L'EMPIRE QUI MÉPRISE LES FOURMIS

Quelle comédie grotesque nous servent nos dirigeants de cet Empire de mépris ! Ces marionnettes de bas étage, experts en hypocrisie, se pavanent sur la scène du pouvoir avec la superbe insolence de ceux qui se croient intouchables. Ils ne gouvernent pas pour nous, mais bien contre nous, à grand renfort de mépris et de gabegies. Avec notre argent, bien sûr, qu’ils dépensent sans vergogne pour leurs plaisirs, leurs ambitions, leurs parties fines et leurs lots de scandales. Notre sueur devient leur champagne, notre silence leur autorisation tacite. Pourquoi s'embarrasseraient-ils à demander notre avis ? Leur démocratie n'est qu'une belle vitrine, certes, mais en coulisses, c'est surtout le socle de leur banquet.

Prenons l'exemple éclatant de l'odieux Macron, cet héritier de la technocratie, passé maître dans l’art de mépriser le peuple qu’il est censé servir. Celui qui, entre deux envolées lyriques sur "les premiers de cordée", n’hésite pas à traiter les citoyens de "gens qui ne sont rien", de "fainéants" ou d’"illettrés". Un président qui, avec un sourire narquois, appelle à "traverser la rue" pour trouver un emploi, comme si le chômage, ou encore l’insécurité et les inégalités n’étaient que des illusions entretenues par des pauvres trop paresseux pour se relever. Pendant ce temps, il multiplie les largesses fiscales pour ses amis fortunés, avec l'ISF réduit en cendres comme premier trophée, tout en expliquant aux retraités qu’ils doivent "faire un effort". Quel effort ? Celui de mourir dans la dignité avec des pensions rognées ?

Et ses ministres ? Ces millionnaires hors-sol, qui déploient une créativité sans limites lorsqu’il s’agit d’insulter l’intelligence collective. On se souvient de cette perle d’Elisabeth Borne, perdant 20 milliards de nos impôts mais osant expliquer que "le travail est la meilleure des protections contre la pauvreté", dans un pays où des travailleurs à plein temps dorment dans leur voiture faute de pouvoir payer un loyer. Ou encore Bruno Le Maire, ce héros de la finance enfuit en Suisse après un vol de 100 milliards sur notre économie, qui trouve "injuste" que les grandes fortunes, ayant doublé leur capital en 5 années, soient pointées du doigt pendant que le pouvoir d’achat des ménages s’effondre.

Ajoutez à cela une économie qui vacille, qui explose même : la France, jadis fleuron du monde, glisse inexorablement dans le classement du PIB mondial, malgré l'introduction de l'argent de la drogue et de la prostitution, perdant six places comme une "Start Up Nation" en faillite juste après son introduction en bourse. Mais malgré tous ces échecs économiques, sociaux et industriels, aucuns n'entament ni leur arrogance, ni leur train de vie. Pendant que le pays s’enfonce, eux continuent de débattre doctement sur la meilleure manière de nous serrer la ceinture, sans jamais toucher à leurs privilèges.

Et que dire de nos sénateurs, ces reliques d’une époque révolue, qui dorment dans l’hémicycle entre deux votes inutiles ? Ils perçoivent des salaires astronomiques pour garantir le statu quo, et leurs privilèges sont aussi poussiéreux qu’eux. Ces immortels du clientélisme sont un rappel vivant que le Sénat, loin d’être une institution démocratique, est une maison de retraite dorée pour les copains du pouvoir. Un havre de paix pour des truands satisfaits.

Les députés, eux, sont rarement en reste : conflits d’intérêts, favoritisme, scandales financiers, trafic de drogue ou d'influences, recels, tout y passe… Chaque législature apporte son lot d’affaires plus sordides les unes que les autres sans aucun procès à la clé. Ces élus, censés représenter le peuple, ne sont finalement que des courtiers du pillage organisé depuis 250 ans par leur "Raie-publique". Même au niveau régional, les conseils se transforment en petits royaumes, où les barons locaux que sont les maires ou les présidents de régions règnent en maîtres absolus, accumulant mandats et malversations, despotisme autant que népotisme.

Ce n’est plus un gouvernement que nous avons, c’est une machine à piller en bande organisée. Telle une mafia sans foi ni loi. Ils exploitent nos ressources, nos efforts, et nos espoirs pour alimenter leur propre hybris. La séparation des pouvoirs ? Une farce. La justice ? Une arme qu’ils manipulent à leur avantage. Les juges les plus hauts placés sont choisis par eux, rémunérés grassement pour leur complaisance, et les scandales se terminent par des non-lieux. La charte des droits et libertés ? Elle est mise sous clé dès qu’un citoyen ose s’en réclamer.

Et nous, les citoyens, que faisons-nous ? Nous regardons, impuissants ou résignés, pendant qu’ils détruisent impunément le pays sous nos yeux. Ils nous prennent pour des fourmis : dociles, travailleuses, et parfaitement remplaçables, voire écrasables du talon. Ils ne s’intéressent ni à nos enfants, ni à nos familles, ni même à notre avenir. Leur seule préoccupation, c’est leur propre confort, leur propre richesse, et leur propre gloire.

Depuis 2020, ils ont franchi toutes les limites : confinements arbitraires, lois liberticides, gaspillages d’argent public, entretien des guerres avec l'Ukraine et du génocide avec Israël, le tout en streaming live H24. Ils nous ont imposé des règles qu’ils ne respectent même pas eux-mêmes, se moquant ouvertement de notre colère. Narguant les agriculteurs, fustigeant les retraités, humiliant les gilets jaunes, insultant les jeunes, écrasant les travailleurs et accueillant les clandestins , les violeurs, les assassins et tout ce que le monde compte de psychopathes pour nous maintenir sous leur joug grâce à leur milice débile. Ce ne sont pas des gouvernants, ce sont des prédateurs, et nous ne sommes que leur gibier.

Et pourtant, le sourire aux lèvres, l'éthique en bandoulière et la morgue des impunis dans les yeux, ils continuent de se vautrer dans leur banquet, protégés par notre indifférence et notre lassitude. Mais jusqu’à quand ? Voilà la seule question qui reste à se poser !

Regardez-les, ces grands stratèges de la moralité, ces "Mozart de la finance", ces "Hermès" des oligarques qui n’ont rien à perdre sinon une dignité qu’ils ont vendue au premier acheteur venu il y a déjà belle lurette. Et avec une retraite dorée garantie à vie en prime, pourquoi s’encombrer de scrupules ? La dignité, c’est bon pour les pauvres, pour ceux qui n’ont que cela à défendre. Les truands d'en haut ont troqué leur âme contre un fond de pension, et devinez quoi ? Ils dorment en plus très bien la nuit.

S’ils devaient rendre des comptes, s’ils risquaient ne serait-ce qu’un peu de leur précieux confort, un peu de leur intégrité physique, peut-être cesseraient-ils de mentir avec une telle arrogance. Mais pourquoi se gêner quand le pire qu’ils risquent, c’est au mieux une photo compromettante dans un journal qu’ils contrôlent déjà ? Et au pire, de devoir fuir avec la protection totale d'une police complice.

Pourtant, il y a encore en France des âmes candides (et je reste très poli !) qui croient que ces gouvernements travaillent pour nous. Pour nous, vraiment ? Il faut une naïveté désarmante pour croire à cette fable, une foi presque religieuse dans le mensonge institutionnalisé pour rester encore assis sur son canapé à regarder au quotidien ce suicide sans broncher, ou ne pas avoir envie de commettre des crimes de lèse majesté, gratuits certes mais soulageant.

Le Trésor public est leur festin, et ces politiciens y plongent les deux mains comme des enfants dans un pot de bonbons. Leur appétit est insatiable. L’argent qui devrait servir à construire, à réparer, à protéger, devient le carburant de leurs ambitions et de leurs extravagances. Et nous ? Nous, les fourmis ouvrières, nous trimons pour garnir toujours plus un buffet auquel nous ne serons jamais invités.

Ils jouent les rois, mais nous sommes les vrais fournisseurs abrutis de leur faste. Et si quelqu’un ose lever la voix, ose demander des comptes, il est alors écrasé par la machine médiatique, policière puis judiciaire qu’ils ont eux-mêmes construite à leur image. La justice Française ! Cette grande farce qu’ils prétendent sacro-sainte, alors qu’elle est une simple extension de leur pouvoir et aussi gangrénée par leur corruption érigée en vertu. Après tout, qui choisit les juges, sinon eux ? Qui les paye grassement pour s’assurer de leur allégeance ? Et nous, on nous chante encore la séparation des pouvoirs, comme si c’était autre chose qu’une légende pour nous endormir.

Pour ces élites, nous ne sommes rien. Rien de plus que des outils, des automates, des producteurs dociles qui remplissent les coffres pendant qu’ils se vautrent dans leur démesure. Vous croyez qu’ils pensent à vous, à vos enfants, à vos problèmes ? Soyons sérieux. Depuis 50 ans au moins, ils n’ont cessé de nous prouver que leur unique préoccupation, c’est leur propre bien-être. Vous êtes fatigué, épuisé ? Peu importe, tant que votre travail alimente leur machine à fric.

Et quand, dans un ultime sursaut de dignité, le peuple cherche à se défendre, à revendiquer les droits que ces dirigeants exhibent comme des trophées de démocratie, il se heurte à un mur de mépris et de répression. Les Chartes des Droits de l'Homme ou la Constitution, ces grands symboles de liberté, deviennent soudainement "irrecevables" par Fabius lorsqu’elles menacent leur autorité. Si la justice existait réellement, ces imposteurs auraient été chassés de leurs trônes depuis longtemps. Mais il n'y a pas de justice, seulement une mascarade savamment orchestrée pour préserver leur pouvoir.

Prenez les agriculteurs, par exemple. Ces hommes et ces femmes qui nourrissent le pays, ceux sans qui la France n’aurait ni pain, ni vin, ni légumes. Que reçoivent-ils en retour ? Du mépris. Des prix au rabais imposés par des géants de l’agro-industrie, des normes absurdes dictées depuis Bruxelles, et des aides vitales qui n’arrivent jamais. Ils croulent sous les dettes, travaillent des heures inhumaines pour des revenus dérisoires, et finissent par s’effondrer. Certains choisissent même de mettre fin à leurs jours, accablés par le poids de la honte et de la misère, dans l’indifférence glaciale de ces élites.

Et lorsque ces agriculteurs osent protester, qu’obtiennent-ils ? Des gaz lacrymogènes, des coups de matraque, des sourires condescendants de ministres bien au chaud dans leurs bureaux parisiens. L’agriculture, fleuron de notre nation, est devenue un champ de ruines, et ceux qui y travaillent sont traités comme des parias.

Puis viennent les Gilets Jaunes, cette révolte spontanée d’un peuple fatigué d’être oublié. Ils sont descendus dans la rue pour demander justice, dignité et respect, armés de leur colère légitime et de leurs gilets fluo. Comment les a-t-on accueillis ? Avec une brutalité inédite, digne des régimes qu’on se plaît à critiquer ailleurs.

Des milliers de blessés, des éborgnés, des mutilés. La France des Droits de l’Homme a envoyé ses CRS et ses flash-balls pour écraser ceux qui demandaient simplement à vivre décemment. Macron et sa clique ont préféré les qualifier de "factieux", de "séditieux", de "réfractaires" plutôt que de les écouter. Leur mépris s’est traduit par une répression féroce, tandis que les élites continuaient de boire leur champagne en méprisant ce peuple qu’ils jugent trop sale et trop bête pour comprendre leur "grandeur".

Et que dire des retraités, ces piliers d’une société qui les abandonne à leur sort ? On les a ponctionnés encore et encore, en augmentant la CSG, en réduisant leurs pensions, en les laissant se débattre avec une inflation galopante. Ces mêmes retraités qui ont bâti la France moderne sont aujourd’hui des cibles faciles. Ils ne manifestent pas, ils ne cassent rien, alors on les presse comme des citrons. Ils doivent "faire un effort", disent les parasites, en oubliant que ce sont eux qui ont fait tous les efforts d’une vie entière.

Et les jeunes ? Une génération entière sacrifiée sur l’autel de l’incompétence et du cynisme. On leur demande d’étudier dans des universités surpeuplées et sous-financées, de s’endetter pour des diplômes qui n’ouvrent plus aucune porte, de survivre avec des jobs précaires dans un marché du travail hostile. Leur avenir est bradé, leur voix ignorée, et leur colère jugée "immature".

Lorsqu’ils manifestent, on leur répond avec la même violence qu’aux Gilets Jaunes. Ils sont matraqués, gazés, arrêtés pour avoir osé exiger un futur. Ces jeunes, nos enfants, ne voient qu’un horizon bouché par des pseudo-dirigeants qui les méprisent.

Tout le pays est insulté par cette petite caste d’arrogants millionnaires qui ont oublié ce qu’est la vraie vie. Ils se croient des dieux intouchables, assis sur leurs trônes dorés, protégés par des forces de l’ordre qu’ils utilisent comme un rempart contre notre colère. Ces policiers, pourtant eux-mêmes maltraités par le système, deviennent les gardiens ignobles d’un pouvoir qui nous opprime.

Quand les citoyens veulent punir ces dirigeants corrompus, quand ils cherchent à leur demander des comptes, ils se heurtent aux matraques, aux tribunaux biaisés, à la violence d’un État devenu oppresseur. Cette petite caste vole le pays, moralement et financièrement, pendant que nous restons impuissants, pris au piège d’une machine qui nous broie.

Ils se croient invincibles, protégés par un système qu’ils ont corrompu jusqu’à la moelle. Mais l’Histoire a prouvé une chose : tout système, aussi puissant soit-il, finit par s’effondrer sous le poids de ses propres abus. La question n’est pas si cela arrivera, mais quand ? Et à quel prix ?

Et pendant ce temps, quel tableau grotesque s’offre à nous ? Les clandestins prolifèrent, débarquant par milliers sans contrôle ni solution, tandis que l'État détourne les yeux, trop occupé à traquer les citoyens honnêtes. Les dealers, eux, prospèrent tranquillement, transformant des quartiers entiers en zones de non-droit où même les forces de l’ordre n’osent plus s’aventurer. Les violeurs, laissés en liberté sous prétexte de procédures trop lentes ou de juges complaisants, continuent de sévir, tandis que les victimes, elles, sont condamnées à vivre dans la peur et le silence. Et les voleurs ? Eh bien, ils ne sont pas dans les rues : ils sont au pouvoir. Ce sont eux qui pillent nos caisses publiques, qui volent nos espoirs et nos droits, qui transforment cette "Raie-publique" en un théâtre absurde où les seuls gagnants sont les corrompus. Un État qui persécute ses citoyens mais laisse prospérer les criminels est un État en faillite morale, un État qui trahit chaque jour un peu plus le peuple qu’il prétend représenter.

Et pourtant, ils continuent, imperturbables. Leur arrogance n’a d’égal que leur confiance en un système qu’ils ont patiemment corrompu, un échafaudage d’institutions, de lois et de privilèges, conçu pour les maintenir au sommet. Ce système est leur bouclier, une forteresse imprenable qu’ils alimentent chaque jour avec de nouvelles règles, de nouvelles exclusions, de nouveaux abus. Mais ce qui les protège vraiment, ce n’est pas tant cette machinerie bien huilée que notre propre immobilité.

Nous, le peuple, restons là, avachis dans une résignation silencieuse, spectateurs d’une représentation morbide où nous sommes pourtant les premières victimes. Les scandales s’accumulent, les injustices explosent, les abus deviennent la norme, mais nous continuons d’observer, hébétés, comme si cette tragédie n’était pas la nôtre. Nous trouvons des excuses : "C’est comme ça", "Que pouvons-nous y faire ?", "Ça a toujours été ainsi". Et pendant que nous cherchons des raisons de ne rien faire, eux, au sommet, rient de notre passivité et de notre complaisance.

Leur pouvoir, ils ne le doivent ni à leur talent, ni à leur mérite, encore moins à une quelconque légitimité. Non, leur pouvoir repose sur notre inaction, sur notre incapacité à briser les chaînes invisibles qu’ils nous ont habilement attachées. Nous sommes devenus leurs complices involontaires, leurs soutiens silencieux. Chaque jour où nous acceptons leur domination, où nous détournons les yeux face à leurs abus, nous renforçons leur emprise.

On nous parle de démocratie, mais on nous en livre une version de pacotille, où voter revient à choisir le masque de celui qui nous opprimera. On nous chante l’État de droit, mais ce droit est devenu une épée dont ils tiennent la poignée. Ils nous promettent un avenir meilleur tout en nous privant des moyens de le construire. Et nous les écoutons encore, hypnotisés par des promesses qui ne viennent jamais, fascinés par un rêve qui n’a jamais existé.

Et si, un jour, nous décidions de nous lever ? Si, d’un seul élan, nous mettions fin à cette mascarade ? Ce serait l’explosion d’un système trop longtemps en équilibre sur le fil de l’injustice. Mais ah, ce n’est qu’un rêve, n’est-ce pas ? Les fourmis ne se révoltent jamais malheureusement. Tant qu’elles croient, contre toute évidence, aux contes de fées qu’on leur vend.

Mais un jour viendra, peut-être, où les fourmis comprendront qu’elles sont plus nombreuses, plus fortes, et plus essentielles que leurs prétendus maîtres. Ce jour-là, les oppresseurs verront leurs châteaux de cartes s’effondrer. Mais pour cela, il faudra que la fourmilière se réveille, qu’elle arrête de croire aux fables, et qu’elle transforme sa colère en action. Ce n’est qu’un rêve de fourmi, certes, mais chaque révolution a pourtant commencée par un rêve…

Phil BROQ.






Commentaires

  1. Merci Phil pour ce billet qui fait prendre conscience des réalités qui nous entourent. Merci d'être là et d'être ce que vous êtes. Et pour aller dans votre sens, j'invite tous vos lecteurs et vous par la même occasion à visiter ce site : https://www.syti.net/Topics.html . Vous y trouverez une source très importante d'informations malheureusement plus que factuelles et qui doit nous éveiller encore plus sur les dangers qui nous guettent inéluctablement si nous ne réagissons pas . Nous sommes plus qu'à la croisée des chemins, nous sommes de plus en plus près de l'irréparable ! Encore une fois, merci et prenez soin de vous.

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    1. Merci pour votre suivi et commentaire. J'ai déjà visité votre site, et il est très intéressant en effet ! Bien à vous.

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  2. Bonjour ... et merci pour cet enchaînement de mot qui devrait même réveiller un mort!

    Ils se sentent trop sur d'eux il me semble nos 'seigneurs et maîtres' ?
    Quelqu'un leur aurait-il promit une sécurité dans un monde futur et verdoyant, où une muraille les protégera des gueux qui eux chercheront des repères dans un monde(tiers-monde?) vidé de sa substance vitale, c'est à dire l'humain libre, la famille, le partage, etc. !?

    À court terme je suis pessimiste, car l'agresseur en général ne regrette son geste que s'il y a une punition adaptée au méfait qui a été, et qui est encore, de vouloir soumettre les peuples par le mensonge et la subversion ...

    À moyen terme je suis optimiste car la douleur 'injectée' - en particulier depuis la covid-19 avec ses sanctions unilatérales et absurdes - en a réveillé beaucoup et cela se propage plus vite qu'un virus ;)

    Ceci n'est que mon avis bien sûr !!!

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    1. Merci pour votre commentaire et ce constat que je partage intégralement ! bien à vous

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