28 août 2021

MANIGANCES D'ETAT Vs LEGITIME DEFENSE

     La pire des mafias, jamais mise à l'œuvre dans le monde moderne, est aux manettes. Et cette fois c'est la police et les forces armées qui aident ces assassins à régner en maitre sur notre quotidien. Menaces, vols, extorsions, rackets, humiliations et dépossession sont devenues les usages de cette caste politique qui dirige à l'heure actuelle le monde vers sa déchéance. L'agression perpétuelle des peuples, par cette pseudo élite mondialiste totalement déconnectée du réel est arrivée à son paroxysme dès le début du XXIème siècle, dont la date du 11 septembre fût le signal de départ de cette course à la mort programmée de l'humanité. Notre planète et ses habitants de base vivent donc leur vingtième année de viol en continu. Et rien ne semble pouvoir stopper cette avancée mortelle.

    L’utilisation de la force et du pouvoir, physique comme psychique, pour contraindre, dominer, tuer, détruire ou endommager tout ce qui  jusque là a fait notre monde, est devenu la norme de cette élite auto-proclamée et corrompue jusqu'à la lie. Elle implique aussi bien les coups qu'ont reçu les manifestants lors de la manif pour tous, les blessures subies tout au long du processus des gilets jaunes, la souffrance occasionnée et souvent à long terme pour tous les français spolié de leurs droits élémentaires, ou encore la destruction de la liberté comme des acquis sociaux gagnés par nos ancêtres, sans parler de la destruction des éléments naturels et vitaux. Selon la définition célèbre de Max Weber, un "monopole de la violence légitime" est exercé par les états et celle-ci peut dégénérer en terrorisme d'État ou d'autres formes de violence les plus extrêmes telles que le génocide, que les auteurs tentent alors de légitimer par l'emploi d'oxymores tels que ceux des doctrines de la "guerre juste".

    Les véritables racailles de notre époque ne sont plus dans les quartiers dits défavorisés, mais se nomment BAC, BRAVM, CRS, gendarmes, policiers etc. Toute cette corporation, bien avant la corruption systémique de la justice, est aux ordres d'un tout petit groupe de meurtriers patentés par les milliardaires de Davos. Les forces dites de l'ordre ne sont plus qu'un ramassis d'abrutis, violents, assermentés et sur armés, qui jouent le rôle de miliciens contre le peuple pacifiste et sans défense (et qui paie pourtant leurs salaires). Cette catégorie professionnelle des "Gens d'armes", comprenant les plus stupides et les moins doués des représentants de notre espèce, est devenue en moins de dix ans plus nombreuse que le nombre de paysans qui nous nourrissent, mieux payés que les enseignants qui éduquent, plus choyés que les infirmiers qui soignent et plus protégés dans leurs tenues de robocops contre une population en short et en tee-shirt que s'ils combattaient contre des hordes de paramilitaires  entrainées à la guérilla urbaine.

  Depuis le début de ce siècle, les marionnettes malsaines qui font office de politiques se sont retranchées derrière ce paravent ultra violent que sont ces milices décérébrés, qui officient au grand jour et en toute impunité sous couvert "d'ordres venus d'en haut". Utilisant cette excuse à tout bout de champs pour justifier leurs méfaits quotidiens dans et contre notre société. "Forts avec les faibles et faibles avec les forts", ils ont abandonné depuis longtemps leur rôle de gardiens de la paix pour se concentrer exclusivement à réprimer le citoyen lambda où qu'il soit et quoi qu'il fasse. Laissant les dealers envahir les rues et les écoles et les assassins et égorgeurs courir d'églises en églises. Ils n'endiguent que le droit de s'exprimer par les manifestations pourtant légitime des sans dents, des pauvres, des obéissants, des derniers croyants en la démocratie, tout en laissant les voleurs et violeurs assumés siéger dans les parlements. Les véritables délinquants sont en cols blancs et les pires des scélérats sont armés et assermentés contre l'application du simple droit. 

    Recrutés pour leur incapacité à être de vrais êtres humains, incompétents en tout, au point de n'avoir pas d'autres possibilité de métier, ces tristes individus à l'imbécilité accrue sont regroupés et uniformisés pour détruire la société, pendant que les vrais truands se frottent les mains. On leur fournit armes et protections pour pouvoir exercer leurs vices à l'encontre de toutes les populations. Incapables de savoir discerner le bon et le juste, ils opèrent en meute, tels des chiens dressés à mordre fort dès que l'on s'approche de leurs maitres. Soumis comme des caniches à leur hiérarchie, ils n'en sont pas moins fiers de jouer les lions au milieu des moutons que constitue la majorité de la population. Leur réalité de médiocres étant masquée par leurs aptitudes à frapper fort et durs sur les personnes mettant en lumière l'incohérence et la vraie violence des gouvernants, dont chacun subit les effets. Et ils sont bêtes au point de tuer l'avenir de leurs propres enfants. 

    Accablés par les taxes qui prennent plus de la moitié des salaires, enfermés par des normes et décrets qui empêchent toute liberté, apeuré de pouvoir sortir sous peine de recevoir des PV, mutilés et éborgnés dès qu'ils vont manifester, contrôlés et rackettés lors des contrôles routiers, humiliés et maltraités dès qu'on parle d'eux à la télé, insultés et infantilisés à chaque discours qui est prononcé, les français sont pourtant toujours pacifistes pour aller manifester. Le peuple ne veut jamais détruire ce qu'il a fabriqué ou payé, ni les villes, ni les rues, ni aucun des lieux où s'élisent et s'exercent contre eux les lois faites par les ruiner et les enfermés. Ils n'attaquent jamais, ni les maires, ni les préfets, ni les députés, ni aucune personne politique, dont ils savent pourtant qu'une bonne raclée leur ferait passer l'envie de recommencer. 

    Le peuple est bon et pacifiste par essence et par nature. Seuls des déracinés, des mal éduqués, des enfants trop gâtés peuvent s'abandonner à tout saccager par bêtise, par vice ou par haine. Seule cette petite frange de l'humanité dite "d'en bas", celle des abrutis n'ayant pas reçu ou ayant refusé l'instruction, ne sachant pas vivre autrement que par la rapine et la violence, n'ayant pas d'avenir plus lointain que celui du jour, dans un environnement malsain, peuvent s'adonner à la dégradation volontaire. Mais ceux là, ils sont aujourd'hui les nouveaux rois de ce monde voué à sa destruction par les élites autoproclamées. Ce sont les multirécidivistes qui restent des "chances pour la France", pendant que les familles natives, brimées, maltraité, humiliées, essaient de sauver ce qu'il reste de l'héritage moral et architectural séculaire de leurs ancêtres.

    Connaissant le prix à payer des guerres organisées par les banquiers, sachant le coût du sang versé pour continuer à vivre tel que nos anciens ont lutté pour le créer et  préserver ce monde entier,  étant conscients qu'une petite étincelle pourrait tout faire flamber et pour de longues années, le peuple français si résilient n'a pas vocation, pour l'instant,  à trop se rebeller. Mais à trop pousser le bouchon ou à tirer si fort sur l'élastique, à faire monter si fortement la pression comme la répression, à enlever toute chance d'avenir comme à présent pour leurs enfants, il se pourrait bien que dans un avenir très prochain, ce soit les hommes qui se mettent à mordre les chiens.

    Car, il n'y a pas besoin d'armes sophistiquées pour punir comme on devrait, ceux qui aujourd'hui ont renversé l'ordre normal de ce qu'est une véritable société. Lorsque le nombre est là, déterminé, convaincu qu'il n'a plus rien à perdre de plus puisque tout lui a été enlevé, que les hommes ont retrouvé le courage d'assumer, que les femmes ont retrouvé la conscience de lutter, que les peuples ont compris qu'il s'agit d'un combat ultime pour défendre leur vie, alors la peur, le doute, les exactions et les punitions changeront définitivement de camps. Ce ne sera pas difficile d'entrer dans les cantonnements pour châtier les responsables en uniformes puisqu'ils sont regroupés avec leurs familles dans leurs casernes. Ce ne sera pas non plus compliqué d'aller chercher dans leurs lits les préfets, les députés, les maires et tous les responsables de cette misère. Ce ne sera même pas amoral de faire justice soi même dans un pays ou la justice est absente depuis trop longtemps. Ce ne sera pas non plus la fin, ni la guerre puisque les ennemis sont à portée de main. 

    Mais si cela devait arriver, si cela se produisait, si le peuple enfin s'enflammait et se retournait contre ses geôliers, alors beaucoup de ceux qui se pavanent à l'heure actuelle, ne verraient probablement pas le jour se lever. Peu de ceux qui se croient à l'abri derrière leurs milices surarmées et de leur lois votées pour eux-mêmes, pourraient profiter d'un jour de plus sur cette Terre, et encore moins nombreux seraient ceux qui s'en sortiraient simplement avec la tête rasée. Car, de traîtres à collabos le pas étant si vite franchit, la vindicte populaire, si elle devait s'exprimer à nouveau, ne leur laisserait surement pas la possibilité de se relever et de respirer le jour nouveau. La défense légitime, qui devrait alors s'abattre sur cette petite partie des "gens d'armes" comme sur les responsables politiques de la dérive actuelle, serait si violente et si soudaine, si libératrice et enivrante pour les hommes et les femmes qui construisent ce pays chaque matin de leurs mains, que rien ni personne ne pourrait plus jamais leur enlever leur souveraineté retrouvée.

    Il suffirait de si peu pour que le peuple se soulève vraiment, qu'il reprenne le cours interrompu de son destin, qu'il offre un avenir plus sain à ses enfants. De si peu pour qu'il soit débarrassé à jamais de cette engeance de truands en cols blancs, de cette caste de malfaisants qui se disent gouvernants, de ce groupe de faux puissant qui ne le sont uniquement par le vol de leur argent et de leurs agents corrompus caché sous des uniformes rutilants. Il suffirait de si peu de courage, mais tous ensemble, pour voir le monde redevenir cet Eden où l'on vivait librement. 

    Il suffirait simplement de prendre conscience pour l'ensemble de ces gens, pour tous ceux qui font vivre cette société, pour ceux qui travaillent d'arrache pieds pour donner un élan à leurs enfants, pour tous ceux qui œuvrent au quotidien à construire un monde digne et moral, que leur mort a été programmée par des  banquiers scélérats protégés par une milice armée. S'ils comprenaient que leur ennemi premier est juste à coté d'eux, à table et en famille. Il verraient combien leur oncle, cousin, père, frère qui s'est glissé sous l'uniforme des "gens d'armes" est la cause unique et le rempart ultime de cette gangrène mondialisée.

    Si chacun réalisait combien les rouages de cette machination meurtrière et néfaste sont fragiles. Combien les agents déterminants qui empêchent l'évolution du monde sont assis juste là, à portée de main, chaque jour. Si tous ceux qui connaissent de près ou de loin ces traitre assermentés et le leur faisait payer en les chassant simplement de sous leurs toits, de leurs tables, de leurs fêtes de famille sans même être violents, mais juste fermes et déterminés. En leur disant par exemple "sortez d'ici, quittez cette table vous qui nous condamnez moi et mes enfants,  chaque jour que Dieu fait ! Je n'ai plus rien à partager avec vous, ni repas, ni amitié tant que vous serez dans les forces armées !", alors le monde changerait pacifiquement, radicalement et pour longtemps. 

    Mais ceci n'est qu'un doux rêve de pacifiste, une fiction intellectuelle d'un idéaliste, une volonté pieuse de voir l'homme revenir à la raison par de simples actions, par des paroles sincères et assumées dès lors que l'on possède une conscience éveillée. Car le monde réel est autrement et la violence y est exercée librement par ceux qui sont armés. Dans notre monde, les hommes seront toujours tentés d'abuser de leur autorité, d'user de leur force pour faire plier les faibles, d'assouvir leur brutalité envers ceux qui se laissent dominer. Et par goût du pouvoir beaucoup se laissent tenter et font des choses que leur propre mère interdirait. 

    Alors, en attendant l'éveil de la conscience de chacun, en espérant l'honnêteté des participants, en priant pour que la justice et la bonté entrent dans les cœurs de tous, il faut malheureusement se rendre à l'évidence que pour le moment, c'est la violence, la cupidité, la corruption et la bêtise qui dominent cette période. Il n'existe pas d'autres méthodes plus douces dans cette société sans solidarité pour se préserver. Il n'existe pas non plus d'échappatoire à cette autodestruction orchestrée. Il ne nous reste alors, pour nous protéger de cette violence illégitime à laquelle nous devons faire face si nous ne nous voulons pas périr en condamnant aussi nos descendants, que le sursaut d'orgueil d'un homme vrai, que l'abnégation d'une mère voulant sauver ses enfants, que le courage du condamné qui est de pratiquer réellement et consciemment la légitime défense pour tout arrêter.

Le combat est la seule issue !

Phil BROQ.

    

    



    

    

    

    

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