LACHETE D'UN PEUPLE FACE A LA FOLIE D'UN HOMME

Depuis plus de 15 ans, la présidence de la République française a progressivement muté, transformée en un rôle où la défense des intérêts nationaux a tout cédé sous la pression d’une Union Européenne hégémonique. Emmanuel Macron, loin de rompre avec cette tendance, semble l’avoir même embrassée avec un zèle déconcertant, sacrifiant méthodiquement chaque pilier de la souveraineté française. Mais au-delà de ce constat de totale "haute trahison" politique, une question plus préoccupante émerge : l’état mental de Macron est-il encore compatible avec sa fonction ?

Les comportements erratiques du chef de l’État se multiplient. On parle de délires dépressifs, d’entretiens imaginaires avec des leaders étrangers, d’annonces spectaculaires sans lendemain, et d’attitudes oscillant entre hystérie et incohérence totale. Si l’image d’un président égaré amuse parfois la scène internationale, elle ternit gravement la crédibilité d’une France décadente autrefois respectée dans le monde entier. Peut-on tolérer qu’un homme, visiblement déstabilisé, cocaïné et haïssant les français en les insultants au quotidien, continue à piloter un pays en crise pendant encore de longues années ? L'article 68 de la Constitution n’offre-t-il pas une porte de sortie en cas de "manquement manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat" ? 

Il faut bien poser la question : sommes-nous gouvernés par un président ou par un patient en psychiatrie ? Depuis 15 ans, l’Élysée s’est transformé en une cage aux folles, simple succursale de Bruxelles, et Macron en incarne le parfait symbole dégénéré. Mais là où ses prédécesseurs se contentaient d’une gestion passablement technocratique, en s'en mettant pas mal dans les poches au passage tel Sarkozy, Macron s’est surpassé dans le role du fossoyeur de nos économies. Pour cet énergumène, il ne s’agit plus seulement de sacrifier la France sur l’autel de l’Union Européenne. Non ! Il faut la piétiner, la déconstruire brique par brique, la ruiner, la réduire à néant spirituellement et industriellement, le tout avec un sourire carnassier et une arrogance toute "jupitérienne" qui frise le pathologique grave.

Depuis l’élection du petit poudré à l'Elysée en 2017 jusqu’à la récente dissolution de l’Assemblée Nationale, beaucoup s'interrogent désormais sur la folie réelle de cet "artisan du chaos". "Un homme plein de paroles, mais un homme sans parole" : c'est ainsi que le psychanalyste Paul-Claude Racamier a évoqué le profil-type du pervers narcissique. Et le comportement de l'actuel président de la France paraît bel et bien correspondre à cette formule, ainsi qu'aux autres traits de la catégorie psychopathologique en question, laquelle, on le sait, constitue un thème à la mode depuis plus d'une vingtaine d'années avec l'entrée du traître Sarko.

Le ressentir et le dire est une chose ; analyser en quoi consiste cette pathologie au cœur du pouvoir en est une autre. C’est tout l’enjeu du patient travail du sociologue et chercheur au CNRS Marc Joly, auteur d’un essai "La pensée perverse au pouvoir". Articulant l’enquête sociologique et la psychanalyse, en particulier à partir du travail du psychiatre et psychanalyste Paul-Claude Racamier, il dévoile dans "la minute de Ricardo", ce qui est effectivement en jeu en France aujourd’hui : une folie narcissique et une perversité́ accomplie qui rejaillissent sur tous et maltraitent tout un peuple, allant jusqu'à décrédibiliser un pays séculaire sur la scène internationale. Accrochez vos ceintures, ce zoom arrière vertigineux permet de comprendre ce qui nous est arrivé et ce qui va encore nous prendre en traître. Cœurs sensibles, gauchos ou macaroniste s’abstenir.

Alors qu'il menait une enquête approfondie sur les violences sexistes et sexuelles, la souffrance des victimes et le travail des associations vouées à les soutenir, le sociologue Marc Joly a été frappé par les similitudes aussi bien entre le comportement des hommes auteurs de maltraitances psychologiques et celui de Macron au pouvoir. Il souligne les analogies entre le discours des victimes de ces maltraitances et celui des gouvernés confrontés à la politique et aux discours du président. C'est ainsi qu'il a conçu un livre d'intervention, à la fois sociologique et politique mais qui ne nous en apprend pas plus que ce que nous savions depuis 7 ans déjà. Clef d’analyse à la croisée des sciences sociales et de la psyché. De Macron le viriliste, on le dit forcené, fou, artisan du chaos, Joly dans son langage feutré de chercheur du CNRS dit "voleur de clarté". 

M. Joly est revenu sur les principaux aspects de la violence morale caractérisant la façon de faire de Macron. L'absence de toute empathie et plus largement de toute prise en compte véritable de ce qui fait obstacle dans le réel, l'habileté à mettre les interlocuteurs dans des impasses en leur tenant des discours contradictoires et incompatibles, c'est la "paradoxalité perverse", la propension a toujours centrer les discussions sur soi-même, sont des traits typiques de la perversion manipulatrice. 

Derrière le cas Macron et la réussite exceptionnelle de cet individu manipulé et factuellement psychopathe, M. Joly discerne malgré tout un fait social contemporain : la compensation du déclin historique des grandes autorités et de la violence symbolique qu'elles exerçaient pour faire accepter aux dominés leur place subalterne, par la montée d'une violence psychologique perverse aussi bien dans les couples et dans les relations au travail que dans la sphère politique.

Le sociologue éclaire cette dérive sous un jour glaçant : celle de la perversion narcissique appliquée au pouvoir. Mais il ne parle jamais de ponérologie (pensée de gauche oblige). Son analyse dépeint un président centré sur lui-même, expert en discours contradictoires, dépourvu d’empathie et assoiffé de contrôle. Cette "violence morale" gangrène autant les relations personnelles que les sphères professionnelles, et a aujourd’hui infesté la politique française. Macron devient un manipulateur qui obscurcit les enjeux pour asseoir sa domination.

Mais dès 2017, Adriano Segatori, psychiatre italien, avait déjà brossé un portrait glaçant de cet agité, qu’il analyse comme un parfait exemple de psychopathie. Cette conclusion repose sur trois paradigmes fondamentaux qu’il identifie chez le président français, et qui définissent son organisation psychique.

Le psychiatre italien, ne mâche pas ses mots et Macron est, selon lui, un "psychopathe amoral". Il décrit un homme porté par une ambition démesurée depuis l’enfance, affranchi de tout cadre moral et mû par un narcissisme qu’il qualifie de malveillant. Ce diagnostic, posé 7 ans, se confirme clairement aujourd’hui. Macron ne voit pas de limites. Ni dans ses actions, ni dans ses décisions politiques qui détruisent méthodiquement les structures sociales et économiques de la France.

Dès l’enfance, il aurait intégré l’idée qu’aucune barrière, morale ou sociale, ne devait s’imposer à sa volonté. Ce trait est typique de la psychopathie, où l’absence de conscience des bornes éthiques ou des interdits permet à l’individu de franchir les lignes rouges sans ressentir ni culpabilité ni scrupules. Cette perception d’invincibilité nourrit des comportements qui, bien que socialement inacceptables, sont habilement dissimulés sous une apparence d’éclat et de brio. 

Au pouvoir, cela se traduit par une tendance à agir unilatéralement, sans réelle consultation, ni considération pour les conséquences à long terme. C'est cet hybris qui caractérise aussi désormais tous les acteurs politiques qui se sont succédés à la tête du gouvernement depuis au moins 20 ans.

Cette omnipotence psychologique prend racine dans l’histoire personnelle de Macron, où des événements clés, tels que sa relation controversée avec Jean-Brigel, ou encore son soutien depuis toujours par des riches octogénaires qui auraient contribué à renforcer ce sentiment. Le psychiatre voit dans ce mariage non pas une romance, mais un mécanisme de réparation psychologique, renforçant chez Macron l’idée qu’il est au-dessus des conventions sociales. Ce sentiment d’être "spécial", voire unique, se serait exacerbé à l’âge adulte, trouvant son apogée dans son accession à l’Élysée, où il se positionne en "souverain jupitérien", refusant toute remise en question.

Le narcissisme de cet ignoble personnage dépasse le simple amour de soi pour entrer dans une dimension malveillante, où l’autre n’existe que comme miroir ou outil de son propre accomplissement. Ce type de narcissisme conduit à une instrumentalisation des personnes et des situations. Dans cette logique, le petit poudré n’a pas de véritable empathie et il manipule et utilise autrui, se concentrant exclusivement sur sa propre image et sur le maintien d’une identité fragile, qui dépend d’un contrôle absolu sur son environnement.

Macron incarne le profil du psychopathe classique, marqué par une capacité exceptionnelle de manipulation et de séduction. "Le psychopathe n’est pas digne de confiance", explique le psychiatre, "mais il fascine ses interlocuteurs et les convainc grâce à son charisme apparent". Ce charisme, bien qu’impressionnant, est purement superficiel, car derrière cette façade se cache un individu dépourvu de remords, prêt à contourner toute forme de morale pour atteindre ses objectifs. L’absence de culpabilité est ici un pilier central, qui permet à "kéké rose" d’agir avec froideur, même dans des contextes où ses décisions ont des conséquences graves pour le pays.

"Emmanuel Macron est un psychopathe amoral", dixit le psychiatre italien. Après un quinquennat marqué par deux crises majeures (celles des Gilets jaunes et du Covid-19), le démantèlement du système de santé (5 700 lits d’hôpitaux supprimés en 2020, environ 15 000 soignants suspendus), 600 milliards de dette, un rapport dette/PIB de 120%, des scandales tels que l'affaire Benalla, McKinsey et Rothschild, ou encore la vente de tous les fleurons industriels, et plus récemment l'envoi de missiles Scalp à l'Ukraine  (nous entrainant de fait dans une guerre déjà perdue !), sans oublié un mépris affiché envers les Français (avec insultes à la pelle), il est intéressant d'essayer de comprendre qui nous gouverne. 

Loin de la "romance à l’eau de rose" entre un professeur et son élève, l'histoire sordide de pédophilie avérée représente plutôt un "mariage réparateur" d’un viol, l'acte en soi ayant empêché le petit Emmanuel de grandir de façon normale et l’aurait transformé en un "enfant dans un corps d’homme". La source de la psychopathie du président français est donc liée à un problème de pédophilie ! Et, ce dernier ayant dépassé "les tabous" en se mariant avec son professeur de théâtre/violeur de 24 ans son ainée, s'est cru omnipotent et plus rien ne peut l’arrêter. Si bien qu'il ne voit pas de problème à favoriser les personnes qui l’aiment et lui obéissent, tout en détruisant ceux qui lui résistent. "Un narcissisme qu'il n'est pas interdit de définir comme malveillant", avance le professeur.

Dès son premier diagnostic, Segatori identifie trois raisons principales qui rendent Macron particulièrement inquiétant :

1.Cette haute estime de lui-même est une caractéristique, commune à tous les psychopathes, qui empêche toute autocritique ou remise en question, exacerbant les décisions unilatérales et parfois destructrices.

2.Le désamour pour la France prouve que Macron ne lutte pas pour le peuple français, mais agit exclusivement dans son propre intérêt et celui des cercles qui servent son pouvoir où ceux qui l'ont mis en place par cette fraude électorale. Ce manque d’attachement au pays alimente des politiques déconnectées des réalités nationales.

3.Un amour excessif de lui-même, un narcissisme profond pousse Macron à protéger à tout prix son identité qu’il sait fragile et friable. Cela se traduit par des luttes acharnées pour conserver son image, quitte à écraser toute opposition ou à manipuler la réalité.

En 2022, Adriano Segatori a actualisé son analyse et confirme son évaluation initiale 5 ans plus tard. Pour lui, Macron reste le prototype du psychopathe, caractérisé par :

•Un QI élevé et une grande culture qui sont des atouts qui renforcent sa capacité à manipuler, car il sait séduire et convaincre avec des arguments sophistiqués. Mais sont-ils de lui ou de McKinsey ?

•Une absence totale de limites, élément, déjà identifié, s’exprime pleinement dans son style de gouvernance et son mépris des institutions démocratiques traditionnelles. Chose très aisée, et sans courage, avec une justice et une police aux ordres !

•Une grande capacité de mimétisme fait qu'il adopte les postures qui servent ses objectifs, se modelant en fonction des attentes pour mieux s’imposer.

•Un cynisme glaçant dont le trait souligne son absence d’empathie et de remords, qui se reflète dans ses décisions et son comportement humiliant et insultant envers les Français.

Le danger que représente donc Macron dépasse les frontières françaises. Il incarne une menace pour l’Europe entière, un "souverain fou" prêt à tout sacrifier sur l’autel de son ambition personnelle. En tant que figure influente au sein de l’Union Européenne, il serait capable de déployer les mêmes stratégies destructrices à l’échelle continentale comme il vient de le faire avec les missiles Scalp. Son leadership  ne repose pas sur une vision cohérente, mais sur une ambition personnelle démesurée portée par des médias de propagande grassement subventionnés, qui pourrait saper davantage les fragiles équilibres européens.

De la crise des Gilets Jaunes à l'envoi de nos Scalp à Zelensky, le bilan du président est davantage un champ de ruines qu’une réussite. Et pourtant, une part du peuple, surement 4 fois injectée, semble encore hypnotisée par son charisme superficiel et son éloquence calculée.

Mais pour combien de temps encore ? Les voix s’élèvent, de la sphère académique au Kremlin, pour dénoncer un comportement de plus en plus inquiétant. Même Maria Zakharova, porte-parole du Ministère russe des Affaires étrangères, n’hésite pas à pointer des "problèmes psychologiques graves" chez Macron. Ce qui nous sauve d'une attaque bien méritée pour le moment...

Les analyses convergentes de spécialistes mettent donc en lumière une personnalité marquée par des traits psychopathologiques totalement incompatibles avec l’exercice du pouvoir. Le narcissisme malveillant, l’absence d’empathie et une fascination pour le contrôle absolu dessinent le portrait d’un président dont les actions menacent l’unité nationale et la stabilité européenne. Loin d’être une simple critique politique, ou un ressenti comme avec M. Joly, cette évaluation s’appuie sur des diagnostics cliniques et sociologiques précis, qui appellent à une réflexion urgente sur l’avenir de la France sous sa gouvernance.

Si ces observations sont ignorées, les conséquences pourraient être extrêmement lourdes à très court terme, avec un isolement croissant de la France sur la scène internationale, une désintégration progressive de ses institutions et une défiance populaire irréversible. Donc, le recours à l’article 68 de la Constitution devrait devenir une nécessité pour préserver la dignité de la République et rétablir une gouvernance au service de la nation. Mais voilà, on a les députés et les sénateurs les plus corrompus au monde, et les plus nombreux aussi, par nombre d'habitants. 

Face à ces constats accablants, une réflexion s’impose : la France peut-elle encore se permettre de confier son avenir à un "homme" dont l’équilibre mental semble vaciller ? Si la question de sa destitution n’est plus taboue, celle de la justice n'est jamais évoquée. Le recours à sa destitution pourrait bien devenir une nécessité, non seulement pour préserver les institutions, mais aussi pour sauver ce qu’il reste de la dignité et de l’unité nationale. 

L’organisation psychique de Macron, marquée par l’absence de remords, d'un narcissisme malveillant et d'une fascination pour le pouvoir sans limites, correspond parfaitement à la définition clinique de la psychopathie. En tant que tel, ce type est profondément toxique !

Le temps presse, mes amis. Si les signes sont ignorés, si le peuple reste inerte, si la justice reste corrompue et la police aux ordres de fou d'hybris, alors la chute risque d’être encore plus brutale, et la France en portera les stigmates pour des générations... mais uniquement si elle survit à la lâcheté de son peuple comme à la folie de son président.

Affaire à suivre...

Phil BROQ.



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