L'EMPIRE DE LA CENSURE DÉTRUIT NOTRE LIBERTÉ DE PENSER
Depuis toujours, la censure a été utilisée comme un instrument de pouvoir, une manière d'étouffer les voix dissidentes et de contrôler le récit dominant par les gouvernants tyranniques. Mais aujourd'hui, loin d'être une pratique révolue, la censure prend une dimension nouvelle et inquiétante puisqu'elle s'installe dans nos vies numériques et s'étend bien au-delà des simples restrictions sur la parole ou l'écrit. Dans un monde de plus en plus dépendant des technologies, cette prohibition atteint une ampleur inédite, reformatant l'histoire à volonté et façonnant la perception collective d'une réalité dictée par des intérêts puissants mais nauséabonds.
Cet outil de contrôle est aussi une arme de manipulation et d'effacement de la mémoire collective. En censurant certains événements historiques ou certaines voix, la censure gomme les pans de l’Histoire qui ne correspondent pas au récit officiel illusoire. Ainsi, les faits, qui pourraient provoquer un éveil de la conscience collective ou une remise en question de l'ordre établi sont souvent déformés voire occultés. Cette manipulation de la mémoire empêche donc les individus de comprendre les origines profondes de certains problèmes contemporains, leur offrant ainsi une vision biaisée et partielle de leur propre passé.
La proscription des faits constitue également un moyen d'étouffer les voix dissidentes, celles qui remettent en cause le système ou dénoncent ses injustices. Les critiques, les quelques journalistes honnêtes et les penseurs indépendants sont souvent les premières cibles de cette répression, car leurs idées peuvent ébranler l’ordre établi. En muselant directement ces voix, le pouvoir s’assure que seule la version officielle des événements persiste dans l'esprit du public. Cette suppression des opinions divergentes entraîne donc une uniformisation de la pensée et limite la capacité de la société à remettre en question ou à débattre des choix politiques et sociaux qui façonnent notre quotidien.
Aujourd'hui, cette manipulation mentale prend une dimension nouvelle et inquiétante à l’ère numérique. Les outils technologiques actuels permettant non seulement de surveiller en temps réel les échanges et les opinions, mais aussi de restreindre l’accès à certains contenus, souvent de manière discrète et quasi invisible. Les grandes plateformes numériques sont en collaboration étroite avec certains gouvernements, ou sous la pression de groupes d'intérêts oligarchiques, filtrant et orientant les informations disponibles, instaurant de fait une censure sournoise mais omniprésente.
Dans ce monde de plus en plus dépendant des technologies, la censure atteint alors une ampleur inédite, redéfinissant même la perception de la réalité collective. Les algorithmes façonnent à outrance l’information à laquelle chacun accède, reformatant l’Histoire en fonction des intérêts de quelques-uns, dorénavant exposés comme Bill Gates, Soros, Schwab, etc. Cette forme de contrôle mental moderne influence directement la manière dont les individus interprètent le monde et réagissent face aux grands enjeux sociétaux. Ce n’est plus seulement un outil de répression, c'est devenu un moyen insidieux de structurer la pensée collective, au service d'intérêts de moins en moins dissimulés mais puissants, et bien loin des idéaux de transparence et de liberté dont ils se targuent à longueur d'interview.
Les réseaux sociaux, autrefois vus comme des plateformes d'expression libre et débridée, sont désormais devenus, en moins de 10 ans, des espaces de contrôle strict et de délation, où chaque mot ou image peut être modéré, caché, voire supprimé. Ce qui semblait autrefois une exception est devenue la règle et des géants tels que YouTube, Facebook ou les GAFAM en général appliquent des politiques de modération opaque, étouffant les discours jugés contraires à leurs "normes communautaires". Communauté qui ne représente somme toute que celle des actionnaires ! Les alerteurs, influenceurs et autres créateurs de contenu informatif marchent constamment sur des œufs, anticipant les algorithmes de censure et adaptant leurs propos pour éviter de disparaître dans les tréfonds du web, voire être bannis. Quand ce ne sont pas les malfaisants de la 17ème chambre correctionnelle qui s'en occupent !
Des personnalités américaines comme Candace Owens, Tucker Carlson ou très récemment Joe Rogan, ont vu leurs contenus manipulés, voire rendus inaccessibles. L'interview très populaire de Donald Trump par Joe Rogan, par exemple, a été enfouie dans les résultats de recherche sur YouTube et Google, avant d'être relayée sur des plateformes alternatives comme X (anciennement Twitter). A l'instar de Tucker Carlson avec l'interview de Poutine, et aussi de Candace Owens relayant "Faits et documents" de Xavier Poussard sur le mensonge "Brigitte". La manœuvre est claire et vise à restreindre l'accès au contenu sans pour autant le supprimer, un stratagème, connu sous le nom de "Shadow banning", désormais quotidien pour que la censure reste discrète mais très efficace. Surtout compte tenu de la paresse des gens pour aller chercher les contenus ailleurs que sur leurs sites "habituels".
Au-delà de la suppression pure et simple de contenu, la censure moderne utilise aussi des algorithmes sophistiqués pour manipuler les résultats de recherche et influencer toutes les informations que nous percevons. Les classements organiques des résultats de recherche sont désormais remplacés par des algorithmes valorisant des "sources fiables", un critère souvent défini par des acteurs possédant des intérêts propres. Pour les "Fact-checkeurs", rémunérés par les oligarques, le seul contenu vérifié ou "fiable" est celui accepté par ces mêmes truands de l'information. Cette forme de censure subtile et indirecte manipule le savoir en contrôlant les informations auxquelles le public a accès, limitant ainsi la diversité des opinions. Par exemple, un journal dit de "référence" comme Le Monde, largement subventionné par le pouvoir et alimenté en publicité par Bill Gates, n'est en rien une référence fiable sinon dans l'art de la manipulation. Or, c'est là dessus que se baseront les historiens du futur pour comprendre notre époque.
Un autre exemple frappant de cette manipulation de la mémoire collective est l'incident qui a frappé "Archive.org" en octobre 2024. Cette plateforme, qui archive depuis 1994 des millions de pages web, permettant ainsi de suivre l'évolution des informations et des discours en ligne, a été paralysée par une attaque DDoS sans précédent, coïncidant mystérieusement avec le début de la campagne électorale américaine. Des semaines d'archives et de mises à jour, pourtant essentielles pour comprendre les évolutions des informations et des politiques, sont devenues inaccessibles, un "trou noir" dans la mémoire numérique. À cela s'ajoute la suppression du cache de Google, rendant encore plus difficile l'accès aux versions antérieures de pages web, comme si toute trace de l'histoire, devenue numérique depuis 20 ans, devait être effacée. Regardez comment ce moteur de recherche ne vous offre plus que des résultats mainstream, et plus aucun contenu alternatif ! C'est à cela que ça sert donc la numérisation ? C'est la nouvelle façon de réécrire l'Histoire, car si les écrits restent, c'est comme toujours sur les livres et les articles papier, et non plus sur le net, malheureusement !
En Europe, la situation est également très préoccupante en matière de censure outrageuse. La Commission européenne a initié des discussions avec les grandes plateformes numériques pour contrôler et censurer les contenus en ligne dans le cadre de la régulation des discours publics. On se souvient du voyou Thierry Breton voulant fermer X, ou plus récemment Macron qui fait arrêter Pavel Durov en l'invitant en France, uniquement pour avoir les codes de Telegram. Une fois obtenus, les anciennes discussions portant sur la manipulation électorale de la présidence, les magouilles de ces partis politiques depuis 2014 et les discussions autour du mensonge COVID ont toutes disparues.
Et la nauséabonde "police de la pensée" (minables fonctionnaires à l'esprit étriqué et cachés derrière des écrans) peut à loisir surveiller et éliminer tout propos qui ne leur convienne pas, exactement comme dans "1984" d'Orwell. De plus, des propositions de lois sont en cours pour encadrer plus strictement les contenus qui déplaisent aux gouvernants ou qui démontrent leurs forfaitures aux yeux de tous, sous couvert de lutte contre la désinformation. L'accusation inversée étant leur fer de lance dans cette manipulation de l'esprit.
Parallèlement, la transition vers un euro numérique soulève des questions légitimes sur la perte totale de souveraineté et donc sur l'indépendance des citoyens face à des gouvernements centralisateurs tyranniques. Ainsi, avec cette approche et cette pseudo police digne de la STASI, la censure et la surveillance ne se limitent plus aux seuls contenus, mais s'étendent désormais à la sphère économique, politique et bientôt familiale.
Pour comprendre la finalité ultime de la censure moderne, il suffit de regarder ce qui se passe en Chine. Dans ce pays, la censure est utilisée de manière systématique pour créer une réalité alternative, depuis des décennies, conforme aux intérêts du Parti Communiste (Souvenez-vous de Mao, assassin patenté en a usé et abusé faisant près de 80 millions de morts avec ces délires, et a réécrit l'Histoire à sa convenance). Pendant la fausse pandémie de Covid, les informations sur la crise sanitaire ont été scrupuleusement dissimulées pour préserver l'image du gouvernement. Mais les peuples ont été confinés et les opposants supprimés. Cet exemple, d'un pays dont on tente désormais d'afficher les vertus (sic…) montre à quel point la censure peut avoir des conséquences tragiques, sacrifiant la sécurité et la vie des citoyens afin de préserver artificiellement la stabilité d'une politique vouée à l'échec.
Loin de se limiter aux réseaux sociaux, la censure sévit aussi dans les tous médias traditionnels mainstream. Aujourd'hui, le journalisme (s'il existe encore en France !) est de plus en plus soumis à des pressions économiques et idéologiques. Dans une course pour obtenir des financements par subventions abusives ou des budgets publicitaires et ainsi conserver l'illusion de leur influence, de nombreux médias adoptent une autocensure abjecte. Non seulement les journalistes évitent de traiter de sujets controversés par crainte de représailles ou de perdre leur emploi, où la diversité des opinions se réduit à peau de chagrin, mais dorénavant ils vont même jusqu'à inventer des fausses informations et des narratifs corrompus avec des pseudos experts de plateau. Cette autocensure crasse devient le filtre le plus ignoble de la réalité, privant le public de perspectives variées et limitant ainsi tout débat public objectif.
Cela prend également la forme du "galop de Gish", une technique qui consiste à submerger le public d'arguments fallacieux et de fausses informations à un rythme tel qu'il devient impossible de les réfuter efficacement. Cette tactique, qui utilise la vitesse et la quantité d'informations trompeuses pour noyer la vérité, prolifère sur les réseaux sociaux comme sur les chaines d'information en continu. Elle rend la vérification des faits presque impossible, manipulant ainsi la perception du public et transformant le débat en un chaos intellectuel où le vrai et le faux deviennent finalement indiscernables.
L'inversion accusatoire devient la norme, comme je l'ai écrit précédemment, et aucun de ceux qui se présentent comme "journaliste" actuellement ne fait d'enquête sérieuse sur les malversations flagrantes des oligarques, mais passent des heures à "débunker" les vrais informations qui réussissent à sortir au grand jour grâce aux reporter du net, penseurs indépendants et autres lanceurs d’alerte. Ceux-ci sont parmi les premiers ciblés, car leurs idées et leurs preuves peuvent ébranler l’ordre mafieux établi grâce à ces mensonges éhontés. En réduisant l’accès aux opinions divergentes, la censure limite ainsi la capacité de la société tout entière à remettre en question les choix politiques et sociaux, favorisant une uniformisation de la pensée. Et les plus touchés des citoyens vont jusqu'à remettre en question ce qu'ils vivent et voient au quotidien !
On le constate, les conséquences de cette censure ignoble et multiforme sont dévastatrices. En contrôlant l'information, on contrôle aussi la capacité du public à comprendre et à questionner les décisions des dirigeants. La perte de confiance dans les institutions et dans les médias traditionnels se fait clairement sentir, et de plus en plus de citoyens se méfient des informations qui leurs sont présentées. Or, ce sont nos impôts qui rémunèrent ces truands de l'information avec des subventions abusives leur permettant de financer leurs forfaitures. Ces "médias" n'en sont plus dès lors qu'ils sont subventionnés. Ils ne sont plus que des relais propagandistes et malsains d'un narratif destiné à nous emprisonné intellectuellement, faute de savoir véritable. La démocratie, fondée sur le droit à une information libre et plurielle, est ainsi directement menacée puisqu'elle est dévoyée par des tyrans. Ils créent une vision unidimensionnelle d'un monde, où leurs intérêts oligarchiques sont protégés au détriment de la vérité.
Les techniques manipulatrices mentionnées précédemment trouvent un terrain particulièrement fertile sur les sites internet et les réseaux sociaux. Une fois qu'ils sont fabriqués, les fausses informations, les demi-vérités ou les mensonges sont diffusées en masse sur ces plateformes, où elles peuvent rapidement devenir virales par la magie des algorithmes. Ces informations erronées se propagent alors comme un "silence" médiatique, leur objectif étant d'imprégner l'opinion publique des idées issues de ces laboratoires de la désinformation. De surcroît, l'accumulation incessante de canulars et de fausses nouvelles finit par anéantir toute tentative rationnelle de les réfuter. En effet, chaque affirmation, souvent propagée par le biais du "galop de Gish", exige bien plus de temps et de ressources pour être "fact-checkée" que pour être lancée. Ce décalage rend la lutte contre la désinformation d'autant plus difficile.
En résumé, la censure est d'ailleurs perçue comme un signe de faiblesse et de tyrannie. Oskar Freysinger, écrivain et homme politique suisse, déclare ainsi : "La censure est toujours un aveu de faiblesse. Si je ressens le besoin de censurer l'autre, c'est que je sais que je ne parviendrai pas à le vaincre par des arguments." Cette affirmation met en lumière la manipulation censoriale comme un moyen de répression puissant en révélant l'incapacité de nos gouvernants à convaincre par la raison et le débat. En ce sens, elle apparaît comme un contre-feu face à la vérité et à la liberté d'expression, renforçant ainsi l'image de fragilité et d'autoritarisme qui l'accompagne.
Elle peut également être interprétée comme un aveu d’impuissance intellectuelle, dès lors que le censeur, incapable de réfuter des idées par des arguments rationnels, cherche à imposer une pensée uniforme par tous les moyens à sa portée, voire judiciaires. Toutefois, il ne faut pas la réduire à une simple faiblesse intellectuelle ; elle résulte également d’un désir profond de contrôle social et politique. Loin d’être un échec du raisonnement, elle traduit la volonté d’étouffer toute dissidence et de maintenir une domination sur les discours et les idées.
La mémoire collective est un pilier de notre compréhension du passé et de notre capacité à façonner un futur éclairé. Si nous continuons à laisser la censure, qu’elle soit numérique ou médiatique, effacer et manipuler les faits, notre mémoire collective s'effondrera, laissant un vide que seules les élites auront le pouvoir de combler. Face à cette malversation intellectuelle galopante, il devient impératif que les citoyens et les acteurs de la société civile défendent activement la liberté d'expression et la diversité des opinions. Ce n'est pas seulement un Droit mais dorénavant un Devoir de tous !
Il nous appartient donc de résister à l'emprise croissante des puissants sur l'information. Si nous voulons conserver notre capacité à penser librement, il est essentiel d'exiger une transparence réelle de la part des médias et des plateformes numériques, et de supprimer les subventions qui alimentent ces médias trompeurs. En effet, la censure ne se réduit pas à un simple outil de contrôle ; elle devient un moyen insidieux et pernicieux qui tord la réalité, réécrit l'histoire et prive chacun de son libre arbitre. Elle ne se contente pas de réprimer la vérité et la liberté d'expression, elle incarne également l'incapacité de convaincre par la raison et la volonté de dominer par l'oppression plutôt que par le dialogue. Elle révèle la peur de la vérité, la faiblesse d'un pouvoir incapable de triompher par les arguments et la volonté de détruire toute forme de pensée dissidente.
Aujourd'hui, il est de notre devoir, en tant qu'individus libres et responsables, de ne pas laisser ces architectes de la désinformation continuer d'œuvrer dans l'ombre, manipulant nos consciences et dilapidant nos ressources. Il est temps d'agir, de dénoncer, de remettre en question et de protéger notre capacité à penser par nous-mêmes. La liberté ne se négocie pas ; elle ne doit jamais être laissée entre les mains de ceux qui cherchent à l'asservir. Ensemble, nous avons le pouvoir de briser le silence, de redonner voix à la vérité et de lutter pour un avenir où la diversité des idées est respectée et encouragée, où la pensée reste libre et l'esprit critique, intact.
Le combat pour la vérité commence maintenant. Ne laissons pas ces "truands de la pensée" détruire ce qui reste de notre liberté et de notre capacité à raisonner. Le temps d’agir est venu...
Phil BROQ.
N.B : Pour lutter contre cette censure, soutenez par exemple les auteurs indépendants, dont je fais partie, en achetant leurs livres. Car c'est votre seul soutien qui nous permet de continuer à vous informer :
Un billet ô combien d'actualité ! Bravo et continuez de nous éveiller !
RépondreSupprimerMerci beaucoup !
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