06 octobre 2024

L'AGENDA MAUDIT -Acte 7 bis- COMMENT BRISER LES CHAINES DE LA MANIPULATION

Cet article fait office de conclusion – ou plutôt de conclusion à la conclusion – à la série des 7 articles intitulée "L'agenda maudit de la secte du mal". Pourquoi une suite après 7 épisodes ? Tout simplement parce qu'avec ces manipulateurs de l'ombre, la fin n'existe jamais vraiment. Il y a tant à dire sur cette engeance maléfique, sur ces 13 familles, et leur Comité des 300 qui, depuis des siècles, tirent les ficelles du chaos mondial avec ces oligarques fous, ces Young Global Leaders dégénérés, ces institutions corrompues, etc. 

Chaque révélation semble en appeler une autre, chaque manigance dévoile un nouveau stratagème encore pire. C’est un combat sans fin contre des forces du Mal qui détruisent le monde, morceau par morceau, avec une constance diabolique. Et c'est précisément cette longue guerre contre l'humanité que nous allons clore ici... temporairement.

Ainsi, abordons le cas des "Illuminati", ces génies autoproclamés qui prétendent diriger le monde depuis 3 siècles. Mais si vous creusez un peu plus, vous découvrirez que ce ne sont que des figurants, car les véritables maîtres du jeu sont bien plus puissants. Le Comité des 300, ce groupe invisible de manipulateurs, est aussi dirigé par le cercle encore plus restreint des "13 familles". Ces élites ancestrales, consanguines et dépravées possèdent 99% des richesses mondiales, et elles ne se contentent pas de jouer avec vos économies, elles contrôlent aussi vos gouvernements, vos ressources, vos libertés, vos pensées. Votre vie entière n'est qu'un pion de plus sur leur échiquier mondial.

Vous voulez des noms ? Voici quelques-uns des architectes du chaos que nous avons évoqués dans les précédents articles : Rothschild, Rockefeller, Morgan, Warburg, DuPont, Bush... Ce n’est pas juste une simple collection de familles riches. Ce sont eux les véritables patrons du monde, un cartel international constitué comme une secte maléfique et malfaisante qui tire les ficelles des institutions politiques, économiques et sociales à travers le globe. Oubliez les présidents et les premiers ministres, ce ne sont que des marionnettes. Ce que ces familles du mal cherchent, ce n’est pas juste d’amasser des fortunes. Non, ce serait trop simple et pas assez machiavélique. Leur ambition va bien au-delà de l'accumulation de pouvoir et de richesses. Ce qu'ils veulent vraiment, c'est dominer entièrement le monde, sans opposition, et surtout sans compromis.

Ces 13 lignées n’ont pas pour simple ambition de gouverner le monde, elles veulent aussi réduire la population mondiale à un milliard d'individus. Oui, c’est bien ce que vous avez lu : 7 milliards d’êtres humains sont vus, par ces cancrelats, comme des parasites inutiles, des "mangeurs inutiles" à éliminer ! Leur plan est inscrit noir sur blanc dans les grands projets du Nouvel Ordre Mondial. C'était aussi gravé dans le marbre des Georgia Guidestones , avant qu'ils ne les détruisent, car trop visibles. De grâce allez vous renseigner ! C'est un projet qui vise à instaurer un gouvernement mondial unique, une monnaie unique, et un système de castes, où l’élite régnera sur les masses, réduites au nombre de 1 milliard, qui seront maintenues dans une existence de servitude perpétuelle.

Ne vous faites pas d’illusions quand à leur chute, car cette caste ne sera jamais perméable pour le commun des mortels, n'ayant pas la même haine qui coule dans leurs veines. Peu importe vos efforts ou vos mérites, vous resterez toujours en bas, tandis qu’eux se reproduiront entre eux, consolidant leur emprise génération après génération.

Les moyens qu'ils utilisent pour parvenir à leurs fins sont variés et diaboliquement efficaces. Tout d’abord, ils contrôlent vos pensées. Vous croyez encore être maître de vos propres opinions ? Détrompez-vous. Chaque jour, vous êtes bombardé par des messages, des informations, des publicités qui façonnent vos croyances sans même que vous en soyez conscients. Les médias de masse, les réseaux sociaux, les films hollywoodiens, le Rap, etc. Tout cela ne sont que des outils à leur disposition pour ajuster vos comportements et contrôler vos perceptions du monde. Vous pensiez que les technologies étaient à votre service ? En réalité, elles sont là pour collecter des données sur vous, pour savoir exactement comment vous pensez, ce que vous achetez, ce que vous ressentez et quasiment en temps réel depuis l'arrivée de l'IA et des ordinateurs quantiques. Vos smartphones, vos assistants virtuels, vos objets connectés, tous ces gadgets ne sont que des espions discrets qui collectent des informations en permanence pour le système qu'ils ont mis en place.

Mais le contrôle mental ne s’arrête pas là. Votre nourriture, votre eau, vos médicaments sont bourrés de produits chimiques destinés à vous rendre plus dociles. Vous avez remarqué que les masses sont de plus en plus apathiques, indifférentes à leur propre sort ? Ce n’est pas un hasard. Les 13 familles veulent une population abrutie, facile à manipuler, qui ne se rebelle jamais contre l’autorité. Pendant ce temps, la surveillance de masse et les restrictions aux libertés se développent à une vitesse fulgurante. Caméras partout, écoute des communications, traçage numérique via vos appareils, "connards-codes" et passeports en tous genres, monnaie numérique et crédit social sont en route, et ils savent déjà tout de vous. Vous pensiez que la dystopie de "1984" ou "Le meilleur des mondes" étaient des fictions ? Oh Non, c’est une triste réalité dans laquelle vous vivez déjà.

Et si vous avez encore des doutes, regardez simplement ce qui se passe dans le monde. Vous voyez toutes ces guerres interminables ? Les crises économiques cycliques ? Les pandémies surgies de nulle part ? Ces catastrophes climatiques qui s'enchainent ? Ce ne sont pas des accidents naturels ni des punitions divines. C’est le résultat d'un plan savamment orchestré et suivi par ces familles depuis des siècles.

Les 13 familles utilisent ces crises pour affaiblir les nations, créer des dépendances économiques et renforcer leur pouvoir, comme leur financent basées sur le vent des dettes. Chaque guerre, chaque effondrement de marché, chaque catastrophe "imprévue" leur profite directement. Pendant que vous luttez pour survivre dans ce chaos, eux, dans l’ombre, amassent toujours plus de pouvoir, d'argent et d'influence. Leur but ultime ? Nous soumettre, nous affaiblir, et nous maintenir dans un état de peur constante afin que, le moment venu, nous implorions une solution. Et cette solution, ils l’ont déjà préparée et c'est un gouvernement mondial totalitaire, sous leur contrôle absolu.

Mais leur stratégie ne s'arrête pas là. Ils ont perfectionné l’art de la division. Vous avez remarqué combien de conflits sociaux, raciaux, économiques semblent éclater de partout en permanence ? Ce n’est pas un hasard. Tout est minutieusement planifié pour nous monter les uns contre les autres, finançant des associations comme Soros ou fabriquant des pandémies comme Gates, pendant qu’ils continuent à avancer leurs pions. Alors que nous nous battons pour des futilités, eux se rapprochent de leur objectif ultime du contrôle total de la planète et sans opposition. Chaque camp, chaque faction, chaque idéologie que vous voyez éclater dans le monde est en réalité une manipulation de plus dans leur théâtre mondial. Il n'y a pas de droite et de gauche en politique, il y a les riches et nous.

Et si vous pensiez que la démocratie pourrait vous sauver, réveillez-vous ! Les démocraties que vous chérissez sont déjà infiltrées et corrompues depuis longtemps. C'est même leur but premier. Les politiciens que vous élisez ? Des pions, placés là par fraude - et le groupe Bilderberg/ WEF/Young leaders comme Obama, Biden, Trudeau et bien entendu Macron - tous très bien payés pour préserver le système.

Les multinationales que vous soutenez avec vos achats compulsifs ? De simples extensions du pouvoir de ces familles. Même les grandes institutions mondiales, comme l'ONU, le FMI ou la Banque Mondiale, ne sont que des instruments à leur botte pour imposer leurs règles et asservir les nations.

La souveraineté nationale, c’est un concept qu’ils se préparent à éradiquer totalement. En France, par exemple, les souverainistes sont soit LGBT, soit Sionistes, voire souvent les 2. Leur rêve ? Un monde sans frontières, mais où vous serez enfermé dans un système numérique, chaque mouvement, chaque transaction, chaque pensée étant sous leur contrôle absolu grâce à la technologie des smartphones et de la surveillance de masse gérée par l'IA.

Même la religion ne leur échappera pas. Ils ne se contentent pas de manipuler les esprits à travers les médias et la technologie. Ils veulent aussi redéfinir la Foi elle-même. Dans leur Nouvel Ordre Mondial, il n’y aura plus qu’une seule religion, le culte de l'État et de l'élite. Toutes les autres formes de croyances - que ce soit le Christianisme, l’Islam, le Judaïsme ou encore le Bouddhisme et l'Hindouisme - seront éradiquées, fondues, amalgamées dans un moule étriqué qui se prépare depuis des années à ASTANA (capitale du Kazakhstan). Lieu de départ des khazars, qui sont la racine du mal et l'origine de ces 13 familles). Là aussi, allez vous renseigner, même "WikiMossad" le dit !

À la place, ils vont installer une théocratie luciférienne où les rituels occultes et le satanisme seront enseignés dans les écoles comme des vérités absolues. Regardez les cérémonies des JO depuis le début du XXIème siècle, elles servent à éduquer le bon peuple à leurs pratiques dévoyées. Et pour les plus solides mentalement, allez regarder la cérémonie d'ouverture du tunnel du Gothard, pour vous convaincre de leur folie satanique. Soyez certain que tous ceux qui s’y opposeront seront effacés. Actuellement, les divergents sont poursuivis par le fisc en premier lieu, puis les meRdias ensuite, et les juges de la 17ème chambre correctionnelle enfin… Et si ça ne suffit pas, ce sera l'accident mortel et définitif pour vous faire taire, avec un infarctus, une noyade ou plus simplement sur la route.

Vous ne croyez toujours pas que ce soit possible ? Vous pensez que je délire dans mon coin ? Regardez de plus près les structures qui sont déjà en place et qui causent tous les malheurs du monde moderne : CIA, FBI, OMS, OMC, FMI, OTAN - ces organisations que vous croyez être des gardiens de la paix et de la stabilité ? En réalité, ce sont les bras armés de ce Nouvel Ordre qu'ils veulent mondial et dont l'accélération s'est faite à la sortie de la seconde guerre mondiale. Guerre qu'ils ont fomentée, financée et encouragée.

Ils veillent à ce que tout soit prêt, que la planète soit nettoyée des gêneurs, pour le jour où les 13 familles pourront enfin s’afficher au grand jour et régner sans partage. Leur agenda le prévoit pour 2030 ! Et lorsque ce moment arrivera, chaque individu sera déjà marqué, fiché, et surveillé à chaque instant de sa vie. Vos finances, votre santé, vos aliments, votre eau, vos interactions sociales, vos recherches sur internet, même vos désirs… Tout sera sous leur contrôle !

Le mariage ? Aboli. La famille ? Détruite. La procréation ? Assistée. La liberté ? Annihilée. Les enfants seront élevés par l'État, soumis à un endoctrinement dès leur plus jeune âge pour devenir des esclaves dociles. Des bêtes de somme pour les mieux lotis ou des réserves à organes, destinés aux oligarques visant l'immortalité, pour les plus malchanceux.

Le "sexe libre" et la dépravation ne seront pas seulement encouragés, ils seront obligatoires. Ils entrainent déjà les enfants à l'école, avec des cours sur la sodomie dès 9 ans ! L'avortement sera systématique pour toute famille dépassant le "quota" d'enfants. L'euthanasie et l'avortement feront le reste. Et tout cela sera soigneusement enregistré dans un fichier central, contrôlé par les élites, auquel vous ne pourrez pas échapper à cause du contrôle numérique et de l'identité nanotechnologique injectée directement dans le sang. Souvenez-vous du "Vaccin COVID" et des identifiants MAC qui émettent même lorsque vous êtes mort. C'était juste un test !

Mais rassurez-vous ! Pendant ce temps, vous serez maintenus dans un état de distraction perpétuelle. Les drogues, la pornographie, et la violence seront promues pour maintenir les masses dans un état constant d’abrutissement. Car un peuple drogué et diverti est beaucoup plus facile à contrôler. "Vous n'aurez plus rien, et vous serez heureux !" Promettait Schwab lors de ses réunions du WEF. Et pendant que vous serez perdus dans ce chaos, les 13 familles continueront d’exercer leur domination, toujours aussi intouchables et invisibles, tout en s’assurant que vous restiez silencieux, surveillés, soumis et impuissants.

Alors, si après ce tableau effarant et effrayant qui ne dépeint que la réalité actuelle, il est plus que temps d'agir. Ce n'est par de la science-fiction, c'est de la science d'affliction. Les 13 familles et leurs institutions corrompues ont déjà quasiment tissé leur toile sur chaque aspect de nos vies, influençant nos pensées, nos actions, et même nos aspirations. Ils ont façonné un monde à base d'ondes et de technologies de contrôle du cerveau, dans lequel nous ne sommes que des pions d'un système qu'ils maîtrisent depuis les coulisses. Mais rien n’est inéluctable, ni éternel dans ce monde. Il est encore possible de détruire ces structures, de les révéler pour ce qu’elles sont, d'informer nos semblables comme je tente de le faire au quotidien, afin de détruire définitivement et physiquement ces instruments de domination et d'oppression.

La première étape est de mettre en lumière leurs manigances et leurs méfaits, d'exposer leurs actions, leurs plans, et leurs desseins cachés. Chaque instant où nous restons dans l'ignorance, chaque minute où nous détournons le regard, ils gagnent du terrain. Mais en démasquant ces familles et leurs projets destructeurs, nous pouvons enfin commencer à déstabiliser les fondations mêmes de leur pouvoir. C'est ce à quoi je m'emploie en vous écrivant ces articles et billets d'humeur.

Car c’est seulement ensemble, en unissant nos forces, nos savoirs, nos énergies, que nous pourrons résister efficacement à leur influence. Chaque action, chaque mouvement visant à les affronter, à exposer leurs mensonges, à saper leur contrôle est une victoire dans cette guerre de l'information et de la liberté. Il ne suffit pas de repousser leurs plans. Il faut démanteler entièrement leurs systèmes, mettre en lumière leurs sbires, arrêter de transiger et agir directement pour faire en sorte qu’ils ne puissent plus jamais nous asservir, ni nous, ni les générations à venir !

Le temps est venu de refuser physiquement leur domination, de rejeter leur emprise méphitique sur nos vies, et d’agir comme des combattants, comme de vrais guerriers avant qu’il ne soit vraiment trop tard. Donc, la deuxième étape sera de jeter vos smartphones !

À ce stade, le pacifisme est une excuse de lâche, il est l'heure de se réveiller et de rendre coups pour coups, puisque c'est de la légitime défense vitale. Si nous échouons encore à nous mobiliser, ils imposeront pour longtemps leur tyrannie sur nos enfants et nos petits-enfants, et surtout sur ceux qu’ils créeront à leur image, dans leurs laboratoires. C’est une guerre pour notre liberté, pour notre survie, et l’urgence est absolue. Leur destruction totale est désormais notre seul salut !

Si vous avez lus ces 8 articles de la série, "l'agenda maudit de la secte du mal",  alors vous êtes à présent informés et vous faites déjà partie de la résistance. Dorénavant, n'attendez pas, agissez ! Partout, tout le temps, avec tous ceux que vous aimez...

Le temps nous est compté !

Phil BROQ.



L'AGENDA MAUDIT : - Acte 7- : UN PLAN PARFAITEMENT ORCHESTRÉ

Quel spectacle réjouissant, n’est-ce pas ? Nous voilà donc tous réunis dans cette grande farce qu'est la scène mondiale, où le désespoir des masses est le divertissement préféré de nos chères élites. Un peu comme une pièce de théâtre absurde, mais sans le charme du grand écran, ici, le scénario est aussi prévisible qu’un mauvais film. Oui, mes amis, tout ceci n’est pas le fruit du hasard. Nous assistons à une pièce en plusieurs actes, où la souveraineté nationale est littéralement découpée en petits morceaux, comme un gâteau d’anniversaire, à la gloire d’un ordre mondial centralisé, dirigé par une poignée de notables fous à lier, dont le but est de refondre le monde à leur délire.

Imaginez un peu la scène : d’un côté, des dirigeants en costume-cravate, les visages figés dans des sourires de façade, jonglant avec des promesses d’un monde meilleur, tout en siphonnant les dernières gouttes de liberté des citoyens. De l’autre, des citoyens, affamés d'espoir et de changement, applaudissant à tout rompre, persuadés qu’un nouvel acte va bientôt leur apporter l’éclair de génie tant attendu, voire le sauveur providentiel ou le Machia'h pour certains. Les acteurs ? Des oligarques, des banquiers, et bien sûr, nos amis les Young Global Leaders, qui, avec leur flair pour le grandiose et surtout l'aide de McKinsey, savent exactement comment tenir le public en haleine.

Chaque annonce de politique, chaque nouvel accord international, est salué comme un chef-d'œuvre, tandis que la réalité, elle, se transforme peu à peu en une toile de souffrances, d’inégalités et de désillusion. Et pendant ce temps, nos élites se régalent, comme des enfants à un festival de sucreries, savourant leur victoire sur un monde qui se débat, confus, dans les méandres de leur mise en scène.

Rien de tout cela n’est accidentel, mes amis. C'est une orchestration minutieuse, une danse macabre où chacun a son rôle à jouer. Alors, levons nos verres à cette tragi-comédie et applaudissons nos brillants metteurs en scène, en espérant qu’un jour, peut-être, le rideau tombera sur leur spectacle, révélant la vérité qui se cache derrière les coulisses. Mais pour l’instant, rions et profitons de ce spectacle où la satire et la réalité s’entrelacent, car tant que le rideau est levé, nous avons encore quelques larmes à partager !

La dette, l’écologie, la santé publique et la technologie, que des jouets entre les mains de ces architectes du contrôle ! Leurs outils de manipulation, et croyez-moi, ils savent les utiliser avec une dextérité déconcertante. Imaginez un peu : ils ont réussi à transformer l’argent en un concept aussi insaisissable qu’un mirage dans le désert. Les fameuses 13 familles, ces véritables marionnettistes de l’économie, tissent leur toile avec une finesse remarquable. La dette fictive ! Cette belle invention, cette promesse de bonheur futur, qui n’est rien d’autre qu’un joli piège ! Une fois qu’un pays est piégé dans ses filets d’endettement, il devient un serviteur docile, un pantin, une marionnette, toutes ficelles tirées par les banques et les géants de la technologie, grâce à nos impôts.

Et là, mesdames et messieurs, voilà notre réalité : les citoyens, ces serfs modernes, sont réduits à la simple condition de consommateurs. Leur existence dépend désormais des grandes entreprises et des GAFAM, qui leur fournissent leurs doses quotidiennes de confort illusoire. À quel point cela est tragique et comique à la fois ! Regardez-les, ces masses anesthésiées, se plier et se soumettre, alors qu'ils pourraient -oh, que c'est beau de rêver- se lever, se rebeller, et exiger la restitution de leurs droits ! Mais non, ils préfèrent baisser les yeux sur leur smartphone, se lamenter sur leur sort en sirotant leur café, tout en continuant à scroller leur fil d’actualités.

Quelle époque fascinante que la nôtre ! Nous assistons à la mise en scène d’un esclavage moderne, et tout le monde semble trop occupé à matcher sur tinder pour s’en rendre compte. Oui, mes amis, la dette, cette douce mélodie à laquelle nous sommes tous contraints de danser, a transformé nos vies en un vaste enclos. Ajoutez à cela la surveillance numérique omniprésente et les restrictions imposées par des agences internationales comme si nous étions de petits enfants mal élevés, et vous obtenez un cocktail explosif d’aliénation. La liberté individuelle ? Perdue dans un labyrinthe de paperasse numérique et de conditions d’utilisation d'une communauté fantôme et que personne ne lit !

Pendant ce temps, nos élites mondiales, ces sommités réunies sous le drapeau du WEF, avec le soutien de géants tels que BlackRock et les GAFAM, concoctent leur potion secrète. Ils sont guidés par les dynasties illustres des Rothschild, des Rockefeller et les 11 autres, véritables pharaons éternels et modernes, bâtissant un monde illusoire où la liberté n’est plus qu’un souvenir nostalgique, un doux rêve pour les romantiques. Vous savez, le genre de rêve que l’on évoque en fumant un joint autour d’un feu de camp, mais qui ne tient pas la route à la lumière du jour.

Regardons d’un peu plus près ce tableau. Le véritable visage de ces réformes, de l’Agenda 2030 au Pacte pour l’Avenir, est celui d’un ordre mondial fasciste. Ah, oui, ce mot fait frémir ! Mais avouons-le, quelques individus, cloîtrés derrière leurs fortunes colossales, leurs réseaux d’influence, et leurs monopoles étouffants, dirigent ce monde comme des marionnettistes sur une scène en flammes. Et pendant ce temps, nous, simples mortels, sommes contrôlés par nos dettes, surveillés à chaque pas grâce à nos smartphones, manipulés comme des pions avec leur IA sur un échiquier géant leur appartenant.

Les gouvernements ? Oh, ces pauvres créatures ! Ils sont devenus de simples administrateurs locaux, des petites mains au service des seigneurs de ce Nouvel Ordre Mondial. Imaginez-les, en train de faire le ménage pour ces grandes fortunes, ramassant les miettes de pouvoir qu’il leur reste tout en souriant aux caméras. Leurs discours vides de sens, leurs promesses creuses, tout cela ne fait que renforcer le spectacle tragi-comique de leur propre désespoir.

Alors, que faire face à ce tableau absurde ? Continuer à jouer le jeu lorsqu'on le sait truqué ? Regarder le monde se transformer en une dystopie où nous serons tous des acteurs involontaires ? La vraie tragédie ici, c’est que tout le monde semble s’en moquer, perdu dans la routine du quotidien, comme si la fin de la liberté n’était qu’un autre épisode d’une série Netflix. Mesdames et messieurs, bienvenue dans le grand cirque de l’esclavage moderne, où l’inertie est notre seule réponse. Alors applaudissons, puisque le spectacle continue !

Il faut l’admettre, la désillusion est presque ironique. Nous sommes témoins d’une chorégraphie mortifère où l’ignorance est le pas de danse principal. La technologie, loin d’être un outil d’émancipation, est devenue le piège doré qui nous empêche de voir les chaînes invisibles qui nous lient. Et que dire de l'écologie ? Voilà un autre terrain de jeu pour nos seigneurs, utilisant la peur du cataclysme pour justifier un contrôle toujours plus oppressant. Pendant ce temps, ils trament leurs pactes et leurs agendas, traçant lentement mais sûrement notre chemin vers un suicide collectif assisté qu’ils observent avec un sourire satisfait, comme des spectateurs devant une œuvre d’art.

Alors, continuons à applaudir, mes amis, car ce spectacle tragique ne fait que commencer. La grande comédie de l’inertie humaine est un chef-d'œuvre que nous avons tous choisi de jouer, et, pour l’instant, les acteurs restent sur scène, immobiles, les yeux fixés sur un avenir de servitude volontaire. Mais à ce stade, la question se pose : allez-vous rester là, les bras croisés, à regarder cette farce se dérouler, ou allez-vous, armés de votre nouvel éclairage sur ces malfaisants mondialistes, réagir et sortir de cette torpeur ?

Il est temps de sortir de l’ombre et de dire "Assez !" à ce cirque infernal. Car derrière cette façade réjouissante se cache une réalité bien plus sombre. Si nous restons silencieux, nous ne serons que des figurants encombrants dans leur pièce. Mais si nous choisissons de nous lever, de dénoncer ces pactes pour l’avenir qui ne profitent qu’à leur avidité insatiable et à leurs visions eugénistes et malthusiennes, alors peut-être, juste peut-être, pourrons-nous réécrire le scénario. Que le spectacle continue, oui, mais à condition que nous en soyons les maîtres et non les victimes !

Chers lecteurs assidus, à présent que nous avons dressé un tableau plutôt sombre du cirque mondial où les puissants jouent avec nos vies, il est temps de parler des solutions. Car, oui, il existe des alternatives à cette manigance, même si certaines peuvent sembler radicales. Après tout, il ne s'agit pas simplement de mettre un terme à un spectacle que nous n'avons pas choisi, mais de reprendre le contrôle de notre destin.

1. Démantèlement des institutions corrompues : Tout d'abord, il est impératif de démanteler les institutions qui facilitent cette tyrannie. Le FMI, la Banque Mondiale et d'autres organisations similaires doivent être réformées, voire abolies. Ces entités sont devenues des instruments de contrôle au service des élites. Un processus similaire à celui de Nuremberg pourrait être envisagé, où les responsables de la manipulation systématique des nations seraient jugés et, espérons-le, condamnés.

2. Responsabilité pénale pour crimes économiques : Nous devons commencer à traiter les crimes économiques avec la même sévérité que les crimes de guerre. Les dirigeants d’entreprises, les politiciens et les banquiers, qui ont sciemment détruit des vies pour le profit, devraient faire face à des conséquences. En finir avec l'impunité qui les protège est essentiel. Pourquoi ne pas envisager des peines sévères, allant jusqu'à l'emprisonnement à vie pour ceux qui orchestrent cette exploitation à grande échelle ? Comme ils l'ont fait à Madoff qui avait eu l'audace de les arnaquer.

3. Éducation et sensibilisation : Il est temps d'éveiller les consciences. La population doit être informée de la réalité des systèmes qui nous contrôlent. Organiser des mouvements, des débats, des forums, où chacun peut partager ses idées et s'informer, pour finalement s'unir contre cette domination, c'est essentiel ! En éclairant les masses sur ces enjeux, nous pouvons créer un front uni qui fera trembler les fondations de ces systèmes.

4. Révolte pacifique mais déterminée : Les révolutions pacifiques ont prouvé leur efficacité par le passé. Mobilisons-nous pour des manifestations massives, des grèves générales, et surtout des boycotts ciblés contre les entreprises qui nous exploitent. Lorsque les élites réalisent que nous ne sommes pas simplement des figurants, mais des acteurs déterminés, elles commenceront à ressentir la pression et paniqueront.

5. Restaurer la souveraineté nationale : Exiger que nos gouvernements retrouvent leur souveraineté et leur indépendance par rapport aux institutions internationales et aux multinationales est crucial. Il faut d'ores et déjà interdire les binationaux dans les gouvernements. Et des référendums pourraient être mis en place pour que le peuple reprenne le contrôle de ses ressources et de ses choix politiques.

6. Créer des alternatives économiques : Développer des systèmes économiques locaux et durables qui ne dépendent pas des grandes multinationales. En investissant dans les entreprises locales, les coopératives et les initiatives citoyennes, nous pouvons créer un modèle qui défie les géants et redonne du pouvoir aux citoyens.

Alors oui, mes amis, il est peut-être temps d’envisager des solutions radicales. Ces malfaisants mondialistes, qui se régalent de notre désespoir, doivent être tenus responsables de leurs actes. L'histoire nous a montré que lorsque le peuple se lève, il peut réaliser l'impossible, souvenez-vous de Nuremberg ! Il est temps de sortir de notre apathie et de crier haut et fort que nous ne sommes pas des marionnettes soumises, mais des êtres humains dignes de liberté. Que ce cirque tragique prenne fin, et que nous écrivions ensemble un nouveau chapitre de notre Histoire !

Mais si vous pensiez que ces réflexions sur l’absurdité du monde étaient un simple divertissement de ma part, détrompez-vous ! Toutes ces analyses croustillantes, ces révélations sur l’agenda maudit de la secte du mal et ses manigances, se trouvent dans ma série de livres intitulée "Chroniques amères d'un monde à l'agonie." Oui, ces réflexions littéraires sont à votre disposition sur le site TheBookEdition.com, prêtes à garnir vos bibliothèques et à illuminer vos esprits obscurcis par les notifications incessantes de vos smartphones et le poids écrasant de vos factures.

Chaque tome est un véritable appel à la résistance, une bouffée d’air frais dans cette atmosphère de conformisme ambiant. J’ai écrit ces ouvrages dans un élan de générosité, avec l’espoir que mes contemporains, trop souvent absorbés par leurs écrans et leurs préoccupations quotidiennes, prennent enfin conscience des enjeux qui nous entourent.

Alors, n'attendez plus ! Rendez-vous sur :

https://www.thebookedition.com/fr/34715_philippe-broquere 

Procurez-vous vos exemplaires, et ensemble, mettons un terme à ce cirque tragique, car seule la vérité nous libèrera ! Après tout, comme dirait le sage : "La meilleure manière de prédire l'avenir, c'est de l'écrire." Alors, dorénavant, écrivez le vôtre avec moi, je vous attends !

Phil BROQ.



 

OCTOBRE ROUGE

La chute de l'élite approche à grands pas, et avec elle, attendez-vous à un chaos sans précédent dans les trois prochaines semaines, comme annoncé par Michael T. Flynn. Ce chaos se manifeste déjà, à travers des événements plus que troublants dans leur synchronisation : l'ouragan Hélène, la panne de Bank of America, la grève des dockers, et les perturbations dans les chaînes d'approvisionnement aux USA, ne sont que la partie visible de cet iceberg qui devrait couler le navire des oligarques. Coïncidences d'après vous ? Ou bien assistons-nous à l'exécution d'un plan soigneusement orchestré par cette "Cabale", qui n'est rien d'autre que l'ensemble des oligarques qui manipulent le monde à leur guise ?

L'ouragan Hélène, dévastateur et imprévu, aurait donc une origine humaine, selon des lanceurs d'alerte. Il ne fait aucun doute qu'il a frappé juste après que l'ONU a annoncé son "Pacte pour l'avenir," un programme mondialiste qui vise à renforcer le contrôle des élites sur la population. Au cœur de ce pacte, la mise en place d'identités numériques, un pouvoir accru pour l'OMS, et un contrôle absolu sur le Bitcoin, adossé à l'or numérique, une monnaie dont seuls eux ont les clés. (Voir mes précédents articles de la série "L'agenda Maudit de la Secte du Mal" en 7 actes)

Le Deep-State a surement planifié la destruction causée par l'ouragan Hélène dans les États républicains. Tout comme ils avaient rayé la Louisiane de la carte des USA, lorsqu'elle refusait Clinton. Souvenez-vous de ces coïncidences qui font évidences ! Des rapports font d'ailleurs état d'une augmentation suspecte des activités de HAARP – cette installation mystérieuse issue de l'armée US, DARPA, qui manipule les fréquences électromagnétiques et est capable de modifier les conditions météorologiques–. 

Des experts en météo suspectent même que l’ensemencement de nuages et la manipulation de l’atmosphère, dont Bill Gates est le mentor, ont été utilisés pour diriger Hélène vers ces régions spécifiques. Et pendant que la tempête faisait rage, des convois militaires non signalés ont été repérés partout en Caroline du Nord, accompagnés d'avions volant étrangement près de la trajectoire de la tempête. Est-ce vraiment une coïncidence là aussi ?

Et ce n'est pas tout ! À l'heure actuelle, une nouvelle tempête se prépare, prête à suivre le même chemin qu'Hélène et finir le travail  de destruction. Pendant ce temps, des groupes comme les Antifa, petites marionnettes fétides financées par Soros, s'organisent pour accentuer le chaos, bloquant les camionneurs qui tentent d'acheminer des fournitures, créant les pénuries si nécessaire à l'augmentation des prix. Pensez-vous que tout cela soit le fruit du hasard ? La manipulation ne semble pas s’arrêter là car elle s’efforce de provoquer aussi une crise alimentaire mondiale, utilisant même des chemtrails pour contaminer nos cultures et nous faire ingurgiter leurs insectes et autres produits OGM ou saturés d'ARNm. L’objectif est clair : semer la peur, créer la pénurie, gérer l'approvisionnement et l'eau potable, et ainsi contrôler les masses.

Le 30 septembre 2024, une coupure délibérée des réseaux électriques a frappé les États-Unis, ciblant spécifiquement les tours de téléphonie cellulaire. Cette panne systématique n’était pas un simple incident technique, mais bien une opération intentionnelle. La société Verizon a été durement touché, et d'autres opérateurs, dépendant de son infrastructure, ont également subi les conséquences. Qui tire les ficelles ?

Pourquoi cela se produit-il maintenant ? Avec la sortie de l'affaire P.Diddy, la sortie de Julian Assange de sa prison, les déclarations des médecins qui prouvent avec le "Grand Jury" que le COVID était une arme dirigée contre les peuples, et à un mois des élections américaines, alors que tout le monde est distrait par la guerre immonde des israélites fanatiques contre tous et tentant désespérément de déclencher leur grand sacrifice des Goyms avec la guerre mondiale, voire nucléaire, les ouragans en chaine et les grèves un peu partout contre les gouvernements ?

Et que fait l'administration Biden-Harris dans ce chaos ? Entre des aides militaires à coup de milliards pour l'Ukraine, Israël et Taïwan, des millions sont envoyés à l’étranger, tandis que les victimes de l’ouragan Hélène, en Amérique, reçoivent à peine un million de dollars d'aide. Les populations locales n'ont pas le droit d'aller récupérer les quelques affaires qu'il leurs reste, mais les touristes et les journalistes, eux peuvent y aller en toute impunité. En revanche, Donald Trump a généreusement offert 25 millions de sa propre fortune pour soutenir les sinistrés. Que cela signifie-t-il ? Une véritable manipulation des priorités, où l'élite préfère investir dans la guerre et le divertissement que dans le bien-être de ses propres citoyens.

Biden accuse le changement climatique, mais la réalité est bien plus sombre. Nous sommes témoins de l'exécution délibérée d'un programme de contrôle par la peur. Hélène n'est que le premier signe, et le pire est encore à venir. Et si la technologie HAARP était utilisée pour déclencher ces catastrophes ? Si la manipulation climatique n'était qu'une arme entre les mains de cette élite pour déstabiliser les États républicains, comme le reste du monde qui veut s'affranchir de leurs règles mafieuses tout en provoquant panique et effondrement des infrastructures ? Difficile d'ignorer cette possibilité.

Et il y a aussi cette gigantesque panne chez Bank of America où les comptes sont momentanément bloqués. Et de nombreux clients se sont plaints de ne pas pouvoir consulter le solde de leur compte. Certains d’entre eux, qui pouvaient accéder à leur compte, ont été surpris de constater que leur solde affiché était nul. Bank of America a refusé de préciser la cause du problème. On ne sait pas encore quand tous les systèmes seront à nouveau opérationnels. Mais il semblerait que les piliers de l'empire du mal aux USA soient ébranlés de façon assez synchronisée.

De plus, avec la grève des dockers, ce sont plus de 36 ports américains qui sont bloqués sur toute la côte Est, perturbant la moitié du commerce du pays. Le résultat ? Pénuries, retards, et hausse des prix, créant les conditions idéales pour une crise alimentaire mondiale. Les oligarques ont visiblement tout prévu, et il est temps d'en prendre conscience. 

Face à ce chaos planifié, il est impératif de se préparer. Les événements récents ne sont qu’un aperçu de ce que l’avenir pourrait nous réserver. Il est sage d'anticiper les crises à venir et de s'assurer d'avoir au moins un mois de réserves de nourriture, d'eau, d'argent liquide et de médicaments pour vous et vos proches. En cas de pénurie, il sera difficile, voire impossible, de compter sur le gouvernement pour venir à votre secours. Les promesses d'aide ne se matérialisent souvent qu'en paroles, alors qu'en réalité, les bureaucrates semblent plus préoccupés par leurs agendas personnels que par le bien-être de la population.

La mise en place d'un plan d'urgence personnel est essentielle. Stockez des denrées non périssables, des aliments en conserve, et des produits de première nécessité. Pensez également à vous procurer des filtres à eau, des médicaments essentiels, et tout autre article qui pourrait s'avérer vital dans une situation d'urgence. Informez-vous sur les moyens de conserver l'eau et l'énergie, car il est probable que les infrastructures souffrent de l'impact des événements à venir. La résilience commence par l'autonomie.

La préparation ne se limite pas à des réserves matérielles, elle inclut également la prise de conscience des manigances qui pourraient survenir autour de nous. Alors, préparez-vous, restez informés, et gardez un œil sur les événements. Les temps qui viennent pourraient être difficiles, mais avec la bonne préparation, vous pourrez affronter les tempêtes, tant naturelles qu'artificielles, qui se profilent à l'horizon.

Il convient aussi de s'interroger sur la situation alarmante à Mauï. Les feux qui ont ravagé cette région, dont l'origine demeure encore mystérieuse, soulèvent de nombreuses questions. Comment est-il possible qu'une catastrophe d'une telle ampleur se produise sans explications claires ? Pendant que des villes "quinze minutes" fleurissent, les communautés touchées par ces incendies continuent de lutter pour se relever. Des milliers de personnes ont perdu leurs maisons, leurs moyens de subsistance, et parfois même leurs vies, tandis que l'élite, épargnée même à Mauï, semble indifférente à leur sort. Ce contraste saisissant met en lumière un système corrompu et défaillant, qui privilégie la spéculation immobilière et les profits à court terme au détriment de la sécurité des citoyens.

Les habitants de Mauï ne sont pas seulement victimes de feux dévastateurs, mais aussi d'un manque d'informations et de soutien, ce qui souligne l'urgence de la situation. Les secours mettent du temps à arriver, et les rumeurs sur des causes sinistres circulent, alimentant la méfiance envers les autorités. Pendant que des projets de construction s'accélèrent, il est difficile de ne pas se demander si la reprise économique se fait réellement au bénéfice des victimes, ou si elle sert plutôt les intérêts de ceux qui tirent profit de la misère des autres.

Parallèlement, l'industrie du chantage et de la corruption, orchestrée par des entités comme le Mossad et la CIA, est en train d'être démantelée, révélant des vérités troublantes sur l'élite mondiale. L'affaire Epstein a plongé les puissants sous les feux des projecteurs, mais ces lumières, bien que percutantes, ont été rapidement éteintes par leurs médias subventionnés, qui se sont empressés de détourner l'attention du public. Les politiciens n'ont pas échappé à ce déluge de scandales. L’affaire Pizza Gate, qui a éclaboussé les Clinton et beaucoup d'autres figures politiques, n’est qu’un exemple parmi tant d'autres de la décadence qui règne au sein de ces cercles.

Ensuite, il y a eu l'affaire d'Haïti, un chapitre tout aussi sordide, suivi du scandale de NXIVM, cette secte américaine fondée en 1998 et dirigée par Keith Raniere, qui a fait surface et a rapidement été étouffée par les autorités. Et que dire des rabbins de New York, qui se sont enfuis après la découverte de tunnels, ou de Tom Hanks, qui a pris la fuite vers Israël –un pays qui semble offrir refuge à tous ceux qui se livrent à des actes répréhensibles et surtout pédophiles–, tant qu'ils prêtent allégeance aux forces obscures de Satan. Ces événements ne sont que des facettes d'un système profondément ancré dans la corruption et l'impunité, où les puissants se protègent les uns les autres, créant un climat d'insécurité et de méfiance pour le reste de la population.

Et maintenant, c’est au tour de Puff Diddy de faire trembler l'industrie du disque américain. À quand les prochaines révélations ? Comme l'a signalé le général Flynn, ces révélations devraient s'accentuer dans les semaines à venir. Il est crucial d'être conscient de ces dynamiques en jeu et de rester vigilant face aux signaux d'alerte qui s'accumulent.

Alors, préparez-vous, restez informés, et gardez un œil sur les événements. Les temps qui viennent pourraient être difficiles, mais avec une bonne préparation, vous pourrez affronter les tempêtes et évènements, tant naturels qu'artificiels, qui se profilent à l'horizon.

Priez, restez vigilants, et préparez-vous. Octobre Rouge ne fait que commencer...

Phil BROQ.




L'AGENDA MAUDIT : - Acte 6- : LES OUVRIERS YOUNG LEADERS

Mes amis, attachez vos ceintures, car nous entrons dans l’arène flamboyante des "Young Global Leaders" et de leur rôle central dans ce grand théâtre du contrôle mondial. Parmi cette joyeuse bande d’idéologues au sourire séduisant se trouve une figure emblématique, la grande Ursula von der Leyen. Oui, celle-là même qui a su s’infiltrer dans les arcanes du pouvoir européen avec une aisance déconcertante, mais qui, derrière son vernis poli, cache des alliances douteuses et des choix controversés.

Elle est souvent présentée comme la championne de l’Europe, mais ne vous laissez pas tromper par cette image soignée ! Von der Leyen est sans doute la plus corrompue de tous, jonglant avec les intérêts des puissants tout en feignant de défendre les valeurs des peuples européens. En tant que Présidente de la Commission Européenne, elle a magistralement orchestré la mise en œuvre des politiques néolibérales, soutenant un agenda qui profite davantage aux multinationales qu’aux citoyens lambda.

Préparez-vous à découvrir comment cette architecte de la soumission, en harmonie avec les Young Global Leaders, contribue à façonner l’avenir de l’Europe, tout en s'assurant que les véritables décideurs restent bien cachés dans l’ombre. Dans ce billet, nous plongeons dans l’univers fascinant et hypocrite de ces élites qui, sous couvert de progressisme, n'ont qu'un seul objectif : maintenir leur emprise sur un monde qu'ils considèrent comme leur terrain de jeu.

Pour que ce plan fonctionne, il faut des relais dans les gouvernements. C’est ici qu’intervient le réseau des Young Global Leaders, un programme financé et piloté par le Forum Économique Mondial de Davos, et par les élites financières. Emmanuel Macron, par exemple, est l’un de ces produits. Formé et soutenu par ce réseau, il ne fait qu’exécuter les directives de ses mentors. Sous sa présidence, la France a vu l’introduction de réformes austères, la privatisation des services publics, et une soumission totale aux règles de l’Union Européenne, elle-même soumise aux intérêts des banques, de la BRI et du FMI.

Les Young Global Leaders, ces petits soldats bien dressés, élevés à la sauce néolibérale, sont prêts à tout sacrifier sur l'autel du globalisme. Ils ne gouvernent pas leurs pays, non, ils administrent des colonies pour le compte des élites financières. Ce programme, piloté par Klaus Schwab et financé par les grandes familles oligarchiques, est la machine parfaite pour produire des marionnettes dociles, formées dès leur jeunesse à exécuter des ordres, et à vendre ce Nouvel Ordre Mondial sous couvert de réformes progressistes et de modernité. Et quand on parle de forfaiture contre leurs peuples, les exemples ne manquent pas. Allez, sortons le carnet de bal de cette élite de pacotille.

Commençons avec le chouchou de Davos, Emmanuel Macron, l’homme qui a fait de la France un laboratoire grandeur nature pour toutes les réformes néolibérales imaginables. Propulsé par le réseau des Young Global Leaders et du Bilderberg, Macron n’a pas perdu de temps pour exécuter les ordres de ses maîtres. Il a commencé par s’attaquer aux services publics, les démantelant morceau par morceau, au nom de la fameuse "efficacité économique". Hop, on privatise les aéroports ! hop, on restructure la SNCF, et bientôt ce sera au tour de l'éducation et de la santé de passer à la moulinette.

Et n’oublions pas les réformes des retraites, ce joyau dans sa couronne d’infamie. Contre l'avis d'une majorité écrasante de la population, et malgré des grèves massives, Macron a imposé une réforme visant à allonger l’âge de départ à la retraite, tout en offrant de jolis cadeaux fiscaux aux plus riches. Pendant que les citoyens s'épuisent à travailler plus longtemps, les multinationales – et surtout les banques – continuent de s’engraisser. Une belle réussite pour ce Young Global Leader zélé !

Et parlons de l’autre marionnette de luxe, Justin Trudeau, le poster boy mondialiste par excellence. Trudeau, autre produit du programme des mondialistes, a parfaitement intégré les leçons apprises dans les couloirs de Davos : l’art de la trahison feutrée. Sous sa gouvernance, le Canada est devenu un modèle d’obéissance aveugle aux diktats internationaux. Prenez la crise sanitaire du Covid-19, par exemple. Trudeau n’a pas hésité à imposer des mesures autoritaires, confinant, limitant les libertés individuelles, tout en enrichissant les grandes entreprises pharmaceutiques et en marginalisant ceux qui osaient remettre en question la ligne officielle.

Et bien sûr, comment oublier son gel des comptes bancaires lors des manifestations des camionneurs ? Quand des citoyens canadiens, excédés par les restrictions sanitaires, ont osé défier le gouvernement, Trudeau a sorti les grands moyens : geler leurs comptes en banque sans procès, les étrangler financièrement, tout cela avec la bénédiction des banques. Encore une belle performance d’un pantin fidèle à la cause mondialiste.

Alors maintenant, passons à la douce Jacinda Ardern, l’autre star du réseau des Young Global Leaders, qui a fait de la Nouvelle-Zélande un véritable État policier sous prétexte de "protéger la santé publique". La crise du Covid-19 a été l’occasion rêvée pour Ardern d’introduire des mesures qui feraient rougir Big Brother. Confinements stricts, traçage numérique des citoyens, quarantaine forcée, et tout cela en agitant la bannière de la "solidarité".

Mais ce n’est pas tout. Sous son règne, la liberté d’expression a été méthodiquement érodée. Toute critique des mesures gouvernementales a été présentée comme dangereuse, et les dissidents ont été muselés sous des lois anti-désinformation. Ardern a été la parfaite exécutante de cette stratégie : un visage souriant et bienveillant à la surface, mais une poigne de fer invisible qui s’assure que personne ne s’écarte du chemin tracé par le Forum Économique Mondial.

Et que dire de l’Australie, ce continent-prison grâce aux bons soins de Scott Morrison, un autre produit parfaitement calibré du réseau Schwab. Morrison a transformé l’Australie en un terrain d’expérimentation pour les mesures liberticides, à commencer par des camps de quarantaine pour ceux qui refusaient de se plier aux diktats sanitaires. Qui aurait cru que l’Australie, pays des vastes étendues et de la liberté, deviendrait une zone de non-droit où la police traque les citoyens qui ont osé respirer sans masque ou désobéir aux couvre-feux ?

Mais ce n'est pas que la santé publique. Morrison a également supervisé la privatisation massive de ressources australiennes, laissant les multinationales internationales mettre la main sur des pans entiers de l’économie australienne, des mines aux infrastructures énergétiques. Et devinez à qui appartiennent ces sociétés ? Aux 13 familles ! Là encore, le modèle est toujours le même : affaiblir les nations pour les rendre dépendantes du système globaliste qu’il sert.

L’Allemagne aussi a eu son lot de marionnettes mondialistes. Angela Merkel, une autre Young Global Leader, a joué un rôle clé dans la mise en place de l’austérité en Europe, imposant des politiques budgétaires draconiennes qui ont écrasé des pays comme la Grèce sous une dette insurmontable. Merkel a agi comme une administratrice dévouée de l’Union Européenne, exécutant, avec une précision allemande, les ordres des institutions financières internationales.

Quand à son successeur, Olaf Scholz, il suit exactement le même chemin. En véritable exécutant des intérêts mondialistes, Scholz s’est assuré que l’Allemagne reste une locomotive économique au service des multinationales, tout en fermant les yeux sur les besoins sociaux de son propre peuple. Pendant ce temps, les citoyens allemands voient leurs services publics se dégrader, tandis que le pouvoir financier se concentre toujours plus dans les mains des élites internationales.

Enfin, comment ne pas mentionner Mario Draghi, "l’homme providentiel" de l’Italie, ancien banquier central et, bien entendu, Young Global Leader de la première heure. Draghi n'a jamais caché son allégeance aux banques et au système financier mondialiste. Sa nomination en tant que Premier ministre de l’Italie a été saluée par les élites comme une victoire, et pour cause : Draghi a passé son temps à imposer des réformes économiques pro-multinationales, tout en continuant à accumuler la dette publique italienne à des niveaux astronomiques.

Comme toujours, l’objectif est de rendre le pays dépendant des institutions financières internationales, pour pouvoir ensuite imposer des politiques d’austérité qui enrichissent les élites et étranglent les citoyens ordinaires.

Mais la cerise sur ce gâteau empoisonné, c'est quand même Ursula von der Leyen, l'une des plus grandes réussites du réseau des Young Global Leaders. Et dont le fils est à la tête de McKinsey Europe, celui de Schwab, McKinsey Asie, et celui de Fabius, McKinsey France. Bref, je m'égare ! Von der Leyen, ejectée d’Allemagne pour corruption, a trouvé une nouvelle couronne à Bruxelles, où elle peut tranquillement continuer ses machinations, bien à l'abri des critiques sous le voile de la bureaucratie européenne. Aujourd'hui, elle règne sur l’Union Européenne comme une impératrice sans couronne, transformant cette institution corrompue en une machine dictatoriale et belliqueuse, toujours sous les ordres de ses maîtres mondialistes.

Commençons par rappeler pourquoi l'Allemagne l’a si facilement éjectée. Ursula von der Leyen, ministre de la Défense allemande, a laissé une armée en ruine, mais plus important encore, elle s’est retrouvée au cœur d’un énorme scandale de corruption, lié à des contrats publics accordés à des consultants privés pour des millions d’euros. McKinsey, bien sûr, était dans le coup ! Mais dans ce grand théâtre de la politique, quand une marionnette mondialiste tombe en disgrâce dans un pays, elle est rapidement recyclée ailleurs, là où elle pourra continuer à servir les intérêts de ses maîtres.

C’est ainsi qu’elle a été parachutée à la tête de l'Union Européenne. Et là, elle a pu montrer l’étendue de son zèle au service de ses maîtres, les élites mondialistes. Mais que fait-elle exactement à la tête de l'UE ? Elle obéit, bien sûr, exécutant sans broncher le plan destiné à centraliser toujours plus de pouvoir à Bruxelles, au détriment des États-nations, et à servir les intérêts des multinationales en ruinant les peuples.

Depuis son arrivée à la tête de l'UE, Von der Leyen s’est appliquée à concentrer le pouvoir dans les mains des bureaucrates non élus de Bruxelles. Prenons par exemple sa gestion de l'arnaque du Covid. Ursula a acheté des millions de doses de vaccins sans la moindre transparence, négociant en secret avec les géants pharmaceutiques – et bien sûr, Pfizer, une entreprise où les intérêts financiers des grandes familles mondialistes ne sont plus à démontrer. Le résultat ? Un contrat de plusieurs milliards d’euros signé avec de l’argent public, sans qu’aucun citoyen ne sache réellement ce qui se passait dans ces négociations obscures. En revanche, elle a reçu des rétro-commissions, et son mari, des subventions !

Mais au-delà de la corruption, ce qui est réellement frappant, c’est comment Ursula transforme l'UE en une dictature technocratique, une machine implacable qui impose ses lois aux États membres, toujours contre la volonté de leurs peuples. Elle a pris pour cible les nations réfractaires, comme la Pologne et la Hongrie, en brandissant des sanctions financières pour forcer ces pays à se plier aux dogmes mondialistes sur des questions de gouvernance, de justice ou de politique migratoire. Sous sa direction, l’UE ne cherche pas à unir l'Europe, mais à briser la souveraineté des États qui osent défier le diktat de Bruxelles, et donc du WEF.

Et puis, il y a l'Ukraine. Sous sa présidence, l’Union Européenne est devenue un acteur belliqueux, finançant sans relâche une guerre qui n'a aucun intérêt pour les Européens mais qui, bien sûr, sert parfaitement les intérêts de l’oligarchie mondialiste. Pourquoi ? Parce que cette guerre en Ukraine est une bénédiction pour les industries de l’armement, détenues en grande partie par les mêmes familles qui dirigent le monde (les 13...) à travers des entreprises comme Lockheed Martin ou Northrop Grumman, où BlackRock et Vanguard ont d’importants intérêts. Sans parler des terres agricoles ukrainiennes qu'ils volent littéralement !

Sous la houlette de la hyène, l’UE a promis des milliards d’euros à l'Ukraine, tout en finançant indirectement l’effort de guerre contre la Russie. Les Ukrainiens sont littéralement envoyés à l’abattoir, avec la promesse illusoire d’un soutien indéfectible de l’Occident, pendant que les oligarques européens se remplissent les poches grâce aux contrats d’armement. Ursula ne s’intéresse pas aux morts ukrainiens, aux familles brisées ou à la dévastation économique de l’Europe. Non, son rôle est de pousser l’UE dans cette guerre sans fin pour affaiblir la Russie et enrichir les marchés financiers et l’industrie de la guerre.

Et ce n’est pas tout : l'Europe, sous sa direction, s’enfonce dans une spirale inflationniste avec les sanctions économiques contre la Russie, qui se retournent maintenant contre les citoyens européens. Les prix de l’énergie explosent, les économies s'effondrent, les entreprises ferment, mais que fait Ursula ? Elle continue, imperturbable, suivant la feuille de route mondialiste qui a pour objectif d'affaiblir les nations européennes, d'appauvrir leurs populations, et de les rendre totalement dépendantes de l'élite dirigeante.

Le rôle de cette furie, descendante de nazi, n’est pas seulement celui d’une bureaucrate obéissante. Elle est là pour transformer l’Union Européenne en un levier de guerre, un instrument de chaos perpétuel, servant à maintenir les nations en état de faiblesse et à renforcer la mainmise des élites globales. Elle ne se contente pas de détruire la paix en Europe, elle orchestrerait volontiers l’extension du conflit, tout en distribuant les bénéfices des destructions à ses amis dans l’industrie de l’armement et de la finance.

Pendant que les Ukrainiens se font massacrer sur le champ de bataille et que les citoyens européens paient la facture énergétique et économique, Ursula von der Leyen continue de jongler entre corruption, guerre et austérité. Et tout cela, bien sûr, sous le prisme d’une fausse bienveillance, drapée dans des discours vides sur la "démocratie" et la "solidarité", pendant qu'elle enfonce l’Europe dans la ruine.

En résumé, elle est l’incarnation parfaite de la marionnette mondialiste, une Young Global Leader triée sur le volet, programmée pour exécuter sans remords les ordres des élites. Elle transforme l’Union Européenne en un monstre bureaucratique, imposant des politiques autoritaires, alimentant les conflits internationaux, et faisant passer les profits des banques et des multinationales avant le bien-être des peuples européens. Une traîtresse à son propre peuple, pilotée par les mêmes forces qui dirigent le monde depuis les salons feutrés de Davos et des grandes banques d’investissement.

On le constate,  les Young Global Leaders ne sont pas là pour gouverner ou représenter leurs peuples. Ils sont sélectionnés et formés pour être les zélateurs du globalisme, des administrateurs dociles d’un plan mondialiste qui, derrière un discours de "progrès" et de "modernité", ne vise qu’à concentrer le pouvoir entre les mains d’une élite restreinte, tout en réduisant les nations et leurs citoyens à l’état de simples rouages dans une machine mondialisée.

Les Merkel, Macron, Trudeau, Ardern, Morrison et autres sbires malfaisants ne sont que des pantins, et leurs forfaitures ne sont pas des erreurs ou des accidents, mais bien le produit d’une stratégie orchestrée d'une main de fer pour soumettre le monde à un ordre global où les peuples n’ont plus leur mot à dire.

Phil BROQ.



05 octobre 2024

L'AGENDA MAUDIT : - Acte 5- :LES FONDATIONS QUI DOMPTENT LE MONDE

Les fondations des milliardaires philanthropes, ces prétendus chevaliers blancs de notre monde moderne, sont en réalité les architectes d'une mascarade monumentale. Comme nous l'avons vu précédemment, sous couvert de sauver la planète et de tendre la main aux plus vulnérables, elles opèrent dans l’ombre, exemptes d’impôts et à l’abri des lois, avec une impunité qui ferait rougir les plus grands barons du crime organisé. Le véritable génie de ces fondations ? Ne jamais rendre de comptes. Pas de transparence, aucun contrôle public, juste un vaste terrain de jeu où elles manipulent allègrement les politiques publiques, l’économie mondiale, et même la santé des plus démunis. Et tout cela sous le doux voile de la charité. Mais posons-nous la question : qui en profite réellement ? Evidemment, ce ne sont pas les pauvres...

Prenons un instant pour savourer l’ironie. Ces fondations sont en fait des entreprises privées, profitant d’avantages fiscaux extravagants, tout en investissant dans des projets qui, oh surprise, gonflent encore plus les poches de leurs créateurs. Regardez la Fondation Rockefeller et ses vieux rêves eugénistes, déguisés en initiatives de "contrôle démographique". Ou le Wellcome Trust, qui flirte avec l'éthique à travers ses expérimentations médicales douteuses. Quant à George Soros et sa Fondation Open Society, elle se pavane comme un projet humanitaire alors qu’elle joue en réalité sur l’échiquier de la manipulation politique mondiale. Un immense jeu de Monopoly où, devinez quoi, ce sont toujours les mêmes joueurs qui raflent la mise, façonnant l’avenir des nations à leur guise, tout en gardant le sourire satisfait de ceux qui croient vraiment "sauver" le monde. Uniquement le leur !

Mais ce n’est que la surface. Jetons un œil à ces "projets visionnaires" qu’ils financent. Prenons la géo-ingénierie qui revient à jouer à Dieu avec le climat, tout simplement. Injecter des particules dans l’atmosphère, espérant ainsi maîtriser les effets du réchauffement climatique. Et si les choses tournent mal, qui paiera l'addition ? Sûrement pas ceux qui orchestrent ces expériences planétaires depuis leurs tours d’ivoire. Ah, et ces vaccins expérimentaux, généreusement "offerts" aux pays en voie de développement ? Avec des effets secondaires à peine documentés, bien sûr. Mais ne vous inquiétez pas, c’est pour le bien de l’humanité. Quant aux initiatives de contrôle de la population, subtilement emballées sous forme de programmes de "planning familial" dans des régions "trop peuplées", il s’agit tout simplement d’un eugénisme masqué avec un soupçon de malthusianisme. Une manière élégante de réduire la population des pauvres sans jamais le dire ouvertement.

En y regardant de plus près, on voit que les fondations philanthropiques, censées être des chevaliers blancs du progrès, incarnent plutôt des cavaliers de l’apocalypse moderne, déguisés en sauveurs de l’humanité. Derrière les sourires bienveillants et les beaux discours sur le "bien public", ces entités cachent des intérêts d’une noirceur sidérante.

La Fondation Rockefeller, par exemple, dont les actions philanthropiques ont une longue histoire d’eugénisme et de manipulations médicales sous couvert de santé publique. Cette fondation n'a jamais vraiment cessé d'imposer des idées de dépopulation, surtout dans les pays en voie de développement, où elle semble avoir trouvé un terrain fertile pour ses idées de contrôle démographique malthusien.

Et la Fondation Wellcome Trust ? Certes, elle finance la recherche médicale, mais elle le fait souvent en soutenant des technologies expérimentales qui frôlent l’éthique, voire la dépassent. Vaccins expérimentaux, thérapies géniques... Qui se porte volontaire pour tester ces innovations ? Eh bien, les populations vulnérables des pays pauvres, bien sûr ! Leur voix ? Inaudible. Leur choix ? Presque inexistant. C’est bien plus pratique quand ceux que l’on "aide" ne peuvent pas protester.

Et si la Fondation Ford est habillée d’un costume socialement acceptable, elle aussi tire les ficelles en coulisses, influençant les politiques à son avantage et investissant dans des initiatives qui servent ses intérêts, bien plus que ceux des communautés qu'elle prétend aider. En quoi est-ce surprenant ? Cela s'appelle la philanthropie du capitalisme : s’enrichir en "donnant".

Ne parlons même pas de la Fondation Open Society de George Soros, cet empereur caché qui joue avec les démocraties comme un marionnettiste avec ses pantins. Promouvoir la démocratie et les droits de l'homme ? Un joli slogan. En réalité, les critiques accusent cette fondation d’alimenter le chaos sous couvert de "liberté", intervenant dans les affaires internes des pays pour les manipuler à des fins politiques. Mais qui peut s'en soucier ? Les millions injectés font taire toutes les révoltes ou les créent.

Mais la palme revient sans doute à la Fondation des Gates, ces monstres de la générosité autoproclamée, qui décident du sort des populations en matière de santé publique, le tout sous les applaudissements des institutions internationales. Mais à quel prix ? Vaccins expérimentaux, produits pharmaceutiques controversés, influence démesurée sur les politiques sanitaires mondiales… Actuellement, la Fondation Bill & Melinda Gates poursuit sa campagne mondiale de "programmes d'identité numérique". Cette fois-ci, ils ont jeté leur dévolu sur le Kenya, où le programme vise les nouveau-nés. Ainsi, lorsque le bébé naît, avant qu'il ne quitte l'hôpital, on ne lui remet plus un certificat de naissance en papier, mais un certificat numérique qui est implanté quelque part dans son corps. Ils créeront alors une nouvelle génération et tout le monde sera soumis à cette identité numérique.

Vous pensiez vraiment qu’il n’y avait aucun agenda caché derrière tout cela ? Leurs programmes humanitaires sont des tests grandeur nature menés sur les pays du Sud, tandis que les populations du Nord bénéficient des retombées économiques. Équitable, non ? 

Regardons maintenant leurs projets soi-disant révolutionnaires. Le projet de géo-ingénierie, par exemple : manipuler le climat en injectant des particules dans l'atmosphère pour contrer le réchauffement climatique. Parce que, bien sûr, rien ne peut mal tourner quand quelques milliardaires décident de jouer avec le thermostat de la planète. Vous vous souvenez du dernier désastre écologique causé par l’arrogance humaine ? Ah oui, c’était hier. Et qui paiera les pots cassés ? Surement pas eux.

Autre perle de leur bienveillance : les vaccins expérimentaux déversés dans les pays en développement. Leur efficacité ? Souvent mal documentée. Les effets secondaires ? À peine mentionnés. Mais qui s'en soucie tant que cela est estampillé du sceau "philanthropie" ? Personne, plus c'est gros, plus ça passe !

Le contrôle de la population, aussi. Ces fondations, avec leurs programmes de "planification familiale", visent en réalité à réduire drastiquement le nombre de personnes dans certaines régions du globe. Et qui sont les cibles ? Les populations des pays pauvres, bien sûr. Mais cela ne s’appelle plus de l'eugénisme, non. C'est juste du contrôle démographique avec un peu de gloss sur la pilule amère.

Et tandis qu’ils mènent ces expériences à grande échelle, ils échappent à tout contrôle, sans jamais avoir à rendre de comptes. Sous prétexte de charité, ils façonnent le monde selon leur vision, une vision faite à leur mesure, où les plus pauvres deviennent de simples sujets de laboratoire, et où la planète elle-même est leur terrain d’expérimentation. Et pendant ce temps, les vrais problèmes des populations locales – santé, éducation, pauvreté – passent au second plan, sacrifiés sur l’autel de leurs profits déguisés en philanthropie et humanisme.

Alors, pourquoi ne pas leur accorder une standing ovation ? Après tout, ils sauvent leur monde… en nous exploitant. Un petit groupe d’ultra-riches décide du sort de millions de vies, de la santé des populations, de l’avenir climatique de la planète, et personne ne semble avoir le droit de dire quoi que ce soit. Leur génie ? Avoir transformé la philanthropie en l'outil ultime de manipulation, d’influence et de contrôle global, tout en récoltant des félicitations mondiales pour leur générosité très orientés. Quelque chose vous dérange ? Pas eux. Tant qu’ils peuvent dormir dans leurs tours d’ivoire, l’argent coule à flot et la planète est leur terrain de jeu.

Pendant ce temps, ces fondations fonctionnent dans une zone de non-droit, échappant à toute forme de surveillance démocratique ou de régulation publique. Ce petit groupe d’ultra-riches influence également les politiques publiques et les lois, tout cela sans jamais avoir à rendre de comptes. Pas de scrutin, pas de débat, juste un pouvoir immense concentré entre les mains de quelques-uns, masqué derrière une soi-disant bienveillance. Si ce n’est pas là la définition du pouvoir absolu, alors qu’est-ce que c’est ?

Ces fondations, censées être des vecteurs de bienfaisance et de générosité, ne sont finalement que des machines à pouvoir, conçues pour préserver la richesse et l’influence de ceux qui les dirigent. Sous couvert de bonnes actions, elles amassent toujours plus de ressources, tout en privant les gouvernements de revenus fiscaux essentiels. Elles dictent les termes de la "charité", tout en jouant un rôle de déstabilisation à l’échelle mondiale. Bref, elles détruisent autant qu’elles prétendent sauver, et tout cela avec le soutien d'un système trop complaisant pour remettre en cause leur domination masquée. Car l'enfer est toujours pavé de bonnes intentions...

Alors, la prochaine fois que vous entendez parler d’une fondation qui œuvre pour le bien commun, demandez-vous : qui tire vraiment les ficelles ? Car ce ne sont jamais les populations qu’elles prétendent aider.

En fin de compte, ces fondations philanthropiques ne sont rien d’autre que des machines bien huilées à perpétuer la domination des ultra-riches, déguisées en institutions de charité. Elles jouent aux sauveurs du monde, tout en consolidant leur pouvoir et en faisant prospérer leurs intérêts privés. On pourrait presque saluer le génie de cette mise en scène : elles réussissent à se faire passer pour des héros tout en aggravant les inégalités qu’elles prétendent combattre. Elles manipulent les règles fiscales, se moquent des régulations, et s’arrogent le droit de décider ce qui est "bon" pour le reste de l’humanité, sans la moindre obligation de transparence ni de présentation des comptes.

Mais soyons honnêtes : est-ce que ça change quelque chose ? Le petit monde des fondations a parfaitement compris que l’opinion publique a la mémoire courte et que les scandales passent aussi vite qu’ils apparaissent. On s'indigne un jour, et le lendemain, c’est "business as usual". Tant que les bonnes œuvres continuent de faire les gros titres, tant qu’on sponsorise une école ici ou un hôpital là-bas, les milliardaires peuvent dormir sur leurs deux oreilles, leur conscience aussi propre que leurs comptes offshore. Et à chaque fois qu’une critique surgit, on sort le joker ultime : "Mais regardez toutes les vies que nous avons sauvées !" . Sans jamais parler de toutes celles qu'ils ont détruites...

Ce qu’ils sauvent vraiment, c’est leur empire, leur puissance et leur impunité totale. Ils transforment la philanthropie en un levier d’influence mondiale, tout en nous faisant croire qu'ils sont les remparts contre la misère et le chaos. Bravo, messieurs, dames, vous avez compris comment plumer la société tout en passant pour ses bienfaiteurs. Pendant que nous applaudissons vos "généreuses contributions", vous continuez à modeler le monde à votre image, et surtout à votre profit. Quant aux vraies victimes, celles que vous prétendez aider, elles continueront d’attendre dans l’ombre de vos tours d’ivoire, oubliées dans ce grand théâtre de la bienveillance.

Alors voilà, le rideau est levé sur la grande mascarade des fondations philanthropiques des milliardaires. Ces architectes de l’ombre manipulant les maîtres d'oeuvres milliardaires et leurs oeuvres méphitiques qui, sous couvert de charité, manipulent nos vies, nos systèmes, et jusqu’à l'avenir de notre planète. Une véritable scène où ces "sauveurs" se congratulent tout en perpétuant leur domination sur un monde qu'ils prétendent réparer.

Mais, ne vous y trompez pas, ces seigneurs ne bâtissent pas seuls cet empire de l’hypocrisie. En coulisses, une autre caste œuvre discrètement, des serviteurs dévoués à cet Agenda Maudit, formés, modelés, et élevés pour exécuter les ordres de leurs maîtres. Les maçons en quelque sorte de cet édifice où la malveillance et l'impunité sont la règle.

Nous allons entrer, au prochain acte, dans le monde si fermé des "Young Global Leaders", ces maçons de bas étage, dans la construction de cet édifice du mal et triés sur le volet pour leur manque de scrupules et leur capacité à mentir à tous. Des apprentis du pouvoir, façonnés pour jouer un rôle clé dans la grande pièce de théâtre mondial, où le moindre faux pas peut les catapulter ou les broyer.

Un réseau soigneusement sélectionné, formé pour assurer la continuité de ce système corrompu sous couvert de renouvellement. Qui sont-ils vraiment, et comment ont-ils été programmés pour perpétuer cette domination déguisée ? Allons maintenant découvrir les coulisses de cette fabrique à parasites…

Phil BROQ.







04 octobre 2024

L'AGENDA MAUDIT : - Acte 4- : LES MAÎTRES D'OEUVRES MILLIARDAIRES ET PHILANTHROPES

Aujourd'hui, nous allons évoquer "les 13 familles," illustres architectes de l’Agenda le plus Maudit et machiavélique que l’histoire ait jamais connu ! 

Ils sont les vrais maîtres du jeu, ceux qui, tapis dans l'ombre, tirent les ficelles d’un plan eugéniste et malthusien dont l'objectif ultime est simple : s'accaparer le monde, non pas par la force brute (quoique la guerre, c’est bien pratique), mais par la dette, la douce et insidieuse dette qui enchaîne les nations comme des vassaux. 

Mais ces grands architectes ne travaillent jamais seuls. Pour la partie visible de l'iceberg, ils ont leurs maîtres d'œuvre : ces milliardaires "philanthropes" que l'on encense dans les magazines comme Forbes et ailleurs, avec des classements ridicules qui nous vendent des récits de self-made men. En réalité, ces figures publiques, Jeff, Elon, Bill et compagnie, ne sont que de simples pions bien coiffés sur l’échiquier mondial, manipulés avec élégance.

Parce que, soyons sérieux, avez-vous déjà vu un Rothschild ou un Rockefeller se battre pour une place dans ce fameux classement de Forbes ? Non, voyons. Ils sont tellement au-dessus de cela puisque que ce sont eux qui impriment les cartes du jeu. Ils créent ces classements comme on distribue des bonbons, récompensant leurs fidèles serviteurs milliardaires, ceux qui suivent scrupuleusement le cahier des charges de la grande œuvre constitué de manipulation médiatique, contrôle par la technologie et influence politique par la corruption... C'est une grande famille, après tout.

Et puis, en dessous encore, il y a les "Young Global Leaders", ces bâtisseurs de demain, formés dans des écoles secrètes à l'art délicat de la dystopie. Eux, ils n'ont pas besoin de comprendre le plan dans son ensemble – ils exécutent, simplement- ils sont frauduleusement placés à leurs postes pour cela. Ils érigent ce monde fou, où la technologie contrôle nos vies, leurs meRdias contrôlent nos esprits et la dette contrôle les nations.

Bref, si les 13 familles sont les cerveaux, les milliardaires sont les coordinateurs, et les jeunes leaders les petits maçons, posant les briques de la dystopie l'une après l’autre. Mais nous parlerons d'eux dans un prochain acte. Pour l'heure, parlons de ces milliardaires fous, les maîtres d'œuvre du Mal. Et commençons, par celui qui à mon sens est le pire de tous, car il est le mégalomane le plus médiatisé de la bande. J'ai nommé : Bill Gates, bien sur !

Bill, ce magnat de la technologie devenu "philanthrope", a pris un virage radical dans la malfaisance, depuis le début du siècle, qui ferait frémir même les plus cyniques. Derrière son masque de bienfaiteur milliardaire, qu'il paye à coût de millions de subventions auprès des meRdias, on découvre un homme obsédé par une vision dystopique, eugéniste et malthusienne d'un monde qu'il veut à sa botte. Vision propre ou surement insufflée par ses maîtres architectes, mais où l'expression de l’humanité n’est plus qu’une vaste expérience à ciel ouvert et grandeur nature. 

Ainsi, vue de près, ses prétendus projets altruistes révèlent surtout une soif incontrôlable de pouvoir et un désir pathologique de redessiner la planète à sa convenance. Il se prend vraiment pour un démiurge. De la santé publique à l’agriculture, de l'effacement du soleil jusqu’à la démographie mondiale, Gates ne se contente pas seulement de jouer les faiseurs d'opinion. Trop simple ! Il s’est hissé, avec ces milliards entachés de corruption, en marionnettiste invisible de toutes les politiques mondialistes, sur tous les sujets et sans jamais avoir été élu par quiconque et pour quoi que ce soit.

C'est avec un mélange bien ficelé de corruption, de manipulation et d’une obsession pour la domination, que ces maîtres l'ont naturellement désigné comme porte étendard de leur délires. Sous son vernis sans cesse lissé de philanthrope, Bill s’immisce dans les secteurs les plus cruciaux pour l’humanité, sans aucune expertise véritable et avec un mépris glacial pour les conséquences. Comme si l'argent avait une fois dans l'histoire rendu quelqu'un intelligent, ça se saurait ! L'argent, je parle là de milliards, seuls les grands truands en ont autant, vraiment, et c'est surement pour cela que nous, nous sommes pauvres…

Loin de chercher le bien commun, ce qu'il veut, Bill, c'est transformer la planète en un laboratoire géant où ce serait lui qui fixerait les règles. Prenons, pour illustrer l'absurdité de sa mégalomanie, l'exemple simple et sordide à la fois, de son obsession pour les excréments humains. Avec une arrogance sans bornes mais égale à son incompétence, il finance des machines capables de recycler des déjections humaines en eau potable, et évidemment, soi-disant pour sauver les populations défavorisées. Magnifique, n’est-ce pas ?

Mais creusons un peu. Pourquoi un milliardaire sans la moindre compétence en santé publique ou en ingénierie de l’eau se lance-t-il dans des projets aussi déroutants, sinon dégoutants ? C'est très simple. Il se sert des plus démunis, des sans voix et souvent sans dents, comme cobayes humains dans ses expérimentations à grande échelle. De l'eau "propre", tel est son slogan, mais obtenue à partir d'excréments (Sic...) et bien entendu, testée sur ceux qui n'ont même pas la possibilité de refuser. Oserait-il imposer cette "solution" dans les rues de Manhattan ou de Londres ? Absolument pas. Mais quand il s’agit des pauvres, tout devient permis. Puisqu'il voit l'humanité comme une variable d'ajustement à éradiquer.

Et ça ne s'arrête surement pas là. Gates ne se contente pas de jouer avec l’eau, puisqu'il tente aussi de manipuler la nature elle-même. En finançant des moustiques génétiquement modifiés, où il prétend lutter contre la malaria et la dengue avec ces monstruosités chimériques créées en laboratoires. C’est peut-être bien sur le papier de ces chercheurs débiles et corrompus qui travaillent sur ce genre de projets, mais en réalité, c’est une bombe à retardement que tout un chacun, études ou pas, peu comprendre aisément. 

Et bien, comme prévu, en 2018, une épidémie de dengue éclate justement dans les zones où ces moustiques OGM, génétiquement modifiés et porteur des toutes les maladies avaient été libérés. Coïncidence ? Ce projet prétendument "humanitaire" ressemble davantage à une arme biologique dirigée vers l'humain et testée en plein air, qu'à une solution viable. Et qui en paie le prix ? Une fois de plus, les plus pauvres, réduits à de simples pions dans son jeu meurtrier, et vous et moi avec nos impôts qui lui servons des subventions à outrance.

Et puis, il y a aussi ses sinistres campagnes de vaccination. L’une des plus grandes aberrations de son règne sur la santé publique mondiale depuis qu'il s'est acheté l'OMS et en a corrompu tous ces membres. En Inde, par exemple, des vaccinations financées par sa fondation ont provoqué des paralysies et même des décès parmi des centaines jeunes filles. Un scandale étouffé avec la discrétion d’un claquement de doigt. Pas de justice, pas de comptes à rendre. Aux Philippines, des vaccins contre le tétanos, toujours financés par ce grand malade, contenaient une hormone pouvant provoquer la stérilité. Des millions de femmes et d'enfants ont été affectées, manipulées sans même le savoir. Mais qu’importe, puisque Bill reste intouchable grâce à son financement obscène de tous les médias et des institutions, qu’il tient fermement dans sa poche.

Et s’il s’arrêtait là, on pourrait presque en rire. Mais non, Gates, comme tous ceux de sa caste, ne sait pas s’arrêter ! Sa soif de contrôle s’étend maintenant à l’agriculture. Devenu le plus grand détenteur de vastes étendues de terres agricoles aux États-Unis, que fait-il avec cette richesse terrienne ? Pas de cultures biologiques durables, non, bien sûr que non. Il préfère les OGM, en partenariat avec Monsanto-Bayer, cette entreprise qui incarne à elle seule la destruction de l’agriculture naturelle. Sous prétexte d’une "révolution verte", il pousse des cultures toxiques et des produits chimiques ravageurs, non pour nourrir le monde, mais pour le soumettre à l’industrie agrochimique et ajouter des "vaccins ARNm" dans les légumes et les fruits. Ce sont ceux-là, les produits pour les pauvres, ceux à bas prix. D'où l'explosion des cancers ou des… Tumeurs ! Si tu en manges, tu meurs… Cynique et machiavélique !

Et que dire de son idée encore plus délirante de bloquer les rayons du soleil pour ralentir le pseudo réchauffement climatique, ou plutôt empêcher l'agriculture naturelle de se développer ! Car ça aussi c'est une arme redoutable pour soumettre les peuples ! Injecter des particules chimiques dans l’atmosphère comme dans une mauvaise dystopie de science-fiction eugéniste. Qu’importe les conséquences environnementales imprévisibles, ce qui compte pour Gates, c’est de prouver qu’il peut contrôler même les forces de la nature pour nous enfermer dans un environnement empoisonné par ses soins. Son véritable objectif n’est pas de sauver la planète, mais de bâtir un empire lucratif en transformant la lutte contre le "changement" climatique (inventé par ses scientifiques qu'il subventionne allégrement, tel le GIEC) en une machine à profits pour lui et tous ces petits copains.

Ce pouvoir démesuré en totale impunité, Bill l’a acquis en infiltrant et corrompant les institutions publiques grâce à ces virus et back-doors placées dans tous les logiciels Microsoft. Lorsqu'on sait tout de son adversaire en lui volant les informations grâce à ces logiciels utilisés par toutes les administrations, les dés sont pipés ! Et il est aujourd’hui l’un des plus gros financeurs privés de l’OMS, dont le président, Tedros, n'est autre qu'un acteur mais responsable du génocide Rwandais - Exit les pauvres ! - et lui permettant surtout d’orienter les politiques mondiales à son avantage. L’OMS, censée être une organisation indépendante, est devenue sa marionnette, comme l'ensemble des institutions à 3 lettres (ONU, OMS, OMC, WEF, FED, etc.). Mais Gates ne s’arrête toujours pas là puisqu'il a aussi acheté le silence total des grands médias soit avec des publicités, soit directement des subventions, et comme si ça ne suffit pas, directement les rédacteurs. En France, par exemple, il verse des millions tous les ans à des organes de presse comme l’AFP, pour garantir que ses sinistres projets ne soient jamais critiqués. Et ça fonctionne !

Comment un simple informaticien boutonneux et bigleux, certes aux parents déjà milliardaires quand même…, a-t-il pu s’emparer d’un tel pouvoir dans des domaines aussi cruciaux que la santé, l’agriculture, les meRdias et le climat ? Domaine, vous le constaterez, qui servent de base d'asservissement pour tout humain. La réponse est encore très simple : C'est grâce à ces milliards ! Il a acheté son image, ses études factices créées par ces scientifiques véreux, achetés eux-aussi, puis il a acheté son influence, corrompu des gouvernements entiers, et tissé grâce à cela un réseau mondial de dépendance politique et financière. Sous couvert de philanthropie, il impose sa vision au monde, sans aucun contre-pouvoir réel.

Vous le constatez, il ne s’agit pas là d’altruisme, mais bien d'une ambition dévorante et sans bornes, typique chez les psychopathes. Oui, Bill Gates veut contrôler l’humanité, réguler les naissances, manipuler le climat, décider de ce que nous mangeons, de ce que nous buvons, de ce que nous disons et surtout la manière dont nous vivons ! Et bien loin d’être un bienfaiteur, il est surtout un prédateur, utilisant sa fortune comme seule arme, pour remodeler le monde selon ses délires eugénistes et malthusiens.

Il est urgent de dénoncer et de mettre en lumière l'influence toxique de Gates et de ses semblables sur notre monde. Derrière leur façade de bienveillance se cache une réalité bien plus sombre, où l’argent devient un outil de domination absolue. Leurs projets, loin de résoudre les vrais problèmes de l’humanité, ne servent qu’à renforcer leur emprise et à soumettre les plus vulnérables à des expériences aussi hasardeuses que dangereuses. Leur objectif, de moins en moins caché, est de réduire drastiquement la population, contrôler les ressources et enfin, régner sur le destin des autres. Même les pharaons en leur temps et pourtant moins riches, avaient au moins œuvrés pour leur peuple à minima, et laissé des constructions pour une civilisation entière. Lui ? Rien du tout !... Des virus et des logiciels obsolètes tous les 3 ans !

Il est impératif de diagnostiquer la maladie si on veut l'éradiquer et en connaissance de cause, s’opposer à cette nouvelle forme de colonialisme, où des "philanthropes" milliardaires se prennent pour les maîtres d'oeuvre du monde. Il est temps de tirer la sonnette d’alarme et de revendiquer une véritable souveraineté populaire sur les questions de santé, d’agriculture et de justice sociale, de liberté d'expression, de mouvement et d'autonomie vis-à-vis de ces psychopathes fortunés. 

Il est donc grand temps de stopper Bill Gates et tous ceux qui, sous couvert de bienveillance, utilisent leur fortune pour façonner un monde où pouvoir et profit règnent sur l’éthique et l’humanité. Unissons nos forces pour défendre les droits des plus faibles et préserver l’intégrité de notre société face à ces prédateurs insatiables. Nous devons exiger une transparence totale sur ces projets qui touchent les ressources naturelles qui appartiennent à tous et non pas à cette caste de débiles. Il est aussi grand temps de demander des comptes sur leurs méfaits.

Mais attention, Bill n'est pas le seul, bien au contraire. Le monde des ultra-riches est un terrain fertile pour les controverses, notamment lorsqu’il s’agit de philanthropie. Derrière des initiatives en apparence bienveillantes, se cachent souvent des ambitions personnelles délirantes, des agendas cachés par des complots dans les hautes sphères financières, voire des projets dangereux pour la société et la planète tout entière. 

Voici une liste de quelques milliardaires connus, autres maîtres d'œuvres, du plan des architectes que sont les 13 familles, qui, tout comme Bill Gates, suscitent des polémiques avec leurs actions prétendument philanthropiques. Ceux-ci ne sont pas les vrais architectes du mal, car pas nés dans la caste héréditaire comme les 13 familles, mais leurs pantins préférés, à qui ils donnent les moyens financier de mettre en œuvre leur malfaisance. Ainsi, voici en suivant ces pervers fortunés, sans foi ni loi, mais surtout sans âme ni éthique.

Pour débuter, le vieux George Soros, célèbre pour sa fondation Open Society, figure incontournable des causes progressistes et dépravées. Certes, il est régulièrement accusé d’influencer et de manipuler les politiques intérieures des pays dans lesquels il investit, et à juste titre. À travers des donations et des soutiens à des mouvements politiques, il pousse souvent à des changements radicaux qui provoquent de graves divisions sociales. Mais jamais arrêté ni inculpé ! Son dernier coup de maître ? L'acquisition de plus de 200 stations de radio aux États-Unis, marquant ainsi son entrée dans la guerre de l'information. Ted Turner se faisant trop vieux, Soros prend la relève et met le pied à l'étrier à son fils. Que veut-il vraiment accomplir ? Une domination totale sur la diffusion des idées dites "progressistes" ! Un progrès qui mène vers l'abîme de notre humanité. C'est juste un manipulateur de plus qui, sous couvert de bienfaisance, orchestre des révolutions silencieuses pour son propre compte... en banque.

En suivant, il y a Elon Musk, le jeune de la bande qui fascine le monde avec ses entreprises révolutionnaires, de Tesla à SpaceX, en passant surtout par son projet transhumaniste de puces cérébrales via "Neuralink". Trop chargés en "connerie naturelle", ils comptent tous sur l'Intelligence Artificielle pour les sauver ! Mais derrière cette image d'innovateur se cachent des préoccupations éthiques majeures qui font reculer les limites de l'inacceptable et surtout de la nature. Ses positions souvent déroutantes sur les réseaux sociaux, limite autiste schizophrène, son approche libertaire et ses projets futuristes carcéraux, inquiètent grandement. Jusqu’où va-t-il pousser la frontière entre technologie et humanité ? Sa vision d’un monde transhumaniste, où l’homme fusionnerait avec la machine, peut laisser perplexe, mais n'a rien d'un progrès, c'est une mise en esclavage technologique et une déshumanisation véritable. S’agit-il réellement d'améliorer nos vies ou plutôt de contrôler l'humanité à un niveau jamais atteint auparavant ? Ceux qui de nos jours, ne savent plus s'ils sont homme, femme ou grille pain… Choisiront sans problème le grille-pain ! Et oui, tout est prévu dans leur plan maudit ! Surtout la manipulation des cobayes.

Un autre de ces maîtres d'œuvre est Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon, qui s’est récemment engagé dans la philanthropie avec la création de la Bezos Day One Fund. Trop riche pour payer des impôts, autant tout garder ! Vive les fondations je vous dis ! Mais ses critiques soulignent l’ironie de la situation. Comment peut-on prétendre aider les familles sans-abri tout en exploitant des milliers d’employés dans des conditions de travail déplorables au sein de ses entrepôts ? Comment aller chercher de l'eau sur Mars et ne pas aider le Sahel ? Comment avoir une fusée, 3 Yacht, 17 voitures et nous demander de rouler à vélo contre la pollution ? De plus, ses très maigres contributions à la lutte contre le changement climatique semblent pâles en comparaison des milliards accumulés grâce à Amazon, une entreprise critiquée pour son empreinte écologique considérable. Les data-centers sont les plus grands réchauffeurs d'atmosphère de notre siècle et très gros consommateurs d'électricité. Bezos est-il réellement motivé par l'altruisme, ou bien utilise-t-il la philanthropie pour blanchir son image comme son argent ? Je vous laisse juge...

Dans sa lignée, il y a le petit Mark Zuckerberg, (petit fils de Rockefeller – la caste, toujours la caste !) qui, à travers Facebook (volé durant ses études et financé par la CIA) a bouleversé le paysage médiatique mondial. Sa "Chan Zuckerberg Initiative" finance d'importants projets dans l'éducation et la santé. Il y a de quoi frémir ! Quand on sait que la plateforme même qui lui a permis d'amasser sa fortune est une arme redoutable pour faire taire la dissidence et plus généralement, la repérer, est aussi à double tranchant. Accusé de favoriser la désinformation, d’influencer les élections et de négliger la vie privée de ses utilisateurs, Zuckerberg est enfin vu pour ce qu'il est : un manipulateur des esprits. Alors, quand il investit dans des initiatives philanthropiques, est-ce vraiment pour corriger ses erreurs, ou plutôt pour continuer à asseoir son influence dans le domaine de l’information et des meRdias ? L'un des maîtres d'œuvre favori des architectes… Mais c'est la famille, alors bon !

Dans ces seconds couteaux maléfiques, il y a aussi Richard Branson. Autre milliardaire qui se dit "écolo", avec ces avions et ces fusées, qui a fondé Virgin Galactic, une entreprise de tourisme spatial. Bien que Branson soit un fervent défenseur du développement durable, ses projets de tourisme spatial semblent totalement déconnectés de ses prétendues préoccupations environnementales. Voyager dans l’espace est un luxe réservé à une élite fortunée, et les coûts environnementaux de ces vols sont considérables. Encore une fois, la question se pose : à qui profite réellement cette initiative ? À l’humanité ou à une poignée de milliardaires en quête de frissons ? Et combien de milliards blanchit-il avec sa fondation, nous ne le saurons jamais…

Vous avez aussi des vrais sales types comme Larry Ellison, cofondateur d’Oracle, qui a transformé l’entreprise d’une petite start-up en un géant mondial de la technologie. Tiens, comme les autres alors ? Et qui a lui aussi consacré une partie de sa fortune à la philanthropie capitaliste. Et évidemment, sa réputation dans le monde des affaires reste très controversée. Comme de forcer les clients à utiliser uniquement ses produits, tiens comme Bill et ses virus avec les mises à jour !  Sa gestion agressive, ses projets immobiliers extravagants et ses investissements dans des initiatives technologiques suscitent des inquiétudes quant à l'impact sur les libertés individuelles, surtout dans un contexte de surveillance numérique accrue.

Reste le vieux de la bande, Warren Buffett qui est l’un des milliardaires les plus respectés pour son engagement à donner la majeure partie de sa fortune, mais à Bill Gates ! Pourtant, ses choix d'investissement, notamment dans des industries polluantes, comme les combustibles fossiles, ne jettent aucune ombre sur ses bonnes intentions. Peut-être profite t-il du réseau des meRdias soumis à Bill ? Car peut-on vraiment être un bienfaiteur tout en tirant profit de la destruction systématique de l’environnement ? Tout ceci n'est que foutaise, c'est une caste, une mafia et la pire, car celle-là, elle ne protège pas, elle tue !

Mais, ces milliardaires ne se contentent pas de dominer le monde des affaires, ils utilisent également tous leurs fondations pour exercer une influence disproportionnée sur les décisions politiques et économiques mondiales. Les fondations philanthropiques, créées par les milliardaires, sont souvent perçues comme des entités dédiées à des causes nobles qui officiellement luttent contre la pauvreté, font de l'amélioration des soins de santé, soutiennent à l'éducation, entre autres.

Cependant, derrière cette façade généreuse se cache une réalité bien plus complexe et surtout très préoccupante. Car toutes ces entités bénéficient d'un ensemble d'avantages, notamment fiscaux, tout en échappant à un contrôle strict de la part des autorités. Car ces fondations philanthropiques sont loin d'être de simples outils de charité désintéressée. En échappant aux régulations fiscales et en opérant sans une véritable transparence, elles représentent une zone de non-droit où les ultra-riches peuvent préserver, accumuler et utiliser leur richesse pour influencer la société à leur manière, tout en évitant de contribuer équitablement aux systèmes fiscaux nationaux.

Ces dynamiques interrogent profondément sur la nature de la philanthropie moderne, et sur les risques qu'elle présente en termes de démocratie et de justice sociale. Cette situation soulève des questions majeures sur leur véritable rôle dans la société que nous aborderons dans le prochain acte. 

Phil BROQ.