ENTRE CORRUPTION, MANIPULATION ET SURVEILLANCE : LE POIDS D'ISRAËL
Il est crucial d’éclairer l’opinion publique sur l’influence délétère qu'exerce Israël au sein des gouvernements européens, ainsi que sur la complicité de certains responsables corrompus, muselés par les services israéliens dont le Mossad. Car ce n'est qu'en éclairant les ténèbres que nous nous en débarrasserons, seule la lumière de la vérité doit nous guider si nous voulons sortir de ce carcan, dorénavant mondialisé.
Naturellement, les choses sont complexes et il convient de prendre de la hauteur anthropologique, historique et géographique par rapport aux événements proche-orientaux violents et tragiques afin d’appréhender sérieusement ce sujet. Car posée brutalement et de manière simpliste, la question du rapport d’Israël aux Palestiniens, comme maintenant au reste du monde non juif, paraîtrait simplissime et renverrait aux notions d’hostilité colonialiste, voire de haine maladive, et dans tous les cas à une conflictualité structurelle remontant aux premiers temps de l’État juif et même à sa matrice sioniste originelle, dès la fin du XIXe siècle. Ceci dit, il y a les faits !
La Palestine a été, comme d’autres pays arabes suite au démantèlement de l’Empire ottoman, soumise aux puissances européennes et sa population a dû faire face à un double processus colonial, britannique et sioniste. Trahis par une partie des dirigeants arabes, tiraillés entre différentes factions rivales, le défi imposé par le projet sioniste nécessitait des pratiques politiques et sociales ignobles qui dépassaient les capacités des mouvements palestiniens. Cependant, le projet politique des militants sionistes s’inscrivait dans un projet ciblant délibérément la population palestinienne pour débuter, puis la région toute entière pour leur délire immobilier nommé "Grand Israël". Ni passivité, ni soumission, ni vente de leur patrie, pourtant les Palestiniens n’ont fait qu’être victimes d’un rapport de force bouleversé par les Guerres Mondiales et les agressions ininterrompues de ces castes européennes, et surtout par l'invasion de juifs sionistes talmudistes non sémites venus d'Europe et de Russie. Aujourd'hui, c'est tout le Moyen-Orient qui subi cette agression et demain, selon ce schéma de conquête abjecte, impunie et encouragée sinon financée par les USA en perte d'hégémonie, ce seront donc tous les non-juifs comme vous et moi !
En premier lieu, il faut se demander comment une population totale, selon les données les plus récentes disponibles, estimée à environ 15,7 millions de personnes dans le monde, peut se retrouver au cœur de toutes les malversations mondiales, institutionnelles, médicales comme militaires actuellement. Ce chiffre inclut les Juifs vivant en Israël (7,1 millions, soit environ 45% de la population juive mondiale) et dans la diaspora (8,6 millions, soit environ 55%). Mais dont nombreux, loin s'en faut, ne sont ni sionistes (comme les orthodoxes), ni pour le génocide des palestiniens. Il est important aussi de noter que ces chiffres sont des estimations et peuvent varier en fonction des sources et des définitions utilisées pour définir qui est considéré comme Juif.
Prenons le cas, en France, de Benjamin Haddad, actuel ministre délégué chargé de l’Europe dans le gouvernement Barnier, qui incarne tristement cette influence étrangère devenue délétère. Ancien membre de l’Atlantic Council, Haddad a œuvré au service des intérêts de Washington, mais également de Tel Aviv, y compris lors de son passage au Service Européen pour l’Action Extérieure (SEAE). Ces positions ont fait de lui un agent officieux des politiques étrangères israéliennes et américaines en Europe. Mais il n’est pas seulement un représentant des intérêts israéliens ; il en est aussi un fervent défenseur idéologique. Pendant plusieurs années, il a travaillé pour le Tikvah Fund, une organisation au premier abord éducative, mais qui, en réalité, incarne l’idéologie radicale des "sionistes révisionnistes", dirigée par le criminel Elliott Abrams. Cette organisation ne se contente pas de soutenir Israël : elle est à l’avant-garde de l’idéologie extrémiste défendue par Benyamin Netanyahu, dont le père fût secrétaire de Jabotinsky, figure fondatrice du sionisme révisionniste aux penchants fascisants. En finançant Netanyahu et ses alliés, comme les radicaux Itamar Ben-Gvir et Bezalel Smotrich, le Tikvah Fund a contribué à instaurer un régime ultranationaliste en Israël, tentant un génocide sur les populations palestiniennes et désormais agressant aussi tous les pays voisins, en opposition totale aux valeurs de paix et de justice que l’Europe ou l'ONU aspirent officiellement à défendre.
En tant que porte-parole zélé de cette idéologie, Haddad a également soutenu la classification du Hezbollah en tant qu’organisation terroriste, aux côtés de Daesh, malgré le fait que le Hezbollah ait combattu Daesh, contrairement à Israël qui a été accusé de complaisance envers ce groupe pour servir ses intérêts stratégiques. Cette manœuvre habile a permis de faire avaler aux Européens une vision manichéenne de la région, favorisant l’isolement des ennemis d’Israël au profit de ses ambitions. Pour rappel, la Présidente de l’Assemblée nationale ,Yael Braun-Pivet avait prononcé une courte allocution le 10 octobre 2023 dans l’hémicycle, soit trois jours après l’attaque du 7 octobre : "Devant cette barbarie, je veux redire ici qu’Israël est un pays ami à qui je veux réaffirmer, au nom de la représentation nationale, notre totale solidarité et notre soutien inconditionnel", avait-elle déclaré, provoquant l’indignation des Français qui ne sont pas, eux, des soutiens inconditionnels de la barbarie. Ainsi, à travers Haddad, Braun-Pivet et les binationaux au gouvernement dévoués à un autre pays que la France, ce n’est pas seulement une influence étrangère qui pénètre les cercles de pouvoir nationaux, mais une idéologie suprématiste et raciste qui brouille la vision française comme européenne en matière de politique internationale.
Les gouvernements européens, manipulés par des représentants corrompus et endoctrinés, semblent oublier leurs valeurs et leurs intérêts au profit d’un agenda qui les dépasse et les compromet. Ces révélations mettent en lumière une réalité choquante : l’influence pernicieuse d’Israël et de ses alliés au sein de l’Europe, qui repose sur une stratégie sophistiquée de manipulation, de fraude, et d’espionnage visant à servir ses propres intérêts au détriment des valeurs démocratiques et de la souveraineté, et au-delà ; voilà qui manipule les décideurs.
En France, une série de fraudes à grande échelle impliquant des Franco-Israéliens ont coûté des milliards d’euros au Trésor Public et portent atteinte à la confiance citoyenne dans les institutions. L’escroquerie à la taxe carbone, le détournement d’organes ou les arnaques financières et numériques, toutes ces actions nuisent profondément à l'économie et à la société française. De très nombreuses associations à l'apparence innocente, comme le CRIF ou Torah-Box, exploitent les exemptions fiscales, détournant des dons, qui devraient soutenir les initiatives sociales françaises, pour financer une armée israélienne génocidaire et tueuse de bébés.
L’ampleur de cette emprise va jusqu'à s’infiltrer dans les médias français. Une enquête de Radio France a révélé les activités de Team Jorge, une agence de manipulation électorale, dont les actions soulèvent des questions sur la véracité des informations diffusées par des chaînes influentes comme BFMTV et sur la fiabilité de la couverture médiatique en général. Il est légitime de se demander qui contrôle l'information ?
Les exemples suivants révèlent aussi des pratiques de détournement de fonds, de fraude et d’abus qui sapent non seulement la confiance publique, mais également l’intégrité des systèmes financiers et juridiques européens. Chacune de ces affaires montre comment certaines organisations avec des liens vers Israël ou des intérêts sionistes, exploitent des dispositifs légaux et fiscaux en France pour des profits privés ou politiques, nuisant aux intérêts des citoyens français en volant leurs impôts, et des institutions européennes en corrompant l'ensemble de cette institution déjà bien mafieuse.
Ainsi, dans notre pays, les exemptions fiscales de 66% sont destinées à encourager les dons en faveur d’associations d’utilité publique dans les domaines sociaux, culturels et sportifs. Cependant, des structures associatives, comme le CRIF, Torah-Box, et DDF, sont accusées d’utiliser ces fonds pour financer indirectement l’armée israélienne et d’autres projets militaires. En prétendant collecter des dons pour des actions communautaires, ces organisations détournent en réalité des fonds vers des objectifs politiques et militaires, sinon immobiliers, déviant les aides fiscales françaises à des fins qui vont à l'encontre de l’intérêt public. Ce type de détournement représente un abus du système fiscal et une malversation couverte par le gouvernement corrompu, en soustrayant des ressources essentielles aux français et à des causes locales pour des intérêts étrangers.
L’une des fraudes fiscales les plus colossales qu’ait connue la France par les israélites est celle de la taxe carbone. Cette escroquerie consistait à acheter des quotas d’émission de CO² hors taxes dans des pays étrangers et à les revendre en France avec la TVA, sans jamais reverser cette taxe à l’État. Cette opération frauduleuse, impliquant notamment des acteurs franco-israéliens connus, (et passés chez Hanouna !) a coûté des milliards d’euros au Trésor Public français avant que le gouvernement ne supprime l’assujettissement de ces transactions à la TVA en 2009. Les fonds ainsi volés ont été réinvestis dans des opérations douteuses, finançant aussi des activités illicites et échappant au contrôle des autorités françaises. Ce scandale, largement documenté, illustre la capacité de ces organisations à exploiter les failles de la législation fiscale pour siphonner des ressources colossales au détriment du peuple et de l’économie française.
Autre cas, pendant la crise du COVID-19, une organisation criminelle composée de Franco-Israéliens basés en Israël a détourné les aides de l'État français en usurpant l’identité de véritables entreprises françaises. Ces fraudeurs ont ainsi perçu des indemnités de chômage partiel destinées aux entreprises touchées par la pandémie, privant ainsi de nombreuses entreprises légitimes des ressources financières nécessaires pour survivre. Ce type de fraude en période de crise démontre la capacité de ces réseaux à tirer parti des vulnérabilités économiques, exploitant les mesures de soutien gouvernementales pour leur propre profit et détruisant notre tissu industriel.
Nouvel exemple, des sociétés israéliennes se sont spécialisées dans la vente de faux produits financiers, ciblant en particulier les investisseurs français. Promettant des rendements élevés et une sécurité financière, ces entreprises ont induit en erreur des milliers de citoyens, leur extorquant des millions d’euros au total. Cette arnaque à l’investissement montre une autre forme d’exploitation économique où des sociétés sans scrupules profitent de la naïveté et de la confiance des investisseurs, parfois même en utilisant des techniques de manipulation psychologique pour convaincre leurs victimes.
Ou encore, depuis janvier 2024, des centres d’appel en Israël sont à l’origine d’une nouvelle forme de fraude numérique en France. En infectant des ordinateurs de particuliers avec un virus affichant un écran noir, les fraudeurs incitent les utilisateurs à appeler un numéro surtaxé, prétendument pour obtenir un dépannage. Les victimes finissent par payer des sommes importantes pour récupérer l'accès à leurs appareils, tandis que les criminels empochent des gains faciles. Cette arnaque exploite les besoins en assistance technique des utilisateurs non avertis, jouant sur leur panique pour les escroquer.
Et que dire de cet autre cas troublant qui remonte à l’époque où Simone Veil était Ministre de la Santé. Un accord permettait le transfert d’organes de citoyens français vers Israël, sans l’information ni le consentement des familles des donneurs. Ce procédé, qui soulève de graves questions éthiques et juridiques, a été largement critiqué pour son opacité et pour la violation potentielle des droits des familles des défunts. Ces détournements d’organes à l'échelle internationale continuent de hanter la réputation des politiques de santé publique, soulevant des inquiétudes sur la moralité et la transparence des accords bilatéraux. Lorsqu'on fait le rapprochement avec l'Ukraine et ces "usines à bébés", ou encore les disparitions d'enfants toujours plus nombreuses, l'affaire Epstein, Pizza Gates, les accusations contre Clinton/Podesta, les disparitions d'enfants à Haiti ou à la frontière Mexique/USA, ajoutons à cela les rituels sataniques commis dans les tunnels sous les synagogues New-yorkaise, les pédophiles réfugiés à Israël comme Tom Hanks, un tableau macabre se dessine rapidement
Ajoutons à cela le cas Briefcam, une entreprise israélienne spécialisée dans l'analyse vidéo, qui a déployé ses technologies de surveillance illégale en France, notamment à Nice, en partenariat avec les autorités locales. Ces dispositifs permettent une surveillance massive et parfois intrusive, exploitant des caméras et des logiciels capables de suivre les mouvements de personnes en temps réel. (Voir mes précédents billets sur le sujet). Bien que ces technologies soient officiellement présentées comme des outils de sécurité publique, elles posent de graves questions quant au respect de la vie privée et aux risques d'abus. De nombreuses entreprises de surveillance israéliennes s’implantent ainsi en France, contribuant à l’installation d’une infrastructure de surveillance omniprésente et potentiellement incontrôlable, échappant étrangement aux législations nationales et à la justice.
Au-delà des fraudes économiques, des détournements d'argent public, des ventes d'organes et de la pédophilie, la surveillance numérique, la compilation de dossiers pédocriminels servant à corrompre les politiques, il y a aussi les interférences d’agences de désinformation, comme le Mossad ou Team Jorge, qui montrent l’ampleur des manipulations au sein des médias français. Infiltrant Radio France, cette agence israélienne est accusée d’influencer les élections et de manipuler l’information. Les révélations sur ces pratiques questionnent l’objectivité des grandes chaînes d’information comme BFMTV et CNews, qui diffusent parfois des informations provenant de sources douteuses. De telles manipulations renforcent les soupçons d’ingérence étrangère dans la politique française, minant la confiance des citoyens dans la transparence du processus électoral.
Mais aussi sur la profondeur de la corruption et du noyautage de nos institutions avec la clique des sionistes talmudistes très bien implantés en France. Comme avec Braun-Pivet (gardant son siège malgré la perte des élections), Haddad, Mayer Habib, Fabius et consorts, ou encore Duhamel, Kouchner, BHL, Attali, Lang, Cohn-Bendit, tout le panel de BFM, les rédacteurs en chef de la presse mainstream, les guignols de conspiracy Watch ou les fact-chekeurs en général (rémunérés pour justifier la propagande d'état), mais aussi les directeurs de laboratoires et fabricants de vaccins, les banquiers privés de la FED... bref, toutes ces crapules qui travaillent contre les intérêts de la France et des français sont exclusivement tournés vers ceux d'Israël. Empêchant toute forme d'expression autre que la leur !
Les ramifications de cette influence vont bien au-delà des frontières françaises. Le cas de l’Italie est révélateur : un scandale d'espionnage secoue actuellement le pays, avec des accusations graves d’extorsion impliquant des informations sensibles sur des hauts responsables, y compris la Première ministre Giorgia Meloni. Le Mossad, le service de renseignement israélien, serait mêlé à cette affaire via une agence de sécurité milanaise. Cette opération, qualifiée par Meloni de "menace pour la démocratie", démontre que des informations confidentielles, y compris des secrets d’État, sont utilisées pour exercer les pressions politiques et corrompre les plus hautes strates gouvernementales.
Ces manœuvres ignobles d’espionnage, de corruption et de détournement montrent que les ambitions sionistes israéliennes en Europe ne se limitent pas à des partenariats diplomatiques, mais à une emprise systématique sur tous les rouages des États, des économies et de l'information. Les gouvernements comme les peuples autochtones doivent cesser de détourner le regard et faire preuve de vigilance pour défendre l’intégrité de leurs institutions, sans quoi ils risquent de sacrifier leurs propres valeurs démocratiques à des intérêts étrangers bien éloignés des idéaux européens. Et en regardant le génocide actuel des gazaouis, l'arrogance des sionistes et leur impunité jusqu'à l'ONU (traitée même d'antisémite par ces personnes originaire d'Europe centrale comme Netanyahou), on voit où la folie et l'idéologie sioniste de cette mafia sanguinaire, suprématiste, raciste et messianiste protégée par les USA, nous mène !
La question de l’influence israélienne sur les gouvernements européens soulève des enjeux cruciaux tant sur le plan éthique que politique. Loin de se limiter à des relations diplomatiques conventionnelles, cette influence se manifeste à travers des mécanismes complexes de corruption, de manipulation médiatique et de détournement de fonds, au détriment des valeurs démocratiques et de la souveraineté des États européens déjà soumis aux désidérata des USA. Alors que les institutions sont progressivement infiltrées par des intérêts étrangers, il est impératif que les citoyens prennent conscience de cette réalité et exigent des comptes de leurs dirigeants pratiquant cette haute trahison au quotidien.
Ces affaires évoquées mettent en lumière une interconnexion inquiétante entre le pouvoir politique, l'économie et des réseaux d'influence qui semblent souvent échapper à tout contrôle démocratique. Face à cette situation, il devient essentiel de promouvoir une transparence totale et d’encourager un débat public ouvert sur la nature de ces relations et l'existence d'Israël en tant que pays dans le concert des nations.
Ainsi, pour préserver l'intégrité de nos sociétés et garantir un avenir qui respecte les droits de tous, il est temps d'agir avec détermination et lucidité. Ne pas le faire, c'est courir le risque de voir nos valeurs fondamentales étouffées par des agendas étrangers, alors même que la paix et la justice dans le monde dépendent d'une compréhension honnête et critique des réalités géopolitiques.
En fin de compte, seule une prise de conscience collective, une information libre et une vigilance constante permettront de rétablir l'équilibre rompu par cette corruption et d'œuvrer pour un avenir où la lumière de la vérité éclairera notre chemin.
Phil BROQ.
Encore un billet d’une lucidité rare . Le sionisme est le pire des poisons et la cause de quasiment tout ce qu’il y a de négatif sur cette planète . Il faut le combattre par tous les moyens et c’est ce que vous faites avec une très grande assiduité. Continuez, ne vous arrêter jamais . Nous devons tous faire de même , il en va de notre existence , de notre civilisation, de notre liberté , de notre dignité , de la vie sur terre !
RépondreSupprimerJe suis d'accord, mais il semblerait que le déni soit puissant dans ce pays !
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