27 septembre 2021

NOUS SOMMES EN GUERRE...

    Lorsque l'on regarde ce qu'est "la Guerre" sur le dictionnaire, on peut y lire la définition suivante :"La guerre se définit comme un état de conflit armé entre plusieurs groupes politiques constitués, comme des États. Par opposition aux guerres entre États, une guerre peut aussi désigner un conflit armé entre deux factions de populations opposées à l'intérieur d'un même État : On parle alors de guerre civile, de guerre ethnique, de guerre révolutionnaire ou encore de guerre de sécession." Et, pour rester dans les définitions, plus avant dans le dictionnaire on peut lire, concernant le mot "génocide" que "c'est un crime consistant en l'élimination concrète intentionnelle, totale ou partielle, d'un groupe national, ethnique ou encore religieux, en tant que tel, ce qui veut dire que des membres du groupe sont tués, brisés mentalement et physiquement, ou rendus incapables de procréer, en vue de rendre difficile ou impossible la vie du groupe ainsi réduit. Le génocide peut être perpétré par divers moyens, le plus répandu et le plus évident étant le meurtre collectif." Ce mot a pris son sens de destruction physique et biologique sitôt après la Seconde Guerre mondiale et ses horreurs, il peut prendre deux formes : éliminer directement une population ciblée ou la faire disparaître indirectement par d’autres types de mesures toutes aussi criminelles. La disparition par injection létale ou stérilisante en font partie.

    Ainsi, une guerre est toujours précédée d'une revendication ou d'un "casus belli", c'est-à-dire d'un ultimatum, puis enfin d'une véritable déclaration de guerre. Et c'est exactement ce qu'a fait le petit pantin belliqueux à notre encontre, dès le jour de son intronisation et jusqu'à aujourd'hui encore. Mais à la seule différence que normalement, les guerres et leurs moyens sont juridiquement soumis à des règles d'honneur anciennes et tacitement admises, ce sont les lois de la guerre. Elles sont d'ailleurs devenues le fondement du droit international public. Car dans le cas présent, il n'y a pas de règles, ni de droit, puisque nous n'affrontons pas des hommes d'honneur et que le peuple est harcelé, soumis et désarmé avant même que n'éclate la déclaration. Par ailleurs, pour donner deux citations qui vont dans ce sens, on peut citer l'écrivain prolifique et stratège, Carl Von Clausewitz en particulier, auteur d'un traité majeur de stratégie militaire publié en 1832 et intitulé "De la guerre". Ouvrage de référence dans lequel il écrivait et en parfaite connaissance de cause :"la guerre est la continuité de la politique par d'autres moyens". Cette théorie soutient qu'un conflit armé est donc "la suite logique d'une tentative d'un groupe pour protéger ou augmenter sa prospérité économique, politique et sociale aux dépens d'un autre ou d'autres groupes". Suivant cette précision, on peut aussi ajouter celle de Paul Valéry, qui donne de la guerre une définition qui souligne encore plus la responsabilité de la haute classe politique et économique, car pour lui : "La guerre est un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas."    

    Donc, la violence en politique à l'encontre des peuples, peut se décrire à l'origine aussi, comme étant une menace de type guerrière. Et quand la politique souhaite obtenir quelque chose d'un groupe social sur lequel elle n'a pas autorité, ce peut être un autre État ou un autre groupe politique dans sa propre population, il lui faut son acceptation, c'est ce que l'on nomme "la décision" en stratégie. Et la seule et unique manière d'y parvenir est de convaincre l'autre qu'il est de son intérêt de répondre favorablement aux demandes qui lui sont faites ; c'est soit par des propositions attrayantes, c'est ce que l'on nomme l'influence positive mais qui est rarement utilisée puisque les propositions sont rarement avantageuses au groupe attaqué ; soit par la menace, c'est ce qui se nomme l'influence négative et qui fait comprendre qu'un refus serait alors très désavantageux. Mais dans les deux cas, il s'agit de faire accepter des conditions imposées qui ne sont avantageuses que par le groupe belligérant. Comme lorsque les oligarques et eugénistes de Davos veulent stériliser les peuples, tuer les vieux, les malades et les improductifs, et nous mettre tous des puces d'identification sous-cutanées pour nous contrôler partout et tout le temps.

    Dans une énième allocution télévisée, datée du 16 mars 2020, Macron annonçait : "La France est en guerre. Nous sommes en guerre ! NOUS sommes en guerre !". Et il a répété malicieusement ces propos à 6 reprises. Et lorsque le freluquet de l’Élysée  emploie le "Nous", ce n'est pas pour parler du peuple, ni même des habitants de la France, mais bien du groupe mafieux oligarchique qui dirige le monde par le mensonge de la finance et dont il est la marionnette la plus zélée à l'heure actuelle. Macron est en guerre et c'est une réalité. Il mène, depuis son élection frauduleuse, une véritable guerre contre le peuple de France désarmé, maltraité, insulté, ruiné et séquestré. Encore que le canadien Trudeau puisse aisément partager avec lui le podium des scélérats, dévoués corps et âme au totalitarisme génocidaire des mondialistes. Nos dirigeants et nos médias sont des traîtres, coupables de complicité pour couvrir un assassinat de masse, ils ont aussi en commun que leurs Gouvernements respectifs considèrent que leur propre peuple est un adversaire de type militaire. Et par ailleurs, la volonté de l'Oligarchie mondialiste de s'ériger contre les peuples est très clairement exposé dans le livre de Klaus Schwab "La Grande Réinitialisation". C'est une réalité qui se déroule au vu et au su de tout le monde. Car c'est en fait un génocide qui est organisé, en plus d'une guerre ouverte.

    La veille de cette déclaration inique, les Français étaient appelés à se rendre aux urnes, malgré les restrictions dues à la pandémie médiatique, pour aller voter aux élections municipales et donc choisir le traitre qui les représenteraient durant les 6 prochaines années. Ils ne furent d'ailleurs que moins de la moitié des inscrits, soit 44%, à se déplacer, mais qu'à cela ne tienne... Les résultats furent tout de même acceptés et validés comme si de rien n'était avec une abstention record, et des taux de participations en baisse au 1er tour comme au second avec seulement 41% des inscrits qui on fait le déplacement ! Une honte intégrale, un simulacre de démocratie, un mensonge national plus gros encore que lorsque Macron avait volé les présidentielles. On se souvient d'ailleurs encore du petit poudré devant la pyramide du Louvre se targuant, après avoir de façon éhonté volé les autres concurrents et détourné les votes blancs comme ceux des abstentionnistes à son profit, d'un score relatant fallacieusement 66% des voix. Les initiés apprécieront le clin d'oeil satanique. Marx disait :"En régime capitaliste, le gouvernement est le conseil d'administration des affaires de la bourgeoisie". Et en faisant main basse sur l'Elysée, l'inculte jeune banquier opère la synthèse entre différentes fractions de l'oligarchie confirmant cette analyse. Les détenteurs de capitaux, eux, seuls n'auront pas à se plaindre du nouveau gouvernement et il pourra largement renvoyer l’ascenseur de son ascension.

    Et juste avant cette déclaration de guerre, dans un entretien enregistré dans l'avion le ramenant d'Israël où il avait participé aux commémorations de la libération du camp nazi d'Auschwitz et diffusé sur Radio J le vendredi 24 janvier 2020, Macron avait alors dénoncé avec véhémence "les discours politiques extraordinairement coupables" qui l'accusaient déjà d'avoir instauré une "dictature" en France. Là, celui qui se prend pour un chef d'Etat, parce que ces amis et maîtres banquiers lui ont donné le costume, avait osé dire : "Mais allez en dictature ! Une dictature, c'est un régime ou une personne ou un clan décident des lois. Une dictature, c'est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. Si la France c'est cela, essayez la dictature et vous verrez ! La dictature, elle justifie la haine. La dictature, elle justifie la violence pour en sortir. Mais il y a en démocratie un principe fondamental : le respect de l'autre, l'interdiction de la violence, la haine à combattre". Dixit celui qui a fait tirer sa milice policière avec des armes de guerre (LBD) sur sa population habillée en gilets jaunes... Et qui fait voter des lois avec seulement 23 députés sur 577 dans l'assemblée. 

    C'est donc bien une dictature qui est arrivée et un petit chef merdeux qui la mène après avoir clairement déclaré la guerre au peuple français. Peuple qui ne demandait que la restitution de ses droits inscrits dans la constitution et le retour de son dû, après avoir financé par les impôts le train de vie inadmissible des politiciens. La présidence de François Hollande avait d'ailleurs déjà battu le record des compromissions avec les marchands d'armes, les monarchies corrompues, les "rebelles modérés" (ces faux-nez de terroristes "modérés" dont raffole l'intelligentsia parisienne) et tout ce que la planète compte comme corruption active.

    La guerre donc, pour revenir au sujet après cette digression nationale, est donc une invention d'hommes de pouvoir, afin de canaliser les peuples, de détourner les rancoeurs vers d'autres horizons et de conquérir des territoires à leur seul et unique avantage, sans jamais salir leurs propres mains. Et d’ailleurs, contrairement aux livres d'histoires mensongères de la "Raie-publique", à l'heure actuelle les données archéologiques ne montrent, à l'échelle des millénaires (cinq au minimum), aucun massacre d'ampleur de centaines d'individus abandonnés in situ. Rien qui ne permette de confirmer l'usage régulier des armes emblématiques du Néolithique (l'arc et la lame emmanchée : haches et épées) sur la longue durée dans un but de guerre, et d'une manière intégrée aux modes de fonctionnement des sociétés. Ainsi, les conflits entre Lagash et Umma, en Mésopotamie, entre 2600 et 2350 av. J.-C., sont les conflits territoriaux les plus anciens pour lesquels on dispose d'une documentation. Il s'agissait toutefois de cas exceptionnel, les États émergeant dans cette période étant alors très rarement contigus et très peu densément peuplés. Ce sont en fait plus des combats tribaux que des guerres proprement dites.

    Ce ne sera que bien plus tard, après les conquêtes égyptiennes que la guerre sera perçue à l'époque de la Grèce antique comme dépendant des dieux qui accordent ou non la victoire. Puis ce ne sera que lors de la construction de la République romaine, que la civilisation latine sera marquée aussi par de nombreuses guerres, et liées à sa protection comme pour les batailles contre les peuples Italiques, Volsques, Èques et Sabins, ou la guerre contre Véies, puis vinrent les guerres puniques, celle des Gaules, racontées et romancées par un César lyrique et liées à l'expansion. Après ces conquêtes claniques, on trouvera dès lors des armées financées et entrainées afin de satisfaire surtout les désirs des puissants. Au Moyen-âge, à l'époque Carolingienne, seuls les empereurs ou les rois mènent ou font mener la guerre par les comtes et les évêques de leurs "pagi" (mot latin traduit par "pays" et qui désigne une unité territoriale romaine inférieure à celle de la "civitas", le lieu ou se regroupent les citoyens). Et au milieu du Xe siècle, les seigneurs détenteurs de fiefs font alors la guerre pour leur propre compte, soit entre eux, soit contre le roi selon les liens de vassalité. L'ordre social et économique des "militia" se met en place avec l'adoubement et les châteaux forts qui servent à la chevalerie pour conduire ses campagnes militaires, mais aussi pour asservir les paysans.

    La guerre est donc le plus souvent une façon de ressouder une communauté contre un ennemi commun, éloignant les regards tendus vers les dirigeants en place ou comme en utilisant une lutte mondiale contre un virus inexistant. C'est aussi une façon de justifier le respect d'une forte discipline ou d'une soumission perverse à une idéologie mortifère, voire d'acquérir ou conserver un pouvoir que l'on croit charismatique. Toutes ces raisons rendent la guerre particulièrement fréquente dans les dictatures et les États où les hommes subissent des évolutions politiques et ethniques, économiques ou techniques de façons brutales. C'est là aussi exactement le cas des peuples européens devant affronter une immigration massive pendant que leurs dirigeants respectifs les volent sans vergogne et détournent les profits nationaux publics vers les multinationales. Et le rapport de force est devenu un élément de prévention et de dissuasion incontournable dans ces relations dites "humaines". En tant que "petit chef instable", il faut donc savoir paraitre fort, comme le fait notre Monarque qui se cache derrière ses milices en attisant le peuple par ses insultes continuelles. Mais aussi afficher que l'on n'hésitera pas, s'il le faut, à déclencher la véritable guerre et à se donner les moyens de la gagner. Moyens que nous donnons directement à nos ennemis, par le biais des impôts prélevés à la source et qui permettent d'armer la milice qui se fait passer à l'heure actuelle pour la police.

     L'anthropologue, historien et philosophe français, René Girard, montre aussi l'importance du désir mimétique, c'est-à-dire du désir de s’accaparer ce que l’autre possède : soit des objets réels, mais aussi et surtout le désir de s’approprier "l'Être" du rival devenu son modèle. Il s'agit alors de devenir ce que devient l’autre quand il possède l'objet convoité, c'est le désir métaphysique rabaissé au niveau du désir mimétique dont souffre Macron lorsqu'il voit de vrais hommes. Ainsi, la volonté de guerre surgit à partir du moment où il apparaît que l’un des deux rivaux domine. Alors, s'arme le ressort puissant du ressentiment qui conduit rapidement au duel : "c'est lui ou c’est moi". La guerre n'est donc qu'une forme de rivalité mimétique, destinée à calmer les caprices des envieux et des avides. Et certains penseurs estiment aussi que l'homme est attiré par les formes extrêmes de suprématie. Une sorte de jalousie maladive, compulsive, haineuse et jouée dans le registre de l'agressivité et de la domination. Sont alors mises en place des formes atténuées de guerre, comme la guerre économique par exemple. Cette forme de guerre est surtout menée par des lâches, ne se montrant jamais en face de leurs ennemis et n'ayant jamais mis en avant leur identité. Bien que les faisceaux de preuves pointent toujours tous dans le sens des banquiers et des oligarques. "Suivez l'argent, vous connaitrez le coupable !", dit l'adage...

    Mais, une guerre, comme tout autre forme de violence n'a jamais une cause unique. Parmi les facteurs de causalité des bouffées de violences individuelles et collectives figurent des facteurs bien connus tels que la recherche de gains de pouvoir économique, religieux, nationaliste ou territorial, le racisme, la vengeance, ou encore des raisons civiles ou révolutionnaires. La haine qui est générée par l'ignorance ou l'avidité sans retenue. Et si d'ailleurs la guerre était si naturelle, on ne comprendrait pas les efforts de propagande pour "dresser" les gens les uns contre les autres, et les faire s’entre-tuer. Ni de les faire se diviser, de créer autant de clivages souvent orchestrés par les médias. La guerre n'est pas dans la nature humaine, plutôt coopérative dès lors que "l'autre" est aussi pacifiste et ne cherche pas à s'accaparer les biens qui ne sont pas à lui. En revanche, c'est une aptitude belliqueuse qui apparait dans l'esprit de ceux qui veulent se situer au dessus du groupe, de ceux qui sont perpétuellement jaloux des autres, de ceux qui n'en n'ont jamais assez. C'est une véritable maladie mentale de ce point de vue. Au même titre que ce qui pousse des hommes à inventer toujours plus d'armes pour tuer d'autres hommes, plutôt que pour chasser ou mieux pour éradiquer la faim et la convoitise. Ces sachants malsains, qui auraient les moyens d'inventer les outils du bien et qui ne se consacrent qu'à faire le mal. Après les armes, couteuses en ravitaillement et en entretien, voici donc venu le temps des virus en tant qu'armes biologiques. Propres, silencieuses et laissant en place les infrastructures mais décimant les hommes par contagion. Les virus sont plus sournois et moins visibles que les armes conventionnelles. Ils peuvent être largués n'importe où avec un cobaye porteur ou un avion.

    Ainsi, après l'armistice de 1918, la grippe dite "espagnole" a en réalité débuté avec l’expérience brutale de l’Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. On estime que 95% des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe, et la pandémie n’était pas non plus d’origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas. Et à cette époque, le mot "grippe" ou "influenza" était en fait, un terme fourre-tout pour désigner une maladie d’origine inconnue. Les détails sur cette malversation volontaire sont disponibles dans un rapport du Dr Gates : "Antimeningitis Vaccination and Observation on Agglutinins in the Blood of Chronic Meningococcus Carriers". Et selon un article de l’Institut national de la santé américain, le CDC, datant de 2008, la pneumonie bactérienne était la cause de la mort dans au moins 92,7% des autopsies de ceux qui sont morts de la soi-disant "grippe espagnole" entre 1918 et 1919. Une pandémie qui a touchée environ 500 millions de personnes (un cinquième de la population mondiale) et tué 50 millions d'humains (plus que la peste noire médiévale) et 3 fois plus que les 16 millions de militaires et civils tués durant les 5 ans de guerre. On sait maintenant que ces infections, combinées à d'autres stress alimentaires et socioéconomiques, ont été sources d'invalidités et de déficiences mentales qui ont, parmi d'autres facteurs, contribués à l'arrivée de la Seconde Guerre mondiale. Et ont fait la fortune de nombreux oligarques de cette époque, mettant en place tout un groupe d'ultra-riches hallucinés qui sévissent sur le monde entier depuis lors.    

   C'est là, l'arme ultime de la nouvelle guerre que nous ont déclarés les "puissants" malfaiteurs milliardaires qui dirigent ce monde devenu fou par leur avidité. Car, toutes les guerres actuelles qu'elles soient militaires, commerciales ou idéologiques sont en fait des conflits destinés à éliminer un maximum de personnes sous 10 ans, comme stipulé dans leur Agenda 2030, mais aussi pour éliminer les différentes identités des peuples et les souverainetés qui encombrent les patrons des multinationales mondialistes, dont la vraie patrie de ces nouveaux oligarques est la finance internationale. Tout ceci, dans le seul but de rendre les peuples, survivants à ce génocide, apatrides, déracinés et nomades afin de mieux les contrôler et d'empêcher tout soulèvement dans le futur. C'est ce qu'a tenté d'expliquer la regrettée Claire Severac, dans son livre et dans ses conférences sur "La guerre secrète contre les peuples"Après avoir longuement enquêté, cette remarquable lanceuse d’alerte dénonçait les guerres totales et perpétuelles qui nous sont menées tambour battant. Les génocides créés par les puissantes élites et causés par les chemtrails, la vaccination, la santé devenue chimique en général, l'alimentation, les pesticides et autres produits chimiques. Tout cela avec la complicité entre les cartels bancaires, les multinationales, le système de Big-pharma et de Big-data, ainsi qu'avec les leaders politiques, et leur volonté commune de dépopulation mondiale. Dans un premier livre intitulé "Complot Mondial contre la Santé", elle fournissait les preuves officielles de tous les dommages qu'ils sont en train de causer à notre santé avec la nourriture, les médicaments et les pesticides. Elle donnait les noms des coupables, leurs méthodes et comment ils ont pu mettre leurs plans à exécution. Elle écrira ensuite avec Sylvie Simon : "La coupe est pleine, nos enfants sont plus précieux que le CAC 40", sur la manipulation et la désobéissance civique. Et dans son dernier ouvrage, "La guerre secrète contre les peuples", préfacé par Pierre Hillard, elle prouva l'existence des chemtrails, la puissance de HAARP, le danger des ondes, les mensonges du réchauffement climatique, le transhumanisme, et mît à jour le plan satanique des élites pour réduire la population mondiale à 500 millions d'humains afin de rendre les survivants stériles et créer ainsi les "posthumains" qui leurs serviront d'esclaves. 

    Ceux qui à ce niveau de duplicité mènent la danse sont les Etats-Unis (CIA) et leurs alliés de l’OTAN, associés à des dirigeants comme ceux d'Israël, de l’Arabie Saoudite et du Qatar. Tous sont à la recherche d’un système qui leur permettrait de tenir les peuples et ils iront jusqu’au bout de leur recomposition du monde et de leurs concurrences entre prédateurs. Il s’agit d’une super classe sociale ultra-capitaliste, déchirée par ses concurrences mais menant désormais une offensive commune contre les peuples du monde entier. Cette raison, et tout ce que nous venons d'évoquer avec Claire Severac, sont pour le moins un terreau plus fertile à la compréhension des enjeux et de la situation dans laquelle se trouve le monde actuel, comme par exemple celui du poids des dépenses militaires dans nos budgets et le rôle joué par le bellicisme dans la défense de la dite oligarchie. Comme en France, comme en Israël, comme au Liban ou en Grèce à l'époque, dont la dette est, ce qu’on ne dit jamais, liée uniquement au poids des dépenses militaires entretenus par le conflit avec les Turcs. Toutes les guerres ne servent, d'une manière ou d'une autre, qu'à engraisser les banquiers et à faire disparaitre les peuples autochtones. C'est ça, la véritable mondialisation. Mais partout, tout est fait pour que les peuples n’aient jamais conscience de la nature réelle de l’impérialisme et de la manière dont celui-ci porte la guerre et la haine entre les peuples, empêchant de trouver des solutions négociés et le rassemblement des victimes de ce système. Tout ceci est caché par les médias de propagande, mais accessible à tous sur internet, pour peu qu'on veuille se donner la peine de chercher. Et il est vital de le comprendre pour s'en sortir à moindre frais. Car à l’ère d'internet, l'ignorance est un choix délibéré de chacun mais impliquant beaucoup de monde. Une hypocrisie égoïste, malsaine et néfaste à tous. Refuser de s'informer, c'est obliger les autres à perdre du temps qu'ils n'ont pas pour vous éduquer et tenter de vous sauver la vie. Car vouloir ignorer les agissements et les ressorts des forces en place est un véritable handicap volontaire dans ce monde interconnecté en plein basculement. 

    Afin de palier à ce handicap cognitif, rappelez-vous le proverbe romain qui dit que  "Si vis pacem, para bellum" (Si tu veux la paix, prépare la guerre), maxime de la paix armée nécessaire à appliquer au quotidien dorénavant, ou bien encore cet aphorisme de Nicolas Machiavel qui dit qu"une guerre prévisible ne se peut éviter, mais seulement repousser". Nos armées ne seront pas là pour défendre le peuple, ceux de l'armée de Terre sont déjà trop occupés à défendre les intérêts du CAC40, l'uranium d'Areva ou le pétrole de Total au Mali. Ceux de l'Air laissent violer notre ciel tous les jours par les chemtrails et avec l'accord des gouvernements et ceux de la marine sont dépassés technologiquement. La police et la gendarmerie sont du coté des puissants et ont trahis les leurs. Alors, préparez-vous sérieusement, car en ce temps de guerre déclarée officiellement contre nous, les peuples de la Terre, par ses oligarques méphitiques et annoncée par Macron, nous allons devoir combattre pour notre Salut, pour notre vie. Et nous devons nous entrainer et comprendre ce qui est véritablement en jeu pour nous en sortir. La solidarité sera de mise mais tant pis pour les retardataires. Et il est alors judicieux de se remémorer surtout ce que dit, et à juste titre, l'humoriste de talent Dieudonné :

"Il n'y a pas d’accès handicapé dans les tranchées ...!"

Phil BROQ.



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