DES BOMBES ET DES TITRES : COMMENT L'INFORMATION EST L'ARME FATALE !

Bienvenue dans un monde où les guerres ne sont plus déclenchées sur les champs de bataille, mais dans les salles de rédaction. Les tanks et les missiles ? Simple décor. Ce sont les titres à sensation, les discours enflammés et les images soigneusement choisies qui vous mènent à la guerre. Selon Julian Assange, fondateur de WikiLeaks et ancien prisonnier politique des USA : "Presque chaque guerre qui a débuté au cours des 50 dernières années a été le résultat de mensonges médiatisés”, a-t-il déclaré, sans détour ni faux-semblants. Des mensonges médiatisés !

À ses yeux, ces mensonges sont devenus l’arme favorite des États impérialistes, justifiant des interventions militaires sous couvert de faux prétextes. Mais que se passe-t-il quand quelqu’un ose démasquer ce vaste théâtre de dupes ? Réponse : Assange l’a appris à ses dépens. Il a exposé au grand jour la mécanique bien huilée des manipulations médiatiques, quitte à mettre sa propre vie en péril. Dans ce jeu d’ombres, le véritable ennemi n’est peut-être pas celui que l’on croit. Car à l'ère des faux-semblants, qui sont les véritables perdants des guerres modernes ? Nous.

Tout revient à l'argent ! L'Alpha et l'Oméga de nos sociétés modernes, la véritable religion universelle, la seule qui rallie les cœurs et les consciences, de la Silicon Valley à l'Afrique subsaharienne, du Vatican à Pyongyang. Parce qu'au fond, qu'est-ce qu'une guerre, si ce n'est une entreprise commerciale comme une autre, avec des actionnaires exigeants, des directeurs commerciaux zélés, et un marché en expansion constante ? Bien sûr, on vous vend tout ça sous des étiquettes glamour : la démocratie, la liberté, la justice divine, voire le dernier cri en matière d'utopie idéologique : le progressisme. Mais au cœur de cette vaste superproduction, il n'y a qu'un seul moteur : le cash, les gros billets, ceux qui coulent à flot sous l’œil bienveillant des banques et des marchands d'armes.

Prenons quelques instants pour regarder ce cirque en face, voulez-vous ? Nous avons d’un côté les images terribles, soigneusement sélectionnées et diffusées aux heures de grande écoute. Des villes en ruines, des mères en larmes, des enfants au regard éteint. Ah, le spectacle de la souffrance, une véritable aubaine pour émouvoir le bourgeois. Les pauvres, eux, n'ont pas le temps, ils travaillent et subissent. Parce qu'il faut bien le dire, c’est là que la magie opère : le téléspectateur ému, bouleversé, culpabilisé, va ouvrir son porte-monnaie. Quelques euros pour la bonne conscience, une aumône déguisée en action charitable. Un mécanisme bien huilé qui assure que jamais, ô grand jamais, on ne prenne le temps de réfléchir à qui cet argent profite vraiment. Et ce ne sont ni aux enfants, ni aux mères désespérées. Ces images de souffrance ne sont que des campagnes de marketing pour la guerre.

Non, cet argent va directement dans les poches des fabricants de missiles, des fournisseurs de munitions, des spéculateurs qui jouent les guerres sur les places boursières comme d’autres misent sur le cours du soja. Et surtout, ne tombons pas dans l'angélisme de croire que ces conflits sont le fruit du hasard ou de simples querelles de clocher. Derrière chaque coup de feu, chaque explosion, il y a des hommes en costume-cravate, confortablement installés dans des bureaux climatisés, souriant devant les dividendes grimpants. Chaque missile lancé est financé par nos impôts, et chaque drame est un spectacle que nous payons à prix d'or.

Mais attention, n'allez pas croire qu'ils se contentent de manipuler les masses à coups de propagande médiatique. Non, ces virtuoses de l'exploitation ont un autre tour dans leur sac : la division ! Exacerber les tensions entre les peuples, dresser les uns contre les autres, nourrir les rancœurs pour mieux empêcher que ne se forme la vraie rébellion, celle qui verrait enfin la Lumière émergée en même temps que la fin des oligarques. Parce qu'une chose est sûre : tant que les luttes restent horizontales – peuple contre peuple, prolétaire contre prolétaire, noirs contre blancs, juifs contre musulmans, jeunes contre vieux, etc. – tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles pour l'oligarchie. Les gouvernants, eux, restent intouchables, continuent de tirer les ficelles et s’enrichissent de la guerre comme d’une bonne cuvée de Bordeaux. Pendant que nous nous battons pour des idéaux, ceux qui profitent se frottent les mains et trinquent à notre bêtise, pendant que notre dette les enrichis.

Prenez l’exemple de n’importe quel conflit récent. Le Moyen-Orient, l’Ukraine, l’Afrique, l’Amérique du Sud. On vous vend de nobles causes, on vous parle de démocratie, de religion, de justice. Mais qui profite des ruines fumantes ? Les compagnies pétrolières, les géants du gaz, les fabricants de tanks et de drones. Les peuples, eux, crèvent dans l'indifférence la plus totale une fois que les caméras ont tourné le dos. Et les dirigeants de ces nations meurtries ? Ils se frottent les mains, signent des contrats avec des multinationales, vendent leurs ressources pour des cacahuètes et prennent leur commission au passage. "Business as usual." La paix est un luxe que les puissants ne se permettent que de manière opportuniste.

Et nous, dans tout ça ? Spectateurs émus et impuissants, nous restons collés à nos écrans, hypnotisés par la mise en scène morbide d'un monde en flammes. On commente, on s’indigne, mais au fond, on ne fait rien. Car tout est pensé pour qu'on ne fasse jamais rien d’utile. Les manifestations qui pourraient changer le cours des choses sont orientées, canalisées, ou violemment réprimées par leur milice déguisée en police, pour qu’elles n’atteignent jamais la véritable cible. Alors, on descend dans la rue, oui, mais pour se battre entre nous, pour crier sur nos voisins qui ont le malheur de ne pas penser exactement comme nous, pendant que les gouvernants sirotent tranquillement leurs cocktails sur des yachts en Méditerranée.

Le génie de ce système est là : maintenir l'illusion d'une lutte, mais veiller à ce qu’elle n’atteigne jamais le sommet. Les puissants restent puissants, les pauvres s'entredéchirent, et le capitalisme guerrier continue de prospérer. Parce qu’au fond, qu’importe le drapeau, la religion ou l’idéologie ? Ce ne sont que des prétextes, des accessoires de théâtre, des leurres pour occuper l’esprit des masses pendant que les véritables enjeux se déroulent ailleurs, dans des salles de conseil d’administration, loin des champs de bataille et de l'horreur. Guerre et profit sont un mariage indissoluble qui fait rire ceux qui manipulent les fils.

Et comment ne pas évoquer ce qui se passe en ce moment-même au Moyen-Orient, une preuve flagrante, indécente même, de ce cynisme absolu qui guide le monde ? Gaza est bombardée, génocidée, réduite en miettes, ses orphelins vivent sous les décombres, tandis que le silence assourdissant des pays arabes – pourtant à majorité musulmane, frères de foi, de sang et de culture – est aussi glaçant que révélateur. Où sont ces défenseurs autoproclamés des causes sacrées ? Ils ne bougent pas le petit doigt pour protéger les Gazaouis. Pourquoi le feraient-ils ? Leurs coffres forts débordent, et les affaires continuent comme si de rien n'était. Ils signent des contrats d’armement à coup de milliards avec les puissances occidentales, organisent des sommets économiques dans des tours d’ivoire climatisées, tandis que leurs "frères" sont écrasés sous les bombes.

Et à l'autre bout de cette mascarade, l’Occident, avec sa morale de pacotille, qui arrose l’Ukraine et Israël de milliards pour une guerre sans fin. Au mépris total de la solidarité entre les peuples, de la prétendue unité européenne. Ah, l'Europe unie, ce fantasme de coopérations harmonieuses… La vérité, c'est que les gouvernements européens jouent aux petits soldats dans une guerre par procuration, obéissant aux injonctions de Washington, tout en remplissant les poches des véritables maîtres du monde : BlackRock, Vanguard et compagnie. Ces colosses de la finance se régalent pendant que nous, les citoyens, faisons face à des pénuries d’énergie, à des augmentations de prix vertigineuses et à des rationnements qui nous ramènent aux heures les plus sombres de l’Histoire. Incapables de nous sortir de l'ornière dans laquelle ils nous ont mis.

Prenez juste un instant pour contempler le spectacle : le prix du gaz explose en bourse, l’électricité atteint des sommets faramineux, et nous, on se bat pour se chauffer l’hiver, pour remplir nos réservoirs ou simplement acheter des denrées de base. Tout ça pendant que les oligarques, qu’ils soient russes ou américains, juifs ou musulmans, trinquent à notre santé, jouissant de ce chaos qu'ils ont eux-mêmes orchestré. Guerre en Ukraine, guerre à Gaza, pénurie énergétique, inflation galopante… mais qui y gagne ? Certainement pas les peuples ! C’est toujours le même scénario : des crises fabriquées, exploitées, entretenues pour maintenir le contrôle des masses, remplir les poches des plus riches, et nous maintenir la tête sous l’eau, divisés, désorganisés. Nous sommes les acteurs d'un théâtre d'ombres, aveuglés par la lumière des écrans.

Et pendant que nous nous débattons pour survivre, ces crises deviennent le prétexte idéal pour un contrôle encore plus sévère. Les hausses de prix ? Inévitables, nous dit-on. Les pénuries ? Le résultat de la guerre. Le rationnement ? Une "nécessité" pour le bien commun. La surveillance de masse ? Une obligation pour le "vivre ensemble". Tout est présenté comme une fatalité, comme si nous n’étions que des pions dans une partie d’échecs qui se joue bien au-dessus de nous. Pourtant, le véritable objectif est bien plus sinistre : la concentration du pouvoir et des richesses entre les mains de quelques-uns, tandis que nous perdons tout dans des querelles insignifiantes. Peu importe l’étiquette sous laquelle on nous vend cette guerre : c’est toujours pour faire tourner la machine capitaliste, alimenter les profits des industries de l’armement, des ressources naturelles, de la finance. Et qui est derrière tout ça ? Les mêmes que d’habitude : Toujours BlackRock, Vanguard, et leurs acolytes du WEF, qui se gavent en coulisse pendant que les États jouent à la guerre.

Ah, l’humanité ! Cet étrange assemblage de chair et de rêves, de grandes idées et de petites mesquineries, toujours prête à se hisser au sommet de la montagne, mais finissant invariablement par trébucher sur une bouse de vache. Et pourtant, dans sa quête éternelle de sens, notre chère espèce semble encore croire aux contes de fées, aux princes sauveurs, aux héros sacrificiels. Comme si, au XXIème siècle, on pouvait encore gober que les guerres, les famines, les crises, tout cela avait une cause noble, une justification morale. Mais la réalité, mes amis, est bien plus sordide que risible : tout cela ne repose uniquement que sur l'argent. Oui, l’argent, ce seul dieu suprême, devant lequel tous s'inclinent en silence, sans jamais vraiment oser le nommer.

Prenons un exemple, un exemple bien actuel : toujours au Moyen-Orient. Gaza est en flammes, le Liban est en cours de destruction, l'Iran devrait suivre et l'expansion israéliennes est encouragée, mieux subventionnée ! Là-bas, les habitants suffoquent sous les bombes, et que font les grands frères arabes, les pays musulmans ? Rien depuis un an. Pas un geste, pas un mouvement, pas même un froncement de sourcils. Leur silence est aussi assourdissant qu’instructif. Vous voyez, c’est là que réside le génie de la situation. Pourquoi diable se mouilleraient-ils pour leurs frères et Gazaouis, alors que tout va si bien pour eux, les poches pleines de pétrodollars ? Pourquoi risqueraient-ils leur confort climatisé pour quelques vies sacrifiées à la télévision, quand l'industrie de la guerre et de la finance tourne à plein régime ? Après tout, c'est tellement plus pratique de rester dans les coulisses, de signer des accords discrets avec ceux qui fabriquent les bombes, tout en envoyant quelques communiqués de soutien à la Palestine, pour faire bonne figure. "Business as usual", je vous dis.

Et pendant ce temps, que fait l’Occident éclairé, chantre de la liberté et des Droits de l’Homme ? Il finance allègrement les guerres en Ukraine comme en Israël, bien sûr ! Non pas pour des raisons stratégiques ou idéologiques, mais pour une raison beaucoup plus simple, parce que ça rapporte.

Ah, l’unité européenne, ce mythe naïf de l'unité et de la paix… on aurait pu y croire, un temps. Mais non, au mépris de toute logique de solidarité continentale, les gouvernements envoient des milliards à Zélensky et Netanyahou, avec un grand sourire, en tirant quelques chèques au passage pour BlackRock et les autres géants de la finance. Pourquoi ? Parce que, mes amis, la guerre, ça fait vendre. Des armes, des tanks, des drones, mais aussi des denrées, de l’énergie et même des médicaments ! Une économie de guerre en pleine santé, vous ne trouvez pas ?

Et nous, pauvres âmes innocentes que nous sommes, nous tombons dans le panneau à chaque fois. Vous vous dites sûrement : "Mais comment est-ce possible ? Nous sommes éclairés, informés, connectés ! Nous ne sommes pas si naïfs !" Ah, si seulement. La vérité, c’est que nous sommes les financiers, les spectateurs et les acteurs malgré nous de ce théâtre grotesque. Nous payons ces guerres. Oui, vous avez bien entendu. Chaque centime de vos impôts, chaque goutte de votre sueur, chaque minute de votre labeur va remplir les caisses de ceux qui s’enrichissent sur ces conflits. Nous les finançons, ces bombes. Et ensuite, nous les regardons exploser… depuis nos canapés, confortablement installés devant nos écrans plats, que nous avons achetés en prime avec notre propre argent, ou à crédit pour les plus insouciants. C’est là que réside la grande blague cosmique : nous payons pour financer des horreurs, puis nous payons pour les regarder à la télévision. Magnifique, non ?

Oh, et ne pensez pas une seule seconde que tout cela est le fruit d’un malheureux hasard. Chaque guerre, chaque conflit, chaque crise est méticuleusement planifiée, orchestrée pour une seule raison : enrichir le complexe militaro-industriel, alimentaire et pharmaceutique. Vous avez remarqué comme tout cela fonctionne en parfaite symbiose ? Les bombes tombent, les populations fuient, la famine s'installe, puis arrivent les entreprises de reconstruction, les contrats lucratifs pour les médicaments, la nourriture et, bien sûr, l’énergie, dont les prix explosent soudainement.

Vous pensiez que ces pénuries, ces augmentations délirantes des prix, ces rationnements étaient des "conséquences" ? Non, non, détrompez-vous. Ce sont des outils, des leviers, des mécanismes pour maintenir les profits au plus haut niveau. Pendant que vous grelottez en hiver parce que l’électricité coûte une fortune, d'autres, bien au chaud dans leurs manoirs, voient leurs dividendes grimper en flèche.

Le cynisme de cette époque, c’est que tout cela se fait au vu et au su de tous, mais personne ne bouge. Pourquoi ? Parce que nous sommes trop occupés à nous battre entre nous. Les religions, par exemple, ces institutions qui devraient apaiser les âmes, ne font que jeter de l'huile sur le feu. Chaque conflit est une opportunité en or pour rappeler que "notre Dieu est meilleur que le vôtre", que nous sommes les élus, les autres sont des infidèles, etc. C’est vieux comme le monde, mais diablement efficace. Pendant que nous nous écharpons sur des questions théologiques, les vendeurs de bombes, eux, continuent leur petit commerce, ricanant en voyant avec quelle facilité nous tombons dans le piège, encore et encore.

Vous voyez, l’humanité est encore à l’âge de l’enfance. Nous refusons de grandir, de nous comprendre, de collaborer. Nous préférons jouer à ces jeux de guerre et de dupes, à nous regarder dans les yeux et à nous dire : "Mon dieu est plus fort que le tien !" "Mon pays est meilleur que le tien !" Et pendant ce temps, ceux qui tirent les ficelles continuent de nous manipuler, de nous envoyer dans l’abîme en nous menaçant, en nous maintenant dans la peur du lendemain, tout en amassant des fortunes astronomiques. Chaque bombe larguée est une bénédiction pour l’industrie de la guerre. Chaque pénurie, une aubaine pour les spéculateurs. Et chaque fois que nous nous entre-déchirons, que ce soit pour des raisons religieuses, ethniques ou idéologiques, nous leur rendons service. Nous sommes leurs marionnettes, dans ce jeu cruel où ils gagnent toujours.

Mais peut-être qu’il est temps de vous regarder dans la glace, de voir le fil qui pend à vos poignets et à vos chevilles. Réaliser que tout ce que vous financez, tout ce que vous regardez à la télévision, n’est qu’un vaste spectacle orchestré pour vous distraire pendant que l’on vous vole votre humanité, votre solidarité, votre avenir et bien sûr votre argent. Peut-être est-il temps d’arrêter de financer cette mascarade, d’arrêter d’être à la fois la vache à lait et le spectateur émerveillé de sa propre mise à mort. Parce qu’au fond, ce que vous financez, c’est la fin de l’humanité telle qu’elle aurait pu être : unie, adulte, consciente de sa force collective. Mais non, nous restons des enfants, à nous chamailler pour des jouets cassés, pendant que d'autres comptent leur fortune ainsi amassée.

Il serait presque risible de constater à quel point tout cela est planifié. Des guerres qui servent uniquement à relancer les commandes de tanks et de missiles, des sanctions qui ne font que renforcer les monopoles, des pénuries fabriquées pour justifier des hausses de prix colossales, des dettes insurmontables et enfermer l'avenir de vos enfants, le tout dans un concert médiatique savamment orchestré pour nous faire avaler la pilule. Et comme d’habitude, les peuples s'entre-déchirent, les classes populaires s’appauvrissent, les tensions montent… mais jamais contre les véritables responsables. Non, nous restons enfermés dans cette lutte horizontale, cette guerre des pauvres contre les pauvres, des opprimés contre les opprimés, pendant que les puissants, eux, continuent de festoyer. La seule guerre valable devrait être verticale, celle du peuple contre ces oligarques.

Voilà le vrai drame du Moyen-Orient, de l’Ukraine, et de tant d'autres conflits : ils ne sont que des rouages dans une machine bien plus grande, un système où tout est conçu pour enrichir ceux qui sont déjà au sommet. Tant que nous continuerons à nous battre entre nous, à nous diviser sur des lignes religieuses, nationales ou idéologiques, rien ne changera. Ceux qui tirent les ficelles continueront de le faire, pendant que nous sombrerons dans l’abîme qu’ils ont eux-mêmes creusé. La division est la clé du contrôle. Parce que franchement, qui se soucie des masses quand l'argent coule à flots ?

Et puis, comment ne pas mentionner le rôle délétères des religions dans ce grand cirque morbide ? Ces institutions, qui, sur le papier, sont censées apporter paix et sérénité, n’ont jamais servi qu’à diviser. Au lieu de guérir les esprits, elles enveniment les relations humaines, exacerbent les tensions, et, pire encore, fournissent les prétextes parfaits pour déclencher les conflits les plus sanglants. Les guerres saintes, ça fait bien sur une affiche, non ? Mais au fond, ces croisades modernes ne servent toujours qu’un but unique : offrir au complexe militaro-industriel, alimentaire et pharmaceutique un terrain de jeu sans fin où l’on peut se repaître de la souffrance des peuples. Car derrière chaque bombe lâchée, chaque fusil brandi, il y a toujours une chaîne d’approvisionnement bien huilée, prête à en tirer profit.

Les religions ne sont qu’un écran de fumée pour masquer ce vaste plan de dépopulation, d’exploitation des ressources humaines et naturelles, et surtout d'enrichissement indécent de ceux qui tiennent les manettes. Pourquoi prôner l’amour du prochain quand il est tellement plus rentable de nourrir la haine et la division ? Plus on se déchire, plus les armées se remplissent, plus les guerres se prolongent, et plus les actionnaires rient aux éclats. Pendant que les peuples souffrent, s'appauvrissent, crèvent de faim ou meurent sous les balles, d'autres se frottent les mains, déjà prêts à investir dans les prochaines pénuries, dans les vaccins, dans les médicaments destinés à soigner les maladies créées par et pour la guerre. L’argent est la vraie religion, et la guerre, son culte le plus lucratif.

Et parlons un peu de ce XXIème siècle, qui n’a, hélas, rien de la modernité éclairée qu’on nous avait promise. Nous sommes les jouets de cette compétition stérile et navrante, incapables de voir plus loin que le bout de nos nez. On nous avait promis des progrès, une humanité prête à grandir, à collaborer, à s’unir pour affronter les vrais défis, comme la destruction de notre planète ou l’épuisement des ressources. Et qu’avons-nous ? Des peuples toujours plus divisés, des nations en guerre perpétuelle, des conflits éclatant aux quatre coins du monde, toujours pour les mêmes raisons : l'argent, le pouvoir, le contrôle et l'extermination de la jeunesse.

Notre race "humaine", malgré des millénaires d'existence, n'est encore qu’à l’âge de l’enfance. Nous refusons de grandir, de nous assagir, de nous comprendre. Au lieu de ça, nous préférons nous enfermer dans ces divisions archaïques,  et nous nous livrons à une compétition ridicule pour des ressources et des idéaux qui n’ont, en réalité, aucune valeur réelle. Pendant ce temps, ceux qui se trouvent au sommet du système en profitent pour creuser encore plus le fossé qui nous sépare d'eux, tout en continuant à alimenter cette spirale infernale qui ne mène qu'à la destruction d'une civilisation tout entière.

Quel en est le résultat ? Une humanité au bord du gouffre, plus misérable que jamais. Des pays entiers détruits, des populations exsangues, un monde où la famine, la maladie et la mort sont devenus des compagnons quotidiens. Mais ne vous y trompez pas : tout cela n’est pas le fruit du hasard ou d'une fatalité. C'est un système soigneusement conçu pour que les peuples ne puissent jamais se relever, pour qu'ils soient perpétuellement affaiblis et incapables de remettre en question l'ordre établi par ces voyous. Chaque conflit, chaque guerre, chaque crise sanitaire ou alimentaire est une pièce supplémentaire ajoutée au puzzle de la domination globale.

Et pendant que nous restons accrochés à nos petites querelles stériles, ceux qui dirigent ce monde se régalent de notre incapacité à voir l'essentiel : que nous sommes tous dans le même bateau, condamnés à sombrer ensemble si nous ne décidons pas enfin de nous unir. Mais non, l’humanité préfère continuer à jouer ce jeu puéril et destructeur, tournant le dos à sa propre évolution. Refusant de grandir et d’embrasser une véritable collaboration entre les peuples, préférant rester hypnotisés sur ces écrans sans âme dans lesquels nous perdons notre destiné.

Et ainsi, les guerres continuent, les profits s'envolent, et la souffrance des masses ne fait que s'accentuer. Tout cela au nom de principes illusoires, de croyances qui ne servent qu’à nous détourner de la réalité : celle d’un monde contrôlé par une poignée d’individus qui exploitent nos divisions pour mieux nous asservir. Tant que nous continuerons à être les marionnettes de ce spectacle absurde, rien ne changera. Et le pire, c’est que nous en sommes encore les complices, trop aveuglés par nos rivalités dérisoires pour comprendre que l'enjeu est ailleurs.

Au fond, les vrais fauteurs de guerre, ce ne sont pas les soldats qui tirent, ni même les généraux qui ordonnent. Non, ce sont ceux qui vous bombardent d’informations filtrées, transformant la vérité en une arme bien plus dangereuse que n'importe quel missile. Pendant que les oligarques décident des conflits, confortablement installés dans leurs bureaux luxueux, vous, spectateur passif, restez bien au chaud dans votre canapé, hypnotisé par la télé ou scotché à votre écran, manipulés par les meRdias de propagande.

Et vous, sachant cela à présent, que faites-vous ? Continuez-vous à être le pion docile d’une partie d’échecs dont vous ne voyez même pas l’échiquier, ou allez-vous enfin lever les yeux vers ceux qui manipulent le jeu depuis le début ?

Le plus triste ? C’est que, sans même vous en rendre compte, vous perdez votre propre guerre. Une guerre silencieuse qui se déroule sous vos yeux, chaque jour. Ces mêmes élites qui orchestrent massacres et pillages vous méprisent ouvertement. Schwab et son acolyte Harari ne s’en cachent même plus : vous êtes cette "bouche inutile à nourrir", un fardeau pour leur utopie déshumanisée. Mais bien sûr, tant que vous avez votre série préférée et votre feed Instagram, pourquoi vous inquiéter ? Continuez de perdre vos journées à absorber la propagande, tout en croyant que la guerre est toujours ailleurs.

Vous êtes aveugle si vous pensez que le prochain conflit ne vous concerne pas. Parce que demain, quand ils n'auront plus besoin de vous, quand vous ne servirez plus leurs plans, ce sera vous, la cible. Et pendant que vous ferez défiler votre vie virtuelle devant des écrans, ils planifieront tranquillement comment se débarrasser de "l'inutile" que vous êtes. Mais bon, continuez à faire ce que vous faites de mieux : c'est à dire, rien...

Phil BROQ.



Commentaires

  1. Quel billet ! Je suis complètement KO ! Merci de me réveiller jour après jour.

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  2. Je ne fais que relater les infos !

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