MACRON A DÉTRUIT LA FRANCE POUR SERVIR CES MAITRES

Pour beaucoup d'entre nous, la France n’est plus gouvernée, mais simplement administrée par une poignée d’élites déconnectées qui, bien à l’abri dans leurs hautes sphères, semblent décidées à presser la nation comme une orange. Et une fois de plus Macron, avec ses métaphores injurieuses d’herbivores et de carnivores, ne fait que renforcer ce sentiment de mépris habituel. Puisque pour lui, nous serions de simples proies, des "herbivores", tels des veaux et des moutons, que les "carnivores", autrement dit les puissants, sont libres de dévorer si nous ne nous armons pas d’appétits dignes de prédateurs. 

Mais derrière cette rhétorique se cache une réalité plus crue, un projet cynique où, sous couvert de réalisme, le gouvernement impose sacrifices et réformes en se servant de la peur comme bélier pour faire avancer sa politique. Voici le portrait cinglant d'une administration qui transforme les citoyens en troupeau docile, tout en appelant à stopper une prétendue "transformation" dont seuls les vautours bénéficient.

Nous voilà donc réduits au rang d'herbivores naïfs face aux carnivores affamés. Car apparemment, selon notre Président, l'Europe serait en danger si elle se contentait de grignoter de l'herbe, attendant paisiblement d'être dévorée par les fauves d'un monde globalisé. La métaphore est savoureuse, mais on pourrait se demander si ce n'est pas une manière élégante de justifier des politiques où nous, citoyens, devenons les moutons du troupeau qu’il cherche à pousser gentiment (ou pas) dans la direction qui lui semble bonne. 

Les Européens devraient donc être des "omnivores", c’est-à-dire prêts à tout consommer, tout avaler, pour ne pas devenir les prochains repas des grands prédateurs. Or, ces prédateurs sont justement la clique de Von Der Leyen et Macron. On appréciera l'ironie de cette leçon de "survie" venant d’un homme qui, depuis le confort de son bureau présidentiel, semble si éloigné des réalités de ceux qu’il transforme en proies potentielles. S’il nous demande de nous durcir et d’élargir notre régime alimentaire, c’est peut-être parce qu'il craint que les moutons se transforment en loups et finissent par se retourner contre le berger. Ce que je souhaite sincèrement.

Le temps de l’indulgence est révolu. Depuis trop longtemps, Macron et sa clique s’acharnent à ruiner la France, sans honte ni remords. Leurs mains tachées d’empreintes criminelles, ce gouvernement s’est surpassé pour faire voler en éclats les finances publiques et détruire l'ensemble des infrastructures industrielles comme institutionnelles. Avec 1 000 milliards d’euros de dette en plus en un an et plus 3 300 milliards de dette artificielle au total ! Un gouffre que même les plus indulgents et plus stupides ne peuvent ignorer, car c’est un véritable braquage de la nation qui a été exécuté, orchestré avec une indifférence glaciale et protégé par une police illégitime. Et tout cela au profit de ceux qui, dans les hautes sphères, sont bien à l’abri des tempêtes économiques qu’ils provoquent.

Il ne s’arrête devant rien pour tenter de renflouer ses caisses épuisées, quitte à ruiner chaque citoyen jusqu’au dernier centime. Et maintenant ? Ce sont nos animaux de compagnie qu’ils ciblent. Oui, après avoir pressé les Français avec des taxes et surtaxes, voilà que ce gouvernement déconnecté et ivre d'hybris envisage de taxer les chiens, les niches, et qui sait bientôt les poissons rouges et les furets. Une démonstration supplémentaire, s'il en fallait, du mépris total qu'ils ont pour le peuple, déjà écrasé par les prix de l’énergie, de l’alimentation et du carburant.

On assiste ici à une nouvelle couche d’injustice, un racket qui pourrait même pousser des familles fragiles à se séparer de leurs animaux, leurs seuls compagnons pour beaucoup, en les livrant à des refuges débordés ou à la rue. Une vague d’abandons est donc en prévision, avec tout ce que cela implique de souffrance animale, mais quelle importance, pour un gouvernement qui ne semble avoir d’égard que pour les élites ? Et face à un peuple avachi et abruti.

Ces gangsters en col blancs, pseudo "élites" parasitaires, continuent d’amasser leurs privilèges, se vautrant dans une arrogance crasse, tandis que chaque jour le peuple se serre la ceinture un peu plus. Prenons l'ex-ministre Darmanin, qui se balade entouré de douze gardes du corps et de trois voitures de fonction à nos frais, ou encore le mouflet Attal avec son chauffeur et bureau à vie ! Et pour les autres ? Un salaire congelé, des prix en hausse constante, et des politiciens qui festoient toujours plus à leurs frais.

Bien sûr, pendant que Macron favorise ses amis du CAC 40, Bernard Arnault, grand patron de LVMH et proche de l’Élysée, se goinfre sur la richesse de la nation. Grâce aux politiques fiscales généreuses du gouvernement, comme la suppression de l’ISF et les subventions abusives, son patrimoine explose. Pendant ce temps, l’inflation ronge chaque économie des Français, les jeunes sont abandonnés et les retraites diminuent. Ce gouvernement, prisonnier de ses amis milliardaires, a clairement fait son choix en favorisant le capital, tout en laissant la France s’enfoncer dans la dette et la misère.

Les décisions arbitraires et les réformes imposées à coups de 49.3 ne sont que les symptômes de cette alliance entre Macron et les voyous du CAC 40. Sous prétexte de modernisation, on assiste surtout à la transformation de la France en terrain de jeu pour multinationales et banques, qui profitent à fond de cette politique comme des pédophiles dans un jardin d'enfant (et l'image est choisie à dessein !). Les services publics, eux, sont exsangues, les hôpitaux agonisent, et les écoles manquent de tout, jusqu’au papier.

Mais peut-on attendre quelque chose de mieux d’une administration aussi pervertie, d’un gouvernement qui trahit sans scrupules et avec machiavélisme sa population ? Ils ne cessent de faire passer leurs règles iniques qu'ils nomment lois au forceps, imposant toujours plus de taxes, sans se soucier des conséquences humaines et psychologiques de leurs choix. La révolte couve, car ce peuple, pris pour une vache à lait, ne pourra plus être trait indéfiniment.

Combien de temps ce cirque va-t-il durer ? Pendant que la Macronie accumule privilèges et immunités, le peuple, lui, peine à survivre. Chaque mois apporte son lot de nouvelles taxes, de décisions aussi absurdes qu'injustes, pendant que les puissants se gavent des ressources de la France. Le gouvernement préfère fermer les yeux sur les 150 milliards d’euros d’évasion fiscale qui s’envolent chaque année, protégés dans des paradis fiscaux et les 8 millions d'assurés sociaux en trop. Non, il est bien plus simple de pressurer les classes modestes, de vampiriser chaque centime des travailleurs, des retraités, des étudiants. De les soumettres en les ruinants et en les réprimants violemment à la moindre contestation.

Les élites en place, installées comme une mafia de salon protégée outrageusement par une milice immonde, n’ont aucun intérêt à remettre en question ce système qui les engraisse. Elles s’en délectent. On a même vu le Conseil constitutionnel, dirigé par le délinquant Fabius et prétendument garant des droits du peuple, légitimer les lois les plus régressives, les plus injustes, comme un club fermé prêt à valider chaque dérive de Macron et de ses acolytes. À l'instar de ce qui a été fait pour le fils Fabius, directeur de McKinsey France, durant la fausse pandémie mais le vrai confinement.

Cette "mafia" politique et économique, parfaitement calculée, écrase les citoyens sous le poids des dettes et des crises qu'elle fabrique, poussant à la précarisation totale de masse. Macron et ses alliés, ces financiers milliardaires, n’ont que faire des souffrances quotidiennes des Français. Ce qui les intéresse, c’est de verrouiller le pays dans une économie où seuls les puissants prospèrent et où l'Union Européenne prend les rênes. Alstom, Technip, Latécoère, tous ces fleurons de l’industrie française cédés à des intérêts étrangers, ne sont-ils pas les symboles de cette haute trahison ? En quelques années, ils ont démantelé l’économie française, vendu nos richesses patrimoniales, nos industries de pointe et nos emplois au plus offrant, laissant un pays en ruine pour satisfaire les intérêts d’une poignée de privilégiés.

La dette publique qui explose, elle aussi, n’est qu’un instrument pour maintenir la population sous une forme de servitude moderne, un chantage permanent. Et pendant ce temps, des milliards sont distribués aux entreprises du CAC 40, des milliards qui échappent à tout contrôle et viennent alimenter les dividendes d’actionnaires qui n’ont jamais été aussi gras. Ce racket institutionnalisé est une honte, une attaque directe contre les citoyens. Et les coupables sont connus.

Les politiciens corrompus, tout comme les milliardaires qui les soutiennent, méprisent ouvertement le peuple, n’y voyant qu’un outil pour financer leurs excès. Leurs réformes fiscales ne visent qu’à favoriser les grosses fortunes, laissant les travailleurs crouler sous les impôts et le coût de la vie. Pendant que les plus modestes luttent pour garder un toit et un peu de dignité, la Macronie impose sans cesse des choix qui détruisent le tissu social, laissant derrière elle une France morcelée, où les plus démunis sont les premiers à souffrir.

Le pire, c’est que les institutions censées protéger le peuple sont devenues les gardiennes de ce système pourri. Le Conseil constitutionnel, la Cour de justice de la République, toutes ces instances supposément impartiales sont gangrénées, ne font que renforcer l’impunité des puissants, assurant à chaque décision que rien ne viendra entraver leurs projets. Macron et ses alliés se tiennent les coudes, protégés par un système verrouillé immune aux souffrances du peuple.

Si cette caste dirigeante pense pouvoir maintenir indéfiniment un tel déséquilibre sans risquer l’effondrement social et la sanction populaire, elle se trompe lourdement. L’injustice a ses limites, et les citoyens, enfin lassés d’être les otages d’une politique faite sur mesure pour les riches, sauront rappeler physiquement à ces élites que la France n’est pas leur propriété.

Alors il est temps de dire les choses telles qu'elles sont. Il est urgent de purifier la nation de cette oligarchie parasitaire qui ne fait que se servir, qui transforme notre pays en machine de profit pour une poignée d’élus et de millionnaires sans foi ni loi. Leur négligence et leur mépris sont flagrants, pendant que les citoyens croulent sous les restrictions et les réformes qui frappent directement leur quotidien, les puissants eux, protègent leurs privilèges, échappent à tout contrôle et se drapent d'immunité. À chaque crise, les responsables sont toujours les mêmes, ceux-là qui nous gouvernent et qui se croient aussi intouchables que les hauts fonctionnaires.

Face à cette tyrannie économique et politique, il est temps de penser à une cure radicale de ce système vermoulu qui ronge notre pays de l’intérieur. Une purge nécessaire de ce marais nauséabond pour couper les liens entre ces "élites" qui se repaissent de leurs pouvoirs et les institutions qu’elles gangrènent. Les scandales de corruption, l’évasion fiscale massive, l’effondrement des services publics, tout cela n'est pas une série de coïncidences. C'est la conséquence directe de décennies de complaisance et de connivence entre le gouvernement et les grandes fortunes, des Bernard Arnault et consorts qui se remplissent les poches sur le dos de notre société.

Avec le vent nouveau et l'arrivée de Trump, l’heure n’est plus à la patience, elle est désormais à l’action. Chaque nouvelle taxe, chaque décision arbitraire, chaque loi imposée à coups de 49.3, qui écrase un peu plus les travailleurs et les retraités, est une insulte à l’esprit de la nation. Il est grand temps de faire sauter les verrous, de briser le cercle de la corruption et de chasser ces malfrats du pouvoir. Nous devons détruire cette machine infernale, mettre fin aux privilèges abusifs, aux exonérations indécentes, aux violences de la milice, à l'impunité des magistrats et aux protections légales qui permettent à ces hommes de pouvoir de dormir tranquilles, sans craindre de rendre des comptes au peuple.

La purge ne signifie pas seulement le départ de ces politiciens corrompus, elle signifie aussi une refonte totale du système. Il faut des lois pour que chaque abus de pouvoir soit puni sans merci. Il faut déchoir ces élites de leurs droits, revoir la constitution pour empêcher les conflits d’intérêts, exiger que chaque centime de l’argent public soit comptabilisé et justifié. Exproprier les grandes fortunes qui ont profité de cette collusion éhontée depuis tant d'années, leur faire rendre jusqu’au dernier centime volé au peuple, mettre en place des tribunaux populaires pour juger sans délai et punir à la hauteur de leur crime, tous ceux qui se sont enrichis au détriment de la nation.

Quant aux véritables responsables publics de cette ruine économique ? Ils doivent être poursuivis, sans restriction de temps ni de lieu. Ce n’est plus le temps de l’indulgence ni des demi-mesures. Nous devons mettre un terme aux dérives de cette "aristocratie" moderne, aux protections qu’ils se sont accordées eux-mêmes, et leur rendre impossible la moindre évasion de leurs responsabilités comme de leurs capitaux.

L’argent du peuple doit retourner au peuple. Les milliards gaspillés dans les réformes "progressistes" doivent être réinvestis dans la santé, l’éducation, les infrastructures, là où la vraie France en a besoin. L’élite qui méprise les citoyens doit comprendre que sa domination est finie, que le temps des privilèges abusifs est révolu. C’est une question de survie car soit nous coupons les branches pourries maintenant, soit elles détruiront tout. La France n’est pas leur terrain de jeu, et le peuple ne peut plus attendre.

Face à cette situation de pillage systématique et de blocage institutionnel, plusieurs solutions concrètes sont proposées pour reprendre le contrôle des institutions et restaurer la justice, la transparence et le pouvoir citoyen en France. Ces actions visent à éradiquer la corruption et à redonner au peuple un contrôle réel sur sa destinée.

1. Poursuites Judiciaires : Lutter contre la corruption exige que des preuves solides de détournements de fonds, de conflits d'intérêts et d'abus de pouvoir soient collectées pour initier des poursuites judiciaires. Des organisations comme Anticor peuvent soutenir les citoyens dans cette mission, en s’attaquant aux cas de corruption documentés et en forçant les tribunaux à agir. Chaque infraction découverte doit être mise en lumière et poursuivie jusqu'à son terme, sans privilèges ni immunités pour ceux qui abusent de leurs fonctions.

2. Destitution Présidentielle : L’article 68 de la Constitution offre la possibilité de destituer le Président en cas de manquements graves à ses devoirs. Cette procédure doit être mise en œuvre par une coalition parlementaire issue du peuple et une pression populaire intense, démontrant que le pays n’acceptera plus de gouvernants au-dessus des lois. Une mobilisation massive des citoyens est essentielle pour exiger la destitution si des preuves de comportements contraires à l’intérêt national sont mises en lumière.

3. Réformes Constitutionnelles : La refonte de la Constitution est indispensable pour redonner au peuple le contrôle de ses institutions. Le Référendum d’Initiative Citoyenne (RIC) permettrait de soumettre des lois directement aux électeurs et de révoquer des élus indignes de leurs fonctions. Ce mécanisme donnerait aux citoyens le pouvoir de contrer les abus de pouvoir et de légiférer en faveur de la justice et de l’équité. Et à l'ère d'internet et des caméras de surveillance, ceci est une formalité. Renforcer ces moyens démocratiques de contrôle en temps réel est essentiel pour empêcher la mainmise de quelques-uns sur la nation.

4. Mobilisation Citoyenne : Une mobilisation massive, soutenue et motivée est un moyen crucial pour forcer un changement de gouvernance. Les grèves générales, les manifestations continues et la désobéissance civile allant éventuellement jusqu'à la confrontation avec la milice mettront une pression directe sur les pouvoirs publics et rendront impossible la continuation d’un système injuste. Ce mouvement doit s’étendre à toutes les classes sociales, de manière structurée, pour ne laisser aucune échappatoire aux gouvernants qui refusent d’entendre les demandes populaires.

5. Justice Populaire : Dans les cas les plus graves de détournement de fonds publics et de trahison des devoirs d'État, des tribunaux populaires pourraient être instaurés pour juger publiquement les responsables. Ces tribunaux agiraient en toute transparence, diffusés en streaming live sur le net, pour garantir au peuple le droit de connaître la vérité et de voir les coupables sanctionnés. La restitution des fonds publics et l’application de sanctions de travaux d’intérêt général rendraient les malversations coûteuses pour ceux qui s’en sont rendus coupables. Enfin, la surveillance des capitaux serait renforcée pour éviter les placements frauduleux à l'étranger, et les responsables de la dette abusivement imposée à la nation seraient traduits en justice pénale.

La réalisation de ces solutions dépendra d’une coordination large et d’un engagement citoyen sans faille. Seule une réforme profonde, radicale et sincère de nos institutions, appuyée par la volonté de justice et de transparence, pourra restaurer la confiance dans la gouvernance et garantir que la France demeure un pays où le pouvoir appartient véritablement au peuple.

Le gouvernement Macron, et plus largement le système institutionnel français, est enfin perçu à juste titre par une grande part de la population comme une structure prédatrice captée et dévoyée par les élites, qui profitent d'une fiscalité excessive pour privilégier leurs intérêts privés, toujours au détriment de l’intérêt public. Ces vautours se prendront pour des loups tant qu'ils n'auront pas croisés les lions. Il est donc temps de restaurer l’idée de service public, de rendre le pouvoir au peuple et d’agir contre une fiscalité étouffante digne d'un racket à la Al Capone, qui alimente les privilèges au lieu d’améliorer la vie des citoyens. 

Mais pour cela, il faut se lever ensemble et cesser d'avoir peur des éventuelles sanctions en les infligeant nous-mêmes à cette caste de carnassiers qu'il nous faut éliminer sans concession. Tel des lions chassant les hyènes ou comme Trump curant son marais. 

 Phil BROQ.






Commentaires

  1. FREXIT ! On quitte l'OTAN, on quitte l'UE, on créé des Constituantes partout en France pour une Nouvelle Constitution. On retrouve la souveraineté monétaire totale et politique. Voir les travaux d'Etienne Chouard. Beaucoup de vos solutions se trouvent dans le programme d'Etienne Chouard. Mais pour cela, il faut une REVOLUTION TOTALE et c'est à ce niveau là que se trouve le problème. Il va falloir être plus que quelques milliers de personnes, il va falloir être des millions !

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    1. Quelques éléments bien motivés, mobiles et discrets, feront toujours plus que des milliers de moutons endormis...

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