LA TERREUR DES COLLABOS ET LE RÊVE DES PATRIOTES SE NOMME TRUMP
Avec la victoire de Donald Trump et la vague de réveil populiste qui secoue les États-Unis, le vernis de moralité des élites occidentales se craquelle. Cette élection marque un coup de tonnerre pour l’ordre établi, jusqu’alors maintenu par la manipulation, le mensonge et la répression de toute dissidence. Les prétendus "grands " de ce monde – ceux qui se réunissent dans les coulisses du Forum de Davos et tirent les ficelles de nos sociétés – sont en pleine panique. Avec Trump, les maîtres de la finance, de l'industrie pharmaceutique et des médias risquent de devoir enfin rendre des comptes.
Trump et ses alliés se posent désormais en figures de la justice, prêts à traquer cette "mafia moderne" incarnée par les grandes entreprises et les influenceurs cachés. Ce n’est pas qu’un simple retour au pouvoir, mais bien une guerre ouverte contre les puissants, les intouchables, ceux qui ont façonné notre réalité pour la conformer à leurs intérêts. Leurs mensonges, qui passaient pour des vérités, sont en train de leur exploser au visage. Pour les peuples lassés d'être les pantins d’une oligarchie sans scrupule, cette élection pourrait bien être l’aube d’une ère nouvelle.
Commençons par Israël, cet "allié indéfectible ". Beaucoup avaient espéré que la politique de Trump pourrait apporter un souffle d'air frais pour les Palestiniens, mais cette illusion s’est vite dissipée. Trump, entouré de son gendre ultra-sioniste et de sa fille convertie au judaïsme, se pose en défenseur inébranlable de l’État israélien. Paradoxalement, son retour expose les divisions internes : même l'armée israélienne en vient à remettre en question Netanyahu, avec des rumeurs de coup d’État en réponse à la gestion chaotique du gouvernement. Les Israéliens eux-mêmes sont plongés dans la tourmente, et l'impunité de leurs dirigeants pourrait enfin toucher à sa fin.
En Europe, dénoncer les violences d’Israël est devenu un acte risqué. Le professeur Haim Bresheeth, juif et descendant de survivants de l'Holocauste, est arrêté à Londres pour avoir soutenu la Palestine lors d’une manifestation pacifique. La critique est réduite au silence, alors qu’une parole haineuse contre les Palestiniens, comme l’appel public du fils Sarkozy, sur LCI, à "les laisser crever", passe sans conséquence.
En France, dirigée d'une main de fer de la corruption et du chantage par les sionistes, la situation est devenue un véritable naufrage orchestré par l’élite politico-financière. La justice est sélective, les discours sont manipulés par les médias et l'État français pour qui l'antisionisme est amalgamé à l’antisémitisme, et toute opposition devient un acte de rébellion. Pendant ce temps, Macron, entouré de son cercle de grands financiers comme Bernard Arnault, s’adonne aux réceptions somptueuses, des centaines de milliers d’euros pour accueillir Charles III, tandis que l’industrie nationale s’effondre. Les dépenses de l’Élysée flambent alors que Michelin ferme et Auchan supprime des postes, mais les élites continuent de festoyer. Macron et son cercle semblent plus attachés à entretenir le "réseau" des puissants qu'à défendre le peuple. Sous ce règne, la France sombre dans un gouffre financier et moral sans fin.
L’élite mondiale, rassemblée au Forum Economique de Davos, voit son pouvoir contesté comme jamais. Cette cabale d’influenceurs et de décideurs, habitués à dicter l’agenda économique et politique mondial, est désormais dans le collimateur de Trump et de ses alliés. Bill Gates, Anthony Fauci, George Soros, et d’autres figures emblématiques du "gang mondialiste" sont visés ; ceux qui ont façonné la réponse mondiale à la pandémie et à toutes les crises récentes. Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, avec un entourage prêt à défier ouvertement ces puissants acteurs, fait trembler ces figures d'autorité, de Wall Street à Bruxelles. Pour eux, la menace est désormais bien réelle : Trump a promis de démanteler leur emprise et de rendre des comptes aux Américains et aux peuples occidentaux.
Mais c’est aux États-Unis que l’élite mondiale est secouée au plus profond. Big Pharma, avec ses manœuvres pour protéger les vaccins de toute responsabilité légale, sent la menace s'approcher. Les GAFAM, longtemps en position de force, voient en Trump et en ses alliés un péril inédit. Le sénateur Robert F. Kennedy Jr., critique virulent de la corruption des grandes entreprises, promet de nettoyer les agences de santé fédérales, dominées par des intérêts privés depuis des décennies.
Cette fois, il ne s’agit pas de simples mots : les PDG de Big Pharma sont en réunion de crise. La déclaration des scientifiques japonais qualifiant le vaccin contre le COVID-19 de "médicament le plus mortel de l’histoire" est un coup de grâce. Robert Kennedy Jr. prévoit déjà d’enquêter sur les dérives d’Anthony Fauci et de Bill Gates, l’un des nombreux architectes de cette "pandémie mondiale" qui a enrichi Big Pharma. Le plan est clair : redonner à la science son intégrité et placer la santé des Américains avant le profit.
Et dans ce dossier, l’Europe est en première ligne et n'est pas épargnée par le vent de révolte qui souffle de plus en plus fort. Ursula Von der Leyen, figure clé de la collusion politique avec les laboratoires, est visée par une plainte concernant ses contrats douteux avec Pfizer. Et si Robert Kennedy Jr. joint ses forces aux plaignants, les jours de la championne de la santé publique sont comptés. Figurant parmi les premières cibles, elle est dans une position délicate. L’affaire des contrats d'achat de vaccins, conclus par SMS avec Albert Bourla, PDG de Pfizer, pourrait la mener droit en prison.
En effet, elle est convoquée le 6 décembre prochain à Liège, suite à une plainte portée par le lobbyiste Frédéric Baldan, appuyé par l’avocate Me Protat, la Hongrie, la Pologne, et près de mille autres plaignants. La possibilité que Robert Kennedy Jr. - auréolé du rôle de justicier conféré par Donald Trump - s’implique dans la procédure contre Von der Leyen ajoute une pression supplémentaire. Ce procès pourrait marquer le début d’une lutte acharnée contre Big Pharma et ses complices, alors que les révélations se succèdent sur les accords opaques qui ont favorisé les intérêts des laboratoires, tous tenus par des sionistes, au détriment des citoyens.
La liste ne s’arrête pas là. Bill Gates, grand architecte de nombreuses solutions "globales", n’est pas épargné. L’homme qui se voyait en prophète de la santé publique mondiale est lui aussi désormais convoqué devant la justice néerlandaise le 27 novembre 2024. Ce procès pourrait bien révéler au grand jour les coulisses de ses vastes opérations d’influence, menées sous couvert de philanthropie et de "santé mondiale" avec le concours de l'OMS. L’ampleur de ses investissements dans les vaccins et autres solutions médicales, financés par la "Bill&Melinda Gates Foundation", aurait servi des intérêts personnels bien plus lucratifs qu’altruistes. Gates devra donc répondre de ses relations troubles avec les géants pharmaceutiques et des conflits d’intérêts qui l’entourent. Pour la première fois depuis longtemps, les puissants voient leur immunité contestée.
Les médias grand public, eux aussi, sentent le sol se dérober sous leurs pieds. Elon Musk, en s’engageant pour la transparence et en promettant des révélations fracassantes, leur lance un avertissement. Ceux qui ont suivi aveuglément les récits officiels - de la pandémie aux vaccins, de l'Ukraine à Israël, de la censure inique au soutien des Démocrates, et de tous les mensonges allant des pénuries à l'escrologie -pourraient se retrouver dans le collimateur des réformateurs. Tandis que les médias alternatifs gagnent en force, l’audiovisuel public français, financé par des milliards de fonds publics, vacille. Les médias qui relayent les récits officiels commencent à sentir la pression de ce changement de paradigme.
Trump ne se contente pas de gagner une élection, il secoue les institutions. Comme lors de la chute du Mur de Berlin, une ère s'effondre, et les défenseurs de la corruption et de l’impunité sont enfin en position de faiblesse. Le Congrès, tenu d’une main de fer par les Républicains, se range derrière lui. Ses mots résonnent fort : "Le futur appartient aux patriotes". Il semble que les mondialistes, longtemps intouchables, ont trouvé leur Némésis. Ceci dit, la politique se vérifie par des faits et non des paroles... Wait and see !
Enfin, l’ombre d’Epstein plane de nouveau. La fameuse liste de clients pourrait bien voir le jour, et ce ne sont pas des petites frappes qui sont visées. Des figures du monde entier tremblent et la défaite de Kamala Harris, porteuse de cette élite mondialiste, risque de tous les ébranler. Car en toile de fond, l’affaire Epstein, comme celle de Puff Daddy, expose une vérité cruelle où les puissants sont enlisés dans des scandales dont ils ne peuvent se défaire.
Trump et ses alliés se posent désormais en justiciers du peuple, prêts à traquer cette "mafia moderne" incarnée par les grandes entreprises et les manipulateurs cachés. Ce n’est pas qu’un simple retour au pouvoir, mais bien une guerre ouverte contre les puissants, les intouchables, ceux qui ont façonné notre réalité pour la conformer à leurs intérêts. Leurs mensonges, qui passaient pour des vérités, sont en train de leur exploser au visage. Pour les peuples lassés d'être les pantins d’une oligarchie sans scrupule, cette élection pourrait bien être l’aube d’une libération.
L'élection de Donald Trump, aussi imprévisible qu'un coup de tonnerre dans un ciel bleu vue la puissance de la triche mise en place, a donc plongé les sphères dominantes dans une panique sans précédent. Les bien-pensants, ces détenteurs d'un pouvoir acquis dans l’ombre, se retrouvent désormais à découvert, comme des cafards surpris par la lumière. Ce sont les vrais perdants de cette élection, car elle expose leurs manigances à une échelle jamais vue, et les laisse face à leurs contradictions.
Il est grand temps, chers amis de la vérité, de redresser la tête et de nous unir sans hésitation. Car le moment est venu de serrer nos rangs et de faire front ensemble, prêts à affronter la grande épreuve qui se profile à l'horizon.
Ce combat épique ne tolérera ni la division ni l'indifférence : c'est l'heure de faire preuve de courage, de solidarité et d'engagement, car seule l'unité pourra nous conduire à la victoire.
Phil BROQ.
J'aimerai tant partager votre optimisme en ce qui concerne l'élection de Donald Trump. Mais la réalité m'invite à la prudence . Espérons le meilleur mais n'oublions jamais de nous préparer au pire.
RépondreSupprimerJe ne parle de Trump que pour le réveil qu'il impose et la peur qu'il inspire aux puissants comme lui mais je ne fais aucune illusion sur ce qui vient des USA. Je n'attends pas de sauveur non plus, mais au moins un sursaut d'orgueil du peuple Français
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