25 août 2021

LES NINJAS DU DEMON...

    Dans l'ouvrage rédigé en 1576 par Étienne de La Boétie "Le Discours de la servitude volontaire", on apprend qu'un pouvoir, même quand il s’impose d’abord par la force des armes, ne peut dominer et exploiter durablement une société sans la collaboration, active ou résignée, d’une partie notable de ses membres. Il recherchait une explication à l’étonnant et tragique succès que connaissent les tyrannies de son époque, comme il en est de nos jours. Car ils sont toujours aussi nombreux à croire, sous les apparences trompeuses, que cette obéissance est obligatoirement imposée. De plus, beaucoup s’imaginent encore, quand ils pensent, que la servitude est forcée alors qu'elle est en vérité toute volontaire. Et il posait une question troublante : "Comment peut-il se faire que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations endurent quelquefois un tyran seul, qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent ?" 

    Loin de notre occident natal, le ninja désignait, à une époque à présent révolue mais contemporaine de celle de La Boétie, les pratiquants confirmés du "ninjutsu" (discipline d'arts martiaux rigoureuse, élaborée au cours des conflits du Japon médiéval, afin d'entraîner les mercenaires destinés aux missions spéciales). Ainsi, ce terme japonais servait à désigner une catégorie particulière d'espions ou de mercenaires capables d'envenimer ou de déstabiliser un ennemi, et furent actifs jusqu'à la période d'Edo, au début du XVIIème siècle. Les fonctions du "ninja" comprenaient donc l'espionnage, le sabotage, l'infiltration, l'assassinat et surtout la guérilla. Leurs méthodes cachées de guerre non conventionnelles furent jugées déshonorantes pour la caste de samouraï qui observait des règles strictes concernant l'honneur et le combat mais, pour autant, qui ne rechignait jamais à acheter leur service contre leurs rivaux. Après l'unification du Japon sous le Shogunat Tokugawa (XVIIIème siècle), les seigneurs ayant conquis le pays en totalité, le ninja très utilisé à l'époque s'est alors évanoui dans l'obscurité. 

    Les ténèbres étant leur meilleure cachette pour faire croître le mal, on peut toutefois observer leur grand retour actuellement. Notamment avec les "fous de Davos" qui, se prenant pour des samouraïs modernes mais sans éthique cette fois, réutilisent leurs "ninjas politiques" contre les peuples. Et ayant appris de leurs erreurs, à la différence des peuples, ces mercenaires se sont comme toujours vendus au plus offrant sans jamais chercher l'éthique de leurs actions. Ainsi, les oligarques du mondialisme ayant besoin de garder leur troupe d'élite financée et formée par les "Young leaders" ou les "Bilderberg" à la déstabilisation du monde, ont non seulement réuni une armée de ces assassins, mais aussi généré toute une légion de petites mains quasi gratuite et sacrifiable à desseins. Et suivant ce principe à présent établi d'inversion des valeurs et du détournement des mots, qui caractérise notre époque, ils leur ont aussi donné exactement le même nom. Leur seul point commun étant de vendre corps et âme pour une poignée de dollars, sans ce soucier le moins du monde des conséquences de leurs actions assassines.

     Ainsi, les nouveaux "ninja" des temps modernes, sont des pauvres humains sans aucune foi ni conscience, répondant sous l’acronyme américain cette fois de "No-Income, No-Job-&-Asset" signifiant "sans revenu, ni emploi et biens" et utilisés comme "trolls" pour soustraire, grâce à leurs actions néfastes, à la masse sa légitimité. Ils correspondent donc à cette catégorie d'humains n'ayant plus aucun avenir tracé, plus de diplômes utiles, ni aucunes capacités personnelles leur permettant d'être indépendants. Et ils sont en revanche, de plus en plus nombreux dans nos sociétés à être ainsi prêts à faire ou dire n'importe quoi pour un peu de ressources vitales, pour quelques miettes pouvant pérenniser leur souffrance miséreuse sur notre Terre. Ce ne sont plus du tout des combattants japonais à l'agilité entrainée, mais des esclaves volontaires, incapables d'affronter le vrai monde tant leurs capacités sont restreintes. Ils ne sont que des petits pions jetables et utilisés comme tels sur l'échiquier du mal.

    Alors, de même qu'avec l'inacceptable soumission et la plus crasse obéissance de nos dirigeants envers ces malfaisants criminels de l’Ordre mondial réunis dans les montagnes suisses, utilisés tels des Ninjas rompus aux techniques non plus du combat mais de la réthorique, ils expliquent et argumentent leurs comportements délictueux grâce à cette servitude financière qu'ils assument. Les temps ont changé en cela, car aujourd’hui ils ne s'en cachent plus. Ils avouent aisément que le peuple les encombre et les dérange dans leur obsession de se remplir les poches, de s’enrichir comme des malpropres sur le dos des travailleurs. Nous vivons donc à l'heure actuelle une véritable guerrilla d’élimination totale, et menée par les troupes assujetties des élites dirigeantes, contre une population devenue trop nombreuse et inutilement coûteuse à leurs yeux. Elle est l'instauration d’un nouvel esclavage, appelé par goût de l'inversion "libéralisme" et simultanément menée par l’accroissement exponentiel de la répression contre le citoyen lambda. 

    Et pour prêcher leurs paroles prophétiques, qui sont loin d'être bonnes, ils ont même recréé le langage qui leur sert d'argumentation devant un public hypnotisé à souhait par les meRdias du monde entier. Cette dernière armée de la pénombre étant une troisième faction de ces ninjas modernes, moitié éduqués et entrainés mais malgré tout sacrifiables à volonté, comme un petit rempart au courroux des peuples. Mais "Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous déguisés en brebis, mais au-dedans ce sont des loups féroces. Vous les reconnaîtrez à leur conduite", comme disait Matthieu (7:15). 

    Et ce langage récréé est basé sur l'emploi abusif des Oxymores. En rhétorique, un oxymore ou oxymoron, est une figure de style qui vise à rapprocher deux termes (un nom et un adjectif) que leurs sens devraient éloigner, dans une formule en apparence contradictoire, telle "une obscure clarté" utilisée par Pierre Corneille. Il exprime donc ce qui est inconcevable. Il crée une nouvelle réalité, mais il rend surtout compte de l'absurde. Celui dans lequel nous sommes plongés quotidiennement par exemple.

    De nos jours, cette technique de communication, ou plutôt de manipulation verbale et écrite, est employée dans tous les secteurs de notre vie. On en connaissait déjà les utilisations faites par les ayatollah de l'écologie sous leurs slogans de "developpement durable", de "capitalisme vert", "d'écotourisme de masse", et plus récemment de "réalité virtuelle", ou de "seul choix possible". Puis avec le langage des vendeurs de guerre talmudo-sionistes lorsqu'ils annonçaient leurs "guerres humanitaires", leurs  "bombardements chirurgicaux", leur "mal nécessaire" ou encore la "flexisécurité" et "la tolérance zéro". C'était l'époque du "en même temps" tant chéri par nos gouvernants nationaux depuis l’avénement des pantins de l'Élysée.

    Avec la nouvelle guerre génocidaire nommée sanitaire, envers les peuples devenus contraignants pour les esprits totalitaires des dirigeants des multinationales, entreprise sous couvert de sauver la vie des gens ordinaires, on atteint des sommets dans cette ignoble manipulation du langage. Et utilisant les techniques de communication éprouvées du IIIème reich, et dont Joseph Goebbels en a été l'architecte malsain. Il disait alors :  "Nous ne voulons pas convaincre les gens de nos idées, nous voulons réduire le vocabulaire de telle façon qu'ils ne puissent plus exprimer que nos idées."  Ou encore "À force de répétitions et à l'aide d'une bonne connaissance du psychisme des personnes concernées, il devrait être tout à fait possible de prouver qu'un carré est en fait un cercle. Car après tout, que sont "cercle" et "carré" ? De simples mots. Et les mots peuvent être façonnés jusqu'à rendre méconnaissables les idées qu'ils véhiculent."  Et ce n'est là que l'expression de ce que nous revivons 80 ans plus tard, avec toujours Rothschild au financement. 

    Ainsi, la fausse crise sanitaire créée de toutes pièces et amplifiée par les meRdias aux ordres, nous a gratifié de quelques pépites dans le genre sus-cité. Laissez moi vous en citer quelques unes et pas forcement les meilleures, telles que : "Le pass sanitaire" qui est devenu par enchantement un "passe sécuritaire" et qui rend libre grâce aux contrôles perpétuels de la police... "le libre consentement est acquis par obligation" pour "une thérapie génique expérimentale qui est devenue un vaccin fiable mais à 39%", où "l’expérimentation qui ne peut avoir que de bons résultats". Car à présent "se réinventer sans cesse construit notre identité" et "faire de la ségrégation sanitaire est un acte altruiste". De plus, on peut lire grâce à l'affaire Fabius que "Le conflit d'intérêt est la garantie de toute expertise fiable",  là où "le peuple use de violence pour récupérer ses droits"  en voyant ses "cotisations sociales devenues des allocations"... et "Plus le mensonge est gros, mieux il passe", disait encore Goebbels.

    Alors qu'en réalité, plus le peuple laisse passer de mensonges plus ils en feront des gros, voire des grossiers ! Car cet artifice, utilisé depuis des décennies par les talmudo-sionistes qui mènent le monde à sa perte par leur haine et qui est nommé l’inversion accusatoire, est un processus de défense bien connu des prétoires et consistant à imputer la cause finale d’un délit non pas au coupable mais à sa victime. De fait, ils ne cessent, en effet, d’accuser leurs opposants et les peuples de leurs propres vices. Et de bourreaux, ils se font passer pour les victimes, comme le faisaient en leur temps, les seigneurs japonais avec le ninja. Ils traitent de complotistes ceux qui les dénoncent complotant notre perte, ou d'antisémites ceux qui dénoncent les sionistes venus d'Europe centrale nullement sémites, et de racistes ceux qui veulent garder leur identité nationale et souveraine... Ainsi fait, les oligarques nomment liberté, ce qui désigne en réalité la nouvelle condition d'humanité servile et contrôlée, qu’ils veulent nous imposer.

    Que ce soit dans les valeurs, dans les mots ou dans les actes, tout va à l'envers de la plus simple logique et du bon sens qui a fait évoluer l'Humanité jusqu'à là. Tout est à présent retourné, chamboulé, détruit par le ninja d'aujourd'hui, afin de créer le Chaos nécessaire pour que ces fous messianistes, totalitaires et meurtriers puissent prendre la main, instaurer leur nouveau désordre satanique, sur l'humanité créée par le divin et le monde en général. En ouvrant les yeux sur les pièges de l’inversion accusatoire, nous découvrirons que ceux qui jouent en permanence les procureurs des peuples, sans jamais en faire partie, les accusent en réalité des crimes qu’ils ont l’intention de commettre contre eux. Il faut donc éclairer les ténèbres si l'on veut les voir disparaitre à jamais, car c'est en nommant le mal qu'on en trouve le bon remède.

 Leur "novlangue", basée sur l'oxymore et inventée par George Orwell pour son roman d'anticipation 1984, est donc une tromperie universelle imposée sur et par le langage. Et l’inversion accusatoire est alors une tromperie encore plus grave, car elle porte sur la distinction entre le Bien et le Mal. Car avec l’inversion accusatoire, le Mal se pare des couleurs du Bien et du Juste, et en cela leur maxime issue des illuminati et reprise par les franc-maçons "d'ordo ab chaos" (l'ordre du chaos) en est la plus symbolique.


Ainsi, le "monde" à l'envers est bien l'oeuvre du "démon" ! 


Phil BROQ.



    




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