09 septembre 2021

DEPUIS "LA COMPAGNIE DE JESUS" JUSQU'A VATICAN II

     Le Vatican est à présent clairement sous l’influence de Satan et surtout depuis l'avénement du très controversé Concile nommé "Vatican II". Concile qui n'a depuis jamais cessé de créer toutes sortes de groupes anti-chrétiens pour lutter contre l’Evangile et avec pour seule ambition de dominer le monde. Cela s’est fait, de prime abord, par l’intermédiaire de "La Compagnie de Jésus" (en latin : Societas Jesus). C'est une congrégation catholique, masculine, dont les membres sont des clercs réguliers appelés "Jésuites". La première Compagnie fut fondée par Saint Ignace de Loyola, Saint François Xavier, Saint Pierre Favre et les premiers Compagnons en 1539, et elle fut approuvée en 1540 par le Pape Paul III. Dissoute en 1773, elle sera rétablie dans ses prérogatives en 1814 par le Pape Pie VII. La vocation première et avouée des Jésuites est de se mettre au service de l'Église catholique. Cela les a conduits à s'engager dans la Contre-Réforme post-tridentine et à orienter leurs activités vers l'évangélisation, la justice sociale et l'éducation. Du moins l'éducation qui va dans le sens de leurs desseins mondialistes.

    Ignace de Loyola était un juif marrane, c’est-à-dire juif séfarade converti au catholicisme. Et sous des apparences louables et très religieuses, il mène un combat féroce pour imposer une doctrine et des actions plus ou moins subversives basées sur l’infiltration, la manipulation, et aux ordres exclusifs du Pape. Ce sont par ailleurs les Jésuites qui ont le plus fourni d’énergie lors des six siècles d’Inquisition contre les "incroyants". A côté d’eux, les Dominicains passeraient presque pour des enfants de chœur… L’Ordre des Jésuites a donc été créé pour être une armée au service de Rome, et non au service de l’Eglise catholique, qui devint très vite leur outil de conquête. Il s’agissait ni plus ni moins d’une milice pour convertir les peuples et ramener les grandes religions mondiales dans le sein de Rome à travers l’œcuménisme. Aucune révolution, aucune guerre n’ont été déclenchées sans eux. Et en quatre siècles, ils ont été bannis 73 fois d’à peu près tous les pays, tant ils causaient de désordres et de problèmes politiques partout où ils étaient.     

    Sous l’Ancien Régime, les Jésuites s’étaient octroyé le monopole de la confession des princes et des rois catholiques de l’Europe. C’est ainsi, par le truchement et la trahison des secrets de la confession, qu’ils arrivaient sans mal à les dresser les uns contre les autres jusqu’à ce que, excédés par leurs manigances, les princes les expulsent de leur pays respectif. Il faut aussi savoir que les Illuminés de Bavière, ceux que l’on nomme "Illuminati", ont été fondés le 1er mai 1776 par Adam Weishaupt, qui était aussi Jésuite et professeur de Droit canon de l’Université d’Ingolstadt en Bavière. Mais cette "Confrérie des illuminés" avait été déjà  imaginée en 1773 lors d’une réunion des personnalités européennes les plus influentes, dont Amschel Mayer, fondateur de la dynastie financière qui se fera appeler Rothschild, signifiant "bouclier rouge" car c'était l’enseigne de la maison de change d’Amschel. Et cette réunion secrète avait pour but de mettre en place, pour les siècles à venir, un plan visant l’instauration d’un gouvernement mondial invisible. A l’instar des Jésuites qui ont masqué leur organisation secrète sous l’apparence d’un ordre religieux, les "Illuminés" feront de la franc-maçonnerie moderne naissante leur paravent, en créant dans toute l’Europe des Loges remplies par des êtres ne visant que le pouvoir.

    Toutes les loges ou fraternités secrètes contemporaines sont organisées sur le modèle des Illuminés de Bavière, lui-même calqué sur l’ordre intérieur de la Compagnie de Jésus. Les membres ne pénètrent pas ces structures secrètes par chance ni par volonté personnelle. Le recrutement se fait exclusivement par cooptation, puis les membres reçoivent un parcours initiatique basé sur l’idée maçonnique de développer l’être jusqu’à son sommet. C'est à dire au-dessus de Dieu ! L’initié doit démontrer qu’il peut servir au maximum de ses possibilités la structure pyramidale du pouvoir synarchique, afin d’en gravir les échelons. C'est ainsi que l'on retrouve de nombreux francs-maçons dans toutes les strates décisionnelles du monde actuel. Les francs-maçons, forts de leurs représentants/pions placés partout, ont ensuite eux-mêmes créé toutes sortes de groupuscules anti-chrétiens tels que les Mormons, les Témoins de Jéhovah, les Théosophes, etc. Bien que créés de prime abord par Rockefeller, leur principal soutien financier actuel et assumé est sans conteste la famille Rothschild. Ils avancent toujours cachés derrière des paravents religieux, c'est ainsi qu'au XIXe siècle, les Jésuites lancèrent le "concept " d’antisémitisme, afin de rejeter la responsabilité de leurs turpitudes sur les juifs. Les écrits antisémites de l’époque, dont les fameux "Protocoles des Sages de Sion" furent d'ailleurs rédigés et mis en circulation par les Jésuites afin de détourner l’attention et de faire des juifs le bouc émissaire idéal pour l'époque. Mais il ne faut pas confondre les "vrais" juifs de souche certaine et les milices sionistes politiques justifiées par Théodore Hertzl.  

    Les Illuminés de Bavière ne sont que l’une des résurgences occultes des Jésuites, dont l’ordre fut dissout par le Pape Clément XIV en 1773. L’ordre des Illuminés est d’ailleurs bâti sur la même structure que les Jésuites dont il reprend la discipline morale rigide et le culte du secret. Ce type de structure deviendra par ailleurs la "structure-type" des véritables sociétés secrètes occidentales anciennes comme actuelles. Par la suite ce groupe de Jésuites ainsi masqués sous des noms divers, dont son supérieur général actuel est Arturo Sosa, a créé les loges francs-maçonnes.  Et sachez que le Pape actuel, François 1er élu en mars 2013 suite à la démission de Benoit XVI, est aussi le premier Pape Jésuite de l'histoire. On peut signaler aussi, afin de tisser les liens de cette trame malsaine, que le Cardinal Dulles, décédé le 12 décembre 2008, Jésuite de son état et petit-fils du fondateur de la CIA Allan Dulles, était le responsable assumé au Vatican des contacts avec la CIA. Il fut nommé Cardinal de l'Église catholique par Jean-Paul II  le 21 février 2001. Or, par la règle introduite par Jean XXIII, il aurait dû recevoir l'ordination épiscopale avant d'être élevé au cardinalat. Seulement le Pape Jean-Paul II accéda à sa demande spéciale de déroger à cette règle sans sourciller. Et il recevra le 19 avril 2008 la visite du Pape Benoît XVI, qui lors de sa visite aux États-Unis, se déplacera spécialement à Fordham pour le rencontrer. C'est dire la connivence qu'il y a entre la CIA, et le Vatican. 

    Dans les années 1970 en Italie, un homme, Licio Gelli, a pris la tête d’une loge maçonnique regroupant les personnes les plus influentes du pays. En quelques années, cet homme a quasiment réussi à créer un Etat dans l’Etat. Cette loge du nom de "P2", pour "Propaganda Due", dépendait du Grand Orient d’Italie, la plus ancienne obédience maçonnique du pays. En 1976, le Grand Orient suspend cette loge P2 qui enfreint les règles de la franc-maçonnerie. Devenue secrète et donc illégale, la loge P2 a laissé planer son ombre dans de nombreuses affaires qui ont secoué la société italienne des années 70 : la mort de Jean Paul 1er, la faillite de la Banque Ambrosiano, l’attentat de la gare Bologne ou encore l’assassinat d’Aldo Moro. Mais l’histoire de cette loge P2, c’est aussi l’histoire d’un homme qui se considérait comme le grand marionnettiste : Licio Gelli. Sur le chemin de cet homme qu’on a surnommé Belphégor, nous croiserons Franco, Mussolini, la mafia, la CIA, le Vatican, les banques suisses… C'est donc sans réelle surprise, pour ceux qui suivent cette trame malsaine des maîtres du monde, que l'on apprend que le Vatican conclut une "alliance mondiale" avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation. L’initiative mondialiste, appelée "Le Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican" (The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican), se présente comme une organisation pro-capitaliste qui vise à créer "des économies et des sociétés plus fortes, plus justes et plus collaboratives". Le groupe d’élite, qui s’appelle pompeusement "Les Gardiens" (The Guardians), se qualifie lui-même de "collaboration historique de PDG et de dirigeants mondiaux travaillant avec la direction morale du Pape François pour exploiter le pouvoir des affaires pour de bon".

    Cela vient après que le Forum économique mondial, les Nations Unies et d’autres institutions ont récemment appelé à une "grande réinitialisation" pour réorganiser le système capitaliste mondial en un ordre mondial trans-humaniste socialiste qui éliminerait la propriété privée et la monnaie. Dans la liste des "Gardiens", en plus du Pape François, figurent les PDG de Visa, Mastercard, Bank of America, Dupont, The Estée Lauder Companies, Johnson & Johnson et British Petroleum, ainsi que le secrétaire général de l’OCDE, le président de la Fondation Ford Darren Walker, le président de la Fondation Rockefeller Rajiv Shah et l’envoyé spécial des Nations Unies pour le climat, Mark Carney. Il faut rappeler qu'à la fin du XIXe siècle, les grands capitalistes libéraux (Rothschild, Carnegie, Rockefeller, etc.) ont soutenu la réforme sociale comme un moyen d’apaiser les classes ouvrières rétives et, finalement, de les placer sous leur contrôle. La Société Fabienne était l’organisation clé mise en place à cet effet. Nous allons en reparler plus loin. Et Lord Nathan Mayer Rothschild fut l’un des premiers partenaires de Sidney et Beatrice Webb à financer leurs projets subversifs.   

    Lorsqu'on sait que la fortune inestimable des Jésuites, issue notamment des trafics fomentés par la CIA, est aussi en grande partie redevable aux trafics de drogue et de chair humaine grâce aux liens entretenus avec les mafias italo-colombiennes, on peut craindre le pire de cette alliance. Bien que l’implication grandissante de la CIA et sa responsabilité dans le trafic de drogue mondial soit un sujet tabou dans les cercles politiques, les campagnes électorales, et les médias de masse. Le journaliste Alfred McCoy s’est impliqué plus que quiconque pour faire prendre connaissance au public de la responsabilité de la CIA dans le trafic de drogue au sein des zones de guerres états- uniennes, écrit que "l’opium émergea comme une force stratégique dans le milieu politique afghan durant la guerre secrète de la CIA contre les Soviétiques", et il ajoute que cette dernière "fut le catalyseur qui transforma la frontière pakistano-afghane en la plus importante région productrice d’héroïne au monde". McCoy démontre clairement que l’État Afghan d'Hamid Karzai est un narco-État corrompu ! Et on comprend mieux les ressorts actuels qui agitent les médias. De plus, pour Peter Dale Scott, universitaire canadien et professeur émérite de littérature anglaise à l’université de Berkeley, il ne sert à rien de se lamenter sur le développement de la culture des drogues en Afghanistan et sur l’épidémie d’héroïne en mondiale. Il faut tirer des conclusions des faits établis : les Talibans avaient éradiqué le pavot, l’OTAN en a favorisé la culture. L’héroïne afghane est la connexion mondiale de la drogue de la CIA. Les liens sont si étroits entre ces structures mondialistes et la pourriture du monde, qu'il faudrait être aveugle, sourd et stupide pour ne pas voir les raisons de leurs fonctions.

    On peut légitimement se demander pourquoi une telle société, qui s’affiche comme religieuse, peut ainsi poursuivre des desseins si opposés au christianisme. Rien de plus simple. C’est parce qu'en faisant le "bien", on arrive à séduire et à tromper le quidam. Satan singe toujours Dieu pour induire en erreur les Hommes. C'est ainsi que les pires milliardaires, qui pillent, polluent et tuent pour accaparer nos ressources, se font aussi appeler "Philanthropes". Et le meilleur des camouflages aux yeux du public depuis toujours, c’est le masque de la religion. Les bons sentiments, l’humanitarisme, le progrès scientifique et social sont les armes les plus efficaces, face à un public endormi. Car lorsqu’on suit les actions des Jésuites de près, on ne rencontre que des larmes, du sang, depuis le massacre des Indiens d’Amérique (cf. le célèbre film "Mission" de R. Joffé), jusqu’aux atroces boucheries de Pol Pot au Cambodge, les purges de Staline, les révolutions bolchéviques et les massacres de la "révolution culturelle" de Mao Tsé Tong... Mais tout cela est fait, selon leur devise "Pour la plus grande gloire de Dieu" car, toujours selon leur idéologie, "la fin justifie les moyens". 

    Il existe par la suite une autre "confrérie" issue toujours des Jésuites, et qui prit la relève des "illuminés", c'est "La Fabian Society" (la Société Fabien). Elle fut fondée à Londres en 1884. D’essence communiste, elle doit son nom au fameux chef de guerre romain Fabius Maximus Quintus, dit Cunctator, le "Temporisateur", en raison de sa tactique marquée par la patience. Lors de la deuxième guerre punique (218 à 202 av. J.C.) au cours de laquelle il combattit Hannibal, le Général romain pratiqua une forme de guérilla, ne brusquant jamais les évènements afin de vaincre son ennemi par l’usure. C’est ce type de méthode qui est employée par la Fabian Society pour imposer ses vues au monde entier. Les "fabiens" défendent le principe d’une société sans classes qui serait la synthèse du socialisme (l’Etat Providence) et du capitalisme (lois du marché), le tout devant aboutir à la mise en place d’une économie mondiale. Pour parvenir à leurs fins, ils préconisent la solution du "gradualisme". "L’influence de cette société est d’autant plus importante qu’elle est à l’origine de la création de la London School of Economics, qui voit le jour en 1895 et qui inculquera l’esprit "fabien" à des générations d’étudiants de toute la planète, lesquels deviendront, pour nombre d’entre eux, des acteurs majeurs de la vie politique et économique de leurs pays."( Source : Abraxas cité par C.R.O.M-Centre de Recherche sur l’Ordre Mondial).  

    Depuis sa création, la Société Fabien entretient des objectifs ténébreux et diaboliques. Beatrice Potter Webb admirait le fondateur de l’eugénisme, Francis Galton. Elle poussa son époux Sidney Webb à adhérer à la Société eugénique à partir de 1890. Et l’un des quatre fondateurs principaux de la Société Fabien, George Bernard Shaw, admirait le chef du parti national-socialiste, Adolf Hitler, et son programme génocidaire. Il disait explicitement :"Vous connaissez presque tous au moins une demi-douzaine de personnes qui ne sont d’aucune utilité dans ce monde. Qui sont plus de problèmes que ce qu’ils valent. Il suffit de les mettre là et de dire, Monsieur ou Madame, allez-vous maintenant avoir la gentillesse de justifier votre existence ? Si vous ne pouvez pas justifier votre existence, si vous ne tirez pas votre poids dans le bateau social, si vous ne produisez pas autant que vous consommez ou peut-être un peu plus, alors, clairement, nous ne pouvons pas utiliser la grande organisation de notre société dans le but de vous garder en vie. Parce que votre vie ne nous profite pas et qu’elle ne peut pas vous être très utile." Là, se concrétise l'idée de ses injections létales ou stérilisantes expérimentales appelées "vaccinations", que nous subissons actuellement.    

    Pour insister sur le rôle sous-jacent de ces êtres obscurs, les Jésuites initiés doivent prononcer un Serment dénommé "Le Grand Serment des Fils d’Ignace", et le pratiquer. Car, Loyola avait appris à contrôler ses "énergies" démoniaques pour les sublimer, et c'est ce qui est à la base même de tous les enseignements de l’occultisme moderne, et notamment le Reiki. Et les hauts initiés Jésuites détiennent de puissants secrets contenus notamment dans les "fameux exercices spirituels" que Loyola mit au point, et qui furent approuvés par le Pape Paul III en 1548. Ces exercices ne sont rien de moins que des mantras déguisés sous un vernis religieux et n’ont rien de biblique, mais sont bien plutôt de nature psychique, basés sur la culpabilité et l’auto-justification. Telles que nous les observons tous les jours concernant la séquence COVID. Ils culpabilisent le public et justifient ainsi leurs méfaits. Ce serment, qui ressemble à s’y méprendre à un rite maçonnique, et pour cause, fait de ceux qui le prononcent, des agents du Mal au service de leur "pape", Arturo Sosa (de son nom complet Arturo Marcelino Sosa Abascal). Surnommé "le Pape Noir" et qui en réalité dirige le Vatican d’une main de fer, et comme toujours pour "la plus grande gloire de leur Dieu." Ce serment des Jésuites se termine d'ailleurs par la phrase : "Alors, va partout dans le monde, et prend possession de toutes les terres au nom du Pape. Celui qui ne l’acceptera pas en tant que Vicaire de Jésus et de son Vice-Régent sur terre, qu’il soit maudit et exterminé."

   Le 31 mai 2017, dans un entretien accordé au quotidien espagnol El Mundo, Arturo Sosa rompt avec la tradition Jésuite et la doctrine de l'Église catholique en affirmant croire que le diable n'est "qu'un symbole ". Il dira : "de mon point de vue, le mal fait partie du mystère de la liberté. Si l'être humain est libre, il peut choisir entre le bien et le mal. Nous, les chrétiens, nous croyons que nous sommes faits à l'image et à la ressemblance de Dieu, parce que Dieu est libre, mais Dieu choisit toujours de faire le bien parce qu'il est toute bonté. Nous avons créé des figures symboliques, comme le diable, pour exprimer le mal". Alors que, dans le même temps, le Pape François regrette qu'on ait fait croire que le Diable est un mythe, une image, l'idée du mal, le supérieur Jésuite créera aussi une grande agitation au sein de l'Église catholique. Le Vatican joue ainsi le rôle du grand ennemi contrôlant tous les autres. Cependant, cette théorie ne résiste pas vraiment à l’analyse historique. Certes, les Jésuites ont combattu le protestantisme, car ils pensaient que les protestants s’opposaient à l’Evangile, mais on ne peut pas réduire leur rôle à cela. L’Eglise catholique enseigne comme un dogme, qui fut appelé "dogme parfaitement connu" par Pie IX, qu’il n’y a pas de salut hors de l’Eglise. Le Concile affirme la proposition exactement contradictoire au dogme catholique, à savoir qu’il y a un salut hors de l’Eglise catholique, que ces religions non-catholiques peuvent procurer le salut à leurs adhérents, et sont en effet le moyen par lequel ceux-ci sont sauvés.    

    Bien que la papauté ait toujours considéré les francs-maçons comme des adversaires et la réciproque était souvent vraie, et d'ailleurs historiquement et en façade, la franc-maçonnerie a été une des institutions qui a le plus lutté contre l’Eglise romaine et son influence, particulièrement en Europe, tout ceci n'est que manipulation. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard, si les papes non corrompus par les jésuites ont affirmé à plusieurs reprises qu’il n’était pas possible d’être catholique romain et franc-maçon. Lisez à ce sujet l'encyclique "Humanum Genius". C'est ainsi que Don Luigi Villa, fils spirituel de Padre Pio et ancien agent de renseignement du Vatican, dénonçait l'influence satanique des "papes" depuis "Vatican II". Vatican II est un concile qui se déroula de 1962 à 1965. Il fut convoqué par Jean XXIII, et solennellement promulgué et confirmé par Paul VI le 8 décembre 1965. Ce faux concile, initié par les jésuites infiltrés, constitua une véritable révolution contre deux mille ans d'enseignements et de traditions catholiques. Il contient de nombreuses hérésies qui furent directement condamnées par les papes et les conciles infaillibles du passé. Et il tenta de donner, aux catholiques, une nouvelle religion. Tout catholique honnête qui a vécu avant le concile, et qui compare ce qu'il a connu avec la religion dans les diocèses d'aujourd'hui, peut témoigner du fait que Vatican II a inauguré une nouvelle religion aux antipodes de celle qu'ils ont pratiqué jusque-là. Ces suppôts de Satan utilisent le même verbe que le concile de Florence pour enseigner exactement le contraire. Car le concile de Florence a dogmatiquement défini que tout individu ayant une opinion contraire à la doctrine de l'Église catholique sur Notre-Seigneur Jésus-Christ ou la Trinité, ou n’importe quelle autre vérité au sujet de Notre-Seigneur ou de la Trinité, est rejeté par Dieu.   

    La première hérésie de Vatican II est l’oecuménisme. Le document Unitatis Redintegratio, ou Décret sur l’Oecuménisme, contient une hérésie flagrante contre le dogme catholique qui enseigne que hors de l’Eglise il n’y pas de Salut. Alors que ce Concile affirme : "En conséquence, ces Églises et communautés séparées, bien que nous croyions qu’elles souffrent de déficiences, ne sont nullement dépourvues de signification et de valeur dans le mystère du Salut. L’Esprit du Christ, en effet, ne refuse pas de se servir d’elles comme de moyens de Salut, dont la vertu dérive de la plénitude de grâce et de vérité qui a été confiée à l’Église catholique. (Unitatis Redintegratio, n. 3)."  

     La deuxième hérésie de Vatican II est dans la liberté religieuse. L’Eglise catholique, qui professe être la vraie et unique Eglise fondée par Jésus-Christ et en dehors de laquelle il n’y a pas de Salut, comprend la liberté religieuse comme étant la liberté de l’Eglise catholique d’accomplir sa mission dans le monde entier, de s’établir partout, et de fonctionner librement comme une entité distincte de l’Etat. Elle revendique aussi la liberté de ses adhérents de professer et d’exercer leur foi catholique sans harcèlement ni persécution. Mais, la liberté est le pouvoir de choisir le bien. La licence est la liberté faussement accordée à la volonté de choisir le mal. Afin qu’il y ait exercice de la vraie liberté, il est nécessaire qu’elle n’empiète sur aucun devoir. Car la liberté n’existe pas pour le mal, mais pour le bien. Par conséquent, à chaque fois que l’homme abuse de sa liberté dans le but de commettre le mal, on ne devrait pas parler de liberté, mais de licence. Ainsi, la liberté religieuse, telle qu’elle est enseignée par Vatican II, est en effet une hérésie. Elle fut d'ailleurs solennellement condamnée par le Pape Pie IX comme étant contre les Ecritures Saintes.

    La troisième hérésie de Vatican II, c'est la nouvelle ecclésiologie. Par ecclésiologie, on veut désigner la doctrine de l’Eglise concernant sa propre nature, c’est-à-dire, son essence et ses caractéristiques. Vatican II enseigne une ecclésiologie hérétique, contenue dans Lumen Gentium. Vatican II a modifié cette doctrine afin d’introduire les autres dénominations chrétiennes dans l’Eglise du Christ, en disant que l’Eglise du Christ, en tant que corps organisé, "subsiste" dans l’Eglise catholique. En appliquant cela à l’ecclésiologie, si l’Eglise du Christ ne subsiste pas en elle-même, mais doit subsister dans une autre chose, cela signifie que l’Eglise du Christ est réellement distincte de ce en quoi elle subsiste, c’est-à-dire que ce sont là deux choses différentes par nature. Cela signifie que l’Eglise du Christ n’est pas l’Eglise catholique, et que l’Eglise catholique n’est pas l’Eglise du Christ. C'est de l'inversion pure et dure. Si elles n’étaient pas deux choses de nature différente, alors elles seraient la même chose, et l’on devrait dire que l’Eglise du Christ est l’Eglise catholique, ce qui est précisément le dogme de l’Eglise catholique.

    La quatrième hérésie de Vatican II, c'est la collégialité. Cette doctrine, également contenue dans Lumen Gentium, soutient que le sujet (le possesseur) du pouvoir suprême dans l’Eglise est le Collège des évêques. Voyez ce que dit le Concile : "L’ordre des évêques, qui succède au collège apostolique dans le magistère et le gouvernement pastoral, bien mieux dans lequel le corps apostolique se perpétue sans interruption constitue, lui aussi, en union avec le Pontife romain, son chef, et jamais en dehors de ce chef, le sujet du pouvoir suprême et plénier sur toute l’Église, pouvoir cependant qui ne peut s’exercer qu’avec le consentement du Pontife romain." Or, le Pape Pie VI a fermement condamné la doctrine suivante : "Les évêques tous ensemble et en un seul corps gouvernent la même Eglise, chacun avec pouvoir plénier." Mais certains membres corrompus par les jésuites franc-maçons essaient même de sauver Vatican II de l’hérésie en disant que le Concile affirme que le Pape est la tête de ce Collège, qui ne peut agir sans lui. Mais cela ne sauve pas le Concile de l’hérésie, parce que le Pape ne devient dans ce cas qu’un simple membre du Collège des évêques, et uniquement une condition de leur pouvoir, et non la source de leur pouvoir. Aucune organisation ne peut avoir deux têtes, deux législateurs suprêmes. Par exemple, il est impossible que le Roi et le parlement soient simultanément le législateur suprême. L’un d’eux doit avoir le dernier mot, auquel l’autre est subalterne. Le dogme traditionnel de l’Eglise catholique est qu’elle, et elle seule, est la vraie et unique Eglise du Christ, et par conséquent que toute entité hors d’elle est une fausse religion. 

    De plus, s'il fallait démonter encore que ce qui se passe est proprement contraire à la religion catholique, sachez qu'au moment de ce Concile, en 1963, des prélats catholiques intronisèrent directement Satan au Vatican.  On apprend dans le mensuel "Chiesa Viva" (fondé par le Père Luigi Villa) que : "L'intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963, date idéale pour la promesse historique qui allait s’accomplir. Comme le savaient très bien les principaux agents de ce Cérémonial, la tradition sataniste a depuis toujours prédit que le Temps du Prince serait inauguré au moment où un Pape prendrait le nom de l’Apôtre Paul. À partir du moment où le Conclave s’était terminé, le 21 juin 1963, avec l’élection de Paul VI, le temps d’organiser l’Évènement était plutôt court, mais le Tribunal Suprême avait décrété qu’aucune autre date ne pouvait être mieux adaptée pour l’Intronisation du Prince de la matière que celle de la fête des Saints Pierre et Paul et qu’aucun autre lieu ne pouvait être meilleur que la Chapelle Saint Paul, située qu’elle était si près du Palais Apostolique". Et encore selon le mensuel "Chiesa Viva", le but immédiat de chaque Cérémonial était de vénérer "l’abomination de la désolation". Mais le véritable but ultime et spirituellement malsain était d’assurer que s’accomplisse "la Montée du Prince dans la Citadelle comme une force irrésistible." En clair, ils voulaient placer Satan à la tête de l'Eglise. Et dans le livre "Morals and Dogma" publié en 1871, Albert Pike, un des "pères" de la Franc-maçonnerie, atteste que "la religion devrait être, pour nous tous, initiés de hauts grades, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne. Oui ! Lucifer est Dieu." 

    Le 21 juin 1963, Giovanni Battista Montini, devient "Pape" sous le nom de Paul VI. Quatre années plus tard, en 1967, Yves Saint Laurent publie chez l’éditeur Claude Tchou "La Vilaine Lulu", un album de bandes dessinées qui énumère les pratiques criminelles des sectes sataniques. L’ouvrage du célèbre couturier français porte en introduction la mention : "toute ressemblance avec des personnes qui existent ou qui ont existé est parfaitement voulue. Toutes ces aventures ont été tirées de faits réels". Or, "Lulu", l’incarnation du mal dessinée par Yves Saint Laurent, parvient au sommet de l’Église. C’est précisément ce que des prêtres catholiques dénoncent en ces termes: "L’intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963", soit une semaine après le couronnement du Pape. Les célébrations du 15ème anniversaire de "Pontificat" de Paul VI se déroulèrent le 29 juin 1978. Et six ans plus tard, en 1972, Paul VI choisit la date du 29 juin pour faire son discours sur "la fumée de Satan qui est entrée dans l’Église". (...)"Aucun changement significatif dans la doctrine ou dans la discipline de l’Église, ne peut avoir lieu sans la volonté d’un Pape !"

    La Franc-maçonnerie, elle-aussi, connaît bien cette règle. En effet déjà dans le temps, "Nubius", Chef de la Haute-Vente, c’est-à-dire Chef du satanique Ordre des Illuminés de Bavière, avait programmé un plan de destruction de l’intérieur de l’Église Catholique prévoyant une Révolution qui devait partir du haut. Tous leurs efforts tendaient en effet à faire élire un Pape qui fût un des leurs ! Un tel "pape" fut Paul VI, le "Pape qui changea l’Église". Et toujours selon le mensuel Chiesa : "La décision d’élire Pape le cardinal Roncalli (Jean XXIII) fut prise par la Franc-maçonnerie. (...)L’élection du Cardinal Montini comme Pape (Paul VI) est due à l’intervention de quelques membres de la Haute Franc-maçonnerie juive des B’naï B’rith. (...)Le choix du Cardinal  Karol Wojtyla (Jean-Paul II) comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski, chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le franc-maçon Cardinal König." On constate que les Jésuites, les Fabiens, la Franc-maçonnerie, le Sionisme, l'Eugénisme, et toutes les formes de Satanisme, sont liés entre eux par ces acteurs ténébreux. Et pour couronner le tout, le Dr Cecilia Gatto Trocchi, anthropologue, ajoute qu'en quelques décennies, la société jésuite a évolué d'une logique matérialiste et communiste vers une spiritualité satanique et maçonnique. Déjà en 1900, le grand mage Aleister Crowley, initié au 33ème degrés, avouait dans son livre "Magick in theory and practice", le sacrifice de cent cinquante enfants par an, entre 1912 et 1928. Et en 1998, des squelettes d'enfants seront découverts sous la maison londonienne de Benjamin Franklin, rédacteur de la Constitution américaine, Franc-maçon et adepte du Hell Fire Club. Si on ajoute à cela que des ossements d'enfants ont été retrouvés dans l’immense parc de l’ambassade du Vatican en Italie, qui furent exhumés au cours de travaux de restauration dans une annexe de la nonciature apostolique, ayant relancé l’enquête sur deux affaires de disparition d’adolescentes en 1983... On ne peut qu'accréditer la thèse de l'infiltration satanique de cette secte "jésuito-judéo-fabiano-maçonnique" au coeur même du Vatican. L'accumulation de preuves font que le pédo-satanisme serait donc une pratique partagée par une élite maçonnique transmettant le pouvoir à des politiciens et des financiers ayant les mêmes valeurs occultes, autant qu'aux élites Vaticanes.    

    On découvre donc que la Franc-maçonnerie, à la base de rites pédo-sataniques et de rituels adorant Lucifer, a aussi élu le Pontife. C'est d'ailleurs prouvé par la lettre du Cardinal Baggio écrite au Grand Maître de la Franc-maçonnerie italienne, aussitôt après la mort de Paul VI. Dans cette missive, il lui offrait ses services tout en lui rappelant aussi la promesse de "le faire Pape". Il y a aussi toute la documentation publiée et jamais démentie qui démontre aussi l’appartenance à la Franc-maçonnerie de Roncalli, Montini et Baggio, de même que les Prélats que Montini plaça aux postes clefs du Vatican et de l’Église dans le monde. Et puisque Satan ou Lucifer est le "dieu" de la Franc-maçonnerie, puisque son orgueil le pousse à se substituer en tout à Jésus-Christ et à singer Dieu. Sans oublier que Bill Schnoebelen, ancien haut-représentant de l'Église de Satan, affirme que la Franc-maçonnerie pratique le pédo-satanisme comme rite initiatique du 33ème degrés du Rite écossais ancien et accepté. Ceci n'est même pas un secret, ni même du conspirationisme de bas étage, mais un fait avéré et sourcé depuis des décennies. Car il est temps de comprendre où sont les véritables ennemis de l'humanité afin de s'en débarrasser une bonne fois pour toute.

    Et si l'Apocalypse est le moment de la révélation au monde des choses cachées, il semblerait en effet, que ce soit ce qu'il se passe en tout état de cause au moins pour ses sectes anti-christiques qui oeuvrent dans l'ombre des loges et des palais gouvernementaux depuis trop longtemps. Ceux sont eux les responsables de tous nos maux, ce sont eux les gestionnaires de la peur et du désespoir qui s'emparent du monde. Ils empoisonnent notre planète comme nos têtes, ils empêchent notre élévation spirituelle autant que le bonheur de vivre sur cette Terre par leurs agissements contre nature. Ils imposent leurs agents du mal à la tête de toutes les institutions comme à présent à la tête du Vatican. Et pas seulement pour de l'argent ou pour du pouvoir, mais pour promouvoir le monde voulu par leur faux dieu, c'est à dire l'Enfer ! Dorénavant, vous savez, vous connaissez la trame et les noms de ces gens-là, vous connaissez leurs sectes et leurs façons de faire, vous avez les preuves tous les jours qui s'étalent dans les journaux. Alors ouvrez les yeux, forgez vos consciences et cessez de croire qu'il s'agit seulement de rumeurs. 

    C'est sous cet éclairage que vous comprendrez mieux comment ce faux pape, qu'est le sieur Bergoglio alias "François 1er", promeut le vaccin pour tous, éloigne les fidèles et les croyants du chemin tracé par le Christ, et fournit à la masse des incrédules et des incultes des arguments pour faire de Satan le nouveau prince de ce monde. Mais la masse n'a jamais construit la raison, mais c'est plutôt la raison qui a toujours guidé la masse !Et comme le disait le Père Garrigou-Lagrange :

"Mille idiots ne valent pas un génie."

Phil BROQ.









2 commentaires:

  1. Les faux papes Paul VI (élu le 21 juin 1963) et François (élu le 13 mars 2013) ont pour particularité d'avoir été élus au moment de la Nouvelle Lune... Le premier a été choisi pour entamer le cycle eschatologique alors que le second a été programmé pour l'achever. L'élection de ces faussaires à la tête de l'Eglise Catholique au moment de Lilith est bien évidemment la marque de fabrique de la Satânerie et de son calendrier rituo-sacrificiel luni-solaire. Cette particularité de l'élection ou de la candidature à la Nouvelle Lune n'est donc pas une pratique exclusivement réservée aux seuls pantins politiques à sa solde, mais bien à tous ceux qui servent la cause du Satanisme à toutes les échelles ! De Patrice Bouriche

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  2. Ce que j'ai tout de suite pensé avec cette phrase du Notre Père Ne nous soumets pas à la tentation ...

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