COMBAT POUR LA TERRE, LA SANTÉ ET L'AVENIR DE LA FRANCE

Aujourd'hui, la France vit un moment historique, un tournant qui pourrait sceller son destin avec la disparition progressive mais totale de sa paysannerie. Les agriculteurs, ces gardiens de la terre, qui sont au cœur de l’identité de notre nation, refusent de disparaître sans se battre. Et ils appellent à une mobilisation générale, car cette bataille concerne chacun d’entre nous. 

Derrière ce phénomène, se cache un gouvernement de truands dont les actions depuis plus de 40 ans, qu’il s’agisse de sa politique environnementale ou de ses choix économiques, précipitent notre pays vers un déclin irréversible et sa disparition. Si nous laissons les choses en l’état, nous courrons à la catastrophe. Mais la résistance est toujours vivante. 

Loin de se contenter de soutenir des réformes cosmétiques, le gouvernement poursuit un plan de destruction à grande échelle qui touche directement l’agriculture, mais aussi la santé, l’environnement et notre patrimoine gastronomique. En témoignent les négociations pour un accord de libre-échange entre l'Union Européenne et le Mercosur (Brésil, Argentine, Paraguay, Uruguay et Bolivie), qui, s’il aboutit, mettra en danger des milliers d'emplois agricoles et ouvrira nos terres à la concurrence déloyale de produits provenant de l'autre côté de l'Atlantique. Ces produits ne respectent ni nos normes sanitaires ni nos standards environnementaux. La paysannerie française, déjà fragile, ne survivra pas à une telle concurrence.

Mais ce n'est pas tout. Le soutien à la ruralité, aux petites exploitations agricoles, s'est érodé année après année. Les promesses de soutien du gouvernement à la suite des dernières crises agricoles sont restées lettre morte. Les paysans, accablés par les charges fiscales, les normes de plus en plus strictes, et l’épuisement, voient leur héritage se fissurer sous l’effet d’une politique destructrice. Loin d’être un simple problème sectoriel, cette crise est celle d’une civilisation.

C'est pourquoi, après plusieurs mois d’accalmie, le feu couve à nouveau dans les campagnes. Le 17 et 18 novembre 2024, les agriculteurs ont repris les routes, comme ils l’ont fait l’année dernière. Si les blocages étaient par le passé un moyen de résistance, ils se transforment aujourd’hui en un cri de désespoir inutile face à un gouvernement qui n'écoute pas. Cette fois-ci, l'appel à la mobilisation s'étend bien au-delà du monde agricole. Ce n'est plus seulement une question de survie pour les paysans, mais bien pour l'ensemble du pays. C'est un appel aux gilets jaunes, aux malades des injections, aux retraités ruinés, à toutes les victimes de la politique de Macron qui ont vu leurs droits et leur pouvoir d'achat s'effondrer en même temps que le pays décliner.

Les agriculteurs demandent plus que de simples aides : ils réclament un revenu décent, des conditions de travail humaines et des engagements concrets de la part du gouvernement exsangue. La solidarité, qui s'est forgée l'année dernière entre les paysans et les citoyens conscients, est plus forte que jamais. Car la lutte des agriculteurs est aussi celle de ceux qui se battent contre un système qui leur prend tout, qui détruit leurs terres et leur santé, et qui aujourd'hui menace même leur mode de vie.

En janvier dernier, l’ensemble du pays a pris conscience de l'importance vitale de ses agriculteurs. Il ne s’agissait pas seulement de défendre des exploitations, mais de préserver ce qui fait la beauté et l’âme de notre nation : ses paysages, ses traditions, son indépendance alimentaire. "Un pays sans paysans, c’est un pays sans racines". Ce slogan n’a jamais été aussi pertinent. En 2024, la France risque de perdre à jamais son modèle agricole, son autonomie alimentaire et son identité paysanne.

Et pourtant, malgré le soutien populaire, le gouvernement reste sourd aux revendications. Pire encore, il continue à mettre en place des accords qui favoriseront l’importation de produits étrangers au détriment de nos producteurs locaux, et ce, sans tenir compte des conséquences désastreuses pour l’environnement et la santé des citoyens.

Le traité de libre-échange avec le Mercosur représente un danger sans précédent pour notre agriculture. Un accord qui met en compétition directe des produits agricoles cultivés sans les normes strictes qui protègent la santé des Français. Cette pression grandissante des lobbies européens et des puissances économiques mondiales, en particulier l’Allemagne, pour forcer l’adoption de cet accord sans tenir compte des légitimes préoccupations françaises, est un affront. L’Allemagne, pressée par son agenda politique et économique, cherche à contourner l’opposition française en scindant l’accord, et ainsi à imposer sa volonté. Mais la France doit résister. C’est une question de souveraineté.

Nous appelons donc tous les citoyens français à se joindre à cette révolte légitime, car ce n'est pas seulement l'avenir des agriculteurs qui est en jeu, mais bien celui de notre pays tout entier. Les gilets jaunes, les retraités, les déçus du système, tous ceux qui se sentent abandonnés par un gouvernement déconnecté de la réalité, ont une occasion en or de se faire entendre à travers cette lutte pour l’agriculture hexagonale. La solidarité entre les différentes catégories sociales, entre ceux qui subissent le poids d’une fiscalité toujours plus lourde et ceux qui souffrent du système agricole, est plus que jamais nécessaire.

Les agriculteurs ne peuvent pas être les seuls à porter cette lutte. La France a besoin de chaque citoyen qui veut un avenir pour ses enfants, pour ses campagnes, pour sa gastronomie, pour sa santé. C’est une bataille commune qui dépasse les clivages politiques. C’est le moment ou jamais de se lever, de défendre ce que nous avons de plus précieux : notre terre, notre patrimoine, et notre souveraineté. Si nous laissons ce gouvernement poursuivre son travail de sape, il ne restera bientôt plus rien de ce qui fait la grandeur de la France.

Loin d’être une simple question sectorielle, la lutte des agriculteurs est celle de tous les Français, celle de la survie de notre modèle de société. Sans paysans, il n'y a plus de paysages, plus de traditions, plus de nourriture saine et locale. Sans agriculture, ce sont nos racines, notre indépendance et notre avenir qui se dérobent sous nos pieds. Le moment est venu de regarder la vérité en face.

Derrière les promesses creuses et les discours enjolivés, se cache une bande de criminels en bande organisée, responsables de la destruction systématique de notre pays. Un gouvernement qui piétine les droits du peuple, qui brade notre souveraineté, qui asphyxie nos agriculteurs, et qui continue de faire passer les intérêts financiers mondiaux avant ceux de la nation. Ces élites ont trahi la France. Elles ont pillé nos ressources, sacrifié notre indépendance alimentaire, et exposé nos enfants à un futur incertain.

Ce combat dépasse les différences politiques et sociales. C'est une cause commune, un devoir de tous pour préserver la base de la vie elle-même. Les agriculteurs ont porté le fardeau de la France rurale trop longtemps. Il est temps pour chacun d’entre nous de se lever, d'unir nos forces et de défendre ce qui est à la fois notre patrimoine et notre futur. Car si nous laissons ce gouvernement achever sa politique de destruction, nous risquons de perdre à jamais ce qui nous fait être vraiment libres : la capacité de nourrir notre peuple avec nos propres mains et nos propres terres.

L’heure n’est plus à la simple protestation. L'heure est à la révolte. Une révolte digne de ce nom, celle qui met fin à l'impunité de ceux qui, depuis trop longtemps, manipulent et écrasent la volonté du peuple. Le système actuel est une machine à broyer ceux qui créent de la richesse, ceux qui nourrissent la France, ceux qui défendent son identité. Les agriculteurs ne sont pas seuls dans cette bataille. Nous, citoyens français, sommes aussi les victimes d’un pouvoir déconnecté, corrompu, et tyrannique.

La colère qui gronde dans les campagnes doit maintenant se transformer en une détermination sans faille. Ce n’est plus une question de simples revendications, c’est une question de justice. Ces "élites" qui dirigent le pays, qui jouent avec l’avenir des Français, doivent répondre de leurs actes. Il est temps de faire en sorte qu’ils payent pour les destructions qu’ils ont provoquées, pour les vies brisées, pour les promesses trahies. Le peuple n’est pas là pour être pris pour un con, pour être sacrifié sur l’autel des lobbies économiques et des idéologies mondialistes. Nous n'avons plus rien à perdre et tout à gagner à reprendre le contrôle de notre pays.

Unissons-nous pour renverser ce gouvernement de traîtres et de corrompus. Nous devons non seulement chasser ces criminels du pouvoir, mais aussi les juger pour leurs crimes contre la nation, contre la France, contre le peuple. La révolte commence maintenant. Nous avons le pouvoir de renverser ce régime. Ensemble, dans la rue ou partout où il le faut, nous devons faire tomber cette oligarchie et redonner la parole au peuple. Si nous restons passifs, si nous laissons cette caste continuer à régner, nous serons complices de la fin de notre pays tel que nous l’avons connu.

Nous avons un seul choix : celui de la révolte, celui de la justice, celui de la France. Unissons nos forces, nous sommes la majorité. Le peuple a toujours eu le dernier mot. Il est temps de le faire entendre. C’est maintenant ou jamais.

En ce mois de novembre 2024, soyons aux côtés des agriculteurs. Faisons entendre notre voix, ensemble, pour un avenir meilleur, pour un pays libre, fort et respectueux de ses racines. La lutte pour la terre est aussi celle pour notre dignité et notre avenir. Mobilisons-nous pour sauver l'essentiel : l'agriculture, qui est la base de notre vie, et de notre liberté.

Phil BROQ.



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