18 septembre 2021

ZOMBI

    Le mot "Zombie" avec un "e" à la fin est issu de la langue anglaise, mais ce terme d'origine Française est en fait un dérivé du mot "zonbi", en créole haïtien signifiant "esprit" ou plus précisément un "revenant". C'est à dire lorsque l'âme d'un mort se manifesterait à un vivant sous une forme physique et au service d'un sorcier ; ce qui permettrait de ramener les morts à la vie ou de détruire la conscience d'un individu afin de le rendre corvéable à merci, dans le folklore vaudou. Et selon les différents lieux où est pratiquée cette religion, originaire de l'ancien royaume du Dahomey en Afrique de l'Ouest, on peut aussi utiliser, selon les dialectes locaux, les mots de  "nzumbi", "zumbi", "vumbi", "mvumbi", "nvumbi" ou encore "nzambi" en kimbundu, qui est un dialecte de l'Angola. Et, la définition que donne le dictionnaire Français d'un Zombi est la suivante : "Personne ayant perdu toute forme de conscience et d'humanité, au comportement violent envers les êtres humains et dont le mal est terriblement contagieux." Mais à ne pas confondre avec un homme politique...

    Mais ce terme de "zombi" renvoie à deux types de créatures assez différentes, puisque dans la culture vaudou, le zombie est donc un mort réanimé et sous le contrôle total d'un sorcier, alors que parallèlement la culture populaire occidentale qualifie de "zombies" tous les morts-vivants créés à partir d'une drogue ou d'un virus, partiellement décomposés, dépourvus de langage, de raison, de conscience et se nourrissant souvent de chair humaine. Donc, il y a bien deux conceptions de type de zombis qui coexistent. La première, qui est aussi la plus ancienne, désigne des cadavres de revenants, alors que la seconde, plus récente, désigne des personnes décérébrées contaminées par une maladie ou un élément chimique, lesquels leur donnent l'apparence de morts-vivants pourrissant debout. Et c'est sur ce dernier type que nous allons nous concentrer à présent, car il semble bien que cela corresponde à une nouvelle catégorie de pseudo-humains qui fréquentent dorénavant nos rues, bars, cinés, restos et plages grâce à leurs Pass-nazitaires.

    Ainsi, le dictionnaire Larousse nous donne aussi la définition suivante, au mot de Zombi mais dans le registre familier on trouve : "Personne qui a un air absent, qui est dépourvue de toute volonté". Là, évidemment  nous ne parlons pas d'un ado classique ou d'un "adulescent" du XXIème siècle (ce néologisme désignant cette génération d'adultes infantilisés à l'extrême par le système de gouvernance mis en place par les mondialistes, à qui les parents ont été incapables de transmettre des valeurs qu'eux-mêmes avaient reçues de leurs parents et cherchant à devenir psychologiquement autonomes tout en gardant jalousement le confort procuré par leurs propres géniteurs, sans aller travailler pour l'acquérir par leurs propres moyens, ni se confronter aux expériences de la vie). Ces "Tanguy", issus généralement de bonnes familles plutôt aisées, sont de toutes façons inaptes à la survie en société. Il hantent généralement les classes des grandes écoles le plus longtemps possible afin de décrocher un diplôme inutile et réservé à leur caste. Ne sachant rien faire d'autre que de la répétition, tel des perroquets savants, des notions du savoir que leur aura enseigné un professeur insipide et issu généralement de la même caste qu'eux. 

    Ici, ce serait plutôt l'évocation de ces adultes, travailleurs, insérés dans le tissus social et associatif, biens sous tous rapports et de ces anciens, retraités ou non, qui ont participé et profité à outrance de tous les plaisirs issus de mai 68. De ceux qui ont vécu une jeunesse dorée, un temps où le plein emploi était une réalité, où l'argent se gagnait bien, certes à la force du poignet, mais qui avait une valeur réelle. Nous parlerons donc de tous ces "nouveaux Zombis", ceux qui composent nos familles, nos cercles d'amitié, nos clubs associatifs et sportifs, de ceux avec qui nous avons eu de la joie, du bonheur à fréquenter, mais qui, par lâcheté, égoïsme ou faiblesse ont été se faire injecter, sans chercher à savoir, connaitre ou comprendre, une potion chimique dangereuse voire létale dans le bras. Par lâcheté car ils ont peur perpétuellement de leur propre ombre, ils ont peur de la mort au point de refuser de vivre la vie. Par égoïsme car ils ne veulent que profiter perpétuellement des plaisirs, d'une sortie dans un bar, d'un séance de ciné ou de leurs vacances, sans se soucier des conséquences de leurs actes sur la société. Par faiblesse surtout car ils n'ont jamais combattu les ordres du pouvoir de peur de perdre leurs allocations ou acquis sociaux, quand bien même ils savaient qu'ils condamnaient les générations futures à devoir vivre sous le joug d'un pouvoir qui les a toujours trahis.

   Ces "zombis" sont à présent partout, facilement reconnaissables à leur port perpétuel et en toutes circonstances de leur masque bien remonté sur le nez.  Ce sont ceux qui refusent de s'informer ailleurs que dans les journaux propagandiste d'état, bien qu'ils soient connectés H24 à internet avec leurs smartphones dernière génération dans les mains. Ce sont ceux qui ne s’intéressent à rien d'autre qu'à eux-même, qui n'analysent jamais rien par eux-même, qui ne remettent jamais en doute la parole de menteurs patentés dès lors qu'ils passent à la télé. Ce sont ceux qui ne se questionnent jamais sur leur propre rôle dans ce monde et ni sur la qualité de vie qu'ils mènent depuis leur naissance. Ce sont aussi ceux qui appelaient la police lors du confinement pour dénoncer leurs voisins. Ce sont bien ceux qui ont perdu toute forme de conscience et d'humanité, qui sont contagieux au plus haut degrés depuis leur injection, qui sont de plus en plus violents verbalement et physiquement envers ceux qui refusent cette potion mortifère. Ce sont ceux qui se comportent comme des êtres dépourvus d'intelligence, de libre-arbitre et de capacité de comparaison comme d'analyse.

    Si on ajoute à cela que les piquouzés ont perdu plus du tiers de leur capacités immunitaire à chaque injection, (à la troisième injection ils seront donc totalement immuno-dépendants, c'est à dire qu'ils auront besoin, au mieux, de médicaments à vie pour compenser leurs carences et incapacités à contrer les maladies les plus bénignes). Et que seuls les piquouzés font des formes graves de SRAS et finissent en réanimation. Que plus ils y a de piquouzés plus il y a de "variants" qui apparaissent. Que les cas de mortalité et de complications sévères sont anormalement élevés suite à l’inoculation de tous ces nouveaux produits chimiques dans la population, quel que soit le pays ou la "marque" du produit. Que la supposée efficacité de ces nouveaux procédés se base en grande partie sur les tests PCR, dont l'inventeur lui-même prévient qu'ils ne sont pas fiables. Que l'ancien directeur du laboratoire Pfizer prévient que ces injections ont pour but de stériliser la population. Que l'inventeur des ARN Messager explique que cette technique est loin d'être au point et satisfaisante. Que les meilleurs virologues expliques que la protéine SPIKE, fabriquée en excès par le corps après  injection est un poison toxique, violent et mortel pour les cellules... Tout cela déjà devrait éloigner les gens de la piqouze maudite et dévastatrice.

    De plus, un très grand nombre de ces nouvelles thérapies géniques expérimentales en phase III, et nommées à tort "vaccins anti-covid", utilisent des cellules humaines tirées de fœtus avortés, dans l’une ou l’autre phase de leur élaboration, ce qui est moralement inacceptable ne serait-ce qu'à cause de la façon dont on a obtenu ces tissus. (le 4 janvier 2021, "le Charlotte Lozier Institute" recensait que sur 38 vaccins anti-covid en lice mondialement, 18 utilisaient ouvertement des lignées de fœtus, sur lesquels certains ont fait croitre des adénomes de chimpanzés. source "Le Vidal"). Et le vaccin de AstraZeneca est produit dans des cellules de rein embryonnaire humain (HEK 293) génétiquement modifiées. Il contient des OGM. (source : mesvaccins.net). Sans oublier que les injections anti-covid à ARNm agiraient plutôt comme un abortif permanent que comme un stérilisateur, puisqu'avec la production de l’absence de placenta fonctionnel, car  la "syncytine 1" se retrouve également dans le morceau de virus que l'injection ARNm fait produire au corps de la personne vaccinée et ferait mourir de faim l’embryon humain, entrainant donc des fausses couches. Et surtout, le fait que les gouvernements ont donné, aux firmes des nouveaux vaccins, l’immunité totale en cas d’éventuelles poursuites pénales devrait  susciter au minimum la méfiance sinon l'indignation des populations. Mais non... Bien au contraire !

    Une fois piquouzés donc, ces pseudo-humains devenus de purs produits OGM (Organismes Génétiquement Modifiés) se comportent exactement comme des "agents Smith" dans Matrix. Ils ont le syndrome de Stockholm couplé à celui du larbin. Ils revendiquent haut et fort leur bêtise, leur inculture, leur manque de connaissance sur les produits et les réactions qu'ils provoquent dans le corps. Ils ignorent volontairement les chiffres aberrants de la mortalité exponentielle dans les pays les plus vaccinés comme Israël. Ils refusent d'admettre violemment leur erreur et s'appuient sur des quolibets de journalopes pour argumenter leurs choix suicidaire face à des preuves scientifiques du massacre génocidaire en cours. Ils invoquent l'obligation de faire l'injection mortelle, en sachant que les textes de lois sont illégaux et encore, lorsqu'ils sont parus au Journal officiel... Ils se transforment tous en être décérébrés, en mort-vivants... Morts-vivants car d’après les études, un triple vacciné n'aurait que de 2 à 5 ans de vie résiduelle avant de se voir emporté par une maladie quelconque mais dont son système immunitaire anéantit sera incapable de traiter. C'est ce qu'annonçait le Professeur Montagné Prix Nobel de médecine  2004, excusez du peu, en affirmant que le produit injecté contenait 4% de VIH !!!

    Leur mental en décrépitude n'est plus géré que par leurs émotions stimulées par les écrans. La rationalité de l'analyse, de la comparaison, de l'expérience qui fait la beauté de notre espèce a disparu. Nous voyons tous ces morts en sursis sillonner les magasins avec leur Pass Nazitaire fièrement arboré le bras tendus comme les anciens Nazis saluaient leur chef, leur QR Code bien installés dans leurs téléphones de surveillance géo-localisée. Leur hautaine prétention affichée dans leur regard, lorsqu'ils sont assis en terrasse d'un bar ou d'un restaurant, fiers de leur soumission et de l'acceptation active au nouvel apartheid occidental. Ils ne ressemblent plus à l'humain d'antan mais à une sorte d'enveloppe de chair au sang contaminé et à la cervelle bouillie par les ondes et les thromboses. Ce sont une nouvelle race qui est apparue de façon spontanée sur notre Terre... à l'instar des Zombis des séries télés telles que "The walking dead", ils errent sans cesse dans un monde voué à sa perdition, dont tous attendent le fracas de la chute finale.

    Voici donc qui sont ces nouveaux humanoïdes OGM qui jalonnent à présent nos chemins et coexistent dans notre quotidien, partout où nous allons, mais pas pour très longtemps rassurez-vous amis sains et pur sang, d'après les études récentes et les constats quotidiens. J'ai nommé cette nouvelle espèce de Zombis, vivant dans ce monde en total effondrement :

"Les VaXXing- Dead !"

Phil BROQ.

 


    PS : 

    De plus, il existe réellement une drogue surnommée « drogue du zombie », qui fait des ravages outre-Atlantique : La xylazine. 

    Elle Si on appelle la Xylazine la drogue du zombie, c’est à cause des blessures et marques quelle laisse sur le corps, la peau arrachée par plaques séches, les yeux sont vides et vitreux comme les zombies. Ceux qui en prennent marchent ou plutôt déambulent comme des zombies. Le dos arrondi, bras ballants, la tête vers le sol. Ils n’ont plus de force. Ce qui est normal puisque la Xylazine est à l’origine un puissant anesthésiant pour chevaux.

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