COUP DE GUEULE : LA FRANCE S'AVACHIT DANS LA HONTE !
La France, soi-disant "berceau des Lumières", n’a fait qu’éteindre celle de Dieu pour plonger le monde dans les ténèbres du matérialisme et de l’esclavage moderne. Ce pays, qui aime se dépeindre comme la "fille aînée de l’Église", n’est plus qu’une prostituée à genoux, prête à se donner au premier circoncis qui passe. Sa révolution ? Une farce grotesque qui a permis aux marchands du temple de jeter le Christ dehors, en coupant la tête au Roi, pour transformer son trône en caisse enregistreuse. Ce peuple, si fier de son passé révolutionnaire, n’a jamais été autre chose qu’un pion, une masse stupide et malléable prête à suivre aveuglément ceux qui la mèneront encore et toujours à sa perte...
Derrière cette façade de grandiloquence, ce masque révolutionnaire de carnaval, se cache la réalité pathétique d'une société paralysée par sa propre couardise, incapable de lever la tête autrement que pour geindre et toujours prompte à servir ses maîtres bourreaux avec zèle, abandonnant jusqu'à ses enfants. Le Français ne bouge pas, ne lutte pas, ne rêve pas car il se contente de s’inventer un passé glorieux pour justifier son présent misérable.
Les grandes révolutions ? Un tissu de mensonges scénarisés par la Raie-publique. La prise de la Bastille ? Une mascarade où 200 braves se sont acharnés sur 4 malheureux gardes désarmés. La chute de la Monarchie absolue ? Une pièce de théâtre écrite par des marchands étrangers et jouée par des crétins réunis en loges, pour ruiner un royaume et ouvrir la voie à une caste de parasites insatiables. Les révoltes ouvrières ? Financées par les industriels eux-mêmes, pour mieux enfermer les derniers hommes libres dans des usines crasseuses. Et pourtant, le Français y croit encore, à ces contes pour enfants... Mieux, il s'y vautre.
Aujourd’hui, ce même peuple se proclame toujours héritier de cette tradition révolutionnaire imaginaire, mais ne fait rien d’autre que râler devant sa télévision, entre deux publicités pour des produits qu’il s’empresse d’acheter. Ses grèves ? Des pantomimes ridicules, pilotées par des syndicats vendus, gérées par des milices complices, et arrêtées net dès que le week-end approche. Pas de sacrifice, pas de lutte réelle, pas de volonté de gagner mais seulement des slogans vides, scandés pour l’apparence, et aussitôt oubliés.
Le Français moderne, pour la plupart, manque de ce panache qui faisait autrefois sa grandeur. Il s’indigne à la moindre contrariété, mais n’ose pas prendre de vrais risques. Là où ses ancêtres auraient brandi l’épée ou le fusil, il se contente aujourd’hui de hashtags et de pétitions en ligne. Les véritables révoltes, celles qui exigent de tout sacrifier pour un idéal, ont disparu, remplacées par une culture du confort et de la modération. Il ne lit plus, ne lutte plus et ne s'indigne même plus.
Le Français moyen, le natif - pas l’importé, celui-là n’a même pas encore besoin de faire semblant -, se prend pour un esprit libre, un insoumis, un guerrier prêt à tout pour ses idéaux. Mais ce n’est qu’un illusionniste de pacotille effrayé par sa propre ombre. Dans la réalité, cet individu est un esclave volontaire qui s’ignore, une créature rampante, satisfaite de son petit confort misérable gagné par des années de labeurs acharnés et symbolisé par un canapé bon marché, un smartphone délateur, des médias menteurs et des illusions achetées à crédit.
Face à l’injustice sociale ? Il s’indigne pour la forme. Il crie fort, pour que tout le monde l’entende. Puis il rentre chez lui et accepte tout ce qu'on lui impose sans plus jamais rechigner. Face aux inégalités croissantes ? Il pleurniche et poste un tweet. Face à la montée des dictatures ? Il lève les bras au ciel, avant de voter docilement pour ceux qui continueront à le trahir. Son pseudo courage révolutionnaire se limite à des coups de gueule insignifiants et ne tiendrait pas une semaine dans une véritable guerre.
Les manifestations ? Une blague devenue perpétuelle. Des défilés inutiles, colorés et animés, organisés comme des spectacles pour amuser les puissants et occuper les chalands. Les syndicats, traîtres officiels, s’assurent qu’aucun véritable bouleversement ne puisse jamais advenir et canalise tous les meneurs. La police, ce bras armé d’un système pourri, veille à ce que les moutons ne sortent jamais du troupeau et les cognant plus que de raison. Et le peuple ? Il accepte tout, il encaisse tout, en baissant la tête et se cachant. Rien ne change, parce que personne ne veut vraiment que ça change. On descend dans la rue le jeudi, mais on reprend le travail le lundi, satisfait d’avoir "fait entendre sa voix" sans jamais rien changer.
Dans son quotidien, le Français accepte sans broncher l’insulte permanente d’un système qui le méprise et l'insulte. Maltraité par des politiciens corrompus qui s’enrichissent à ses dépens, des médias qui le maintiennent dans l’ignorance, une justice qui punit les victimes et absout les coupables, une police qui protège les intérêts des puissants et une médecine qui sacrifie sa santé sur l’autel du profit. Pourtant, au lieu de se dresser avec courage contre ces abus, il préfère détourner le regard, s’enfermant dans une indignation stérile ou des plaintes de salon en passant aux prochaines vacances.
Quant à la défense de son patrimoine, de son avenir ou de sa culture, elle est désormais une cause perdue, oubliée dans les méandres du passé. Le Français laisse son histoire être réécrite, ses monuments être abandonnés ou brulés, et son identité être diluée par des idéologies importées ou imposées. Il ne lutte ni pour sa langue, ni pour ses traditions, ni pour son héritage spirituel. Au contraire, il s’excuse de son propre passé, se flagelle pour des fautes qu’il n’a pas commises, et ouvre ses portes à ceux qui veulent le détruire.
Les Français, sont surtout devenus des nombrilistes abjects, qui se voient encore comme les héritiers des grands idéaux de liberté, d’égalité et de fraternité. Mais ces trois mots, dans leur bouche, ne sont plus que des reliques mortes, des concepts qu’ils n’appliquent jamais et qui n'ont jamais existé. Leur esprit révolutionnaire ? Une posture sociétale. Leur humanisme ? Une excuse pour tout abandonner, pour ouvrir grand leurs portes à ceux qui viendront les dévorer. Ils n’ont ni courage, ni dignité, ni même un instinct de survie. Incapables de défendre leurs enfants, de sauver le patrimoine de leurs parents et de trouver une once de courage au fond d'eux-mêmes pour essayer de vivre.
Face à la destruction de leur patrimoine, à la défiguration de leurs villes, à la ruine de leur héritage, ils ne bougent pas. Ils préfèrent courber l’échine, demander pardon, et chanter les louanges de ceux qui les détruisent. Ils ne défendent ni leurs morts, ni leurs enfants, ni leurs ancêtres. Ce peuple autrefois fier n’est plus qu’une foule d’individus perdus, prêts à tout sacrifier pour le confort immédiat, même au prix de leur propre disparition. Ils ne sont même pas conscient que la masse écrase la minorité, c'est dire l'état de décrépitude mentale qui règne dans ce pays.
Les "kippas boys", malfaisants éternels et psychopathes patentés, se réjouissent en humiliant la population de ce pays où les crèches de Noël sont interdites, mais où les ménorah poussent jusqu'à l'Élysée. Brandissant des présidents élus par la communauté du Fric, ou du Crif, c'est pareil ! Pays dissout dans une mafia nommée Europe où les habitants continuent de rêver de vacances quand on leur promet des camps d'enfermement. De l'autre coté de cette tenaille maléfique, les porteurs de djellaba, ayant quitté un ailleurs soit disant insupportable, mais venus le construire sur nos terres avec nos propres impôts, ont raison de cracher sur ce peuple sans honneur ni courage.
La France, jadis grande nation, n’est plus qu’une carcasse putréfiée, une nation en déclin, rongée de l’intérieur par sa propre lâcheté et son incapacité à se gérer. Un peuple qui accepte d’être insulté par ses dirigeants, spolié par ses banquiers, trompé par ses médias, et gouverné par des traîtres, ne mérite finalement pas d’être sauvé. Ce peuple, qui se glorifie de ses discours et refuse de combattre, ne mérite rien d’autre que sa disparition.
C’est un pays de veaux, comme le disait De Gaulle, mais même cette insulte semble indulgente aujourd’hui. Ce ne sont plus des veaux, ce sont des castors, des autruches, des moutons, des pigeons, voire des charognes et des spectres. Un peuple qui refuse de se battre, de chasser les marchands du temple, de s'opposer à son remplacement, de défendre ses racines et ses valeurs chrétiennes, qui se contente de blablater et de défiler pour la forme, mérite clairement de disparaître.
Cette nation jadis phare du monde, n’est plus qu’un navire à la dérive, gouverné par des opportunistes et habité par des passagers résignés. Ce peuple, qui se glorifie de ses discours révolutionnaires et de ses idéaux, mérite peut-être la raclée qui l’attend. Peut-être faut-il que le Français, assommé par ses propres contradictions, touche le fond pour enfin redécouvrir la fierté et le courage qui lui manquent aujourd’hui.
Mais tant qu’il continuera à s’abandonner à la facilité, à se glorifier de son passé sans assumer ses responsabilités présentes, et à critiquer l’ordre établi par les truands sans jamais le combattre réellement, il restera une caricature de lui-même : un révolutionnaire en paroles, mais un veau en actes. La France, nation des grandes idées, est devenue un pays d’Hommes petits, incapables de protéger ce qu’ils prétendent aimer. Le réveil sera rude, mais nécessaire, si tant est qu’il vienne un jour.
Peut-être est-ce là finalement son destin. Cette terre qui vit naître de grands Hommes aux grands discours, s’est transformée si rapidement en pays d'insignifiants que son sort n'a plus rien d'alarmant. Et il est grand temps que la vérité éclate à la face de ce peuple qui n’a jamais été révolutionnaire, mais qui aujourd’hui n’est même plus vivant.
Phil BROQ.
Un message édifiant sur notre lâcheté et notre soumission au consumérisme et aux marchands du temple !
RépondreSupprimerOh Pinaise ! Là, ça pique les yeux ! et pourtant, vous avez tellement raison... Merci de votre franchise ;-)
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