la divinité qui offrira l'exemple, la force et le courage aux autres de vous imiter dans la sagesse, soyez cette énergie qui rénovera le monde, soyez cette étincelle qui mettra le feu aux poudres, cette goutte d'eau qui renversera le vase... Ce colibri qui est entré dans la légende en faisant sa part de travail.

Soyez le premier Homme qui éteindra à jamais son PORTABLE !


Phil BROQ.