15 septembre 2021

DU PROFIT DES GUERRES A LA GUERRE DES PROFITS

     Si essentiellement les conflits des époques allant de l'Antiquité au Siècle des Lumières eurent pour origines des différends territoriaux ou dynastiques, voire des causes religieuses, le développement des empires coloniaux, comme celui de l'Angleterre et du commerce international devenu mondialiste et non mondialisé, amenèrent les calculs affairistes à jouer un rôle de plus en plus important dans les relations internationales. S'immisçant chaque jour un peu plus dans notre quotidien grâce à leurs organes de propagande médiatique et totalement corrompue que sont les télévisions, les journaux, les radios et aujourd'hui les smartphones. Les banquiers, alors cachés sous le nom de complexes militaro-industriels, ont toujours été l'origine de ces malheurs, au point de parfois en devenir des "casus belli" entre nations en tant que motivation occulte ou déclarée des belligérants et de groupes d'intérêts agissant toujours dans l'ombre. De nos jours l'industrie pharmaceutique, cachée sous la pseudo éthique mondialiste de "la santé pour tous", est devenue un des organes prédominant dans cette guerre contre les peuples que mènent depuis toujours ces groupes à notre encontre.

     Si les activités des "profiteurs de guerre" ne sont pas toujours, à proprement parler, considérées comme illégales par les États, elles n'en sont pas moins ordinairement contraires à l'éthique pour l'opinion publique, ou de ce que l'on peut encore nommer comme étant ce qu'il reste de la morale humaine. Et les acteurs économiques, plus ou moins occultes, qui offrent leurs services lors d'une guerre ou d'un conflit et indistinctement, qu'ils soient alliés ou adversaires du moment qu'ils rémunèrent bien, furent très actifs depuis les deux derniers siècles pour massacrer les populations, pacifistes de prime abord et ce, pour leur plus grand bénéfice. Cependant, leurs bénéfices peuvent revêtir bien des formes différentes et dont, malgré la croyance populaire établie, le coté financier reste le moindre d'entre eux, car le "profit de guerre" peut présenter différents aspects. Il peut générer de nombreux autres avantages soit légalement, socialement, politiquement. Et que ces énormes avantages qu'ils en retirent soient moralement admissibles ou non, ils peuvent aussi avoir de très différentes origines. Qu'elles soient abusives voire délictueuses ou au contraire, légales et financées par les impôts des travailleurs pour leur plus grand malheur.

 En effet, qu'ils soient directement fauteurs de guerre ou qu'ils fournissent des biens, et tout particulièrement des armes à tous les belligérants, ces assassins par procuration qui ont pignon sur rue, ont dès les débuts du XXIème siècle été remplacés par de nouveaux tueurs de masse, par d'autres vautours que l'on nommera "profiteurs de crises". Et ce sont ces derniers qui sont devenus particulièrement virulents, autant que sur-médiatisés, dans nos temps de situation économique orchestrées pour être de plus en plus difficile. Et si pour beaucoup de travailleurs la crise du Covid est vite devenue une catastrophe à tous points de vue, en revanche pour d’autres, et des personnes bien identifiés cette fois-ci, c'est une véritable opportunité d'enrichissements dont on pourrait légitimement se demander s'ils n'ont pas créée cette énième crise de toutes pièces, pour en tirer autant de bénéfices financiers que d'avantages sociaux... Dans les deux cas, qu'ils vendent des armes, des solutions à sens unique pour eux-même ou des injections létales, ce sont les grands bénéficiaire de la mort sur commande, ou sur ordonnance en l'occurence, qui ont le haut du pavé actuellement.

    On se souvient facilement du rôle joué par la banque Rotschild, à l'origine du financement du nazisme, du communisme, du capitalisme, du mondialisme comme du communautarisme. Jouant sans cesse sur les deux tableaux afin de générer et d'amplifier les conflits meurtriers. Mais aussi de son rôle essentiel dans le vol de sa terre à la Palestine au profit des sionistes. On se rappelle encore celui de Ford, d'IBM, de Dupont, de Bayer, et de Prescott Bush pour aider le IIIème Reich à s'installer et à prospérer en Europe. Plus récemment c'est le cas du pseudo-philosophe des bacs à sables, le cocaïnomane "Béchamel", qui faisait en direct au journal télévisé, avec ses amis défenseurs d’Israël farouchement pro-sionistes et d’anciens membres de l’administration Bush, la promotion de la guerre en Ukraine, en Irak, en Iran, en Libye et partout où il le pouvait. On se souvient qu'il trainait sa carcasse d’arbalète cachée sous sa chemise blanche, au beau milieu de cette ronde de bellicistes assoiffés de guerre et de faucons avides de proies faciles. Toutes ailes déployées, le roitelet du tout-Paris cherchait inexorablement de nouvelles batailles, de nouvelles destructions, de nouvelles effusions de sang, pourvu que ce ne soit pas du sang Juif. C’est lui-même qui avait déclaré en novembre 2011 que "c’est en tant que juif" qu’il avait "participé à l’aventure politique en Libye". Et d’ajouter "J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël".    

    Et comme on se souviendra aussi de cette phrase du premier grand assassin Français, vendant du sang contaminé à qui en voulait, le coupable mais pas responsable juif du nom de Fabius. Lui qui scandait "qu'Al-Nosra faisait du bon boulot". Celui-là même en tant que président du conseil constitutionnel qui vient de décréter la constitution française illégale au regard des bénéfices engrangés par ses amis les propriétaires des Laboratoires pharmaceutiques. Et que ces propriétaires soient tous juifs n'est encore qu'une coïncidence évidemment. Que ce soit son propre fils qui soit mandaté par un gouvernement de traitres pour gérer cette affaire est tout aussi fortuit. Tout comme le fait que cette affiliation religieuse se retrouve aussi avec l'ancienne ministre de la santé, Agnès Buzyn, qui a interdit les soins aux malades, retrouvant par là-même un poste d'émissaire en Suisse fournit par l'autre "être de lumière" Bill Gates, immédiatement après sa démission et sa forfaiture à l'encontre du peuple Français, n'est que pur hasard. Et si l'on veut aller plus loin encore, que même son propre mari, Levy, soit à l'origine du developpement du laboratoire de Wuhan d'où est arrivé cette "crise". Ou encore que Salomon, arrière petit-fils haineux et revanchard de Dreyfus, soit celui qui a "géré" cette affaire pour notre plus grand malheur, n'est surement que coïncidence aussi.

    Tout ceci, pour simplement démontrer que, non pas que les véritables juifs aient une responsabilité quelconque dans cela car ils souffrent aussi du sionisme assassin dans leur propre pays avec cette fausse pandémie, mais que les profiteurs de crise d'aujourd'hui sont regroupé dans un certain groupe d'appartenance identifiable, comme les profiteurs de guerre d'hier, et sont tous de mèche, si je puis dire sans mauvais jeu de mot, pour faire exploser notre monde par leurs délires messianistes mortifères. Car il faut bien le noter qu'au-delà de l’allégeance politique, l’appartenance religieuse n’est pas anodine chez ces individus. Il n'est pas question ici non plus de faire de l'antisémitisme primaire, d'autant qu'ils viennent tous essentiellement d'Europe centrale et n'ont aucune filiation avec les sémites, mais bien de démontrer les liens et la connivence entre tous ces belligérants et meurtriers de masse, mus par l'appât du gain issu du commerce de la mort. Hier, ils tuaient les hommes avec des bombes et des fusils pour réaliser des profits, aujourd'hui ils nous assassinent avec de la chimie. Mais le résultat pour le peuple est toujours le même... Ruine, malheurs, souffrance et mort. Et tirer des profits déraisonnables de quelques guerres que ce soient, est déjà largement considéré comme contraire à l'éthique humaine et constituant dans tous les cas un acte profondément répréhensible.  

     Développés en un temps record et bénéficiant d’une demande à la fois mondiale et immédiate, les thérapies géniques expérimentales nommées vaccin contre le Covid-19 vont rapporter gros aux laboratoires pharmaceutiques. Assurant que la rentabilité est immédiate et que le gâteau est à l’échelle de la population mondiale. En termes économiques, c’est une très bonne affaire. En termes de mortalité, c'est une toute autre affaire. Et le public n’ayant accès ni aux montants des investissements publics et privés, ni aux coûts de fabrication, ni aux nombres réels d'accidents post-injection ou de morts, ni même aux termes des contrats, il lui est difficile de trancher et de se faire une idée juste et précise du coût réel de cette guerre qui nous est menée tambours battants par ces profiteurs patentés.

    Le pire dans cela, c'est que ces manipulateurs et profiteurs de crise, couplés aux excès de l'affairisme corrompu du mondialisme, reçoivent malheureusement un très large soutien politique et même populaire en temps de guerre ou de crise. Car, la population souvent inerte, informée uniquement par la propagande d'état et n'ayant que peu de possibilité de comprendre les tenants et aboutissants des crises qu'elles vivent, sont toujours enclins à chercher la protection plutôt que la raison. De plus, il est fréquent que les tentatives de législation permettent à des cas douteux de "profits de guerre ou de crises" abusifs de rester impunis tandis, qu'elles frappent les revenus de toutes les autres entreprises. Dans le cas présent, les laboratoires sont carrément protégés par la législation en cas de problèmes et de mort après la vaccination. Ainsi, l'image publique du "profiteur" sous-entend la capacité d'user de son influence et de ses pouvoirs pour provoquer une guerre ou une crise sanitaire pour s'enrichir plutôt que de simplement en tirer profit passivement. Ce qui en soi est déjà une folie. Bien que très souvent dans le passé, même des hommes politiques ayant reçu, ou simplement soupçonnés d'avoir reçu, des pots-de-vin et des faveurs de sociétés ayant contribué à la production de guerre ont également été étiquetés comme "profiteurs de guerre" et en ont subit les sanctions.

    Or de nos jours, ils sont félicités et mis en avant dans leur groupe des Young leader mondialistes. Plus ils créent le chaos, plus ils sèment la mort, plus ils détruisent les nations et les peuples qui vont avec et plus ils sont encensés. Les conflits d’intérêts sont devenus la norme pour diriger, les casiers judiciaires des élus sont plus remplis qu'un formulaire de la sécu, mais ils restent tous à leurs postes et font la Une des journaux télévisés pour venir défendre leurs façons de nous faire mourir. Ils s'engraissent sur le dos des travailleurs, ils s'empiffrent de bénéfices et d'avantages distribués comme autant de dividendes, ils se goinfrent comme jamais en ruinant les pays pour des générations entières, car leur seul but est de réaliser du profit. Ils profitent des crises et des guerres et nous font la guerre pour leur seul profit. 

    Il est grand temps d'ouvrir les yeux et les deux, sur cette caste de tueurs, sur cette mafia mondialiste recrutée et formée chez les "Young leaders" pour les dirigeants et dans les cercles privés des loges et clubs affairistes comme à Davos pour les autres, sur ces êtres dépourvus de toute humanité dès lors qu'il y a des gains à miroiter et à accaparer. Il faut mettre en lumière leurs agissements, leurs réseaux, leurs liens et filiations pour faire cesser cette tuerie de masse. Puisque le conflit d’intérêts n’est pas, en droit français, un délit civil ou un délit pénal, mais que ce sont le trafic d'influence et la prise illégale d'intérêts qui peuvent en découler qui sont délictueux, il nous faut en faire la preuve rapidement et constamment. Il faut jamais cesser de condamner ces pratiques, ni de dénoncer les acteurs de ces sacrifices humains qui n'ont qu'un seul but malsain, leurs Gains !

    Pour avoir une chance infime de survivre à leurs manigances mortifères, il faut de suite faire taire la guerre des profits pour qu'il n'y ait plus de profits de guerres.


Phil BROQ.




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