13 septembre 2021

CORRUPTION HYDROPONIQUE Vs CONNECTION TELLURIQUE

      L’hydroponie, ou culture hydroponique (ou agriculture hors-sol), du grec πονος (ponos, "le travail" ou "l’effort") et ὕδωρ (hudōr, "l’eau"), est la culture de légumes par l'action d'un liquide enrichi. Cette culture de légumes est réalisée sur un substrat neutre et inerte, irrigué d’un courant de solution liquide qui apporte des sels minéraux et des nutriments essentiels. Alors que la culture hors-sol comprenait toutes les cultures hors "terre-pleine" dont les cultures en pot, mais toujours avec de la terre, l'hydroponie, proche de la culture hors-sol, est cependant plus restreinte et sous serre, afin d'éviter les désagréments du climat changeant, les intempéries et les parasites. La terre est ici remplacée par un substrat inerte nourri au goutte à goutte de substances de substitution et contrôlée techniquement. Cette technique alternative de culture des végétaux peut être mise en place dans n'importe quel endroit du globe et peut permettre d’accélérer le processus de maturation des légumes. Elle est également très utilisée en milieu urbain, pour produire localement et pour peupler (végétaliser) l'environnement urbain relativement stérile. Des variantes de cette technique de culture se sont développées au cours des dernières années, telles que l’aéroponie.

    Dans la nature, c’est le sol qui joue le rôle de réservoir de sels nutritifs et les plantes possèdent un métabolisme qui est capable d’assimiler des aliments et de les éliminer sous forme de déchets, comme bon nombre d’êtres du règne du vivant. L'intérêt de l'hydroponie est de mieux contrôler les conditions de développement. Les cultures se déroulant sans terre mais avec un substrat que l'on choisit en fonction de ses objectifs et que l'on dispose selon l'espace dévolu à la culture, une solution liquide que l'on maîtrise, et que l'on peut recycler, et des dispositifs technologiques pour pouvoir contrôler tous les autres paramètres. De la culture naturelle, nous sommes donc passés à celle "hors-sol", corrompue par la chimie et la technologie, puis à celle hydropique pour voir germer et se developper de gros légumes, car il suffit alors d'y injecter du liquide technologiquement traité. 

    Les "gros légumes" ce sont aussi, et la comparaison est très aisée, comme cela que l'on nomme ces personnes ayant un pouvoir social supérieur ou ayant de l’influence sur tout et sur tous. Ceux que l'on affublait péjorativement de ce qualificatif de "gros légumes", étaient à l'origine des notables, membre de la "nomenklatura" (terme russe, passé dans les langues des autres pays pour désigner l'élite du Parti communiste de l'ex Union soviétique, tels que les hauts gradés de l'armée, les troupes d'élite, les membres des polices politiques, les dirigeants de la bureaucratie, etc.). On y retrouvait aussi le terme "d'apparatchik", qui désigne aujourd'hui par extension, toute personne qui profite de son rang, de sa situation au sein d'un groupe politique pour renforcer sa légitimité, son ascendant, son prestige, sa fortune, sa carrière. Mais lorsqu'on parle des "notables de l'Occident", on évoquait plutôt le nom "d'Establishment", pour nommer cette racaille et ces meurtriers en col blanc qui détient l'essentiel des pouvoirs privés (médias, finances, commerce, industrie) et qui cherche à influencer les pouvoirs publics (État et institutions) par la corruption active. Pardon, par le lobbying ! Bref, de nos jours, on dit simplement "la Mafia" mondialiste, car leurs méthodes de racket, de corruption, de chantage et de hiérarchie, sont identiques à celles qu'utilise les assassins venus d'Italie du Sud. Et c'est donc aussi par le biais de cette technique agricole qui fait pousser de "gros légumes" hors de leur sol natif, en les arrosant copieusement de liquide corrompu et saturé, que nous sommes aussi arrivés à cette forme dévoyée de gouvernance de nos pays, mais pas seulement. 

    Ainsi décrochés de leur sol natif et déconnectés des réalités quotidiennes, les responsables de ces instances institutionnelles ou politiques, ces "gros légumes"mafieux, se persuadent entre-eux qu'ils ont toujours raison, et ceci lors de longues réunions opaques aux frais du contribuable, et qu'il faut réussir à en convaincre les gens du "sol" national, qui se sentent à juste titre trahis par les leurs, abandonnés à leur sort miséreux et incompris dans leurs préoccupations premières. C'est ainsi aussi que depuis toujours, le peuple détroussé et opprimé faisait que les grandes manifestations éclataient. Elles permettaient de temps en temps de faire taire l'écho des bavardages à sens unique de ces truands en cols blancs, dès lors qu'ils leur arrivaient aux oreilles les bruits de la foule en colère, et de les faire redescendre un peu sur la terre naturelle. Mais ce temps là aussi est révolu, comme celui de l'agriculture classique, car ils n'entendent même plus les cris du peuple. Les "gros légumes" qui accaparent toutes les ressources et sélectionnés à partir de graines déjà connues pour leur rendements, sont éloignés dès le départ du substrat naturel et mis en production à l'abri dans des serres spéciales. 

    Ayant corrompu tout l'appareil gouvernemental, comme la terre nourricière, depuis bien longtemps, ces groupes mafieux bien à l'abri dans leurs "serres" à croissance rapide que sont les parlements et les forums internationaux ou encore leurs loges pour les plus provinciaux d'entre-eux, ils ne craignent absolument plus rien du mauvais temps qu'il pourrait faire dehors. Ils ont mis à leur service toute une panoplie de protections, entièrement payées par le peuple même en colère. Car c'est toute une armada de petites mains armées et assermentées, violentes et incultes, créant l'injustice et le dégout parmi les hommes et capable de les protéger d'à peu près tous les dangers de l’extérieur. Les juges et les magistrats, qui forment une belle part de cette "serre", sont d'ailleurs souvent perçus comme étant la frange des fonctionnaires la plus corrompue à travers toute la planète, après les hommes politiques, bien entendu. Les citoyens, conscients du monde qui les entoure, pensent qu’ils sont "tous" ou "la plupart d’entre eux" impliqués dans les affaires de corruption en tous genre, qui vont du trafic d'influence au détournement de biens communs. Ils sont suivis dans cette catégorie par les policiers/gendarmes et enfin les agents de impôts (ces hauts fonctionnaires issus de l'ENA). Ce sont ces personnes, toutes grassement payées par les impôts des travailleurs, qui assurent l'impossibilité aux manifestants de revendiquer leurs droits comme leurs dus. On constate alors que ces catégories là, sont aussi élevées "hors-sol", puisqu'elles pratiquent leurs méfaits toujours contre le peuple et jamais contre les gros légumes, loin de leur terre native, sans cesse en mutation ou en déplacement. Tout en reconnaissant malgré tout, la présence sporadique de quelques magistrats sérieux au sein de l’appareil judiciaire, mais si rares...

   Et lorsqu'on sait que la justice est la colonne vertébrale d’un pays et qu'un système judiciaire corrompu qui ignore la voix de l’innocent, permet au coupable d’agir en toute impunité, on comprend mieux d'où vient la scoliose qui à tordu notre pays et le regroupement inouï et inédit des pires criminels et truands au sommet de notre propre gouvernement. Car si le peuple ne l'est plus depuis longtemps, la corruption en revanche est bien la souveraine, dans la République Française et européenne. C'est d'ailleurs devenu LA valeur républicaine par excellence. Elle est plus essentielle à cette République que n'importe quelle espèce de Cathédrale. Et la corruption, à y regarder de plus près, c'est une très vielle affaire chez les élites françaises. Ça ne commence malheureusement pas avec la cinquième République. Déjà dans "Les Luttes de classes" publié en France en 1848, Karl Marx, en historien ou chroniqueur de son temps, décrivait un Etat français hautement et fondamentalement corrompu par ses élites bourgeoises et aristocrates. Il expliquait que "le pillage de l'État en grand, tel qu'il se pratiquait au moyen des emprunts (la fameuse dette), se renouvelait en détail dans les travaux publics.Il rajoutait: "De même que les dépenses publiques en général et les emprunts publics, la classe dominante exploitait aussi les constructions de lignes de chemin de fer. Les Chambres en rejetaient sur l'État les principales charges et assuraient à l'aristocratie financière spéculatrice la manne dorée. On se souvient des scandales qui éclatèrent à la Chambre des députés lorsqu'on découvrit, par hasard, que tous les membres de la majorité, y compris une partie des ministres, étaient actionnaires des entreprises mêmes de voies ferrées, à qui ils confiaient ensuite, à titre de législateurs, l'exécution de lignes de chemins de fer pour le compte de l'État." Et tout ceci fut permis parce que la justice n'a jamais remplit sa fonction et n'a jamais été à la hauteur de son rôle. De nos jours, on retrouve aussi, comme à cette époque, toujours les memes types de personnes dans les conseils d'administration. Rien n'a changé, tout s'est empiré, mais revenons à nos "légumes".

    Et si la France n'est pas encore le pays le plus corrompu ou corrupteur au monde, malgré sa classe dirigeante et politique, sa voisine Suisse peut quant à elle prétendre largement au titre. Et même si l'ancien président Français, François Hollande, avait déclaré :"Mon ennemi, c'est la Finance" (Macron) afin d'essayer d'attirer encore les électeurs les plus naïfs de l'époque, nous avons appris grâce aux confidences de la "cocue" par l'actrice, que les réels ennemis depuis toujours de Hollande étaient en réalité les "sans-dents"... Ces gens pour qui l'Etat dépense "charitablement" un pognon de dingue qu'il leur a pourtant totalement et préalablement extorqué sous forme de taxes diverses. Et que dire de notre pays depuis l'arrivée du petit banquier poudré mégalomane, ce petit légume hors-sol issu directement des serres Rotschild ? Car le facteur commun des grandes "serres" de prédilection, pour tous les gros légumes cultivés en hydroponie, c'est à dire alimentés par du liquide à outrance venu de la haute finance, sont essentiellement basées en Suisse. Ce tout petit pays, enclavé entre les montagnes, profite allègrement de tous les malheurs de la Terre, comme de tous les criminels de ce bas monde avec ces installations financières incontrôlables. Bien que ce pays confetti n'ait jamais été classé par de "pays le plus corrupteur au monde", il héberge les principales organisations internationales créatrices et complices de tous nos maux. 

    Ce pays n'a jamais fait fuir les investisseurs et c'est même tout le contraire. Il attire tout le beau monde de la corruption internationale et de tous les continents ! Tous les plus gros légumes du monde ont un pied-à-terre là-bas et donc les plus grandes "serres" hydroponiques mondialistes aussi... En quarante ans, le nombre de milliardaires a explosé dans le monde. En 1980, la planète en comptait 120 contre plus de 2500 aujourd’hui. Et ils se retrouvent tous à Davos au moins une fois par an ! Tous ces gens ont aussi en point commun le fait de vivre hors-sol, d'être des "gros légumes" héréditaires et élevés en hydroponie par les liquidités douteuses et souvent issues de la corruption systématique des membres des états, qui leurs confèrent leur volume hors norme dans un monde en perdition. Leur pouvoir financier de ces moins de 1% (et encore lorsqu'on compte large) est tel qu'il équivaut à plus de la moitié de toutes les richesses présentes sur Terre et que se partagent les 7 milliards de personnes restantes accrochées à leur sol. Ces êtres ne sont pas issus de terroirs, ils n'ont aucune saveur véritable, ils ne sont pas non plus connectés à la terre nourricière mais bien nourris sur des substrats inertes gavés d'éléments nutritionnels. 

    Et ce sont les fossoyeurs du monde actuel, ces pollueurs patentés qui mazoutent les océans avec leur pétrole autant que les cieux avec leurs jets privés, qui osent nous parler d'écologie. Ce sont ces patrons d'entreprises les plus néfastes à tout écosystème qui viennent nous expliquer, dans leurs jets privés, ce qu'est le "green concept". Ils détruisent tout ce qui est naturel pour imposer leur monde artificiel. Ce sont ces légumes développés exclusivement en hors-sol, qui nous font la morale sur la façon de gérer notre Terre. Notre monde marche à l'envers, parce que ceux qui le dirige n'en font plus partie. Ils n'ont plus ni racines, ni ramures connectées avec le réel, Ils ne savent plus d'où ils viennent, ni quelles sont leurs attaches naturelles. Ils sont comme gonflés aux vitamines technologiques supportées par des liquidités loin d'être claires comme de l'eau de roche. Et leur seule force réside dans leur capacité financière illusoire et artificielle. Elle est en leur capacité à venir déraciner tout un chacun de son sol natif, par leur corruption ou par leur chantage, pour en faire un véritable légume sans attache, un produit parfaitement calibré et conforme à leurs exigences, mais qui ne sera jamais aussi gros qu'eux, ni reproduit, mais jeté au sol et mis à mal par leurs piétinements une fois utilisé, afin de faire disparaitre à jamais ce que la véritable Terre lui avait apporté pour en arriver jusque-là.

    Tout être humain normalement constitué sait que plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses. Nous devons sortir des créations et des développements hors-sol et repenser en profondeur notre rapport au monde et à nous-mêmes. C’est ce que dans le langage habituel on appelle "avoir les pieds sur Terre".  Etre connecté à la terre, c’est aussi se souvenir de son statut de passager temporaire. Rien ici-bas ne nous appartient, nous n'en sommes que le garant temporaire afin de le transmettre aux futures générations. Or, dans notre société hors-sol, tout lien à la terre s’est vu progressivement et systématiquement démantelé par cette bande de gros légumes immondes. Depuis plusieurs siècles de modernisme puis de rationalité sans conscience, nous transformons peu à peu notre monde originellement fourmillant de vie en une serre recouverte de plastique et toute sèche. Et nos enfants sont éduqués entre les murs cimentés d’écoles-prisons de 2 à 25 ans à grand coups de matières académiques abstraites, les maladies sont soignées par des molécules chimiques qui n'ont plus rien à voir avec les plantes d'où elles étaient extraites, et le nombre de micro-organismes nourriciers et nécessaires dans les terres de nos champs a été divisé par 10 voire 100 selon les zones. Les herbes folles qui poussent, à d’autres endroits que ceux qui leur ont été strictement assignés, sont traitées comme des êtres indignes de vivre. Tout est calibré selon la folie des promoteurs du hors-sol. Même la police quitte le sol, à grand renfort de drones et d’hélicoptères.

  Il n’est plus temps de chercher à comprendre comment nous en sommes arrivés à ce point aussi extrême de rupture de la connexion avec notre sol. Car dans cette folie nommée à tord "progressisme," tout devient chaque jour un peu plus incertain sinon chaotique, et où le retour à l’enracinement nouveau devient la plus sûre des immunités individuelles et collectives face aux risques de dérives de notre société (totalitaires, identitaires, climatiques, etc). Depuis des millénaires, l'Homme s'est toujours connecté à la terre en tant qu'être vivant et permettait ainsi, à l'énergie tellurique de s'élever dans le corps afin de le renforcer, voire de le régénérer. Encore aujourd’hui, on peut vivre et expérimenter la connexion à la terre simplement en étant assis, debout ou en marchant pieds nus sur le sol à l'extérieur. C'est un pouvoir de guérison remarquable. Cela montre bien que les êtres humains ont perdu leurs racines, ce courant électrique qui vient du coeur de notre monde, pour ainsi dire. Paradoxalement, en ce connectant à internet, les Hommes se sont déconnectés, et cette déconnexion peut être une des grandes causes négligées de la douleur et de l'inconfort humain. Tout comme elle joue sur l'incidence croissante des maladies chroniques, mentales comme physiques, dans le monde entier.

   Lorsqu'il nous est impossible de nous connecter directement avec la nature, parce que nous vivons dans une structure urbaine ou que notre environnement est sur-pollué, ou lorsque l'on souhaite prolonger le contact avec la terre pour bénéficier de ses innombrables avantages, il est possible d'utiliser différentes méthodes simples et douces, pour retrouver notre énergie naturelle et nous débarrasser de cette emprise technologique néfaste. En premier lieu, il faut couper les appareils électriques et les connexions artificielles que sont les ordinateurs, les smartphones et les télés. Débranchez-vous pour mieux vous reconnecter ! Car la Terre a une légère charge négative, et lorsque vous vous tenez sur le sable pieds nus, les électrons venant de la Terre affluent dans votre corps, vous procurant ainsi une  "transfusion" virtuelle de son pouvoir guérisseur. La Terre est une source naturelle d’électrons et de courants électriques subtils qui sont essentiels à un fonctionnement correct des systèmes immunitaires, circulatoires, de la synchronisation des biorythmes et d’autres processus physiologiques, et peut se révéler en tant qu’antioxydant,  le plus efficace, le plus essentiel, le moins cher et le plus facile à utiliser.  

    La première clé est celle qui se retrouve dans toutes les pratiques : la respiration, évidemment. Lorsqu'on inspire en conscience profondément par les narines, en dosant le débit entrant et le débit sortant par la bouche, on revient automatiquement au présent. La présence nous reconnecte naturellement à l’espace immédiat qui nous environne, et à notre corps. Par le souffle, ce processus de vie qui relie tous les vivants, et qui constitue une des étapes clés des grands cycles biogéologiques de notre corps. On se souvient alors que nous sommes tous interconnectés par le même air et la même eau partout sur le globe. On laisse alors entrer de l’air et on se souvient qui l’a fabriqué en amont. On laisse sortir l’air, et on se souvient à qui il va servir plus tard.   

     La deuxième clé réside dans nos amis les arbres ou les plantes (et non pas les légumes). Parfois, il suffit de regarder quelques minutes un arbre pour se souvenir qu’il est à la fois connecté au ciel (photosynthèse, appel de la lumière, récupération de la pluie) et à la terre, avec des racines qui sont souvent plus importantes encore que la partie aérienne. Lorsqu'on regarde un arbre, on se souvient que nous aussi, nous avons besoin du sol et que nous avons des racines qui renforcent notre recentrage personnel. Cela renforce notre conscience d’être humain faisant partie d'un tout et nous éloigne de cet environnement créé technologiquement pour nous déraciner. Aussi, il est important de comprendre que l’inflammation du corps comme de l'esprit est un état qui peut être réduit ou évité en mettant votre corps au contact de la Terre, de la même façon qu’ont fait tous nos ancêtres depuis des centaines sinon des milliers de générations.    

    La troisième clé réside dans l'attitude personnelle. Cela marche encore mieux si on se met pieds nus et que les pieds sont effectivement posés sur un sol non artificiel comme de la terre (au sens du terreau), du sable, de la mousse, de l’herbe, des rochers... Mais même si les pieds sont enfermés dans des chaussures en plastique au vingtième étage d’une tour de banlieue, on peut tout de même visualiser que cette énergie se dissipe dans le sol en mettant toute notre conscience dans la partie basse de notre corps, et surtout dans la sensation de notre poids sur les plantes de pied. Quand vous vous placez sur la terre riche en électrons, un meilleur équilibre du système nerveux sympathique et parasympathique se produit. Le corps humain a évolué en contact constant avec la Terre, et votre corps a besoin de cet échange vital et continuel d’énergie pour fonctionner correctement.    

  Avec cette pratique régulière, simple, rapide mais extrêmement efficace, vous pourrez revenir à un monde sain et naturel dès que vous le souhaiterez. Car le stress dû aux radicaux libres liés à l’exposition au mercure, aux cigarettes, aux insecticides, pesticides, graisses, wifi et radiations, et beaucoup d’autres facteurs, réduit continuellement les électrons de votre corps. Toucher la Terre aide à neutraliser les charges positives des radicaux libres dommageables pour votre corps. Clint Ober, spécialiste du "Earthing" indique que ce manque de connexion à la Terre semble être un fil conducteur sous-jacent dans la plupart des maladies chroniques, c'est un phénomène qu’il nomme "le syndrome de déficience électrique". Il a redécouvert avec études à l’appui cette sagesse simple et millénaire, que l’être humain est issu de la Nature et a besoin d’un contact soutenu avec Elle pour son équilibre et sa santé. Pour sa croissance et son developpement sain. C'est à dire tout l'inverse de ce que les Gros légumes mondialistes nous obligent à faire. Il savait que le corps humain est conducteur et donc traversé par de nombreux courants électriques. C’est la raison pour laquelle ceux qui travaillent dans l’industrie électronique se branchent eux-mêmes à la terre afin d’éviter de "griller les circuits". Ce qui était nouveau toutefois avec Clint Ober, c’était le lien qu’il faisait entre notre charge électrique corporelle et notre santé.

   La majorité du temps, nous sommes séparés de la Terre par le béton, le tapis, du caoutchouc, ce qui empêche le corps de se décharger et de s’équilibrer électriquement. À l’image d’une maison qu’il faut mettre à la terre pour éviter les "parasites électriques", Clint Ober tabla sur l’importance que l’être humain soit, lui aussi, en contacte avec la Terre. Cette question est d’autant plus pertinente en raison de notre mode de vie moderne qui nous prive la plupart du temps d’un contact avec la Terre alors que nous sommes de plus en plus entourés et bombardés par toute sorte de champs électromagnétiques issus d’appareils électroménagers, de téléviseurs, d’ordinateurs, de téléphones portables, etc. La recherche a démontré que cela ne prend environ que 80 minutes aux électrons libres de la Terre pour atteindre votre système circulatoire et transformer vos cellules sanguines. Enfin et surtout, lorsque vous êtes connecté à la Terre, les électrons chargés négativement que vous recevez augmentent la structure de l’eau de vos cellules, tout comme la structure de l’eau augmente quand une charge négative est introduite par une électrode. Tout comme une batterie, cette eau peut contenir de l’énergie et peut fournir de l’énergie également. En substance, quand vous vous ancrez, quand vous vous enracinez de nouveau, vous chargez chacune de vos cellules d’une énergie que votre corps peut utiliser pour se soigner lui-même.

    Alors, pour empêcher leur "progressisme hydroponique" et la corruption qui en découle, reconnectez-vous, recentrez-vous, aidez-vous à aller de mieux en mieux, chaque jour, simplement en respirant et en marchant pieds nus. Vous éviterez la corruption de votre corps, celle de votre environnement et les gros légumes seront certainement et très rapidement bien seuls enfermés dans leurs serres artificielles. La corruption systémique comme celle de votre mental n'auront plus aucun effet sur votre vie et cette méthode simple pourrait changer notre futur à tous... Pensez-y, mais surtout faites-le... 

    La solution est encore une fois en vous, et uniquement là...

Phil BROQ.



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