23 août 2021

DU MENSONGE UNIVERSEL A LA BETISE INDIVIDUELLE

   Il est écrit dans la Bible, en Jean 8:44, que :"Satan est menteur et homicide dès le commencement, il est le père du mensonge". "Il singe Dieu pour induire l'humanité en erreur". Ainsi notre monde moderne, celui de l'Homme en général, est basé sur le mensonge depuis son origine, qui nous est toujours inconnue. Depuis l'inversion des valeurs spirituelles à l'offre illusoire du confort matériel, tout dans notre monde actuel n'est qu'un mensonge des serviteurs du malin qui nous gouvernent depuis au moins la Révolution en France de 1789.  

    Ce mensonge continuel sur notre espèce, développé au fur et à mesure des siècles et qui est donc devenu universel par l’acquiescement de tous en refusant de connaitre notre essence Divine. Ce qui, lorsqu'on observe l'incapacité de chacun à vouloir vivre dans la vérité crue de sa propre bassesse, n’a rien d’étonnant puisqu’il est alors le résultat logique et imparable d’une lente et patiente mais réelle progression des manigances du "prince de ce monde", qui s'est immiscé dans tous les esprits, toutes les paroles et tous les actes du quotidien. 

    Car, jusqu’à Darwin, il n’y avait qu’une seule explication à l’origine de l’univers et de l’Homme, et c'était Dieu, avec tous les détails sur ses origines qui étaient consignés dans le Livre de la Genèse. Ainsi, durant des siècles et des siècles, tout l’Occident partageait ce socle commun, y compris du point de vue scientifique. Or, le changement majeur, la permutation entre les deux théories s’effectue à la fin du XIXème siècle et en Europe.  Et lorsque la base qui sert aux raisonnements, aux calculs, aux modélisations et aux recherches est ainsi biaisée et faussée, toute cette science repose alors que sur un principe de malhonnêteté intellectuelle qui trompe autant les chercheurs avides de subventions que le grand public, crédule et fainéant par nature.
    
    Basé sur la théorie de l’évolution de Darwin qui sert encore de nos jours de base au raisonnement dit scientifique, ce mensonge est devenu universel sur une humanité se croyant uniquement faite de chair et de sang, et omettait scrupuleusement la supériorité énergétique et vibratoire de l'Homme sur son environnement, jusqu'à atteindre son apogée dès l'arrivée des pseudos "lumières". Ces petits philosophes tétant les théories libérales anglaises pour les digérer dans les couches sales du totalitarisme intellectuel des marchands, ont aussi dévoyé le sens réel de l'humanité et de sa venue sur notre Terre. Prohibant à tous le droit de se questionner rationnellement sur son but réel dans ce monde, dès lors que ces fanatiques avaient encadrés tout débat contradictoire et bâillonné l'idée même d'une religiosité élévatrice et salvatrice obtenue par l'étude des paroles et des actes Christiques. La Raie-publique et la Démon-cratie étant alors les meilleures armes spirituelles des faibles dirigés par des truands, pour étouffer dans l'œuf toute demande de liberté et d'élévation personnelle. L'Homme devait alors rentrer dans le moule exiguë que ces traitres à notre espèce avaient façonné avec l'aide du mensonge, de la violence et de la peur.
   
     Alors que l’ensemble des principes présentés par la science moderne, si on les dissèque, reposent sur des hypothèses, des concepts, des interprétations ou des suppositions qui sont autant de prérequis qui servent de preuves. Et ce projet de reniement de notre essence spirituelle profonde ne date pas seulement de cette période néfaste aux français, car il est apparu dès que "des hommes sans scrupules ont voulu contrôler d'autres hommes sans mémoire" comme disait le maitre mystificateur Voltaire au sujet de la politique, et il s’est réellement amplifié grâce à ce rituel de sang que fut ladite Révolution française et a sclérosé toute possibilité de réflexion libératrice. C'est qu'il faut de nombreux esclaves pour avoir des tyrans et non pas l'inverse. Car c'est par le renoncement à vivre debout que l'humanité s'est agenouillée volontairement devant ces malfaiteurs, leur laissant libre champ pour toutes les exactions possibles. C'est par manque de courage comme de conscience que nous avons nous-même refermées les chaines de nos vies sur nous et nos enfants. 
  
    Au XIXème siècle, le philosophe Ernest Renan disait : "La bêtise humaine est la seule chose qui donne une idée de l'infini", et cinquante ans plus tard, le mathématicien de génie Einstein le paraphrasait en nous avouant ceci : "Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue." Ces hommes de talent à l'esprit libre avaient bien compris où se situait le problème majeur de notre espèce et depuis toujours. C'est dans notre manque d'intelligence ou de jugement, dans notre fainéantise volontaire à vouloir comprendre le but de notre vie, que se trouve véritablement la réponse, comme la raison de tous nos maux. L'humanité a peur d'elle-même, elle craint d'être libre, elle redoute de devoir être responsable, elle fuit sa propre maturité. Préférant se cacher derrière n'importe qui ou n'importe quoi même le plus malsain, que d'affronter son devoir naturel à son élévation personnelle. Allant même de nos jours, jusqu'à créer une pseudo intelligence artificielle pour masquer encore plus sa bêtise naturelle.

    Des travaux approximatifs de Darwin, enrichis et précisés tout au long du XXème siècle par des scientifiques corrompus par la nécessité d’acquérir uniquement des budgets, l’homme est alors devenu lui-même le résultat d’une évolution des espèces, théorique elle aussi, dont les principales étapes du développement sont retracées depuis la Préhistoire officielle.  Et toutes ces affirmations sont basées sur des présuppositions, des prérequis considérés comme acquis, selon une démarche explicitée par le médecin, chimiste et pharmacien français Antoine Béchamp, auteur d'une théorie sur les «microzymas» dont le détournement fit la gloire de Pasteur. Il avoua : "on suppose toujours, et de supposition en supposition, on finit par conclure sans preuves." Mais le cœur du problème à ce stade, c'est qu'on conclut ! De fait, avec toute la mauvaise foi nécessaire, on affirme et on présente abusivement ces théories comme des faits acquis. 
 
    Ainsi posées les bases de ce qui fait notre prison quotidienne et séculaire, on peut alors pour remettre les choses à leur vraie place, citer le grand Nelson Mandela dans son discours d’investiture, qui nous dit ceci : "Notre peur la plus profonde n'est pas que nous ne soyons pas à la hauteur, notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au-delà de toutes limites. C'est notre propre lumière et non notre obscurité qui effraye le plus. Nous posons la question ... Qui suis-je, moi, pour être brillant, radieux talentueux et merveilleux ? En fait, qui êtes-vous pour ne pas l'être ? Vous êtes un enfant de l’univers. Vous restreindre, vivre petit ne rend pas service au monde. L'illumination n'est pas de vous rétrécir pour éviter d'insécuriser les autres. Nous sommes nés pour rendre manifeste la gloire qui est en nous. Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus, elle est en chacun de nous, et au fur et à mesure que nous laissons briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même. En nous libérant de notre propre peur, notre puissance libère automatiquement les autres..."

    Lors d'une conférence, un étudiant a demandé à l’anthropologue Margaret Mead ce qu’elle pensait être le premier signe de civilisation dans une culture. L’étudiant s’attendait à ce que Mead parle d’hameçons, de casseroles en terre cuite ou de moulins en pierre. Mais ce ne fut pas le cas. Mead a répondu : "Le premier signe de civilisation dans une culture ancienne était un fémur cassé puis guéri." Elle a ensuite expliqué que : "dans le règne animal, si tu te casses la jambe, tu meurs. Tu ne peux pas fuir le danger, aller à la rivière boire ou chercher de la nourriture. C’est n’être plus que chair pour bêtes prédatrices. Aucun animal ne survit à une jambe cassée assez longtemps pour que l’os guérisse. Un fémur cassé qui est guéri est donc la preuve que quelqu’un a pris le temps d’être avec celui qui est tombé, a bandé sa blessure, l’a emmené dans un endroit sûr et l’a aidé à se remettre. Aider quelqu’un d’autre dans les difficultés est le point où la civilisation commence."

    Nous devons nous aider à nous élever les uns les autres, si nous voulons rester Humains. Nous devons nous éduquer à la coopération constructive, au courage commun de refuser la facilité du confort illusoire créé par nos bourreaux adorateurs de la finance et du totalitarisme spirituel. Nous devons nous relever face à l’inacceptable situation de soumission que nous vivons. Nous devons penser par nous-même, lire, étudier et transmettre afin d'aider la jeunesse à faire de nouveau fonctionner son cerveau. Nous devons abandonner tout ce qui a fait de notre race un groupe d'animaux domestiques. Nous devons retrouver le sens de la vie sur Terre et redevenir des guerriers du bonheur au quotidien. Refuser de nous laisser aller à croire les mensonges les plus éhontés, fabriqués par les petits maîtres de la matière, et oser regarder la véritable lumière de nos êtres.
    
    C'est donc là que réside le grand secret de la civilisation en devenir, celle qui apparaitra une fois cette période de mensonge universel sera achevée, une fois que notre Humanité aura atteint sa maturité, qu'elle aura assumée ses erreurs volontaires ou inculquées par les agents néfastes, par les suppôts de Satan. Lorsque notre espèce sera soucieuse d’impartialité, d’honnêteté et d’objectivité, elle trouvera le chemin vers la liberté, vers le bonheur tant mérité. Alors amis humain, à présent que vous savez, osez-vous regarder en face avec noblesse mais rigueur, changez vos attitudes que vous savez contre nature, élevez vos pensées vers des cieux plus radieux, créez dès à présent votre nouvel avenir en refusant tous les mensonges, réfléchissez sans cesse à vos actions et à leurs conséquences, retrouvez le sens de la vérité, retrouvez le goût de l'effort, du beau, du bon et du bien pour tous... 

    C'est comme cela et pas autrement que nous sortirons vainqueurs et joyeux de cette période néfaste à tous, de ce mensonge universel appuyé sur notre fainéantise naturelle et créé par notre bêtise individuelle. 

Parce que la vraie liberté, 
C’est avant tout un état d'esprit 
Et non un état de fait !

 Phil BROQ.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire