22 septembre 2021

MACRON OU L'APOGEE D'UN LOOSER

    Un "looser" dans le langage familier, c'est un raté, un perdant, un minable. Ce mot vient de l'anglais "to lose" signifiant "perdre". "Loose" avec deux O, signifie aussi "instable, mal fixé, lâche", d'où on en tire le comparatif "looser", qui signifie "plus lâche, plus instable". Et c'est la définition qui colle le mieux à l'attitude, à l'aptitude et à l’expérience de ce gringalet et fantoche petit jouet mal terminé, qui se croit à la tête du pays. Et voici donc le récit chronologique de ce que ce triste individu, adulé par une petite bande de crétins et de profiteurs, n'a cessé de perdre depuis son enfance jusqu'à nos jours. Tout ce qu'il a touché durant sa vie est voué à la destruction ou à la disparition, tout ce qu'il entreprend est voué à l’échec, tout ce qu'il est n'est qu'un vent nauséabond issu de la mauvaise digestion des oligarques s'étant trop bâfrés en mangeant le gâteau de l'Humanité. Voyons donc ce déclin annoncé par les faits. Et je vous préviens que c'est un long texte, tellement le looser de l’Élysée a commis de fautes et de méfaits...

    L'actuel locataire de l'Élysée, le petit poudré efféminé, encore en culottes courtes pendant ses vacances à Brégançon et qui s'est glissé dans un costume beaucoup trop grand pour lui, se prend réellement pour un véritable homme d'état depuis qu'il en reçu malencontreusement le rôle, faute de concurrents plus stupide que lui. Formé à la prestation d'acteur dès son jeune âge par sa rombière, il n'imaginait pas, surement, que par moment endosser le costume ne fait pas l'homme pour autant. Et il n'a pas encore compris, après pourtant 4 années à se soumettre totalement à ses maîtres fortunés, comment il fut installé à cette fonction de président du pays. Les "Young leaders", les "Bilderberg" et tous ceux de Davos rigolent encore d'avoir trouvé le clampin décérébré idéal au milieu de leur meute d'arrivistes. 

    La France, dirigée en réalité depuis Bruxelles depuis le détournement de la souveraineté par Sarkozy, offre cet emploi, devenu futile et inutile par le fait du contrôle total des lois et des institutions depuis l'Union Européenne, à tout crétin avide de pouvoir et suffisamment égocentrique pour ne pas voir le piège. Dernier abruti prétentieux et égocentrique d'une belle trilogie arrivée au début du XXIème, Macron fut lui aussi propulsé et installé au premier rôle de la scène politique, sans n'avoir jamais déployé aucun talent, ni soutien populaire, tel un acteur de seconde zone qui croit vraiment être le héros même après que la caméra soit coupée ; or, il n'est rien d'autre qu'un pantin dans une série fiction écrite à l'avance. Et c'est uniquement pour catalyser toutes les rancoeurs, d'un peuple spolié de ses droits comme de ses biens par les vrais dirigeants qui agissent pour l'instauration d'un mondialisme meurtrier et totalitaire à l'abri de l'ombre des coulisses, qu'il en est arrivé là. Et il est vraiment le seul à ne pas avoir compris la supercherie, tant il est prétentieux.

    Ce freluquet sans envergure donc, sélectionné pour son hypocrisie naturelle, cet ectoplasme politique parfait et engagé grâce à son incapacité à être autonome, ce stupide petit homme à peine apte à nouer seul une cravate pour passer un entretien d'embauche, ce niais encadré et canalisé par une femme arriviste et vénale qui pourrait être sa mère, n'a en réalité rien de consistant à opposer pour sa défense. Lui, dont on peu douter de l'acquisition honnête de ses diplômes vue son niveau de culture (il croit encore que la Guyane est une île et démontre régulièrement son incompétence sur l’histoire de France, et celle de l’Allemagne nazie en particulier), ne connait rien de la vraie vie et encore moins comment subvenir seul à ses besoins (avouant même qu'il avait 1000€ d'argent de poche à 20 ans ! Sans imaginer que certains travailleurs les ont aussi et avec deux enfants...). D'ailleurs, tout le monde politique reconnait en lui un crétin, des brésiliens aux africains. Et de fait, il ne pourra jamais se permettre de rivaliser avec qui que ce soit sur la scène internationale, tant il est inculte et insipide. C'est ainsi que, malgré les apparences trompeuses voire mensongères et l'illusion préfabriquée d'une pseudo-réussite orchestrée et sténographiée par les médias propagandistes, le petit Emmanuel Macron n'est en réalité qu'un prototype du Looser né, du caniche des mondialiste qu'ils nourrissent au "susucre" et punissent à coup de journal !

    La seule chose qu'il n'ait pas perdu, dans sa courte et triste vie de marionnette présélectionnées dès l'enfance par des forces obscures, c'est ce casting de président d'un pays déjà assiégé. Casting réalisé par l'initié en chef Attali, dont la mission fut de trouver quel sera l'idiot le plus malléable de France. Celui qui voudra mettre sa vie en danger et détruire jusqu'à son âme, après les passages désastreux et destructeurs d'un "flamby" comme Hollande ou d'un "Joe Dalton" comme Sarkozy. Tous ces pantins mis en place par les oligarques mondialistes et sionistes vouant leur vie à la destruction de la "fille ainée de l'église" et comme du phare mondial des droits de l'homme. Et c'est ainsi, par sa propre stupidité d'homme avide de reconnaissance et par sa soumission totale à ses maîtres banquiers, et aussi surement pour assouvir les envies de grandeur de sa compagne malsaine, qu'il a accepté comme un honneur d'être le jouet nuisible d'une poignée de milliardaires hallucinés.

      Et lorsque l'on regarde dans le détail les différentes étapes qui se sont succédées dans sa misérable vie de sous-fifre, et qui l'ont mené jusqu'à la présidence d'un pays déjà perdu depuis longtemps à cause des innombrables malversations des différents présidents le précédant, on ne peut que constater la longue liste d'échecs qui ont jalonnés son parcours depuis sa prime jeunesse perdue dans les bras d'une pédophile couverte par l'éducation nationale, dès ses 15 ans. Déjà à ce moment-là, il a perdu les meilleurs moments d'une vie et les expériences naturelles qui font qu'un adolescent devient un homme. Il a perdu dès le départ le savoir-être que procurent les doutes et les erreurs qui forgent le caractère d'un humain normalement constitué. Il a ainsi perdu ses plus belles années d'insouciance et de plaisirs simples de la jeunesse sous le joug de l'éducation imposée par une arriviste dépravée en manque de sensations. Il était donc à Amiens, élève du lycée jésuite de La Providence, et c'est là qu'il serait tombé amoureux de sa professeur de théâtre de 24 ans son ainée. De fait, on peut imaginer qu'à ce moment-là,  lui est venu ce goût prononcé pour les déguisements en tous genres... Pompier, policier, militaire, marin, pilote d'avion, etc... Lui a 15 ans et elle 39 ! Depuis ce temps-là, il ne joue d'ailleurs que des rôles, endossant sans cesse des costumes différents pour paraître ce qu'il ne pourra jamais être, à savoir, finalement un homme !

    De ce premier épisode nauséabond, on comprend déjà qu'il a perdu définitivement de facto le respect de ses parents et notamment de son père, Jean-michel qui, par ailleurs, reste très discret et à raison sur son fils maudit. Même lorsqu'il a accédé à son rôle phare du président des français. Mais en revanche, il en a avoué la blessure subie lorsqu'il annonçait dans les journaux, qu'en découvrant la relation pernicieuse entre son fils mineur et Brigitte, il a "failli en tomber de l'armoire", peut-on lire dans "un jeune homme si parfait", le livre écrit par Anne Fulda. On y apprend aussi que le petit avorton, devenu président, a perdu dans le même temps son autonomie, puisqu'il serait "totalement dépendant de son épouse", dixit le père. Ce père très instruit n'a pas non plus été emballé par la reconversion politique de son fils, disant :  "Je trouve la politique extrêmement destructrice. Je n’ai pas un grand respect pour ce milieu" dans le livre "Les Macron" de Caroline Derrien. Ce qui exprime bien, à mots couverts, son dégoût pour ce guignol qu'est devenu son fils. Il n'a d'ailleurs même pas fait le déplacement à Paris lors de l'investiture suprême de son fils. Et un fils qui n'a pas le respect de son père est un paumé, c'est bien connu et tous les psychiatres le diront. Car, le rejet d'un père laisse de nombreuses séquelles chez ceux qui le subissent et finit par avoir un impact décisif à la fois sur leurs façons d'agir et sur leurs émotions à l'âge adulte. Le conflit oedipien que vit le gamin dévoyé et malsain en est d'ailleurs symptomatique depuis.

    Voyons ensuite le sujet de ses études, qui auraient normalement dû être facilité par sa vieille compagne très expérimentée et aussi professeur... Mais il a, là aussi, perdu beaucoup de son temps à tenter de réussir sans véritables capacités intellectuelles appropriées. En effet, on apprend qu'il a même dû s'y reprendre à trois reprises pour entrer à Normale Sup. Ainsi, dans une interview à "L'Obs", il explique même dans le détail les causes de son échec au concours d'entrée. Bref, ce n'est pas vraiment le profil d'un étudiant que l'on pourrait qualifier de "brillant" mais bien celui d'un looser compulsif, auquel il faut reconnaitre de la persévérance. Ceci dit, il a tout de même fini ses études, et a su profiter des réseaux vieillissant mais bien placés pour faire sa petite carrière où, au final, ce sont ces mêmes réseaux qui l'ont mis là où il est aujourd'hui. Or, Macron s’est fait élire en racontant partout, et avec l’aide des journalistes domestiqués, qu’il était très intelligent et que cette intelligence il la tenait de son instruction de qualité. Sauf qu'au fil des jours et des discours, nous voyons bien que Macron ne sait rien sur rien et encore moins sur le reste. 

    En sortant au forceps de ces années d'études, nécéssaire pour octroyer un poste bien rémunéré, il rencontre son premier mentor, Henri Hermand. Homme qui fût son témoin lorsqu'il s'est marié en 2007 avec Brigitte Trogneux, déjà mariée au banquier André-Louis Auzière, et déjà mère de trois enfants prénommés Sébastien, Laurence et Typhaine. Ce qui eut pour finalité que lorsqu'il a 37 ans, alors ancien ministre et déjà candidat à la présidentielle, il est donc sept fois grand-père sans jamais avoir été père ! Ainsi fait, il a aussi perdu au-delà de la suprématie familiale, le droit d'être chef de famille, car il est de deux ans plus jeune que son propre beau-fils, (le fils ainé de Brigitte, Sébastien Auzière qui est vice-président de Kantar Health et s’occupe d’étude de marché dans la santé. Tiens donc !). Mais ce n'est pas tout, car le petit Emmanuel était aussi en classe avec la première fille de Brigitte, Laurence, 43 ans et devenue cardiologue, mais qui techniquement est sa belle-fille... Puis vient la petite dernière, Typhaine, 35 ans avocate de formation, qui a fait campagne pour son "beau-papa". On comprend alors aisément qu'il n'a jamais put être apte à diriger une famille, ni même a en construire une ! Il perd là encore, la possibilité d'être homme et père véritable. Il perd la face en somme !

    Il a d'ailleurs aussi perdu totalement l'estime de ses mentors. Attali qui l'a trouvé à l'ENA, dit sans détours "l'avoir fabriqué de toutes pièces", mais visiblement déçu, il nous présente son successeur en la personne d'Audrey Tcherkoff, pour la suite du rôle si mal tenu par Macron et avant même la mi-mandat de celui-ci. Alain Minc, qui l'a pourtant propulsé chez Rothschild, le traite même de "pute", tant il connaît le personnage. Henry Hermand, qui fut donc un mentor essentiel, lui procurant soutien, réseau, savoir et argent, ce témoin lors de son mariage, qu'il financera en partie, avait trouvé en Macron un nouveau poulain malléable de 25 ans afin de promouvoir ses idées progressistes, et à qui il a fait notamment passer des notes pour l'aider à se faire la culture qui lui faisait défaut. Il dira aussi son désarroi avant sa mort, en avouant l'échec de pouvoir maitriser sa marionnette : "Avec sa femme, on lui demande d'arrêter. On veut freiner ses tentatives de trop convaincre" dit-il aux journalistes. Et comme tout est faux chez Macron, tel un mauvais acteur, il est logique que la séduction première dont il sait tenir le rôle, ne résiste pas au temps... être ou paraître, chez lui c'est la seconde option qui a prit le dessus. Il est donc voué à disparaitre dès que le rideau tombera. Et comme il n'est pas non plus intelligent et donc pas bienveillant, il ne lui reste que l'option d'être bête et méchant pour espérer pouvoir marquer son temps... Et c'est à cela qu'il s' emploi à chaque instant !

    Il a ensuite perdu son soutien du réseau sioniste et mafieux du diner du CRIF, ce tribunal dînatoire où les membres du gouvernement français comparaissent devant un procureur communautaire. Une position qui d'ailleurs peut interloquer les Français puisque la République ne reconnaît, en théorie, aucune communauté, donc aucune hiérarchie dans la haine envers ces dites communautés, mais passons. On l'a vu ce jour-là se faire humilier, comme jamais personne dans cette fonction ne l'avait été et tel un enfant turbulent au milieu d'adultes, par Khalifa lorsqu'il lui lève le bras lors du 34ème diner. On eut dit un "Don King" qui présente son champion boxeur avant de le regarder se faire démonter comme un amateur sur le ring des pros. C'est là que l'on perçoit que "Macron ce n’est pas le président des nôtres, c’est le président des autres : des minorités financières, ethniques, culturelles, religieuses, sexuelles, des grands lobbys d’intérêt (bâtiment, pharmacie, éolien, etc)", comme dirait Max Gallo, et de grands intérêts étrangers aussi. Il est placé là uniquement pour détruire et dépecer notre pays en service à ses maîtres, tant il ne tient pas le rôle du chef d'état. Il doit finir d'adapter la France à toujours plus de mondialisation crasse et meurtrière, telle est sa mission réelle. Il a perdu la finesse requise pour réformer le droit du travail et ouvrir toujours plus les services publics à la concurrence, mais il a dû supprimer l’ISF et redistribuer l’argent au profit de la caste des mondialistes hallucinés qui l'encouragent. C'est donc moins d’impôts pour les très riches et davantage pour les classes populaires et les classes moyennes (hausse des impôts, baisse du pouvoir d'achat, taxes pétrolières, CSG, etc). Et pour tout ça, il en a perdu son âme et le peu d'esprit qu'il avait, voire sa liberté. On constate clairement qu'il est enchainé à ses maîtres comme un chien fou est enchainé à sa niche.

    Il a bien entendu perdu tout le réseau de ses "amis de classe" de l'Ena, qui ont tous évolués pendant que lui tentait 3 fois son diplôme, se retrouvant obligé, par manque de prétendants à ses cotés, de se voir imposer et constituer un gouvernement de bras-cassés offert et recruté dans les bas-fonds de l'esprit Français et toujours par ses mentors. Et donc, par ailleurs, un gouvernement dont il n'a aucunement le respect. Tous l'ont d'ailleurs critiqué plus ou moins ouvertement et juste avant de prendre leurs fonctions dans le gouvernement. Le violeur patenté Darmanin, avant d'être acheté (sic), je veux dire nommé ministre de l'intérieur, considérait, visionnaire, que Macron serait le "poison définitif" de la Ve République. Et lorsque Macron avait qualifié la colonisation de "crime contre l'humanité", Bruno Lemaire, qui allait devenir ministre de l'économie en suivant, avait déclaré : "Macron a commis une faute politique contre la France et contre les Français. Qu'il s'excuse devant tous ceux qu'il a blessés !" Ou encore d'ajouter "Qui est le véritable Emmanuel Macron ? Celui qui ne se dit pas socialiste devant M. de Villiers ou celui qui se dit de gauche sur TF1 ? Qui est le véritable Emmanuel Macron ? Celui qui s'est dit favorable à la légalisation du cannabis ou celui qui se dit contre ? Emmanuel Macron est le candidat sans projet car c'est le candidat sans convictions : il change de discours suivant l'auditoire". Et que dire de Bayrou, qui n'avait pas été avare en critiques, lui aussi avant son ralliement, en déclarant : "Je ne sais pas qui est E. Macron!" ou encore "Derrière Emmanuel Macron il y a des grands intérêts financiers incompatibles avec l'impartialité exigée par la fonction politique" et en suivant, "Je ne me reconnais pas dans ce qu'Emmanuel Macron incarne. Son projet de société est proche de celui défendu par Nicolas Sarkozy en 2007". On le voit, il a perdu tout respect de siens aussi... Tel le Looser qu'il est ! Ce n'est qu'un constat...

    Il a surtout perdu le soutien des véritables leaders français, comme des penseurs de l'hexagone. C'est ainsi que son équipe gouvernementale est par conséquent et uniquement constituée des rebuts politiques de notre pays, des délinquants et ce, dès le début de sa présidence. On compte déjà 12 ministres mis en examen ou visés par une enquête dès la fin de la première année de son mandat. Et ce sont ces parasites qui font les lois et accompagnent le guignol pour finir la destruction du pays initiée par Sarkozy. On citera pêle-mêle, François Bayrou, Sylvie Goulard, Marielle De Sarnez, Richard Ferrand, Olivier Dussopt, Gérald Darmanin, Laura Flessel, Françoise Nyssen, Muriel Pénicaud, Alain Griset, Éric Dupond-Moretti et enfin Sébastien Lecornu, qui seront tous mis sur le banc des accusés et en examen. Bien entendu, ils sont tous présumés innocents, mais cela fait quand même tâche, surtout lorsque l’on se présente comme étant les représentants du "Nouveau Monde".  Le monde dirigé par la mafia surtout ! Et encore, ce ne sont pas les pires esprits stupides et attardés qui se sont fait prendre. Souvenez-vous du passage de Castaner "amoureux de Macron", des phrases de Sibeth qui porte parfaitement son prénom, et de Schiappa qui elle porte très bien son nom signifiant "inutile" en italien, ou encore des réflexions stupides d'Aurore Berger, et sans compter à présent sur le petit Gabriel Attal, qui souhaite ardemment adopter un enfant avec son mari, mais qui se contredit à chaque phrase... Que la crème de la crème qui accompagne notre looser national ! Il n'a et n'aura jamais aucun homme ou femme de valeur à ses cotés. Là aussi, c'est un constat !

    Et avant d'entrer en fonction, souvenez-vous qu'Hollande le présentait comme un homme ayant réussi dans la banque Rothschild. Millionnaire parait-il. Mais il a donc aussi perdu beaucoup d' argent. Si Emmanuel Macron paie l’ISF, il le doit à sa femme, propriétaire d’une maison au Touquet. Car l’ex-ministre de l’Économie, qui a cédé son appartement parisien en 2016 pour redevenir locataire dans le VIIème arrondissement parisien, préférait plutôt les actions à la pierre. Même s’il n’a pas de PEA-PME, placement pourtant lancé quand il était à l’Élysée. Autre surprise sur sa déclaration, qui selon les calculs, son emprunt de 350.000 euros sur quinze ans, souscrit en 2011 pour financer des travaux au Touquet, lui ont été facturé que 2,3%. Et en le rachetant aux taux actuels, il n'économiserait que 8.000 euros. Au Touquet c'est le prix d'une soirée entre amis là-bas... Par ailleurs, la maison du Touquet appartenant en propre à sa femme, elle n’apparaît pas dans le patrimoine du candidat. Mais elle lui a valu d’être redressé à l’ISF, au titre de 2013 et de 2014, cet impôt étant dû par les couples vivant sous le même toit. Mince affaire pour un banquier soit disant de talent ! Il faut dire que le dossier de l’ex-banquier, qui aurait gagné 1,5 millions d’euros net de 2008 à 2012, n'est pas vraiment séduisant, car il ne peut plus compter que sur les revenus de sa femme, environ 6.700 euros par mois (pension de retraite et loyers). 

    De plus, Macron continue d'affirmer, dans les documents publiés le 22 mars 2017, qu'il détient un Livret de développement durable de 40.316 euros alors que ce livret est plafonné à 12.000 euros depuis 2012. Là aussi on repassera sur ses compétences. Et en faisant et refaisant les calculs : même en le garnissant à ras bord et en capitalisant les intérêts depuis le lancement de l’ex-Codevi, en 1983 (il avait alors six ans), le freluquet ne peut pas avoir aujourd'hui autant d'argent sur ce compte. Et avec 36.285 euros au compteur, celui de son épouse Brigitte est d'ailleurs tout aussi étonnant. Bref, même dans son "métier" de banquier, il a perdu toute crédibilité... ne sachant ni compter, ni faire fructifier ses biens. Sans compter qu'Hermand avait aidé Macron, personnellement d’abord, par un prêt de 550.000 euros afin que le jeune inspecteur des finances acquière son premier appartement parisien, puis politiquement en abritant dans ses bureaux les premiers militants d’En Marche. Il revendiquait aussi le fait d'avoir convaincu l'ex-ministre de l'économie d'abandonner l'idée de "social-libéralisme" ou de "social-réformisme" au profit de la notion de progressisme. Il avouera d'ailleurs avant sa mort qu'il est celui qui en fera le rapporteur d'Attali. On connait la suite...

    Il a d'abord perdu la crédibilité de la fonction président, comme il a perdu la supériorité de la gouvernance, hormis le fait qu'il soit sans cesse en tenue de carnaval, il est totalement incapable de prendre une décision seul, sinon mauvaise. Car il y a une ivresse du pouvoir chez ce président et chez cette majorité parlementaire qui sont arrivés au pouvoir dans des conditions très particulières de fraudes électorales et très rapidement. Et c'est en fait Alexis Kholer, autre délinquant naval avec MSC, qui tient véritablement le pouvoir, puisque Macron ne dirige que par décrets  et ordonnances. Dans notre pays, il y a un problème avec l'hyper-concentration du pouvoir à l'Élysée et sans contrôle. Vous avez une Assemblée nationale qui est trop faible dans sa capacité à contrôler l'exécutif, et en particulier le gouvernement mais aussi l'Élysée qui n'est contrôlée par personne. Et on ne peut pas dans une démocratie moderne, concentrer les pouvoirs chez un seul homme car cela peut aller très vite vers des abus de pouvoir. Ce qui est le cas à présent.  

    Il a perdu le sens commun et l'illusion de courage qu'il n'a pas. Car il même perdu le combat des insultes pour faire enrager les français lorsqu'il nous traite d'alcooliques, analphabètes, gaulois réfractaires, mafia bretonne... en demandant que nous venions le chercher à l’Élysée si on l'osait, lui qui se cache derrière une police et un service d'ordre de 150 personnes sur-armées et sur-payées...  Et perdu de fait totalement la confiance des français dans les institutions et les postes régaliens (justice, sécurité, médecine) en se cachant là encore derrière des comités de "savants et sachants" fous et corrompus comme lors de l'épisode Covid. Et à présent avec son conseil de guerre... Contre le peuple ! Dans aucun de ces cas, il n'a de courage !

    Il a ensuite perdu toute forme possible de masculinité, notamment lors de la première fête de la musique à l’Élysée en posant avec le groupe techno-gay-afro. Mais aussi lors des photo avec l'antillais torse nu et dégoulinant de sueur qui faisait un doigt d'honneur à la caméra, et lors de l'affaire Benalla en allant jusqu'à se justifier publiquement qu'il n'était pas son amant. D'ailleurs, aux cotés d'un Trump, d'un Poutine ou face à un XI Jinping, il ne fait nullement le poids. Il ne le fait avec personne, en fait. Même au Brésil, ils se foutent de lui. Pour le ministre de l'éducation brésilien après son discours sur l'Amazonie, il dira : "Macron n'est pas à la hauteur de ce débat. C'est juste un crétin opportuniste qui cherche le soutien du lobby agricole français". Pendant ce temps, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, ont tout planifié pour prendre les marchés à la France. Que ce soit la technologie de pointe, l'armement, les industries, tout y passe et vite ! Le pire est que l’actuel président français et son équipe n’ont même pas vu venir le coup. Comme pour les sous-marins australiens...

     Il a aussi perdu souvent la face et est ridiculisé, partout et par tous dès qu'il agit et parle, surtout lorsqu'il est en déplacement à l’étranger. Et ce n'est que lorsqu'il est hors du pays qu'il insulte notre nation et ses habitants. Mais il a surtout perdu la position diplomatique de la France dans le monde entier et entrainé la chute d'un pays séculairement reconnu comme leader du monde de la pensée. Au Parlement Européen, il se fait même insulter directement. Macron a pourtant une fonction, qui est sensée représenter autre chose que seulement des milliardaires et dont il est le domestique en chef reconnu par le monde entier. Et ce, à chaque meeting international. C’est comme lorsqu’il associe l’idée de la République à celle de la colonisation. Il va de soi que la colonisation n’a pas attendu que la République existe pour se développer, y compris en Afrique. La colonisation c’est mal, la Raie-publique a colonisé, donc la République c’est le mal. CQFD. Il perd tout ce qu'il touche et ne s'en rend même pas compte, parce que c'est looser !

    Et comme le dit si justement Charles Gave qui détruit Macron et dénonce la mafia qui dirige la France à l'antenne de Sud-radio : "Il a été mis en place pour détruire l’état français. La guerre civile est totalement possible. J’ai toujours pensé que Macron était bête. Nous sommes dans une situation pré-révolutionnaire. Le drame de Macron, c’est qu’il veut que les gens soient encore plus crétins que lui." Ou encore Michel Onfray lorsqu'il parle de la "propagande pour la lessive Macron" dans l'émission "On va plus loin" sur Public Sénat : "Macron a séduit tous les incultes, ça fait du monde." Cela montre bien a quel point de débilité en est arrivé une partie de la société française. Ils votent pour celui qui les traitent "d'abrutis". Seuls les godillots de son parti qui semblent encore plus bêtes que lui ont applaudis en disant qu’il donnait l’exemple.

    Pour ne pas être trop long dans ce descriptif du "Looser" incurable qu'est ce pantin, voici un peu plus rapidement, l'état des lieux non-exhaustif de tout ce qu'a perdu et en un temps record ce technocrate sans charisme, longtemps inconnu des Français, en devenant Président de la République à 38 ans après avoir bénéficié d’une propagande journalistique hors pair. Et surtout à la suite d’un coup d’Etat médiatico-judiciaire plaçant hors-jeu tous ses adversaires. Il a d'ailleurs aussi réellement perdu les élections et n'est arrivé à la tête de la présidentielle qu'en trichant sur tous les chiffres et volant sans vergogne les scores de ses adversaires. La défaite en fut d’ailleurs cuisante aux régionales suivantes. Et il a de fait aussi perdu tout honneur et légitimité à son poste. Comme il a perdu son argent gagné chez Rothschild pour truquer son patrimoine et une campagne à des fins mercantiles. Donc sans s'encombrer des détails, on constate que il n'est que le looser de service, apprécié que par une bande de bobos parisiennes décrépies et complètement décérébrées, ménopausées pour la plus part et déjà avant le début du nouveau siècle. Et à présent, il a aussi perdu la bataille médiatique puisqu'il passe systématiquement pour une marionnette insipide et manipulée par les oligarques. Seuls les mensonges les plus éhontés sont utilisés pour le décrire et parler de ses actions. Rien de ce qui est dit sur lui dans les médias de propagande n'est vrai.    

    On ne sait pas si c’est de la provocation ou de la simple imbécillité, il croit que la France se gouverne comme une république bananière et que la corruption est la seule et bonne méthode. Tout cela démontre que la politique de la brute, outre qu’elle révèle une mauvaise éducation, atteint rapidement ses limites dans une société développée. Le petit prétentieux vise d’abord à ce qu’on le punisse pour sa malveillance, mais aussi parce que ses employeurs veulent mettre la main sur le pactole d’une partie des retraites. Et vu l’argent que Macron a fait gagner à ses employeurs, Arnault, Lagardère, Niel, Bolloré et j’en passe, il est certain que ce sale boulot a déjà rapporté beaucoup à Macron et à sa cupide épouse qui pense sans doute emmener son argent bien mal acquis dans sa tombe. D’une manière ou d’une autre le président-fou a déjà fait fortune, et même s’il dépense beaucoup en cocaïne, il a de l’argent pour jusqu’à la fin de ses jours.   

    Mais il semblerait en fait que Macron, au-delà de l'argent, vise un autre but : d’être le plus méchant président qu’on n’ait jamais connu. Ce garçon, en plus de sa volonté de servir ses maîtres milliardaires, veut qu’on le haïsse. Il le cherche sans cesse, et il le trouve d’ailleurs lors de toutes les manifestations qui ont lieu tous les samedis depuis le début de son quinquennat. Sans doute se hait-il lui-même d’avoir raté sa vie au point de n’être que le domestique de personnes qui se moquent ouvertement de ce qu’il est et qui n’hésiteront pas à se débarrasser de lui dès que l’occasion s’en présentera. Accepter une telle position d’infériorité par rapport à ses donneurs d’ordre ne doit pas être facile à vivre tous les jours. Mais c'est le "job" du LOOSER, perdu dans sa start-up nation trop grande pour lui ! Macron a vraiment toujours tout perdu depuis le début de sa vie, son âme et sa liberté avec le règne de l'argent, comme il a perdu finalement l'esprit avec une mégalomanie délirante et illusoire de petit chef. Il a perdu toute forme de crédibilité pour lui comme pour le gouvernement français. Mais il a surtout perdu le sens de sa vie dans le mensonge que se fabrique un mauvais acteur, du début à la fin...

 ...Ce pauvre type est juste un Super-Looser né !

Phil BROQ.




1 commentaire:

  1. S'il n'était pas aussi malveillant, il serait à plaindre...
    Roland

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