POUVOIRS EPHEMERES ET RICHESSES ETERNELLES
Pour les maîtres véritable du pouvoir politique en France, Macron est désormais un pantin que les milliardaires utilisent à leur guise, un dirigeant qui prendrait directement ses consignes auprès de ses bienfaiteurs oligarques. Et, où McKinsey servirait de courroie de transmission. L’influence malfaisante d’Arnault, Niel, Bolloré et consorts révèle un fonctionnement aristocratique, ou plutôt héritocratique, qui n'est qu'une "tyrannie de l’argent" où les élus ne sont plus que des figures de vitrine, tandis que les véritables décisions se prennent dans les salons privés et les conseils d'administration. Ces milliardaires ne se contentent pas de construire des empires économiques ; ils règnent totalement sur la France par leurs réseaux, les médias qu’ils possèdent, et les alliances qu’ils nouent au sein de l’État. De plus, la majorité des journaux, des radios et des chaînes télévisées, subventionnées à outrance, appartient à cette poignée de grandes fortunes, leurs permettant d’orienter les discours, de masquer les réalités, et de vendre à la population une "alternance" politique qui n’est en fait qu’un théâtre d’ombres. Cette influence médiatique leurs permet autant de manipuler l’information que de contrôler les récits souvent fictifs qui façonnent l’opinion publique.
Aujourd'hui dans le monde entier, on dépeint la France contemporaine comme un royaume caché des puissances oligarchiques et pédosatanique, où des figures comme Bernard Arnault dominent tous les rouages de la politique et de l'économie, bien au-delà de leurs entreprises et fortunes. Arnault, qualifié souvent "d'ordure", incarne un système où les ultra-riches manipulent sans remords les institutions et écrasent les vies sous le poids de leurs intérêts privés. Avec ses participations dans des cercles mondiaux comme le club Bilderberg, souvent dénoncé pour ses stratégies élitistes et opaques, il est un membre actif d’une machine transnationale de pouvoir où les dirigeants de demain sont façonnés en coulisses, comme les Young Leaders par le WEF, bien en amont de l'arène politique visible.
La France, ce pays où l’on prône l’égalité en façade, se révèle être en réalité une mega forteresse dorée pour une poignée de milliardaires se vautrant dans l'impunité et captant frauduleusement l’essentiel des richesses grâce aux seconds couteaux de BERCY. Ainsi, en 2024, la fortune cumulée des 500 plus grandes fortunes françaises a atteint un record de 1 200 milliards d’euros, une somme qui défie l’entendement dès lors que la dette culmine à 3 300 milliards. Tandis que l’on annonce les chiffres du chômage et de la précarité sans cesse en hausse, on découvre que les fortunes des plus riches continuent de croître chaque année. Formant une élite toujours plus puissante, plus enracinée et plus insensible aux réalités de la majorité qu'ils haïssent.
À croire que les inégalités ne sont pas un accident, mais bien la base de leur modèle économique. Modèle économique qui ne sert plus que cette infime élite, tout en délaissant les intérêts vitaux de la majorité des contribuables, pressés et essorés par les taxes abusives, elles aussi en croissance. En 2024, la France a atteint un record de 147 milliardaires, un chiffre sans précédent. Pendant ce temps, les services publics sont sous-financés, les inégalités territoriales explosent, et l’éducation peine à remplir son rôle d’ascenseur social. Les milliardaires sont devenus des entités quasi intouchables, vivant dans une bulle de privilèges et de protection inique que leur offre une police archi corrompue. Pour eux, la "solidarité nationale" est un concept réservé aux discours de bonne conscience, tandis que leur réalité quotidienne se compose de montages financiers, de sièges sociaux déplacés à l’étranger, et de jets privés. Le tout bien à l'abri des inconvénients logiques qu'ils devraient subir de la part d'un peuple, violenté et racketté par sa police milicienne et puni pénalement par une magistrature nauséabonde.
Dans un pays de 67 millions d'habitants -officiellement- où 9 à 12 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté, avec seulement 33 millions d'actifs, le chiffre des 1 200 milliards d’euros, cumulé par les 500 plus grandes fortunes en 2024, marque autant une fracture colossale qu'une volonté folle de destruction de son écosystème industriel et institutionnel vitaux. Cette disproportion effarante trahit surtout l’échec total des promesses républicaines, qui comme chacun sait, n'engage que ceux qui écoutent. Pour ces milliardaires, l'humanité semble dorénavant réduite à une commodité ; ils ignorent les réalités d'une population qui peine à boucler ses fins de mois, et creusent sans cesse le fossé des inégalités avec délectation et cynisme. Profitant de chaque opportunité pour ruiner un peu plus notre pays, détruire son tissu social et industriel, dévoyer les institutions et écraser les contestations. Leurs montages financiers sophistiqués et leur recours à l'optimisation fiscale déchargent sur les classes moyennes et les petites entreprises une pression fiscale insupportable, tout en leur permettant de multiplier les profits. Les inégalités comme on le constate amèrement, ne sont donc pas un accident, mais un modèle économique pensé et entretenu pour préserver cette caste de privilégiés, de nantis décérébrés aux relents de tyrans sanguinaires.
Prenons Bernard Arnault, par exemple, à la tête de LVMH, dont la fortune avoisine les 203 milliards de dollars, un chiffre qui illustre à lui seul l’étendue de la démesure. Arnault est souvent encensé pour son flair entrepreneurial, mais n’est-il pas seulement le produit d’un système où l’État lui déroule un tapis rouge fiscal et législatif ? L'ascension d'un Bernard Arnault, comme l'illustre sa reprise controversée du groupe Boussac, n'est pas simplement l'histoire d'un homme d'affaires brillant, mais surtout celle d'une trahison totale pour capter des subventions, promettant de maintenir les emplois, où il a finalement licencié près de 6 000 personnes, tout en amassant une immense fortune au passage. Cet exemple ne fait qu'illustrer un mode opératoire qui se répète sans cesse depuis des décennies, où l'on sacrifie les travailleurs, et où l'argent reste entre les mains d'une petite poignée de privilégiés malthusiens. Mais pour cet odieux personnage, les exemples de cette domination sont nombreux. Allant de son appui tacite mais puissant à Macron en 2017, jusqu’à l’incendie de Notre-Dame, perçu comme un épisode utilisé pour étouffer la révolte des Gilets Jaunes et où ses 200 millions de dons pour la cathédrale ne sont qu’une poussière, comparée aux milliards amassés par son groupe. Il n'a jamais cessé de promouvoir le candidat qui servirait ses intérêts. Comme toujours, ce n'est rien de plus qu'une opération de communication plutôt qu’une réelle contribution au bien commun.
Dans ce pays où le vrai pouvoir ne change jamais vraiment de mains, qu’importe que la République prône l'égalité, les oligarques tricolores veillent toujours en maîtres incontestés et impunis. Patrons, banquiers, rois de la communication et du numérique, héritiers des grands empires industriels, ils tiennent fermement les rênes, peu importe qui siège à l’Élysée. On nous vend des alternances politiques, des ministres ambitieux, des réformes. Mais en coulisse, les véritables décideurs restent les mêmes, protégés par une structure de pouvoir bien huilée où s'entremêlent argent, réseaux d’influence et favoritisme d’État. Devant cet état de fait, certains appellent à l'insurrection, se référant à l'article 35 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, qui fait de la révolte un droit et un devoir lorsque le gouvernement trahit les intérêts du peuple. Car ce peuple, enfermé dans une impasse économique et politique, assiste médusé et inactif à une régression sociale comparable à celle du Moyen Âge. Dans cette vision, il ne reste plus que l’union populaire, non pacifique et déterminée, et le refus musclé de ce système mafieux pour briser l’hégémonie des ultra-riches, responsables à part entière de la précarité, de l’affaiblissement des services publics, et de la dévitalisation de la démocratie.
L'enjeu actuel est de raviver une "grande peur", par l'intermédiaires de ces juges et policiers violemment véreux, face à ces oligarques qui mènent le pays comme leurs aïeux géraient leurs fiefs, indifférents aux souffrances de la majorité et toujours prompts à détrousser leurs subalternes. Il ne s'agit plus d'une simple opposition entre riches et pauvres, mais de restaurer un équilibre où la promesse raie-publicaine retrouverait enfin son sens, au-delà de l'illusion démocratique façonnée elle aussi par ces véritables maîtres de l’Hexagone cachés sous les conseils d'administration opaques. Les "dynasties du CAC 40" sont des institutions en elles-mêmes, véritables forteresses familiales. Prenons les Pinault, Bouygues, Dassault ou encore Arnault : ils perpétuent un modèle où l'entreprise se lègue comme un patrimoine sacré, non seulement à leurs enfants, mais à leurs petits-enfants. Ce n’est pas une question de compétences, mais bien de continuité du capital et de l’influence. Les dispositifs comme la commandite -une exception bien française où les premiers (commanditaires) avancent des fonds à des associés (commandités ou gérants), seuls responsables de la gestion et répondant des dettes de la société- permettent à ces héritiers de régner sans partage, alors même qu’ils ne possèdent parfois plus qu’une fraction du capital. C'est le système BlackRock !
Le pouvoir ne repose pas sur la légitimité économique mais sur une loi tacite où les grandes fortunes sont intouchables. Entre leurs défilés de mode et leurs dîners privés, on ne peut qu’admirer comment les figures comme Bernard Arnault, après avoir fui la "France socialo-communiste" de 1981, sont aujourd’hui des figures incontournables, accueillant en grandes pompes le compagnon dénaturé d’un Président qui se dit de "centre-gauche". Depuis plus de 200 ans, les gouvernements passent et les dynasties restent. François Pinault, quant à lui, occupe la deuxième place du classement Forbes avec ses 29,2 milliards d’euros, tandis que les frères Wertheimer, propriétaires de Chanel, détiennent plus de 115 milliards d’euros. Ces fortunes colossales, bien que générées par des multinationales, bénéficient surtout de l’infrastructure et du marché français, sans pour autant contribuer à leur valeur. Car, pour ces géants, la France est un terrain de jeu où la fiscalité peut être contournée et les privilèges accumulés. Pour rappel, 1 millions de secondes font 11 jours et demi, alors qu'un milliard de secondes font un peu plus de 32 ans !
Du côté des "rois de la finance", la situation est tout aussi désolante. Sauvés de la débâcle en 2008 par les deniers publics et l'argent des narcotrafiquants, ces banquiers et assureurs vautours n’ont pas perdu une seconde pour redevenir les maîtres du jeu. Leur pouvoir est devenu immense et ils contrôlent tous les fonds d’épargne, orientant la politique économique en faisant pression sur le Trésor pour éviter toute mesure qui pourrait grignoter leurs privilèges ignobles. L’État lourdement endetté à hauteur de 3 300 milliards d’euros n’a plus d’autre choix que de plier l’échine devant eux et punit judiciairement tous ceux qui prétendent le contraire. Le président d’Axa, Henri de Castries, n’a même pas besoin de cacher son mépris pour l’équipe gouvernementale. Car il sait que rien ne pourra vraiment entraver les intérêts de ceux qui, comme lui, sont déjà solidement implantés dans les cercles supranationaux tels que Bilderberg.
Et puis il y a les "chevaliers de la mondialisation", ces patrons pour qui la France n’est qu’un "marché secondaire" sur la mappemonde. La plupart de leurs revenus et leurs usines se situent bien loin des frontières nationales, ne laissant à l’Hexagone que des miettes de présence, de quoi entretenir leur influence sur les ministères, mais certainement pas leur priorité. Pour des entreprises comme Renault ou Total, la globalisation est un terrain de jeu où le patriotisme économique n’a pas sa place. Leur mission ? Maximiser les profits pour des actionnaires anonymes et exigeants, quitte à rogner les droits sociaux et environnementaux là où c'est rentable. Et pendant ce temps, ils continuent de voyager aux côtés des présidents, main dans la main avec les responsables politiques qui sont supposés les réguler.
Pour les "managers de haut vol", la France est devenue un simple département dans un empire économique sans frontières. Les multinationales qu’ils dirigent génèrent moins d’un quart de leurs revenus en France, un chiffre qui en dit long sur la redéfinition de leurs priorités. Leurs matières premières, leurs laboratoires de recherche, leurs marchés, et surtout leurs usines, sont aussi -et souvent d’abord- implantés hors des frontières. Leur premier devoir est d'assurer la rentabilité pour des actionnaires de plus en plus exigeants, souvent des fonds de pension étrangers obsédés par le rendement à court terme. Cette réalité transforme profondément leurs rapports avec l’État français, autrefois protecteur mais désormais relégué à un rôle accessoire. Même les grands patrons d’entreprises historiquement publiques n’échappent pas à cette logique globale. Pourtant, ces grands patrons ont encore besoin de l'appui politique national et veillent à garder une place dans l’Airbus du Président de la République lors des voyages officiels, un sésame pour conclure leurs contrats internationaux avec le soutien diplomatique de l’État.
Quant aux "magnats du numérique" et aux "princes de la communication", ils sont devenus les têtes pensantes de notre époque. Rares mais omniprésents, ils occupent une place centrale dans un monde de l'information où le pouvoir se gagne autant par la maîtrise de l’image que par l’argent. Xavier Niel, par exemple, est vu comme un rebelle du secteur technologique, mais derrière son anticonformisme affiché, il contrôle autant les leviers du pouvoir médiatique que les plateformes d’innovation. Quant aux grands communicants, ils sont les artisans invisibles des discours politiques et économiques, veillant à ce que l’opinion publique ne puisse jamais sérieusement remettre en question l’ordre établi.
Enfin, les "éminences grises" et les "visiteurs du soir", tels qu’Alain Minc et Jacques Attali, se tiennent toujours dans l’ombre. En véritables faiseurs de rois, ils jouent le rôle de ponts entre les élites et le pouvoir. Lorsqu’un dirigeant en place semble manquer d’audace, ils recommandent un jeune loup de l’ENA ou de la Banque Rothschild, comme ce fût le cas pour Macron. C’est un système de cooptation feutrée, presque aristocratique, où la loyauté au réseau est la première des compétences. Peu importe que ces personnages se fassent discrets, leur influence est totale, et ils continueront de peser sur les choix politiques comme un pilier invisible, cimentant les alliances dans les bureaux feutrés de Paris.
Ce système d’oligarchie bien rodé, c’est la France des hauts cercles, des privilèges immuables, une Raie-publique en vitrine et une tyrannie de l’argent en coulisse. Derrière le vernis des institutions démocratiques, le réel pouvoir appartient à une poignée d’ultra riches qui façonnent l’avenir selon leurs intérêts. Il n’y a là aucune surprise, même si c'est un scandale, car c’est simplement la continuité d’un modèle où l’État et les grandes fortunes marchent main dans la main, au détriment de la promesse républicaine.
Le classement Forbes de 2024 montre aussi un autre phénomène inquiétant qui est le renouvellement de l’oligarchie par des héritiers. Héléna et Rémi Dassault entrent dans le classement avec 2,5 milliards de dollars. Ainsi, les dynasties perdurent, et le capital continue de se transmettre sans aucun regard pour l’égalité des chances. La France n’est plus un pays de méritocratie, mais bien d’héritocratie, où les richesses se perpétuent par le sang et les alliances, et où le peuple n'a plus droit de regard sur les impôts qu'ils verse. Le cas de Françoise Bettencourt Meyers, héritière de L’Oréal avec 50 milliards de dollars, illustre à merveille cette dynastie du luxe transmise de génération en génération. Leur patrimoine colossal s’étend sur les décennies, protégé par des mécanismes juridiques sophistiqués et un réseau d’influence considérable.
Au sommet de cette pyramide, ces oligarques cultivent un pouvoir immense. Ce pouvoir ne se limite pas à l’argent, mais s’étend à l'influence politique et culturelle. Par leur réseau, leur capacité à influencer les médias et les choix politiques, ces milliardaires forment une caste de seigneurs modernes. Emmanuel Besnier, le patron de Lactalis, avec une fortune de 20,4 milliards d’euros, contrôle l’un des plus grands groupes laitiers du monde tout en échappant habilement aux contraintes fiscales. En outre, ces fortunes s'appuient sur des dispositifs d’optimisation fiscale qui permettent de réduire leurs contributions à l'effort national, à une peau de chagrin, tandis que les classes moyennes et les petits entrepreneurs, eux, croulent sous les charges. Le scandale, ce n’est pas qu’ils soient riches, mais qu’ils ont acquis une forme d’impunité sociale et économique, consolidée par leur proximité avec les dirigeants politiques.
La France, jadis terre de liberté et d’égalité, s’est transformée en un terrain de chasse pour les oligarques. Ces 1 200 milliards d’euros supplémentaires amassés par les 500 plus grandes fortunes en 2024 témoignent d’un modèle à bout de souffle, où la richesse de quelques-uns éclipse les besoins de millions. Ce n’est pas un simple problème de riches contre pauvres, mais la confirmation d’un système où l’oligarchie prospère sans scrupule, redessinant le pays à son image, indifférente à la détresse et aux aspirations du reste de la population. Les milliardaires sont devenus les nouveaux tyrans d’une France "raie-publicaine" en apparence, mais héritocratique dans son fonctionnement réel, où le pouvoir et l’argent sont leur seul credo.
Je ne cesse de prêcher dans le désert en criant et écrivant à chaque billet : Réveille-toi, peuple de France ! Car il est vraiment temps de cesser de courber l'échine devant ceux qui gouvernent l’Hexagone en coulisses, sans jamais se soumettre aux règles de la République qu'ils s'arrogent pourtant le droit de dicter. Ces oligarques, qui se présentent comme des bienfaiteurs et des visionnaires, ont en réalité façonné un système où leur pouvoir se nourrit de notre silence et de notre résignation. Ne vois-tu pas que leurs fortunes obscènes et leurs privilèges insolents ne sont pas les fruits du hasard, mais les racines d'une tyrannie moderne, enfoncée profondément dans chaque institution, chaque media, chaque loi qui est censée te protéger ?
Ils s’enrichissent à un rythme effréné, bâillonnant toute contestation et transformant l’État en outil docile de leur propre enrichissement. Tandis que les services publics s’effritent, que la précarité s’installe, ils consolident leurs empires, protégés par une législation taillée sur mesure et une élite corrompue par leurs promesses. Pour eux, tu n’es qu’un rouage, un contribuable à essorer, une variable d’ajustement dans leurs comptes de fin d’année. Et ils ne s’arrêteront pas tant que nous resterons dociles.
Où est la colère qui jadis renversa des rois ? Où est la flamme de ceux qui défendaient la justice et l’égalité pour tous ? Il est temps de briser ce silence complice. Ce n’est pas une révolution que nous appelons, mais une réappropriation du destin collectif d’un peuple abusé. Car sans un réveil populaire, sans un sursaut indigné, c’est une lente agonie que nous réservons à la démocratie et aux droits durement acquis par nos ancêtres. Refusons de leur laisser ce pouvoir qu'ils ont pris sans nous le demander. L’heure est venue d’exiger des comptes, de renverser cette "hérédité" dévoyée et de faire en sorte que cette tyrannie économique, qui a tout d’une aristocratie déguisée, cède enfin devant la volonté de tout un peuple décidé à reprendre sa place.
Phil BROQ.
1. Bernard Arnault (LVMH) - 203 milliards de dollars
2. François Pinault (Kering) - 29,2 milliards d’euros
3. Alain et Gérard Wertheimer (Chanel) - 115 milliards d’euros
4. Yves Derai (EXCLUSIF) - 2,6 milliards de dollars
5. Louis Le Duff (Banque Caisse d’Épargne) - 2,6 milliards de dollars
1. Héléna et Rémi Dassault (Héritiers de l’empire Dassault) - 2,5 milliards de dollars
2. Daniel et Bris Rocher (Héritiers de l’empire Yves Rocher) - 1,2 milliards de dollars
3. Christian Louboutin (Créateur de chaussures et de sacs à main de luxe) - 1,2 milliards de dollars
1. Françoise Bettencourt Meyers (Héritière de L’Oréal) - 50 milliards de dollars
2. Emmanuel Besnier (Patron de Lactalis) - 20,4 milliards d’euros
• 2023 : 141 milliardaires
• 2024 : 147 milliardaires (record)
• 2024 : 1 200 milliards d’euros (record)
Edifiant ! Un effondrement total est nécessaire et même indispensable. Rien ne changera sans cela.
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