L'OCCIDENT VEUT SAUVER SA PEAU AVEC LE REQUIEM DU CHAOS
L’Histoire nous a toujours enseigné cette leçon brutale que lorsqu’un empire vacille, il ne recule devant rien pour retarder sa chute. Des Romains incendiant leurs propres champs pour affamer leurs ennemis, aux puissances coloniales saccageant des nations entières avant de battre en retraite, le scénario reste le même depuis des siècles. Allant de destruction systématique pour protéger un ordre en péril, aux pires infamies pour protéger ses arrières.
Aujourd’hui, l’Occident, pris au piège de ses contradictions, semble prêt à rejouer ce théâtre de l’abîme. Ses dirigeants, qu’on pourrait surnommer les "architectes du chaos", ne cherchent plus à préserver un monde en paix, mais à orchestrer une explosion plus ou moins contrôlée, où ils espèrent demeurer maîtres des ruines. Mais, regardons la réalité en face, on ne construit pas des missiles nucléaires et des doctrines belliqueuses pour faire joli. "On ne dépense pas toutes ses ressources pour gagner, n’est-ce pas ? Parce qu’alors, nous n’aurions plus de quoi dissuader l’ennemi", comme l'explique cyniquement un représentant du STRATCOM. Prouvant si besoin que Washington ne vise pas la victoire mais l’intimidation perpétuelle. Mais face aux armes de nouvelles technologies employées récemment, jusqu’à quand ce grand bluff nucléaire suranné tiendra-t-il ?
Pour ces élites, la solution radicale est évidente car si Trump revient, il va déclencher un effet domino, révélant non seulement leurs méfaits, mais aussi leur responsabilité dans la dégradation de l’ordre mondial. Alors, plutôt que d’affronter cette vérité, elles préfèrent choisir l'option extrême de créer un chaos si profond, si vaste, que la justice des Hommes elle-même deviendrait alors hors de portée.
Le retour potentiel de Donald Trump au pouvoir en 2025 sème donc une panique visible dans les cercles de pouvoir occidentaux corrompus. Contrairement à l’image caricaturale donnée par les meRdias de propagande, d’un président imprévisible, Trump incarne, pour ces élites, une véritable menace existentielle. Pourquoi ? Parce qu’il a déjà démontré qu’il était prêt à briser tous les tabous pour dénoncer les guerres inutiles, questionner les alliances coûteuses, et surtout, mettre en lumière les machinations de ceux qui dirigent cette valse macabre dans l’ombre. Ses promesses de "drainer le marécage" résonnent encore dans tous les esprits et son éventuel retour pourrait bien exposer enfin ces rouages occultes que beaucoup de ces malfaisants qui gouvernent actuellement préféreraient maintenir cachés.
L’Ukraine, véritable pion sacrificiel sous la houlette de BlackRock, clame une capacité nucléaire qu’elle n’a pas et n'aura jamais. Pendant ce temps, ses attaques inefficaces et provocatrices sur des cibles sensibles et des civils, comme à Kourtchatov, ne servent qu'à justifier toujours plus une riposte russe écrasante. Mais dont le stratège Poutine tempère depuis plus de deux ans à présent.
Et les réunions d’urgence de l’OTAN, comme celle prévue le 26 novembre 2024, ne sont que des vitrines pour masquer l'impuissance collective de cette alliance belliqueuse et archaïque. Les pseudo stratèges occidentaux savent parfaitement que face à des missiles russes comme l’Orechnik, leurs interventions sont sinon risibles, au minimum pathétiques.
Certains de ces experts occidentaux, trop imbibés de doctrine US et croyant qu'il s'agit encore de poker, croient même que Poutine bluffe. Mais ce "bluff" a déjà permis à la Russie de neutraliser méthodiquement l’armée ukrainienne, tout en exposant les limites des États-Unis et de leurs alliés. La stratégie de Moscou est limpide puisque chaque missile, chaque frappe, chaque avancée militaire dessine un nouveau rapport de force, un front de plus en plus dégarni et la dégradation de leur Nouvel Ordre Mondial déjà moribond.
Alors, que reste-t-il a ces acteurs occidentaux, enfermés dans leur illusion de suprématie et leurs stratégies désuètes ? Et bien, rien d’autre sinon miser sur la destruction totale des peuples d'Europe pour garder un semblant de contrôle avant leur disparition. Le cynisme de leur politique repose sur le calcul glaçant que s'ils ne peuvent pas régner, alors plus personne ne règnera.
Pendant ce temps, Vladimir Poutine, le Grand Maître international du jeu d'échec, a signé un décret élargissant les possibilités d’usage des armes nucléaires. Encore du bluff, pensez-vous ? Peut-être. Mais un bluff qui donne des sueurs froides à l’OTAN et à tous ces alliés depuis des décennies. La Russie prévient, encore une fois, que toute agression contre ses alliés, même indirecte, sera alors considérée comme une attaque conjointe. Et contrairement aux fantasmes occidentaux, elle a déjà montré qu'elle ne plaisantait pas lorsqu'il s'agissait de défendre ses intérêts face à cette bande de fous de guerre.
Les missiles balistiques Orechnik, récemment utilisés pour anéantir des infrastructures stratégiques à Dnipro, leurs ont d'ailleurs envoyé un message limpide que c'est bien la Russie qui maîtrise l’escalade et dicte les règles. N'oublions pas que les échecs ont été inventés par les russes, alors que les américains ne maitrisent que le poker menteur ! Et encore, pas toujours...
Le parallèle de cette situation hautement sensible est frappant avec les colonies d'Israël sous la houlette d'un Netanyahou qui adopte depuis longtemps cette politique de la terre brûlée pour museler ses opposants. Et l’Occident, sionisé et soumis, suit dorénavant exactement le même chemin. Sauf qu'ici, les enjeux sont d'une autre ampleur.
Les États-Unis, toujours prêts à vendre des missiles ATACMS et Storm Shadow à l’Ukraine, jouent avec des allumettes dans un baril de poudre désormais nucléaire. Le pantin Macron, tentant une dernière carte pour exister aux yeux de ses maîtres, offre nos missiles Scalp dont la technologie de guidage est dépassée depuis des années. En réponse, la Russie modifie sa doctrine pour s’adapter à la folie ambiante et promet un flash final en moins de 14 minutes chrono. Une provocation puérile de plus, mais dont les conséquences pourraient transformer l’Europe en un désert radioactif en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.
La stratégie de l’Occident ressemble étrangement à celle de ces généraux perdus sur les champs de bataille des siècles passés. Où quand il devient évident que l'on va perdre, on détruit absolument tout sur son passage. Et cette politique absurde de la terre brûlée s’observe déjà à plusieurs niveaux.
Sur le plan militaire, la montée des tensions entre la Russie et l’Occident, nourrie par une série de provocations aussi abjectes que délibérées, semble avoir pour seul objectif de préparer le terrain à une crise mondiale ravageuse. Les livraisons de toujours plus missiles de haute précision au proxy ukrainien, les frappes ciblant des infrastructures stratégiques ou civiles, et surtout la rhétorique enflammée autour des capacités nucléaires ne faisant qu’amplifier un climat déjà saturé par la peur. Chaque pas vers l’escalade ressemble à une tentative plus ou moins calculée pour rendre une guerre totale inévitable sur un public déjà hypnotisé.
Du point de vue économique, les sanctions colossales imposées à la Russie, censées la "punir", ont surtout infligé des dégâts collatéraux dévastateurs, plongeant l’Europe dans une crise énergétique et économique sans précédent, alors que les BRICS se sont resserrés. Loin d’être des décisions rationnelles, ces mesures semblent servir une autre ambition pour instaurer un état de désordre permanent, un chaos contrôlé où les populations, épuisées et divisées, deviennent plus malléables et soumises à ces tyrans fous de leur hybris. Ce contexte instable offre un terrain idéal pour des manipulations politiques à grande échelle, permettant aux élites d’imposer leurs agendas inéluctables sous prétexte de préserver un ordre mafieux dans lequel ils se vautrent depuis tant d'années.
Et concernant la politique générale, les fractures internes des sociétés occidentales sont instrumentalisées par Soros et le WEF avec une efficacité redoutable. Les débats enflammés sur les identités, les libertés individuelles et les crises sociétales ne sont pas simplement des symptômes d’un malaise profond, ils sont savamment exploités pour détourner l’attention des véritables enjeux globaux. Ainsi, pendant que les peuples se disputent sur des questions secondaires, les architectes de cette instabilité ont les mains libres et avancent leurs pions, invisibles dans le tumulte des canons.
Derrière ce chaos soigneusement entretenu depuis le fiasco de leur pseudo pandémie, une vérité s’impose, cette guerre ne se résume pas à des missiles ou des doctrines nucléaires. Elle est le reflet d’un empire à bout de souffle, qui lutte désespérément pour maintenir sa domination, coûte que coûte, face à l’émergence d’un monde multipolaire. L’Occident, autrefois maître incontesté des règles du jeu, se retrouve à voir ses certitudes balayées par le contact avec la réalité. Mais à quel prix, pour les peuples médusés, cette transition s’opérera-t-elle ?
Les acteurs cyniques qui tirent les ficelles de cette tragédie semblent avoir oublié cette vérité fondamentale que si l’on peut facilement semer le chaos, il est impossible de le maîtriser une fois qu’il échappe à ses créateurs. Et leur quête désespérée de domination à travers la destruction pourrait bien entraîner une spirale hors de tout contrôle, laissant dans son sillage un monde où plus rien ne serait à sauver.
Cette stratégie repose sur une logique cynique mais implacable où dans un environnement chaotique, les véritables coupables peuvent même arriver à se repositionner comme "sauveurs". Ils se poseraient alors en architectes de la reconstruction, effaçant d’un trait de plume leur implication dans cet effondrement. Mais l'histoire est toujours écrite par les vainqueurs... Or, dans ce cas, ils risquent de se fourvoyer lourdement. Et ce théâtre d’ombres, où se mêlent ambitions, manipulations et dévastations, ne laisse qu’une question en suspens : jusqu’où iront-ils avant que tout ne s’effondre ?
Derrière ce cirque médiatique, une seule certitude émerge alors. Cette guerre n'est pas qu'une affaire de bluff et de menaces, mais bien un point d'orgue où se joue l'avenir même des oligarques mondialistes. Elle est le miroir parfait de la fin d’un empire, comme la planète en a tant connu, et le début d’un monde multipolaire où l’Occident décadent ne dictera plus jamais les règles.
À travers l’Histoire, tous les empires en déclin ont cherché à redéfinir les règles avant de quitter la scène. Mais aujourd’hui, nous assistons à une étape supplémentaire grâce à la guerre technologique, qui est la volonté de pouvoir détruire le jeu lui-même. Si les tensions atteignent leur paroxysme avec une guerre nucléaire, un effondrement financier ou une crise climatique orchestrée, qui pourra encore demander des comptes à ces responsables depuis longtemps identifiés ? Puisque dans un monde réduit au chaos, la justice deviendrait une chimère.
Alors que ces élites orchestrent cette partition macabre, les peuples, eux, se trouvent comme toujours pris en otage par la folie des banquiers apatrides qui la financent. L’illusion d’un monde divisé entre "bons" et "méchants" masque la réalité plus crue, faisant que ceux qui prétendent nous protéger sont aussi ceux qui ont le plus intérêt à nous mettre en danger. Face à une telle stratégie de destruction, désormais évidente, la seule question qui reste est de savoir jusqu’où sommes-nous prêts à les laisser aller sans nous insurger ?
L’Histoire nous enseigne que les empires qui refusent de rendre des comptes finissent toujours par tomber. Mais le prix de leur chute ne devrait pas être l'Armageddon. Or, la stratégie de la terre brûlée n’est pas une preuve de force mais bien l’aveu ultime de leur faiblesse insurmontable.
Ce qui se joue aujourd’hui entre une OTAN moribonde, en proie à ses divisions internes et ses ambitions dépassées, et une Russie impériale renaissante, ressemble à un requiem du chaos, une symphonie dissonante où chaque coup porté est une note de désespoir. L’OTAN, vieille machine bureaucratique déguisée en rempart de la civilisation, s’accroche à ses illusions de puissance en déversant missiles et sanctions, espérant masquer son déclin sous le vacarme de la confrontation.
En face, la Russie, héritière d’un empire forgé dans le feu et la glace, répond avec la brutalité d’un maître du temps venu rappeler à l’Occident que l’Histoire ne se plie pas à ses caprices. Entre ces deux forces, le monde entier danse au bord du précipice, pris en otage par une lutte où personne ne cherche à gagner, mais où tout le monde refuse de perdre, quitte à plonger la planète dans l’abîme.
Face à cette bande organisée de crapules sans foi ni lois qui ne dirigent l'Occident moderne qu'avec le mensonge et la repression, la conclusion s’impose d'elle-même : nous ne sommes plus qu’à une décision irrationnelle d’une catastrophe mondiale inimaginable et irréversible.
Et tandis que les élites orchestrent leur dernier acte avec l’arrogance de ceux qui n’ont plus rien à perdre, les peuples, réduits au rôle de spectateurs impuissants, devinent déjà l’épilogue où leurs destins seront encore sacrifiés sur l’autel des ambitions d’hommes prêts à tout détruire pour retarder leur chute.
Il ne nous reste donc plus que 60 jours de tensions pour effacer 60 ans de corruption, ou si vous préférez, 60 jours d'affronts pour purger 60 ans de plomb.
Phil BROQ.
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