LA MACRONIE N'EST QU'UNE BRANCHE DE LA MAFIA
Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir, la France est prise en otage par une oligarchie politico-financière sans scrupule, une véritable mafia d’État qui s’engraisse en détournant l'argent public et piétinant les intérêts de la nation comme de son peuple. Sous le faux prétexte de modernisation, de sécurisation et de progrès, ces élites ne cherchent qu’à remplir leurs poches avec avidité, laissant derrière elles une France exsangue, dénuée de sa souveraineté économique et plongée dans une spirale de précarité qui touche désormais des millions de citoyens.
Les preuves sont accablantes. Cette présidence est celle d’un banquier Rothschild, d'une "pute" comme dirait Alain Minc, au service des milliardaires, des multinationales et des mondialistes malthusiens. Pendant que ces nantis, petits marquis privilégiés se goinfrent, les classes moyennes et populaires sont pressurées jusqu’à l’os, volées, humiliées et méprisées.
Chaque mesure adoptée par ce triste sire, depuis 2014 au gouvernement, accentue ce pillage institutionnalisé couplé à la destruction du tissus industriel. Ainsi, avec la suppression de l’ISF pour les ultra-riches, les cadeaux fiscaux aux grandes entreprises, et les réformes antisociales comme celle des retraites, imposées par la force et la coercition malgré l’opposition massive et pacifique des citoyens.
Pendant ce temps des patrons déjà milliardaires, comme Bernard Arnault, doublent leur fortune en toute impunité alors que plus de 11 millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté. C'est plus qu'une honte, c'est un délit ! En revanche, les actionnaires festoient en se vautrant dans le luxe, les services publics s’effondrent en servant mieux les clandestins que les contribuables, et l’industrie nationale stratégique est bradée, démantelée et servie sur un plateau d'argent aux intérêts étrangers, Qataris comme Israéliens ou Américains, laissant notre pays, dorénavant dirigé directement par Bruxelles, affaibli et dépendant.
Macron n’est pas un réformateur, ni même un directeur et encore moins un travailleur ; il n'est que le mauvais PDG d’une entreprise France jadis prospère, qu’il s'évertue à démanteler méthodiquement pour le plus grand profit de ses maîtres actionnaires. Avec sa bande de ministres voyous millionnaires et de technocrates déconnectés, il orchestre une mise à sac, planifiée et organisée par ses maîtres oligarques, de toutes nos richesses publiques. Et ce, en toute impunité !
Les exemples de cette forfaiture sont nombreux, en passant des fleurons industriels, tels qu'Alstom ou Technip, vendus à l’étranger pour satisfaire ses amis, à la ruine du système public et social par une immigration ultra massive, jusqu'à l'explosion de la dette malgré le racket total de nos économies. Ces grands patrons, truands avérés du CAC40 qui dévoient l'armée pour leurs uniques intérêts, dictent quotidiennement leur loi au corps d'état totalement corrompu. Pendant que les travailleurs trinquent, que les étudiants sont affamés et les retraités rackettés, ces riches se partagent les bénéfices de leurs malversations dans des paradis fiscaux, ignorant la misère croissante de la population. Pire, s'en amusant !
Et qu’on ne vienne surtout pas nous parler de la dette publique comme justification ! Cette dette est fictive, alimentée artificiellement car tel est l'instrument qu’ils utilisent depuis 70 ans pour mieux nous asservir. Elle n’est qu’un prétexte fallacieux pour justifier l’austérité, pour imposer encore plus de taxes, ruiner les plus modestes, et faire passer leurs intérêts avant ceux du peuple. Pendant ce temps, des milliards d’euros sont envoyés à des régimes étrangers souvent africains, et à des guerres abjectes qui ne nous concernent pas, tandis que nos hôpitaux ferment et que nos écoles croulent sous le manque de moyens. La France est vendue pièce par pièce, mais ce sont toujours les citoyens qui en paient le prix jusqu'à leur suicide prochain.
Ce réseau mafieux, cette secte qui nous dépouille en bande organisée, prospère grâce à la complicité ignoble d’institutions aux ordres. Le Conseil constitutionnel, dirigé par Laurent Fabius, est devenu une chambre de validation des lois qui détruisent la souveraineté populaire. La justice, totalement corrompue et inutile, censée protéger les citoyens, est entre les mains de ces pseudo élites qui n'ont rien à envier à Al Capone. La Cour de justice de la République, censée juger les crimes des membres du gouvernement, reste un club de copains qui protège les malfrats puissants au lieu de les juger. Ils sont juges et parties, volant, pillant et dilapidant les ressources du pays, en toute impunité. Pendant que nous sommes écrasés d'impôts et de taxes injustifiables mais toujours plus nombreuses.
Ce système nommé république, ou plutôt "raie publique" tant ils se torchent avec, est devenu une machine à broyer la justice comme les droits, garantissant l’impunité des criminels en col blanc et l'enfermement des opposants. Pendant que les peuples manifestent leur colère légitime, ce gouvernement ne réagit que par la violence et la répression, brandissant matraques et gaz lacrymogènes grâce à leur milice zélée, qui n'a plus rien à voir avec un service de Police. Ils essaient d'étouffer systématiquement la révolte, allant jusqu'à surveiller intégralement internet et piratant les smartphones pour cueillir les plus virulents au petit matin. Mais quelle que soit la pression, la colère gronde et s'amplifie dans le cœur du peuple.
Mais ne vous leurrez pas, il ne suffit plus de destituer ces malfrats pour revenir à un état de droit, loin de là. La justice populaire ne doit pas être une simple formalité de destitution de ces individus sans foi ni loi. Si on veut retrouver notre souveraineté, elle aussi doit s’accompagner de mesures fermes, d'actions radicales, et de purge déterminée à la hauteur des nombreux crimes commis contre notre nation. Ces voleurs, ces traîtres, ces assassins patentés doivent être non seulement jugés pour leurs actes et déchus de leurs fonctions, mais aussi condamnés pour haute trahison, ce qui généralement finit devant un peloton d'exécution.
Il est aussi impératif de récupérer tout l’argent volé, c'est-à-dire aller prendre leur fortune, accumulée dans les paradis fiscaux, ces comptes en banque pleins de notre argent détourné, et leurs biens acquis grâce à ce racket immonde dont nous sommes victimes. Cet argent doit revenir au peuple qui a sué sang et eau pour le gagner ! Il faut traquer chaque euro, chaque dollar, chaque rétro-commission, chaque conflit d'intérêts, chaque compte secret caché à l’étranger, afin que justice soit faite. Il faut aussi dénoncer les bailleurs de fonds de la dette, là aussi, coupables de délits d'initiés. Rien ne doit plus leur être laissé.
Mais cette justice financière n’est qu’une première étape. Les responsables, osant de nouveau brandir des 49.3 pour mieux nous arracher nos dernières ressources doivent dorénavant payer aussi de leur liberté et de travaux d'intérêts généraux, leurs forfaits, ici et maintenant ! Ainsi, ces hauts fonctionnaires aussi inutiles que corrompus, ces ministres millionnaires pétris d'hybris, ces sénateurs gavés de mépris comme leurs personnels qui ont aussi trahis leur pays, doivent être emprisonnés, sinon guillotinés pour les plus retords comme Fabius et consorts. Nous ne parlons plus là de simple démission ou destitutions, mais de rendre des comptes devant la loi et surtout devant le peuple. Leur place n'est plus que derrière les barreaux, et surement pas dans les salons dorés que nous avons financés où ils festoient pendant que toute la France agonise.
L’armée doit également jouer son rôle de personnel "armé" justement. Car il est temps qu'elle accomplisse sa mission de défendre notre nation contre les agressions et de faire des exemples punitifs ne donnant plus envie à cette caste de recommencer. Comme il fût fait pour Ceaucescu en Roumanie, ces traîtres à la nation doivent comprendre définitivement et urgemment que le peuple ne tolérera plus la corruption et le pillage sans impunité de notre pays. Si la justice ne suffit pas, le peloton d’exécution devra intervenir pour restaurer l’ordre populaire, la souveraineté du pays et rendre à la France sa dignité. Et si l'armée ne le fait pas, alors ce sera enfin au peuple, dans son droit le plus essentiel à la liberté, de prendre les choses en main. La guillotine, symbole de justice populaire, devra être ressortie et utilisée pour offrir dans ce sang versé, une purge salvatrice de cette gangrène qui nous ronge. Cette fois, elle ne sera pas simplement une menace brandie dans les rues, mais une réalité qu'il faudra bien assumer si l'on veut retrouver le chemin vers la liberté et le véritable progrès. Celui qui permet a des parents d'élever leurs enfants dans un climat qui tend vers un futur digne de l'humanité.
Le temps de la révolte est donc bel et bien arrivé. Nous ne pouvons plus tolérer que cette mafia continue de piller notre pays en toute impunité. Cette petite secte de traîtres, de voleurs, de profiteurs, de nantis abjectes doit être jugée, et les sanctions doivent être exemplaires, sinon définitive pour empêcher l'envie de retour de ces parasites. Ils ont pris tout notre argent comme celui de nos enfants, notre dignité et surtout notre possibilité d'avoir un avenir viable dans ce pays. Alors, nous disons NON ! Nous prendrons leur fortune, leur liberté, et, s’il le faut, leur vie, mais nous nous en sortirons si nous sommes unis. La France peut et doit se relever. La justice populaire doit triompher. Or, cela ne se fera pas avec des mots, ni des slogans mais avec des actes violents et une grande détermination.
Français, vous êtes humiliés et trahis depuis trop longtemps ! Il est temps de reprendre par tous les moyens, quels qu'ils soient, ce qui nous appartient. Pour notre bien comme celui de nos descendants. Il est temps de nettoyer les strates de cet état qui n'est qu'une excroissance de la mafia, et il est temps de chasser de notre sol ces parasites qui ne nous ont que trop dégradés.
Partagez ce message, participez à la révolte des esprits, avant celle des corps. Formez vos bataillons, regroupez vos amis et combattants, préparez vos rangs car le combat promet d'être aussi épique que sanglant, si l'on veut retrouver dignité, sécurité et liberté. Ne restez plus les spectateurs abrutis de ce déclin programmé, soyez les acteurs de vos vies et les artisans de celle de demain ! La France demeure un pays libre, en dépit de la propagande des médias, qu'il faudra aussi punir à bon escient. Car si nous ne faisons rien avant l'été prochain, si nous ne les pendons pas haut et court, alors ils finiront par tout nous prendre jusqu'à notre propre vie.
la France se trouve donc aujourd'hui à un carrefour décisif. Face à une oligarchie jugée corrompue et déconnectée des réalités de la population, beaucoup d'entre nous considèrent qu'il est temps de leur reprendre le pouvoir et de restaurer une justice sociale et économique destinée aux contribuables et non aux étrangers.
Tout ceci n'est plus une question de réforme ni de protestation superficielle, mais de légitime défense. Pour ceux qui porteront ce message, il s'agit d'une lutte vitale pour protéger le pays contre des intérêts perçus comme prédateurs, dans l'espoir de rendre à la nation sa souveraineté et de bâtir un avenir où dignité et justice puissent enfin prévaloir pour justifier un avenir à nos enfants.
Comprenez bien qu'il n'est plus question de faire la révolution mais d'auto-défense, vitale et salutaire, contre cette racaille de parasites et cette pyramide de Ponzi pour les cols blancs !
Phil BROQ.
C'est l'Apocalypse... l'enjeu a toujours été d'ordre essentiellement SPIRITUEL et la solution est avant tout d'ordre INDIDUELLE... se rappeler que le peuple est une "somme" d'individus...
RépondreSupprimerJe partage, beaucoup d'autres aussi . Cependant, les mots sont insuffisants mêmes si ils sont nécessaires. Une révolution totale ? Comment la mettre en place ? Les gens sont pour leur quasi totalité complètement anesthésiés et esclaves de leurs dépendances. Entre souhaiter et agir, il y a un tel gouffre actuellement. Comment le sauter ? Là est le problème, la cause de tous nos problèmes ( notre incapacité à nous révolter) et il va nous falloir trouver LA SOLUTION sinon nous périrons tous. Le temps presse, nous n'avons plus LE CHOIX. Malheureusement, sans être fataliste, nous subissons sans pouvoir agir avec efficacité car les armes dont nous aurions besoin nous manquent et nous sont retirées de plus en plus. Ils nous restent nos mots, nos colères et nos espoirs ......
RépondreSupprimer