05 octobre 2024

L'AGENDA MAUDIT : - Acte 5- :LES FONDATIONS QUI DOMPTENT LE MONDE

Les fondations des milliardaires philanthropes, ces prétendus chevaliers blancs de notre monde moderne, sont en réalité les architectes d'une mascarade monumentale. Comme nous l'avons vu précédemment, sous couvert de sauver la planète et de tendre la main aux plus vulnérables, elles opèrent dans l’ombre, exemptes d’impôts et à l’abri des lois, avec une impunité qui ferait rougir les plus grands barons du crime organisé. Le véritable génie de ces fondations ? Ne jamais rendre de comptes. Pas de transparence, aucun contrôle public, juste un vaste terrain de jeu où elles manipulent allègrement les politiques publiques, l’économie mondiale, et même la santé des plus démunis. Et tout cela sous le doux voile de la charité. Mais posons-nous la question : qui en profite réellement ? Evidemment, ce ne sont pas les pauvres...

Prenons un instant pour savourer l’ironie. Ces fondations sont en fait des entreprises privées, profitant d’avantages fiscaux extravagants, tout en investissant dans des projets qui, oh surprise, gonflent encore plus les poches de leurs créateurs. Regardez la Fondation Rockefeller et ses vieux rêves eugénistes, déguisés en initiatives de "contrôle démographique". Ou le Wellcome Trust, qui flirte avec l'éthique à travers ses expérimentations médicales douteuses. Quant à George Soros et sa Fondation Open Society, elle se pavane comme un projet humanitaire alors qu’elle joue en réalité sur l’échiquier de la manipulation politique mondiale. Un immense jeu de Monopoly où, devinez quoi, ce sont toujours les mêmes joueurs qui raflent la mise, façonnant l’avenir des nations à leur guise, tout en gardant le sourire satisfait de ceux qui croient vraiment "sauver" le monde. Uniquement le leur !

Mais ce n’est que la surface. Jetons un œil à ces "projets visionnaires" qu’ils financent. Prenons la géo-ingénierie qui revient à jouer à Dieu avec le climat, tout simplement. Injecter des particules dans l’atmosphère, espérant ainsi maîtriser les effets du réchauffement climatique. Et si les choses tournent mal, qui paiera l'addition ? Sûrement pas ceux qui orchestrent ces expériences planétaires depuis leurs tours d’ivoire. Ah, et ces vaccins expérimentaux, généreusement "offerts" aux pays en voie de développement ? Avec des effets secondaires à peine documentés, bien sûr. Mais ne vous inquiétez pas, c’est pour le bien de l’humanité. Quant aux initiatives de contrôle de la population, subtilement emballées sous forme de programmes de "planning familial" dans des régions "trop peuplées", il s’agit tout simplement d’un eugénisme masqué avec un soupçon de malthusianisme. Une manière élégante de réduire la population des pauvres sans jamais le dire ouvertement.

En y regardant de plus près, on voit que les fondations philanthropiques, censées être des chevaliers blancs du progrès, incarnent plutôt des cavaliers de l’apocalypse moderne, déguisés en sauveurs de l’humanité. Derrière les sourires bienveillants et les beaux discours sur le "bien public", ces entités cachent des intérêts d’une noirceur sidérante.

La Fondation Rockefeller, par exemple, dont les actions philanthropiques ont une longue histoire d’eugénisme et de manipulations médicales sous couvert de santé publique. Cette fondation n'a jamais vraiment cessé d'imposer des idées de dépopulation, surtout dans les pays en voie de développement, où elle semble avoir trouvé un terrain fertile pour ses idées de contrôle démographique malthusien.

Et la Fondation Wellcome Trust ? Certes, elle finance la recherche médicale, mais elle le fait souvent en soutenant des technologies expérimentales qui frôlent l’éthique, voire la dépassent. Vaccins expérimentaux, thérapies géniques... Qui se porte volontaire pour tester ces innovations ? Eh bien, les populations vulnérables des pays pauvres, bien sûr ! Leur voix ? Inaudible. Leur choix ? Presque inexistant. C’est bien plus pratique quand ceux que l’on "aide" ne peuvent pas protester.

Et si la Fondation Ford est habillée d’un costume socialement acceptable, elle aussi tire les ficelles en coulisses, influençant les politiques à son avantage et investissant dans des initiatives qui servent ses intérêts, bien plus que ceux des communautés qu'elle prétend aider. En quoi est-ce surprenant ? Cela s'appelle la philanthropie du capitalisme : s’enrichir en "donnant".

Ne parlons même pas de la Fondation Open Society de George Soros, cet empereur caché qui joue avec les démocraties comme un marionnettiste avec ses pantins. Promouvoir la démocratie et les droits de l'homme ? Un joli slogan. En réalité, les critiques accusent cette fondation d’alimenter le chaos sous couvert de "liberté", intervenant dans les affaires internes des pays pour les manipuler à des fins politiques. Mais qui peut s'en soucier ? Les millions injectés font taire toutes les révoltes ou les créent.

Mais la palme revient sans doute à la Fondation des Gates, ces monstres de la générosité autoproclamée, qui décident du sort des populations en matière de santé publique, le tout sous les applaudissements des institutions internationales. Mais à quel prix ? Vaccins expérimentaux, produits pharmaceutiques controversés, influence démesurée sur les politiques sanitaires mondiales… Actuellement, la Fondation Bill & Melinda Gates poursuit sa campagne mondiale de "programmes d'identité numérique". Cette fois-ci, ils ont jeté leur dévolu sur le Kenya, où le programme vise les nouveau-nés. Ainsi, lorsque le bébé naît, avant qu'il ne quitte l'hôpital, on ne lui remet plus un certificat de naissance en papier, mais un certificat numérique qui est implanté quelque part dans son corps. Ils créeront alors une nouvelle génération et tout le monde sera soumis à cette identité numérique.

Vous pensiez vraiment qu’il n’y avait aucun agenda caché derrière tout cela ? Leurs programmes humanitaires sont des tests grandeur nature menés sur les pays du Sud, tandis que les populations du Nord bénéficient des retombées économiques. Équitable, non ? 

Regardons maintenant leurs projets soi-disant révolutionnaires. Le projet de géo-ingénierie, par exemple : manipuler le climat en injectant des particules dans l'atmosphère pour contrer le réchauffement climatique. Parce que, bien sûr, rien ne peut mal tourner quand quelques milliardaires décident de jouer avec le thermostat de la planète. Vous vous souvenez du dernier désastre écologique causé par l’arrogance humaine ? Ah oui, c’était hier. Et qui paiera les pots cassés ? Surement pas eux.

Autre perle de leur bienveillance : les vaccins expérimentaux déversés dans les pays en développement. Leur efficacité ? Souvent mal documentée. Les effets secondaires ? À peine mentionnés. Mais qui s'en soucie tant que cela est estampillé du sceau "philanthropie" ? Personne, plus c'est gros, plus ça passe !

Le contrôle de la population, aussi. Ces fondations, avec leurs programmes de "planification familiale", visent en réalité à réduire drastiquement le nombre de personnes dans certaines régions du globe. Et qui sont les cibles ? Les populations des pays pauvres, bien sûr. Mais cela ne s’appelle plus de l'eugénisme, non. C'est juste du contrôle démographique avec un peu de gloss sur la pilule amère.

Et tandis qu’ils mènent ces expériences à grande échelle, ils échappent à tout contrôle, sans jamais avoir à rendre de comptes. Sous prétexte de charité, ils façonnent le monde selon leur vision, une vision faite à leur mesure, où les plus pauvres deviennent de simples sujets de laboratoire, et où la planète elle-même est leur terrain d’expérimentation. Et pendant ce temps, les vrais problèmes des populations locales – santé, éducation, pauvreté – passent au second plan, sacrifiés sur l’autel de leurs profits déguisés en philanthropie et humanisme.

Alors, pourquoi ne pas leur accorder une standing ovation ? Après tout, ils sauvent leur monde… en nous exploitant. Un petit groupe d’ultra-riches décide du sort de millions de vies, de la santé des populations, de l’avenir climatique de la planète, et personne ne semble avoir le droit de dire quoi que ce soit. Leur génie ? Avoir transformé la philanthropie en l'outil ultime de manipulation, d’influence et de contrôle global, tout en récoltant des félicitations mondiales pour leur générosité très orientés. Quelque chose vous dérange ? Pas eux. Tant qu’ils peuvent dormir dans leurs tours d’ivoire, l’argent coule à flot et la planète est leur terrain de jeu.

Pendant ce temps, ces fondations fonctionnent dans une zone de non-droit, échappant à toute forme de surveillance démocratique ou de régulation publique. Ce petit groupe d’ultra-riches influence également les politiques publiques et les lois, tout cela sans jamais avoir à rendre de comptes. Pas de scrutin, pas de débat, juste un pouvoir immense concentré entre les mains de quelques-uns, masqué derrière une soi-disant bienveillance. Si ce n’est pas là la définition du pouvoir absolu, alors qu’est-ce que c’est ?

Ces fondations, censées être des vecteurs de bienfaisance et de générosité, ne sont finalement que des machines à pouvoir, conçues pour préserver la richesse et l’influence de ceux qui les dirigent. Sous couvert de bonnes actions, elles amassent toujours plus de ressources, tout en privant les gouvernements de revenus fiscaux essentiels. Elles dictent les termes de la "charité", tout en jouant un rôle de déstabilisation à l’échelle mondiale. Bref, elles détruisent autant qu’elles prétendent sauver, et tout cela avec le soutien d'un système trop complaisant pour remettre en cause leur domination masquée. Car l'enfer est toujours pavé de bonnes intentions...

Alors, la prochaine fois que vous entendez parler d’une fondation qui œuvre pour le bien commun, demandez-vous : qui tire vraiment les ficelles ? Car ce ne sont jamais les populations qu’elles prétendent aider.

En fin de compte, ces fondations philanthropiques ne sont rien d’autre que des machines bien huilées à perpétuer la domination des ultra-riches, déguisées en institutions de charité. Elles jouent aux sauveurs du monde, tout en consolidant leur pouvoir et en faisant prospérer leurs intérêts privés. On pourrait presque saluer le génie de cette mise en scène : elles réussissent à se faire passer pour des héros tout en aggravant les inégalités qu’elles prétendent combattre. Elles manipulent les règles fiscales, se moquent des régulations, et s’arrogent le droit de décider ce qui est "bon" pour le reste de l’humanité, sans la moindre obligation de transparence ni de présentation des comptes.

Mais soyons honnêtes : est-ce que ça change quelque chose ? Le petit monde des fondations a parfaitement compris que l’opinion publique a la mémoire courte et que les scandales passent aussi vite qu’ils apparaissent. On s'indigne un jour, et le lendemain, c’est "business as usual". Tant que les bonnes œuvres continuent de faire les gros titres, tant qu’on sponsorise une école ici ou un hôpital là-bas, les milliardaires peuvent dormir sur leurs deux oreilles, leur conscience aussi propre que leurs comptes offshore. Et à chaque fois qu’une critique surgit, on sort le joker ultime : "Mais regardez toutes les vies que nous avons sauvées !" . Sans jamais parler de toutes celles qu'ils ont détruites...

Ce qu’ils sauvent vraiment, c’est leur empire, leur puissance et leur impunité totale. Ils transforment la philanthropie en un levier d’influence mondiale, tout en nous faisant croire qu'ils sont les remparts contre la misère et le chaos. Bravo, messieurs, dames, vous avez compris comment plumer la société tout en passant pour ses bienfaiteurs. Pendant que nous applaudissons vos "généreuses contributions", vous continuez à modeler le monde à votre image, et surtout à votre profit. Quant aux vraies victimes, celles que vous prétendez aider, elles continueront d’attendre dans l’ombre de vos tours d’ivoire, oubliées dans ce grand théâtre de la bienveillance.

Alors voilà, le rideau est levé sur la grande mascarade des fondations philanthropiques des milliardaires. Ces architectes de l’ombre manipulant les maîtres d'oeuvres milliardaires et leurs oeuvres méphitiques qui, sous couvert de charité, manipulent nos vies, nos systèmes, et jusqu’à l'avenir de notre planète. Une véritable scène où ces "sauveurs" se congratulent tout en perpétuant leur domination sur un monde qu'ils prétendent réparer.

Mais, ne vous y trompez pas, ces seigneurs ne bâtissent pas seuls cet empire de l’hypocrisie. En coulisses, une autre caste œuvre discrètement, des serviteurs dévoués à cet Agenda Maudit, formés, modelés, et élevés pour exécuter les ordres de leurs maîtres. Les maçons en quelque sorte de cet édifice où la malveillance et l'impunité sont la règle.

Nous allons entrer, au prochain acte, dans le monde si fermé des "Young Global Leaders", ces maçons de bas étage, dans la construction de cet édifice du mal et triés sur le volet pour leur manque de scrupules et leur capacité à mentir à tous. Des apprentis du pouvoir, façonnés pour jouer un rôle clé dans la grande pièce de théâtre mondial, où le moindre faux pas peut les catapulter ou les broyer.

Un réseau soigneusement sélectionné, formé pour assurer la continuité de ce système corrompu sous couvert de renouvellement. Qui sont-ils vraiment, et comment ont-ils été programmés pour perpétuer cette domination déguisée ? Allons maintenant découvrir les coulisses de cette fabrique à parasites…

Phil BROQ.







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