16 septembre 2021

DE L' HONNEUR DES MAFIOSIS A LA SECTE DES COVIDIOTS...

    Il fut un temps où existait la mode de l'éthique légitime et de l'honneur véritable, qui furent des sentiments d'estime et de considération portés à un individu ayant une conduite digne, méritante et conforme à un certain nombre de normes d'une société, nous voyons surgir à présent des attitudes toutes aussi codifiées mais bien loin d’être honorables. Car à l'origine, le code de l'honneur était un lien indéfectible, basé sur le sens moral et l'éthique entre une personne et un groupe social, et qui donnait à ce premier son identité et lui conférait le respect de son entourage. Et si un code d'honneur véritable désignait déjà un ensemble de règles tacites, orales ou écrites que devaient impérativement respecter les membres d'un groupe ou d'une société donnée, il était surtout synonyme de grande moralité et de droiture. Ces vertus ancestrales étaient restées durant des siècles telles que l'avaient définis les règles de la Chevalerie au moyen-âge, car l'honneur se gagne par des actes admirés par la collectivité. Et en ce sens, l'honneur est un attribut collectif, comme la vertu est un attribut individuel. Ainsi, l'honneur est donc une marque de vénération, de considération attachée elle aussi à la vertu et au mérite. Consécutivement, l'honneur est donc une forme d'estime dont on jouit après le combat comme une récompense suprême.

    Au temps des chevaliers on retrouvait alors, comme vertus cardinales, la défense de "la veuve et l'orphelin", les différents codes de guerre ou de tournoi et surtout les duels pour l'honneur et la justice. Les rois finiront d'ailleurs par interdire les duels judiciaires, et cette "preuve" du bon droit du participant gagnant l’affrontement par le jugement favorable de Dieu, sera peu à peu rejetée au profit du simple témoignage ou du serment sur la Bible. Bien que les duels auxquels on assiste à partir du XVIème siècle n’aient déjà plus grand chose de commun avec ceux du haut moyen-âge, les nouveaux codes ou plutôt les nouvelles formes d'allégeances modernes, totalement dévoyées de leur axe initial et faites auprès de personnages de plus en plus malsains, entraînent surtout l'impossibilité d'être moralement sain et surtout peu respectable par les autres. Ainsi arrive de nos jours, "le suicide" du candidat, qu'il soit social ou physique, et provoqué par ses pairs en cas de non-respect de leurs règles. Et le nombre exponentiel de personnes, avides et sans scrupules, qui font allégeance à ces codes sans honneur et dévoyés pour un peu de reconnaissance ou d'argent de la part de leurs pseudos mentors, entrainent depuis lors le monde vers son propre suicide collectif. 

   Car même s'il existait encore un code d'honneur nommé "le hara-kiri" ou "seppuku", signifiant littéralement "coupure au ventre" et  qui est apparu au Japon vers le XIIème siècle dans la classe des Samouraïs, comme étant une forme rituelle de suicide honorable par éventration du candidat ayant fauté, elle a depuis longtemps disparue. Elle fut d'ailleurs interdite car ce fut l'occasion de nombreux suicides collectifs chez les Samouraïs, hommes d'honneur par excellence, qui par leur mort pensaient rendre hommage à leur maître en le suivant par-delà l'épreuve de la mort et/ou pour ne pas affronter le déshonneur. Et par ailleurs leur code était si complet que leurs femmes, nobles et épouses de Samouraïs, pratiquaient quant à elles le "jigai". Soit une autre forme de suicide mais consistant à se trancher la gorge (carotide) avec un poignard. 

    On constatera aussi que par la suite, il naitra d'autres codes dit "d'honneurs" mais qui se pratiqueront surtout chez les mafiosis, donc dévoyés de la vertu, et à l'encontre des autres et non plus contre soi. Car ces nouveaux codes ou plutôt ces règles qui veulent, par exemple, que tout homme réputé d'honneur par ce groupe de truands et d'assassins patentés, doit exécuter sans hésiter la victime désignée en signe de soumission et d'obéissance à l'organisation mafieuse à laquelle il appartient. Et ces codes qui n'ont plus rien d'honorable, non, mais loin d’être  devenus désuets et marginaux, existent aussi dans les diverses mafias, comme au sein de la mafia sicilienne (Cosa nostra), de la Camorra napolitaine, de la 'Ndrangheta calabraise, ou encore dans les triades chinoises ou les mafias japonaises comme les Yakuza. Mais pas seulement malheureusement, car on retrouvera cette forme de violence, physique comme intellectuelle, pratiquée à présent dans de nombreuses sectes aussi. Car, en général, la mafia préfère recourir à l’intimidation, la corruption ou le chantage plutôt qu’à la force pour contraindre ceux qui lui résistent. De cette manière, elle attire moins l’attention du grand public sur elle. De plus, la direction des organisations mafieuses d'Italie est composée de personnes agissant dans un cadre illégal (les capimafia) mais aussi légal (politiciens et fonctionnaires, hommes d’affaires, avocats, conseillers financiers, etc).  

    On se souviendra alors aussi, de ceux qui ne sont pas dans ces organisations criminelles mais qui suivent aussi des "codes fous" et qui ont occasionné des suicides collectifs. Comme pour les affaires de Waco où 82 personnes, dont 21 enfants, et le leader du groupe David Koresh, périrent principalement dans l'incendie qui mit un terme aux 51 jours de siège par les forces de police. On se rappellera aussi de celui de l'Ordre du temple solaire (OTS) qui débuta le 30 septembre 1994, où 5 membres de cet ordre moururent dans l'incendie d'une maison à Morin-Heights, au Québec ; puis le 5 octobre 1994, 48 corps carbonisés seront retrouvés en Suisse, suivis par 23 à Cheiry et 25 aux Granges-sur-Salvan, dont les deux maîtres de l'OTS, Luc Jouret et Joseph Di Mambro. Plus tard, le 15 décembre 1995, ce seront 16 personnes qui sont retrouvées brûlées dans une clairière du Vercors, dont 3 enfants, ainsi que la femme et le fils de Jean Vuarnet. Et enfin, le 22 mars 1997, encore 5 adeptes du Temple solaire, dont 3 Français, seront finalement retrouvés carbonisés à Saint-Casimir, au Québec. Tout ceci par la cause d'un "code d'honneur", une forme folle d'allégeance à leurs croyances et de servitude envers les membres de leur secte.

    Il est d'ailleurs possible aussi de dénombrer bien d'autres codes dits "d'honneur", dans à peu près toutes les sectes actuellement en vigueur dans le monde, tels que ceux pratiqués chez les Francs-maçons, qui s'arrogent le droit de détruire la vie d'un homme qui aurait rompu leur serment d'allégeance et de silence, comme le confirme Serge Abad-Gallardo, ancien Grand Maitre franc-maçon repenti. Et ajoutant même que, en parlant de suicide collectif ou de meurtres de masse, "Des lois comme l'avortement, l'euthanasie ou le mariage homosexuel ont été étudiées et mûries dans les loges avant d'être votées par les députés", dans son livre "J’ai frappé à la porte du Temple" (Éd. Pierre Téqui), et sous-titré "Parcours d’un franc-maçon en crise spirituelle" ; et tout ceci étant autant de formes de codes d'allégeances collectives menant à la folie, mais imposés aux autres et sans leur consentement, cette fois-ci. 

    Actuellement, nous assistons avec effroi à la naissance de la nouvelle secte mondialisée qui porte le nom de "Covidisme". Et si les maîtres de ce mouvement et les membres actifs de première ligne refusent de se plier à une injection dangereuse de produits chimiques générant toutes sortes de problèmes graves au corps humain, voir la létalité, ils n'en imposent pas moins cette aberration à leurs membres subalternes fraichement recrutés. C'est ainsi que les plus naïfs, les moins éclairés et les plus soumis au système nauséabond du mondialisme, se font injecter du poison dans le bras en signe d'acceptation de cette nouvelle croyance folle. On retrouve ainsi, dans cette nouvelle secte mortifère, à la fois tous les ressorts de la mafia comme organisation criminelle dont les activités sont soumises à une direction collégiale occulte et qui repose sur une stratégie d’infiltration de la société civile et des institutions, afin de parvenir à ses fins, mais aussi toutes les méthodes sectaires par le dévoiement de la liberté de pensée, d’opinion ou de religion qui porte atteinte à l'ordre public, aux lois ou aux règlements, aux droits fondamentaux, à la sécurité ou à l’intégrité des personnes, par la manipulation pour endoctriner et asservir ses adeptes.

    On savait que la mafia fonctionne sur un modèle d’économie parallèle ou souterraine. Sa structuration suppose un engagement réciproque de ses membres et un certain nombre de règles internes. Elle cherche à contrôler les marchés et les activités où l’argent est abondant et est facile à dissimuler au fisc. La plupart des activités commerciales usuelles sont utilisées, que ce soit comme paravent à des activités illégales ou comme moyen de blanchiment de l’argent récolté. Et que les mafieux cherchent à avoir des rôles importants dans des activités de médiation sur le plan politique, social ou économique, en particulier pour la jonction entre la sphère légale et illégale. L'exercice de la fonction politique, à quelque niveau que ce soit, étant la meilleure option dans ce rôle. On observe aussi que la violence y est à la fois utilisée pour accéder à des richesses et pour protéger l'organisation par l'intimidation, comme le font les présidents actuels, tel le poudré de l'Élysée avec sa police devenue milice aux ordres de cette gangrène. Et cette organisation mafieuse, dont la tête est à Davos, arrive à agir en toute impunité judiciaire parce qu'elle monnaie son soutien à la classe politique à travers l'influence qu'elle exerce sur la société.

    Ce que l'on découvre, en revanche, c'est l'évolution sectaire de cette organisation meurtrière. Car, en plus du mensonge, du vol, du racket et de la violence perpétrées tous les jours contre les peuples, elle se caractérise aussi par la mise en œuvre, grâce à ce groupe organisé, quelque soit sa nature ou son activité de pressions ou de techniques ayant pour but de créer, de maintenir ou d’exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d’une partie de son libre arbitre, avec des conséquences dommageables pour cette personne, son entourage ou pour la société. C'est à dire qu'elle endoctrine !  La secte proposent aussi souvent aux adeptes l'auto-déification (deviens toi même ton "Dieu" comme moi, le gourou, le suis devenu). Leur méthode est simple, mais redoutable sur les cerveaux faibles.

    Voici donc en 7 points, le cheminement suivi par le candidat volontaire au suicide :

   1- C'est le placement d'un journal télévisé propagandiste et quotidien ou d'une revue écrite par des agents corrompus comme les journalistes actuels, dans tous les foyers et toutes les mains grâce aux smartphones. La plupart des gens ayant forcement des connaissances trop superficielles de la loi, de la technique de management ou de la médecine pour être troublés par les enseignements dispensés par ces biais. N'oublions pas que cette incapacité culturelle et intellectuelle vient des méthodes de "l'éducation nationale".

  2- C'est l'encouragement, par les visites impromptues au domicile ou plutôt par les "flash spéciaux de la télé", qui génèrent un stress, donc une émotivité qui prohibe le fait de raisonner normalement. L'appétit du candidat est alors stimulé par des remarques dramatiques concernant les événements mondiaux, les misères et le chaos qui se développent partout et sont accentués par un discours empreint de sympathie sur des problèmes personnels.

    3- C'est le consentement à recevoir "une étude et un savoir à domicile". Là, interviennent les pseudo experts de plateaux.  Les études ne portent pas sur les faits réels, mais sur les publications issues directement des réunions entre oligarques ou des laboratoires, dans le cas présent. Ces publications ou plateaux télévisés bourrent l'esprit du candidat de leur phraséologie et de leur enseignement jusqu'à ce que ce dernier parle et pense comme le veulent les tribuns mondialistes de la haute hiérarchie. Là intervient un "Attali", un "Zemmour", une "Lacombe", un "Blachier", etc. Et dans les cas extrêmes, on retrouve un "Béchamel" pour asséner le coup de grâce aux spectateurs passifs.

    4- C'est l'affiliation à un groupe, celui des vaccinés contre celui des non-vaccinés par exemple, en vue d'une séance d'instruction et de formation destinée à un groupe de candidats potentiellement intéressés. Là, un plateau de pseudos experts prennent la parole aux heures de grandes écoutes avec questions et réponses afin de donner l'illusion de satisfaire totalement la curiosité. Les spectateurs/participants entendent et lisent les dernières nouvelles , toujours plus catastrophiques (bien souvent sans leurs contextes, ni comparaisons possibles) et destinés à justifier l'enseignement de promulgué par la secte du Covid.

    5- C'est la participation active au concept de la secte, par le biais du "vaccin", justifiant l'allégeance et la soumission. Cette phase étant suivi immédiatement par le devoir d'attirer les autres membres de sa famille dans le giron des enseignements de la hiérarchie oligarchique et mondialiste du "Covidisme".

    6- C'est la fréquentation régulière des lieux de service comme les médecins et les différentes doses de "vaccins" à se faire administrer, et l'envoi au quartier général des rapports exacts de l'œuvre accomplie pour le developpement de la secte comme le "pass-nazitaire". Et lorsque le candidat met sa formation fidèlement en pratique, il est prêt pour la dernière étape.

   7- C'est le "Baptême" de l'adepte par immersion, dans un groupe de personnes identiques et formées de la même manière. C'est là qu'intervient la manifestation de l'entrée dans "l'Organisation de la secte" ( si les injections n'ont pas commis de séquelles !). On devient alors "grand proclamateur du bienfait pharmaceutique", "serviteur de la bonne nouvelle du royaume de Davos". Si l'on reste fidèle aux ordonnances et aux pratiques de l'organisation mafieuse et sectaire, on peut être sûr d'être dans le "Cercle des élus". C'est du moins ce que la secte pharmaco-financière promet !

    Ces 7 étapes préliminaires ne sont que la pale copie des étapes qui sont issues des études sur la base de l’expérience de la Miviludes, qui reçoit quelques 20 000 signalements par an, et dont la dérive sectaire peut être définie comme telle. Ces étapes ne sont ni plus, ni moins que la méthode d'endoctrinement utilisée par les "Témoins de Jehova" pour recruter et activer des pions manipulables à souhait dans tous les pays du monde. Et on reconnait clairement le cheminement suivi par les pseudos "médecins de plateaux TV" et autres experts auto-proclamés, comme par les politiques aux ordres des mondialistes, afin d'accroitre le nombre de participants à leur secte. 

    Et tout ceci serait risible, si nous n'avions pas tant de morts à la suite de l'injection de cette thérapie génique expérimentale qui a pour buts essentiels de réduire la population directement ou par stérilisation, ainsi que de tracer chacun d'entre nous par la nanotechnologie injectée dans le sang, et de contrôler tout le monde numériquement. On pourrait même se dire que ceci serait un mauvais complot imaginé par des esprits torturés et hallucinés comme ceux des membres de Davos, si les pouvoirs publics ne faisaient pas tout leur possible envers et contre tous les droits fondamentaux et ne mettaient pas autant de pressions pour proposer ce suicide collectif à son peuple. Ainsi démontré, il est clair et certain à présent, que nous avons donc affaire à une secte mafieuse redoutable qui a entrepris de sacrifier chacun de ses membres dans un grand suicide collectif, opéré à partir d'une injection chimique et activée par la technologie. 

    Le contrôle mafieux du monde par cette secte a ainsi fait que la science n'est plus que du scientisme, les croyances ancestrales issues de la morale et de l'honneur sont devenues du simple management pour esprits sclérosés, et que vient de naitre la nouvelle religion mondialiste qui se nomme  "Covidisme", et dont les membres ne sont finalement que des "Covidiots" ! Un homme avertit en valant deux, comme dit l'adage, alors à présent que vous savez, que vous connaissez leurs méthodes et leurs buts, alors s'il vous plaît...

                ...Ne tombez pas dans leur piège suicidaire !

Phil BROQ.






  




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