26 août 2021

L' ECOLE DE LA VIE...

  En Égypte ancienne, l’éducation des enfants divergeait selon leurs origines sociales et leur sexe. Les enfants de sexe masculin, quelle que soit leur condition sociale, étaient eux appelés à embrasser la carrière de leur père. Les jeunes filles participaient aux tâches domestiques et étaient de ce fait préparées dès leur plus jeune âge à devenir des épouses capables de tenir une maison. On remarque alors deux lieux distincts d’enseignement : "l’ât sebayt" signifiant littéralement le "lieu d’enseignement", que l'on appelle communément l'école et le "per ânkh" signifiant la "Maison de Vie" ; et seuls les enfants issus de la noblesse, de la prêtrise, et de l’administration allaient à l’école. L’enseignement principal consistait à inculquer aux enfants l’apprentissage du hiératique, qui était l’écriture de l’administration. À côté de l’apprentissage de l’écriture et de la lecture, les mathématiques y étaient également enseignées. Les étudiants désireux de se perfectionner dans telle ou telle voie étudiaient alors durant plusieurs années leur spécialité dans une Maison de Vie.

    Les conquêtes d’Alexandre le Grand, puis l'annexion de la Grèce à l'Empire romain, permirent de répandre l’esprit grec, son rationalisme et son humanisme, mais aussi son goût pour l’art de la rhétorique. Ainsi, dès l’antiquité, il existait déjà des écoles, mais celles-ci étaient toujours réservées aux plus riches ou aux garçons. Mais les plus anciennes institutions éducatives possédant une structure institutionnelle sont apparues aussi dans de très nombreuses civilisations. Ces centres enseignaient généralement la philosophie et la religion. Soulignons que la pensée antique s’était peu préoccupée de l’enfant, et se focalisait plutôt sur la formation de l'Homme adulte.  Il faut aussi  distinguer que ces institutions de l'université moderne occidentale, dont le modèle a pris naissance durant l’antiquité grecque avec "le Lycée" sous la direction d’Aristote, se sont développées au Moyen Âge entre le VIème et le XVème siècle. Ce type d’université a ensuite été adopté dans d'autres régions du monde depuis le début de l'époque moderne.

    En France, c'est en 1792, sous la Révolution française, que la Convention projette de rendre l’école obligatoire et gratuite. Cette idée est développée par le philosophe et mathématicien Condorcet dans son "Rapport et projet de décret sur l'organisation générale de l'instruction publique", qui recommande un système d’enseignement laïc, ainsi que l’égalité entre filles et garçons.  Il faudra cependant attendre le 28 juin 1833 pour que le libéral protestant et franc-maçon François Guizot, alors ministre de l’Instruction publique sous Louis-Philippe, fasse voter une première loi relative à l’enseignement primaire, qui prévoit la scolarisation des garçons, ainsi que l’obligation pour les communes de plus de 500 habitants d’avoir une école primaire. Et s’il n’est pas encore prévu d’obligation scolaire dans le cadre de cette loi, en revanche, il est prévu que l’enseignement soit gratuit pour les élèves dont les familles sont hors d’état de payer une rétribution. Mais il faudra cependant attendre encore jusqu'en 1882 pour que l’école devienne véritablement obligatoire en France. Guizot écrit en trois mois une oeuvre immense, l'Esquisse d'un tableau historique des progrès de l'esprit humain, qui retrouve l'inspiration de ses maîtres chéris : d'Alembert et Turgot. Par cet ouvrage, il donne toute sa force au message de la philosophie de l'Encyclopédie.  Le 8 juillet 1793, Chabot obtient d'une poignée de députés présents à la Convention un décret d'arrestation contre Condorcet. Arrêté dans une auberge (imprudent, il y avait demandé une omelette de douze oeufs !), il fut emmené dans la prison de Bourg-la-Reine sur une charrette, car il n'était plus capable de marcher. Le lendemain matin, il fut découvert mort dans sa cellule : il s'était empoisonné.

    Lorsque sous la IIIe République le franc-maçon Jules Ferry, alors président du Conseil et ministre de l’Instruction publique, décide d’instaurer la gratuité absolue de l’enseignement primaire, sa loi du 16 juin 1881 n’est donc pas une mesure vraiment nouvelle. Car avant son adoption, on comptait déjà près de 7 000 communes françaises ayant établi cette gratuité.  Il fera voter la loi le 28 mars 1882, rendant l’école obligatoire pour tous les enfants qui vivent en France, de 6 ans à 13 ans, et pouvant être donnée, "soit dans les établissements d’instruction primaire […], soit dans les familles, par le père de famille lui-même ou par toute personne qu’il aura choisie". Il a été également décidé à ce moment là que l’école serait gratuite et laïque afin que tous puisse y aller, riches, pauvres, garçons et filles. Mais c’est en matière de laïcité que la loi du 28 mars 1882 change véritablement les choses, en supprimant tout enseignement chrétien à l’école, et en le remplaçant par une instruction morale républicaine. De fait, rendre l’enseignement primaire obligatoire, c’est donc surtout affirmer la neutralité de l’État dans le domaine religieux en séparant la sphère publique de la sphère privée et en inculquant déjà une autre forme de conception d'un monde loin des idéaux divins. Jules Ferry échappe par deux fois, en 1883 et 1885, à des attentats perpétrés contre lui, le second par un déséquilibré partisan de Clemenceau, qui lui laisse une balle dans la poitrine. Cela le handicapera jusqu'à sa mort d'une crise cardiaque au 1 rue Bayard, le 17 mars 1893.

     Par la suite, le Front populaire avec sa loi du 9 août 1936 initiée par un autre franc-maçon du nom de Jean Zay, prolongera cette obligation jusqu’à 14 ans, bien que les élèves titulaires du certificat d'études primaires pouvaient déjà quitter l'école dès 11 ans. Jean Zay a 32 ans, lorsque le 4 juin 1936, Léon Blum lui propose le ministère de l'Education Nationale et de la Culture. Il est aidé par deux femmes dont Irène Joliot-Curie à la recherche scientifique. Il était ministre de l'éducation mais aussi de la culture. Il est à l'initiative de la médecine préventive, de la radio scolaire, du CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique). Étant juif par son père, protestant par sa mère, franc-maçon et radical de gauche... Il suscitait la haine de la part des nazis et miliciens. Le 20 juin 1944 des miliciens déguisés en résistants l'abattront puis le jetteront dans un puits. Son corps ne sera retrouvé qu'en 1946. Ainsi, le principe de laïcité en matière religieuse est au fondement du système éducatif français depuis la fin du XIXe siècle. L'enseignement public est laïque depuis les lois du 28 mars 1882 et du 30 octobre 1886. Elles instaurent l'obligation d'instruction et la laïcité des personnels et des programmes. L'importance de la laïcité dans les valeurs scolaires républicaines a été accentuée par la loi du 9 décembre 1905 instaurant la laïcité de l'État.

     Et en 1959, l’école deviendra obligatoire jusqu’à 16 ans. On doit cette mesure à une ordonnance signée par le général De Gaulle, le 6 janvier de cette année là. Récemment, le Grand-Maître du Grand-Orient, Fred Zeller et celui de la Grande Loge, Richard Dupuy, ont fait quelques confidences à un journal nommé "Europe-Parlement", destiné à la  classe politique européenne. Ils avouèrent que : "C’est le général De Gaulle, c’est lui qui nous a rendu force et vigueur". De Gaulle aurait dit "Je vais redonner la République à la France et il n’y a aucune raison que je ne lui redonne pas aussi les francs-maçons"  dans une déclaration faite à Alger en 1943 et citée dans le livre de Zeller "Trois points, c’est tout". Sous la Ve République, le Grand-Orient ne disposait que de 150 affiliés à l’Assemblée nationale et au Sénat, contre 350 sous la IIIe République. Ainsi, la dissolution de la Franc-Maçonnerie en 1940, par le gouvernement du Maréchal Pétain, avait porté un coup sévère à la Maçonnerie. Par le décret du 19 août publié au journal officiel de cette année là, il dissout le Grand orient de France et la Grande loge de France, les autres obédiences seront dissoutes le 27 février 1941. Et bien que les mandats politiques ne seront plus accessibles aux franc-maçons, ils continueront d'exister dans la clandestinité. Ce qui prouve que l’on peut bel et bien briser cet État dans l’État avec un peu de volonté.

    Mais revenons au sujet, la construction du système éducatif a été un processus complexe combinant surtout enjeux politiques et idéologiques, économiques et sociaux, pédagogiques et didactiques, dans lesquels, la lutte contre l'enseignement de la morale chrétienne fut de tout temps au coeur du débat.  Ainsi, les professeurs du réseau SLECC (Savoir Lire, Ecrire, Compter et Calculer) se sont posés la question dans une conférence qui s'est tenue à Gien en 2008, face aux incohérences de l’enseignement actuel. Notant au passage un constat accablant lors de leurs journées d’études. Des propos extrêmement durs et alarmants ont été tenus par des gens compétents qui en ont marre et ne pratiquent pas la langue de bois, comme l’instituteur Marc Le Bris (auteur du livre "Et vos enfants ne sauront pas lire ni compter" chez Stock) ou, à l’autre bout de la chaîne, le professeur d’université Jean-Pierre Demailly, éminent mathématicien membre de l’Académie des Sciences et président du GRIP (Groupement de réflexion interdisciplinaire). Ils ont souligné entre autre, un "système éducatif français en décadence totale", une "déstructuration et incohérence des programmes" une "ambitions excessives" et plus encore une "prise du pouvoir il y a trente ans d’une coterie qui a imposé une méthode d’enseignement unique et générale dangereuse pour le pays, les familles, etc" . Et pour eux, les répercussions de ce triste état des lieux vont bien au-delà de la faiblesse du niveau des élèves, de la dérive des violences urbaines et des récentes manifestations puisant également leurs sources dans cet échec. Et ce n’est pas la loi Jospin de 1989 qui a arrangé les choses, bien au contraire.    

    Marc Le Bris estime que "L’école aujourd’hui ne fait plus son travail techniquement » étoffant son discours d’exemples criants aussi bien en français (et sa « fameuse » méthode globale ou idéovisuelle), en arithmétique (où pendant deux ans, on n’apprend que l’addition sans pouvoir la comparer avec les autres opérations), qu’en histoire (où l’on demande à des gamins de CM2 de faire, quasiment: une analyse de la guerre d’Algérie). C’est stupide et dangereux". "Et ces jeunes seront les futurs professeurs de vos enfants alors qu’ils seront incapables de transmettre la connaissance »… ; c'est terrifiant!". Pour ces professeurs en colère, c’est dans les années 95/96 sous la présidence Chirac, et où Bayrou était ministre de l'éducation nationale,  que le véritable déclin s’est fait sentir et d’ailleurs, les chiffres d’aujourd’hui se passent de commentaires : plus de 20% des élèves entrant au collège ne comprennent pas ce qu’ils lisent et 38% ne savent pas faire une opération.

    L’historien et sociologue américain Christopher Lasch (décédé en 1994) a publié "La Culture du narcissisme", sous-titré "La vie américaine à un âge de déclin des espérances", en 1979. Il écrira : "La foi dans le pouvoir merveilleux de l’enseignement est l’une des composantes les plus durables du progressisme ; même par les idéologies hostiles à ce dernier. Pourtant, la démocratisation de l’enseignement n’a pas accompli grand-chose qui justifie cette foi. Elle n’a, ni permis au peuple dans son ensemble de mieux comprendre la société moderne, ni amélioré la qualité de la culture populaire, ni enfin réduit l’écart entre riches et pauvres. En revanche, elle a contribué au déclin de la pensée critique et à l’abaissement des niveaux intellectuels." Et contrairement aux affirmations de la plupart des théoriciens de l’éducation et de leurs alliés des sciences humaines, la société industrielle avancée ne repose plus sur une population conditionnée à désirer la réussite. Elle exige plutôt un peuple abruti, résigné à effectuer un travail sans intérêt et de mauvaise qualité, et disposé à ne chercher satisfaction que dans les heures consacrées au loisir.

    Comme R. P. Blackmur en faisait la remarque en 1954, "la crise de notre culture tire son origine de la fausse croyance selon laquelle la société ne réclame que peu d’esprits capables de créer et de faire fonctionner les machines, mais exige, en revanche suffisamment de nouveaux illettrés pour que les autres machines – celles des mass médias – puissent les exploiter. C’est sans doute la forme de société la plus coûteuse et la plus gaspilleuse de talent que l’espère humaine ait jamais créée. (...) L’éducation de masse, qui se promettait de démocratiser la culture, jadis réservée aux classes privilégiées, a fini par abrutir les privilégiés eux-mêmes. La société moderne, qui a réussi à créer un niveau sans précédent d’éducation formelle, a également produit de nouvelles formes d’ignorance."

    Quel est le point commun entre André-Marie Ampère, Blaise Pascal, Pierre Curie, Marguerite Yourcenar et Jean d’Ormesson ? Ils ont tous fait l'école à la maison. Et celui entre les fondateurs de Google, d'Amazon et Wikipédia ? Ils ont tous bénéficié de la pédagogie Montessori. La pédagogie Montessori est une méthode d'éducation alternative basée sur la confiance en soi, l'autonomie, les expérimentations et l'apprentissage en douceur. Ses objectifs : favoriser l'éveil, les sens, l'ouverture au monde et le développement de l'enfant tout en respectant son rythme d'apprentissage et ses centres d'intérêts. Et ce serait une erreur de croire que les familles qui font l’instruction à domicile passent leurs vies enfermées à la maison : c’est en réalité tout le contraire, avec une large ouverture donnée sur le monde qui les entoure. On peut par ailleurs noter les nombreux bienfaits de l’école à la maison : respect du rythme biologique de l’enfant, adaptation permanente de son "institutrice" à ses difficultés, absence de devoirs le soir et le week-end, multiplicité des activités extrascolaires, qu’elles soient sportives ou culturelles. 

   La liberté des parents de faire l’école à la maison n’est-elle pas garantie par la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, en son article 26, qui précise : "Les parents ont par priorité le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants". Et pourquoi M. Macron a-t-il amalgamé les familles faisant l’école à la maison avec les écoles clandestines, quand on sait que d’après l’Éducation nationale elle-même, "les cas d’enfants exposés à un risque de radicalisation et repérés à l'occasion du contrôle de l'instruction au domicile familial sont exceptionnels ?" (Vademecum de l'Éducation nationale sur l'école à la maison, publié en octobre sur le portail Eduscol). De plus, actuellement nous savons qu’en maths, en 5ème, ils ont un niveau équivalent péniblement à un niveau CM1 d’il y a 20 ans. On le sait parce que l’on mène des enquêtes, par exemple une enquête qui vient de sortir qui montre que la France est avant-dernière de tout l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques). 

    Pour comprendre cette chute drastique du niveau actuel, il faudrait remonter au Protocole de Lisbonne (1999-2000) qui, sous une directive européenne – c’est facile à vérifier pour tout le monde – décide que nous avons besoin de 10% de cadres de haut niveau, bien formés, et de 90% d’une main d’oeuvre multitâches. Ce qui d’ailleurs correspond à l’état du libéralisme actuel, et qui n’a rien à voir avec le capitalisme des années 60 où l’on avait une progression globale des classes moyennes qui essayaient de monter (socialement). Donc on n’essaie pas de former ces gens-là d’une façon supérieure, on essaie de les former "a minima". Ça coûte moins cher. 

    Ce que l’on constate en France c’est que le niveau s’est effondré; le niveau des enseignants s’est effondré lui-même. Plus vous mettez des enseignants sous-qualifiés face à des élèves, forcément ces élèves à l’arrivée sont sous-sous-qualifiés. Et de toutes façons, l’emploi à vie c’est terminé, on va leur faire faire des métiers différents, ils seront comme on disait jadis, taillables et corvéables à merci et ainsi, "Plus ils sont incultes, plus ils feront ce qu’on leur dira." Comme aller se faire injecter un poison expérimental sous la peau sans se poser de questions. Donc supprimer l’école telle qu’elle était, la remplacer par Cyril Hanouna et vous avez le résultat que l'on connait à l'heure actuelle.

 Mais il y a une volonté véritable d’écraser le niveau en sauvegardant quand même une certaine élite.  Du coup, on a des élites autoproclamées nourries à la Star-Ac', qui n’ont plus grand chose à voir avec l’élitisme. Cela fait un certain temps que la France ne récolte plus tellement de prix Nobel. L’ensemble s’effondre en France alors que dans d’autres pays l’ensemble monte. Nous sommes devenus une nation de services et Uber nous mangera, car un certain nombre de ministres successifs (tous franc-maçons) ont fait de leur mieux pour détruire ce qui existait. Une institution comme l’Inspection générale et les Inspections secondaires ou primaires ont fait de leur mieux pour interdire aux profs de transmettre des savoirs.

   On sait depuis très longtemps ce qui marche, mais on a choisi de faire autrement. On a vraiment choisi pour des raisons au fond libertaires et ces raisons libertaires sont venues au secours du libéralisme le plus débridé. Et ce libéralisme n’a pas besoin d’une classe intermédiaire qui aspirerait à s’élever, qui a besoin d’une oligarchie qui s’auto-perpétuera. On est donc entré dans une culture de l’immédiateté renforcée par les réseaux sociaux, et parce qu’on flatte les crétins sans discernement grâce au : "ce que tu dis est bien et ça t'appartient", sans jamais contrer par l'argumentation factuelle les bêtises proférées à longueur de journée sur ces dits réseaux que l'on prétend "sociaux". On est passé dans une ère qui n’est même plus l’occupation, le divertissement des élèves, qui viennent en classe comme ils viennent au supermarché, car ils viennent butiner des choses à droite, à gauche, soit vous les intéressez, soit vous ne les intéressez pas, et à ce moment là ils se reportent sur leur portable, ils se racontent des bêtises.

   L' Agrégé de lettres, prof en classe préparatoire au lycée Thiers à Marseille, essayiste, romancier, polémiste, Paul Brighelli nous signale d'ailleurs que nous avons eu de nombreux exemples d'effondrements de civilisations à cause du niveau général ; la civilisation romaine s’étant effondrée de la même manière. A un certain moment, les Barbares qui venaient et qui n’étaient pas de méchantes gens, contrairement à ce qu’on a voulu nous représenter, dans un premier temps essayaient de se romaniser. Et dans un deuxième temps en voyant l’état des Romains, ils se sont dit "nous sommes des Burgonde et nous allons gérer les choses comme des Burgonde, on n’a pas besoin des Gallo-Romains". Ils ont créé leur royaume. C’est pareil pour les Vandales. On aime bien les représenter comme des envahisseurs qui violaient les femmes, etc, mais ce n’est pas du tout le cas. Ils ont pris Rome mais il ne restait plus rien à Rome, c’était fini. Puis lorsqu’ Alaric prit Rome, il ne resta rien. Et actuellement l’Europe s’écroule de l’intérieur, dont la France. Il y a là encore, la civilisation occidentale en train de s’effondrer, juste sous nos yeux et à cause de cela.

    Alors, pour contrer cette décadence, voulue et orchestrée depuis l'avénement de la Raie-publique, demandez-vous en tant que parent, en tant qu'adulte, ce que vous êtes capables de transmettre directement à vos enfants. Sans ce questionnement personnel, vous condamnez votre enfant à l'errance dans un monde taillé pour le rejeter et le rendre soumis, mais surtout le laisser à l'abandon dans ce monde voué à la décadence. Car à ce stade, ce ne sont pas des moyens qu’il faut pour changer le sens de notre civilisation, c’est une évolution générale et drastique dans leurs têtes d'enfants. Ce sont eux notre avenir ! 

    La seule chance qu'il nous reste de revivre dans un monde évolué, loin de la technocratie totalitaire et numérique abrutissante créée par ces fausses élites, elle est en vous ! Alors encore une fois, vous êtes la solution à nos maux, vous êtes la réponse à l'évolution de notre civilisation, et si vous sortez immédiatement votre enfant du système non-éducatif actuel, qui veut en plus lui injecter du poison expérimental dans le corps, vous le sauverez lui, et nous tous aussi. Il faudrait dans l'absolu, que vous lui fassiez la classe "à l’ancienne" et très loin de cette machine à crétins voulue par les Fous de Davos. 

        La meilleure école à offrir à nos enfants, 

c’est encore l’école de la Vie !

Phil BROQ. 


 


 

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