CRIMES ET COMPLICITE D'UNE TRAHISON AFFICHEE
La France, pays des Lumières, est aujourd’hui dirigée par des pyromanes qui se prennent pour des stratèges. Macron, dans son narcissisme aveuglant, semble décidé à faire de la République un jouet entre les mains de puissances étrangères, au mépris des intérêts nationaux et de l’histoire de notre souveraineté. Soutien zélé à des guerres absurdes, complicité dans des politiques coloniales meurtrières, et asservissement économique sous couvert d’une dette qu’il alimente par ses propres erreurs : voilà le véritable bilan de ce président et de la caste politique qui l’accompagne dans sa déchéance.
Mais ce n’est pas une simple question d’erreur ou d’incompétence : il s’agit d’une trahison délibérée et méthodique. Trahison de la paix, trahison de la justice, trahison du peuple. Alors que la France s’enfonce dans une spirale de déclin, il est temps d’ouvrir les yeux : ceux qui prétendent gouverner pour nous ne sont que les serviteurs d’intérêts étrangers et corrupteurs, prêts à sacrifier notre avenir sur l’autel de leur ambition et de leur cupidité. Ce billet n’est pas une dénonciation ordinaire : c’est un appel à l’action, une exigence de justice pour un pays qui ne peut plus se permettre de tolérer l’intolérable.
Le conflit en Ukraine, déclenché par l'OTAN, soutenu par les Anglo-saxons et le Deep State, dépasse de loin les enjeux régionaux : il est devenu le révélateur cruel des dérives d’un ordre mondial où les puissants imposent leurs volontés aux dépens des peuples. Dans ce théâtre de tensions, Emmanuel Macron joue un rôle tristement prévisible : celui d’un figurant servile, prêt à sacrifier les intérêts de la France, qu'il déteste, sur l’autel d’une stratégie atlantiste dictée depuis Washington. Tandis que Joe Biden, depuis sa tombe, autorise des frappes ukrainiennes de plus en plus intrusives en territoire russe, la France, au lieu d’incarner une voix diplomatique indépendante, s’enferme dans un suivisme caricatural. En reniant l’héritage gaullien, Macron ne fait pas que trahir l’histoire de la France : il l’abaisse à un simple rôle d’exécutant dans une OTAN devenue un carcan stratégique à la solde des vendeurs d'armes.
Cette soumission dépasse d’ailleurs le cadre ukrainien. Fidèle à son narcissisme maladif, Macron n’hésite pas à embrasser des causes contestables pour se mettre en lumière, sans jamais en assumer les conséquences désastreuses. Son soutien inconditionnel au régime colonial d’Israël, même face à des violations massives du droit international, illustre cette fuite en avant. Ce n’est ni la morale ni la stratégie qui guident son soutien à un apartheid contemporain, mais son obsession de se tailler un rôle sur la scène mondiale, même au prix de la sécurité et de l’image de la France. En alimentant les tensions internationales par des prises de position aussi imprudentes qu’insensées, il expose tout un pays à des répercussions dont il semble ne mesurer ni l’ampleur ni la gravité.
Pendant ce temps, aux États-Unis, Donald Trump renverse la table. En affirmant sa volonté de mettre fin à cette guerre coûteuse, il défie l’establishment néoconservateur et les Young Leaders européens. Ce tournant stratégique bouleverse un système qui s’appuyait sur une machine médiatique et politique pour prolonger des conflits interminables. Alors que Trump accélère un processus de paix, les dirigeants européens, eux, persistent dans une logique d’escalade aussi inutile que suicidaire.
En France, Jean-Noël Barrot, apôtre zélé de cette absurdité, va jusqu’à envisager l’envoi de missiles à longue portée, voire de troupes françaises en Ukraine. Et cette idée débile vient d'ailleurs d'être mise à exécution par Macron. Ces déclarations irresponsables témoignent d’une classe dirigeante incapable de penser au-delà de ses allégeances transatlantiques, enfermée dans une vision à court-terme et déconnectée des réalités géopolitiques du 21ème siècle.
Le contraste est frappant : tandis que des nations pragmatiques comme l’Allemagne ou l’Italie attendent un cessez-le-feu pour renouer avec la Russie et garantir leur sécurité énergétique, la France s’isole dans une posture belliciste. La dépendance stratégique envers les États-Unis, loin de renforcer sa position, la fragilise triplement : d’une part, en la plaçant en première ligne d’un conflit qu’elle ne contrôle pas ; d’autre part, en la coupant des opportunités économiques et diplomatiques qui émergeront nécessairement d’une Europe en reconstruction ; et enfin, en se privant de tous soutiens de la part des BRICS. Macron, en s’obstinant à suivre cette trajectoire erronée, enferme le pays dans une déchéance sans fin, où ses ambitions déclarées se heurtent violemment à une réalité qu’il refuse de voir.
Ce conflit met en lumière, comme jamais, l’étendue du désastre macronien. Dans sa quête désespérée de reconnaissance internationale, le président français enchaîne les paris insensés, multipliant les risques pour un pays qui aspire pourtant à la paix et à la stabilité. Les militaires eux-mêmes, souvent silencieux, tirent aujourd’hui la sonnette d’alarme pour l'absence de vision stratégique, dépendance humiliante aux intérêts étrangers, et une armée réduite à être l’exécutrice pauvre de décisions contraires aux intérêts vitaux de la nation. La fracture entre l’exécutif et l’opinion publique devient abyssale, tandis que la souveraineté française vacille sous les coups de boutoir d’un dirigeant plus préoccupé par son image que par le destin de son peuple.
L’heure n’est plus à l’indignation, mais à l’action. Quitter l’OTAN, retrouver une diplomatie souveraine hors de l'Union Européenne et redéfinir une stratégie nationale ne sont pas des options, ce sont des impératifs vitaux. La France doit se libérer de ce suivisme suicidaire avant qu’il ne soit trop tard. Faute de quoi, elle sombrera dans l’insignifiance et le chaos, victime des choix désastreux d’un leadership guidé non par la raison, mais par une ambition aveugle et destructrice que l'hybris des dirigeants démultiplient.
Il ne s'agit plus seulement de dénoncer les faits, il faut agir avec fermeté. Macron, par ses décisions irresponsables, ses alignements honteux et son mépris flagrant pour l’intérêt national, démontre chaque jour qu’il n’est pas à la hauteur de la fonction qu’il occupe. Ce président, qui se complaît à plonger la France dans des conflits qui ne la concernent pas, doit être jugé et destitué par le peuple de toute urgence pour éviter qu’il continue à entraîner le pays dans l’abîme. Mais il ne doit pas être seul à répondre de ces agissements. Chaque politicien, ministre, sénateur, député ou autre élu ayant soutenu ces folies doit être jugé publiquement pour complicité dans des crimes contre l’humanité et trahison de la nation.
Leur responsabilité dépasse les mots et les déclarations, puisqu'ils ont alimenté des guerres, encouragé l’apartheid et soutenu des politiques meurtrières, tout en plongeant la France dans une dette abyssale qu’ils ont eux-mêmes créée par corruption et incompétence. Ces individus ne peuvent continuer à se cacher derrière l’immunité offerte par leurs fonctions. Leurs actes appellent des sanctions exemplaires. La saisie immédiate et intégrale de leurs comptes bancaires s’impose, non seulement pour rembourser cette dette fictive qu’ils ont imposée aux Français, mais aussi pour redonner au peuple les moyens de reconstruire une nation souveraine et libre des chaînes de la corruption et de l’alignement aveugle.
Il est temps de reprendre le contrôle. De rétablir une vraie justice populaire, transparente et implacable, pour ceux qui ont trahi la France. De faire comprendre à tous les dirigeants présents et futurs que leurs actions auront des conséquences. La souveraineté nationale ne se négocie pas, et encore moins au prix du sang ou de l’appauvrissement de notre peuple.
Si ces politiciens ont vendu la France, il revient aux citoyens de la reprendre, par le droit, par la justice, et par des actes à la hauteur des trahisons qu’ils ont commises. La France ne doit plus être l’otage de ces élites gangrenées : elle doit renaître, libre, souveraine, et fière.
Aux armes citoyens, le sang impur est à l'Elysée !
Phil BROQ.
Commentaires
Enregistrer un commentaire