Macron, c’est l’histoire d’un enfant-roi tombé du ciel des milliardaires, propulsé sur le trône républicain sans autre légitimité que celle d’avoir plu aux puissants. Un gamin trop bien peigné, élevé au jus de Davos, à qui on a fait croire qu’il était un génie parce qu’il savait réciter des fiches. On l’a sacré président comme on lance un nouveau produit, on l’a couvé comme un trophée, on l’a trimbalé de plateau en plateau comme un influenceur de l’élite, et aujourd’hui, le pays s’effondre sous ses pas en cuir Berluti. Sourire figé, regard vide, téléprompteur greffé à l’âme, Macron n’a jamais été un chef, juste un figurant principal dans une pièce écrite par d’autres, un pantin au service d’un théâtre où les coulisses sentent la finance, les cabinets de conseil et les intérêts transnationaux. Il n’est pas le fruit du suffrage éclairé, mais la créature d’un système de caste, où la compétence s’efface derrière la connivence. La présidence Macron, c’est le règne du vernis où tout e...
Il faut en finir avec cette farce grotesque, ce carnaval de pseudo-résistance médiatique où s’agitent, grimés en justiciers de la vérité, une cohorte de charognards numériques. Se drapant dans les oripeaux de "l'alternatif", ces sites pullulent comme moisissure sur pain rassis, vociférant contre la propagande des médias mainstream tout en pratiquant, sans la moindre vergogne, la plus cynique des escroqueries intellectuelles. Ces faux médias ne sont pas des voix, ce sont des miroirs déformants, des dispositifs à siphonner la lumière des autres. Leur modèle repose sur le vol d’attention, cette nouvelle monnaie du web qu’ils raflent comme des courtiers d’influence. Il faut donc comprendre que les auteurs indépendants ont plus que jamais besoin de vitrines saines, respectueuses et transparentes, pour porter leurs messages au-delà du cercle restreint des initiés. Et ces plateformes devraient être des espaces d’échange authentiques, où la pensée libre peut circuler sans dévoiem...
En ce moment, les médias de propagande agitent devant les foules le chiffon rouge d’une guerre perdue d’avance contre la Russie, on brandit la peur du feu nucléaire au Proche-Orient, comme on ferait tourner un mauvais spectacle pour distraire le public d’une scène plus importante. Tout cela n’est qu’une mise en scène grossière, un théâtre médiatique, où l’on prétend préparer des affrontements titanesques alors qu’en réalité, les finances, les armes, les hommes et l’industrie font défaut, et que personne n’a la capacité ni la volonté d’un tel bras de fer. Ces menaces servent surtout à masquer la véritable guerre silencieuse, numérique et planétaire, menée contre l'humanité, non pas avec des bombes mais avec des QR codes et des bases de données. C’est là que s’installe un système d’identité universelle, bancaire et médicale, qui réduit les peuples à des lignes de code et des profils prédictifs. Et pendant ce temps, les masses, saturées d’écrans, de divertissements et de petites indi...
Tandis que le monde vacille sous le double joug d’une dette publique colossale et d’un système financier parallèle totalement hors de contrôle, deux chiffres identiques surgissent comme des coups de massue avec le chiffre faramineux de 97 000 milliards de dollars… Une première fois comme dette publique mondiale, officiellement comptabilisée ; une seconde comme dette cachée, dissimulée dans les arcanes des produits dérivés, en particulier les swaps de change, selon la Banque des règlements internationaux (BRI). Deux dettes, deux visages d’un même cancer économique venu d’un capitalisme financiarisé, dérégulé, devenu prédateur. Face à cela, deux figures se dressent, opposées en tout, unies seulement par leur puissance politique. D'un coté, Emmanuel Macron, ancien larbin de la banque Rothschild, propulsé à la tête de l'État grâce à une élection aussi transparente qu'un miroir de salle de bain après une douche. Incarnant la silhouette fluette d’une petite princesse servile, p...
Il vient toujours une heure où les empires pourrissent de l’intérieur. Non pas parce qu’on les attaque, mais parce qu’ils se sont construits sur des mensonges si lourds qu’ils finissent par s’y noyer. Nous sommes témoins d’un spectacle morbide où l’Occident, loin de s’interroger sur sa propre décadence, choisit délibérément de plonger le monde dans le chaos. La guerre, dans cette logique perverse, devient non plus une tragédie à éviter, mais la panacée universelle à laquelle on sacrifie la raison, la diplomatie, et même la vérité. L’Occident, vieux roi fatigué, maquille son agonie d’un vernis martial, joue les matamores sur les planches orientales, et s’acharne à faire résonner les tambours de la guerre contre la Russie ou l’Iran pour couvrir le fracas de sa propre déliquescence. La guerre est devenue son opium, sa drogue dure, sa diversion ultime. Il ne cherche plus la paix, il la redoute. Car la paix, elle, impose l’introspection. Et cela, l’Occident ne s’y risque plus. Il préfè...
La connaissance est le début de la compréhension........mais aussi de la colère.
RépondreSupprimerIl est dit que : " Seule la vérité nous rendra libre !" .... Et cette colère est saine et salutaire . Bien à vous !
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