ZELENSKY, LE CLOCHARD GUERRIER...

À la suite de sa venue en France ce 26 mars 2025, la figure de Volodymyr Zelensky, toujours plus élevée au rang de symbole de la fausse résistance, le millionnaire déguisé en tee-shirt kaki suscite des interrogations sur la véritable nature de son pouvoir et des enjeux sous-jacents de la guerre en Ukraine. Derrière l’image de "héros" qu’il s'efforce de cultiver, se cache un système complexe où les grandes puissances occidentales, notamment la France, continuent de financer un conflit qui profite avant tout aux élites mondialistes, aux fabricants d’armements et aux oligarques fous. 

En France, l'accueil triomphal réservé au mendiant Zelensky par Macron masque une réalité bien plus sombre, où cette guerre est devenue un outil de manipulation géopolitique, alimentée par des milliards d'euros qui ne profitent ni à la reconstruction de l'Ukraine ni à son peuple. Les promesses de démocratie et de liberté s'effondrent sous le poids d’une corruption systémique et d'une hypocrisie qui semble se perpétuer à travers des soutiens financiers, tout en laissant les citoyens européens et ukrainiens payer un prix humain insupportable.

Autrefois, l’image des moines soldats symbolisait un engagement noble et sacré dans la défense de valeurs spirituelles et territoriales. Aujourd'hui, sous l'influence de figures comme Zelensky, nous sommes confrontés à un paradoxe où la figure du "clochard guerrier" émerge, mettant en scène un combattant à la fois symbole de résilience et de détresse, mais aussi un modèle de lutte où la misère et l’extrême précarité se confondent avec la résistance. Ce phénomène médiatique nous aveugle, détournant notre attention des véritables enjeux de cette guerre stupide promue par notre coquet de l'Elysée, où l’on finit par glorifier une forme de guerre où l’héroïsme semble se mêler à la souffrance et à l'indigence.

Il est ironique de voir qu'un homme comme Zelensky, qui se présente comme le défenseur héroïque de son pays qu'il a mis à feu et à sang, semble en réalité incarner une forme moderne de mendicité politique. Le terme "clochard" trouve son origine dans les mendiants invétérés qui, au Moyen Âge, sonnaient les cloches des églises en échange de quelques pièces de monnaie. De la même manière, Zelensky a réussi à transformer les cloches de l'appel à la guerre en une incessante demande à l'aide internationale, réclamant systématiquement des milliards de dollars sous prétexte de défendre son peuple qu'il maltraite. À la différence près qu’il ne s’agit plus de cloches d’églises, qu'il a fait fermer depuis, mais plutôt des tambours de guerre qui résonnent dans les oreilles des puissances mondialistes. En somme, il se présente comme un "clochard", un mendiant de la scène internationale, un homme sans honneur, qui, plutôt que de défendre sa terre, semble s'être fait spécialiste de la sonnerie d'alarme des feux qu'il génère, afin recevoir davantage d'aide pour les éteindre.

Le 6ème Président de l’Ukraine, qui s’était fait élire en promettant de lutter contre la corruption et de moderniser son pays, a transformé l’Ukraine en un havre de blanchiment d’argent, un terrain de jeu pour les oligarques et un paradis pour les mafias. Ce qui n’était qu’un vieux terrain marécageux d’illégalité et de trafics en tous genres, est devenu en dix ans, un immense dispositif de racket international, et les dirigeants européens, eux, continuent à se précipiter pour verser des milliards de notre argent dans le gouffre ukrainien. Comme Macron en France, ce Zelensky n'est qu'un pantin des banquiers, mis en place pour détruire son pays. Parce qu’après tout, pourquoi se soucier de la dette abyssale des États quand il s’agit de soutenir une guerre perdue d'avance et qui n’a plus de sens depuis des mois, sinon pour remplir les coffres des paradis fiscaux en laissant ses dirigeants prospérer sur les cadavres de leurs citoyens ?

Zelensky, l'acteur virtuose du piano à queue, plus que le président illégal d’un pays en guerre, s’est métamorphosé en un mendiant mondial de haute volée, un clown tragique qui parcourt les sommets internationaux, tendant la main comme les Roms aux feux rouges, implorant des milliards, tout en orchestrant une guerre fratricide et sans issue. Sa campagne électorale de lutte contre la corruption a vite cédé la place à un règne de chaos où l’Ukraine est devenue un gigantesque théâtre pour mafieux, et où il joue son rôle de victime permanente afin de soutirer de l’argent à tous ceux qu'il croise. Plus que de la guerre, c’est surtout un business très lucratif qu’il mène. L’Ukraine n’est plus qu’un décor vide où il réclame, sans vergogne, un soutien sans fin à des dirigeants européens eux-mêmes pris au piège de leurs dettes, de leurs intérêts et de leur désarmement. En tant que chef de cette grande blanchisseuse de la mendicité géopolitique, il a appris à tirer parti de la misère qu’il engendre, pour mieux alimenter le spectacle de la guerre, de la peur et du chaos.

Les chiffres sont éloquents, stratosphériques même, et la guerre contre la Russie, perdue depuis bien longtemps par l'Otan moribond et ses alliés dégénérés, est devenue une formidable opportunité de collecte de fonds pour les oligarques en manque de subventions. Des milliards inouïs arrivent en Ukraine, mais ne servent qu’à remplir les poches de ceux qui, dans l’ombre, se livrent à des trafics d’armes et à d'autres magouilles allant de la fabrication de virus tueurs aux trafics humains, d'organes et de prostitution pédocriminelle. L’argent afflue sans cesse, mais les victimes ne sont jamais celles qui le réclament. Les fonds ne sont pas envoyés sans contrepartie, et à chaque sommet, Zelensky déploie son numéro de la "victime héroïque" en demandant toujours plus, pendant que les élites ukrainiennes et leurs alliés se partagent discrètement leur butin, reversé dans les paradis fiscaux offshore. Les pauvres Ukrainiens, tout comme les Français, sont laissés à la traîne, leurs sacrifices oubliés au profit de la guerre, qui est devenue un simple levier de pouvoir des agents mondialistes, comme de ruine des nations.

Il est essentiel d’évoquer l’implication des grandes entreprises multinationales et des lobbies d'armement, véritables profiteurs de cette guerre, qui se nourrissent directement des souffrances humaines qu'ils créent et orchestrent. Derrière les promesses de soutien et de solidarité, ce sont en réalité les entreprises de défense, les oligarques, les banques et les puissances multinationales qui occupent les coulisses de ce conflit, tirant profit des ventes d'armement et des contrats lucratifs dédiés à la future reconstruction de tout ce qu'ils détruisent. Ces acteurs invisibles, qui influencent discrètement les politiques étrangères à leur avantage, ne sont jamais véritablement inquiétés, bien que leur rôle dans cette dynamique de pillage soit évident. Ils transforment la guerre en un marché où l'humanité et la dignité sont sacrifiées sur l’autel du profit sanglant. Les milliards de dollars qui s'écoulent des caisses publiques, notamment françaises, ne profitent ni à la paix ni aux peuples, mais à ces géants industriels et financiers qui, sans scrupule ni morale, continuent d’engranger des bénéfices colossaux tout en maintenant les populations dans la souffrance et l’instabilité. Il est grand temps de pointer du doigt ces responsables qui se cachent derrière les portes closes, où la guerre n'est rien d'autre qu'une marchandise.

Quand on regarde de plus près, cette quête incessante de fonds devient la preuve d’une stratégie bien rodée, depuis plus d'un siècle de conflits toujours plus meurtriers, servant à utiliser la guerre comme levier pour financer des rétrocommissions et des comptes dans les paradis fiscaux. Le système est bien huilé, et ceux qui en bénéficient ne sont jamais les peuples, mais toujours ces élites qui, en coulisses, récupèrent leur part du gâteau à l'abri des regards et protégés par leurs médias propagandistes. Les Biden, par exemple, sont d'illustres représentants de ce système en Ukraine avec des sociétés offshores et des arrangements en dehors de l’œil du public permettant de camoufler une part non négligeable des milliards envoyés en Ukraine.

Et pendant ce temps, les citoyens, eux, continuent de payer le prix fort de cette gabegie abjecte. Que ce soit en France, où Macron aligne des milliards pour la guerre en Ukraine, dans un pays à l'agonie avec plus de 3400 milliards de dette, tout en écrasant les citoyens sous la dette et l’austérité, ou bien en Ukraine, où les masses voient leur pays se vider de toute substance, les vrais perdants sont toujours les mêmes ! Ceux qui n’ont ni pouvoir, ni voix. Pendant que cette caste nauséabonde continuent de s’enrichir, les peuples trinquent plus que de raison. Les promesses de "démocratie" et de "paix" ne sont que des écrans de fumée éventée pour cacher un marché de la guerre où l’argent est plus précieux que les vies humaines.

Il faut aussi dénoncer l’hypocrisie flagrante des prétendus "alliés" de l’Ukraine, tels que les États-Unis, l’Union Européenne et certains pays de l’OTAN, qui se présentent comme les champions de la démocratie et de la liberté, tout en agissant uniquement dans le but de préserver leurs propres intérêts géopolitiques et financiers. Ces puissances méphitiques, en envoyant notre argent et des armements à l'Ukraine, ne font qu'enliser davantage un conflit déjà perdu, sans jamais proposer de véritable plan de paix ou de solution durable. Leur soutien n’est en réalité qu’une façade, camouflant un objectif bien plus cynique permettant le contrôle des ressources naturelles et l’expansion de leur influence sur la scène internationale. Leur "aide" ne sert qu’à prolonger une guerre interminable, d'où ils tirent leur fortune, tout en consolidant leur domination dans une région stratégique, sans aucune considération pour le peuple ukrainien, sacrifié sur l'autel de leurs ambitions. Pendant ce temps, la souffrance des populations européenne et l’instabilité régionale deviennent des coûts secondaires, des éléments dérisoires dans leur quête insatiable de pouvoir et de contrôle.

Sachant que l’enquête des Pandora Papers de 2021, a déjà révélé que Zelensky lui-même n’échappe pas à ce jeu de gangsters sanguinaires - puisque dans les coulisses de sa gouvernance, on retrouve des sociétés offshores, des paradis fiscaux, des villas de luxe, un casino et même une banque - démontrant clairement ces pratiques douteuses qui permettent d’enrichir discrètement ceux qui orchestrent le chaos. Loin d’être le héros que les médias veulent nous vendre, Zelensky est en réalité un acteur corrompu, mais brillant dans l’art de la mendicité géopolitique, manipulant les plus grandes puissances du monde pour obtenir toujours plus de fonds tout en laissant son pays se décomposer.

Et bien sûr, Macron, cet autre produit malpoli du système bancaire mondial, n’est pas en reste. Depuis ses origines rothschildiennes jusqu’à son soutien aveugle à l’Ukraine, il est devenu l’un des plus grands architectes de ce système de pillage organisé et de destruction programmée. De la transaction chez Rothschild avec Nestlé à ses milliards envoyés en Ukraine, tout est une question de rétrocommissions et de financement à travers des fonds détournés et cachés dans des paradis fiscaux. Chaque geste qu’il fait, chaque décision qu’il prend, est calculé pour remplir ses poches comme celles de ceux qui, dans l’ombre, tirent les ficelles et les bénéfices du chaos et de la guerre. Pendant ce temps, la dette nationale explose et les Français, eux, trinquent. Les promesses de "soutien" à l’Ukraine ne sont qu’un paravent de plus, un écran de fumée nocive, pour dissimuler la véritable nature de cette guerre, qui sert avant tout à enrichir des élites et à perpétuer un système basé sur le racket et la coercition des peuples.

Les médias, complices et subventionnés par les puissances en place, ont joué un rôle déterminant dans la transformation de Zelensky en une icône mondiale, élevant ce président à la stature d'un "héros" de la résistance tout en occultant délibérément la gestion chaotique de son gouvernement, la corruption totale de ce pays et ses intérêts personnels. En insistant sans relâche sur la "lutte pour la démocratie", alors que Zelensky n'est plus président depuis plus d'un an, le discours officiel devient une arme de diversion massive, habilement utilisée pour masquer l’hypocrisie d’une guerre géopolitique menée non pour le peuple ukrainien, mais pour les seuls bénéfices de ces élites dont la rapacité et l'avidité n'ont plus aucunes limites. La couverture médiatique, systématiquement axée sur le portrait de Zelensky comme un leader courageux et martyrs, occulte les véritables enjeux qui se jouent en coulisses avec des investissements juteux pour certains, une guerre sans fin pour d’autres, et une population européenne comme ukrainienne sacrifiée dans l’indifférence générale. Derrière cette façade héroïque de ce clochard international, les médias ferment les yeux sur la corruption endémique de son régime, sur la dilapidation des fonds internationaux, et sur les promesses non tenues qui laissent l’Ukraine dans un état de dévastation permanente.

Les mécanismes d’enrichissement personnel de Volodymyr Zelensky et de son entourage sont d’une opacité déconcertante et doivent être aussi mis en lumière pour révéler la véritable nature de la gestion de cette guerre. Zelensky, tout en se posant en sauveur de la démocratie, utilise des sociétés offshore et des paradis fiscaux pour dissimuler des fonds et éviter l’impôt. Tout est question de façade, évidemment. Zelensky a bien compris le jeu : il faut se donner des airs de martyr pour mieux soutirer des milliards. Sa fortune personnelle, qui tourne autour de 20 millions de dollars, est d'ailleurs une belle illustration de cette alchimie parfaite entre guerre et gains financiers. Ce n’est pas tant la guerre contre la Russie qu’il mène, mais plutôt une guerre de requête incessante. C'est ce qu'a démontré l'enquête de 2021 baptisée "Pandora Papers" à laquelle ont collaboré environ 600 journalistes, s’appuyant sur quelques 11,9 millions de documents qui proviennent de 14 sociétés de services financiers, et mettant au jour plus de 29 000 sociétés offshore. La publication, par le Consortium Internationale des Journalistes d’Investigation (ICIJ), des "Pandora Papers" révèlent que plusieurs chefs d’État et de gouvernement ont utilisé des sociétés offshore, notamment pour échapper à l'impôt. On y découvre que le Président ukrainien y figure en bonne place, accompagné par le Roi de Jordanie Abdallah II, ainsi que sept chefs d’État, dont le Président congolais Denis Sassou Nguesso, plus quatre Premiers ministres en exercice, dont le Tchèque Andrej Babis et le Libanais Najib Mikati, et plusieurs centaines de personnalités politiques, issues de plus de 90 pays, dont surement Macron...

Ces structures opaques, disséminées dans des juridictions où la transparence financière est quasi inexistante, permettent à lui et à ses proches de siphonner une partie des milliards envoyés par les pays occidentaux sous forme d’aides humanitaires et militaires. Derrière l’apparente générosité des dons, il y a un réseau complexe de manipulation des flux financiers, où des fonds censés servir à reconstruire l’Ukraine sont en réalité réorientés vers des comptes privés et des investissements dans des zones exemptées de toute régulation. En l’absence de toute transparence sur l’utilisation de ces sommes, il devient impossible de savoir exactement où va l’argent alloué à la guerre. Ce manque de clarté permet à Zelensky et à son entourage de se remplir les poches tout en cultivant l’image du martyr et de la victime, manipulant ainsi les nations occidentales pour maintenir un soutien sans fin. Le financement de la guerre ukrainienne, loin d’être un simple acte de solidarité, ressemble bien à une gigantesque opération de blanchiment d’argent : des dizaines de milliards de dollars, qui auraient dû être investis dans la reconstruction et le soutien réel à la population ukrainienne, se volatilisent dans un océan de corruption et de pratiques douteuses.

La réalité derrière cette mascarade est que ces fonds ne servent qu’à entretenir un système de clientélisme et de corruption mondialiste et mondialisée, tout en permettant à Zelensky et à son cercle rapproché de maintenir leur train de vie luxueux, sans égard pour le peuple ukrainien qui, lui, continue de souffrir. Alors que des milliards sont envoyés sans contrepartie concrète, l’Ukraine comme l'Europe s’enfoncent dans une crise sans fin, et l’injustice d’un tel système devient plus apparente que jamais.

L’illusion d'une guerre "juste" autour du conflit ukrainien est donc une farce géopolitique soigneusement orchestrée, où les véritables gagnants sont loin d’être les peuples ukrainien et français, mais bien ces élites internationales apatrides, les fabricants d’armements et les oligarques qui profitent de cette tragédie. Les idéaux de liberté et de démocratie, brandis comme des bannières par les dirigeants occidentaux, ne sont en réalité que des instruments de manipulation grossière, utilisés pour légitimer une guerre dont les véritables enjeux sont purement économiques, financiers et surtout mafieux. Les discours enflammés sur la défense des "valeurs" (qu'ils inversent), de la "paix" (qu'ils refusent) et de la "lutte pour la démocratie" (tyrannique), ne sont donc que des façades, écaillées, cachant mal l'avidité des puissances mondiales, qui, en envoyant toutes ces armes et ces milliards, alimentent un conflit d'où ils tirent leurs profits personnels, tout en consolidant leur domination sur les ressources et le pouvoir géopolitique mondial.

Pendant ce temps, les souffrances humaines, tant en Ukraine qu’à travers toute l’Europe, ne sont que des dommages collatéraux ignorés, sacrifiés et augmentés sur l'autel de l’intérêt économique. L’Ukraine, un pays déjà dévasté par BlackRock et Vanguard, sert de terrain de jeu aussi abjecte et sanguinaire qu'à Gaza, pour ne servir que les intérêts privés des plus puissants. En coulisses, les fabricants d’armements engrangent des profits records, et les oligarques, tout en continuant de manipuler les flux financiers, renforcent leur emprise sur la région centrale de cette Europe suicidaire. Les populations endurent des pertes humaines, la dilapidation de leurs économies, la succession ininterrompue des crises économiques et des sacrifices à répétition, tandis que les véritables instigateurs de ce chaos se gavent sur leur dos. Mais, bien entendu, cette souffrance n'est qu'un détail secondaire dans le grand échiquier des intérêts internationaux.

Les promesses de "démocratie" et de "liberté", inexistante dans toute l'UE, ne sont rien d’autre qu’un leurre pour masquer la réalité dans l’intérêt de puissants groupes financiers et d'industries de l'armement. Zelensky, le mendiant international, n’est finalement qu’un pantin de plus, un symbole d’un système géopolitique où la guerre est devenue le dernier business lucratif des mondialistes fous d'hybris, et où chaque intervention est une occasion de se remplir encore plus les poches. Le plus ironique dans tout cela, c'est que la vraie guerre est contre les peuples, que ce sont leurs dirigeants qui la mènent tambour battant en volant le fruit du labeur de leurs citoyens. Cette guerre est déjà perdue pour nous, faute de combattants, mais les milliards continuent de pleuvoir, et tout ce qui compte, c’est de maintenir ce grand théâtre en marche, où les peuples sacrifiés sans scrupules sont les seuls à en payer véritablement le prix.

La tragédie ukrainienne, comme celle à Gaza et tant d’autres avant elles, révèle la vérité plus dure que les peuples, ces masses avachies et hypnotisées par la propagande, ont laissé les puissances financières et les oligarques régner en maîtres sur leur destin. C’est leur passivité, leur incapacité à se soulever contre l’injustice systémique, qui permet à ce cercle vicieux de perdurer. Depuis des siècles, les peuples souffrent et se sacrifieront toujours pour les intérêts d’une élite sans scrupules, les "gardiens" d’un système fondé sur le racket, la guerre et la manipulation. Ils ont préféré se vautrer dans l’illusion de la démocratie, du confort et du progrès, tout en alimentant eux-mêmes ce monstre de la guerre. Et pendant qu'ils se complaisent dans leur confort, d’autres sont sacrifiés quotidiennement sur l’autel du pouvoir et du profit. Le spectacle sanglant se poursuit, indéfiniment, et ce n’est qu’une nouvelle variation sur les thèmes vieux comme le monde de la cupidité humaine et de l’indifférence collective. 

Les guerres ne sont jamais remportées par ceux qui en subissent les conséquences, mais bien par ceux qui les déclenchent, manipulant les masses comme des pions sur un échiquier géopolitique. Ceux qui fomentent les conflits (les oligarques et les puissances économiques) tirent profit de la souffrance humaine et exploitent les ressources des nations en guerre. En revanche, les peuples qui, aveugles à cette machination, se contentent de suivre les ordres, de se soumettre à la propagande ou de rester indifférents, se retrouvent toujours perdant. Non seulement ils endurent les horreurs de la guerre, mais ils sont également les derniers à bénéficier des maigres fruits des victoires, si tant est qu'elles existent. 

Et encore une fois, ce sont la passivité et la docilité des individus qui permettent aux puissants de poursuivre leurs cycles destructeurs, sans que jamais les véritables responsables de ce chaos soient réellement tenus pour compte de leurs forfaits guerriers…

Phil BROQ.

Blog de l'éveillé








Commentaires

  1. Mon cher Phil, j'ai pris le temps de me ressourcer dans les montagnes des Alpes et mon dieu, que cela fait du bien ! Billet toujours pertinent et d'une lucidité rare. Je crains que le futur soit terrible pour notre pays mais comment pourrait-il en être autrement puisque la quasi totalité de nos citoyens sont dans le déni le plus total ! Quand je vois comment les choses évoluent au Moyen Orient, notamment entre les USA et l'Iran, nous nous rapprochons de plus en plus de l'inéluctable. Il faut se préparer au pire en espérant le meilleur. Je le rabâche jour après jour à mes proches...........

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  2. Mon cher Phil , Le « sionisme » dominant est d'une toxicité hallucinante, meurtrier et tyrannique comme jamais. Les gens verront des populations entières se faire massacrer par centaines de milliers à cause des politiques de ceux pour qui ils ont voté, et tant que cela ne perturbe pas leur brunch, ils continueront à siroter leurs mimosas, à rire, à tweeter et à se sentir parfaitement à leur place, avant d'aller se coucher et de dormir comme des bébés dans un océan de sang humain. Ce monde est dans le déni le plus total au plus grand bonheur des fous furieux qui manipulent ceux qui nous dirigent à leur convenance. Effondrement total, révolution mondiale, changement de paradigme ou nous sommes tous voués au pire du pire.

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    Réponses
    1. Mon cher ami, tes mots résonnent avec une intensité qu'il est difficile de ne pas ressentir profondément. La situation géopolitique actuelle, particulièrement au Moyen-Orient, est en effet d'une gravité qui dépasse l'entendement. Le cynisme et l'indifférence de certains face à la souffrance humaine sont inacceptables, et il est tragique de constater que les injustices semblent souvent invisibles pour ceux qui vivent dans le confort de leurs petites vies. Il est désespérant de voir à quel point le monde est capable de détourner le regard, tout en se complaisant dans une sorte de réalité parallèle. Cependant, je pense qu'il est crucial de ne pas sombrer dans un fatalisme total, même si le sentiment d'urgence est bien réel. Oui, le monde semble se diriger vers des turbulences profondes, mais c'est justement dans ces moments de crise qu'une prise de conscience collective pourrait émerger, que de nouveaux changements pourraient voir le jour, même si la route paraît semée d'embûches. Chacun de nous, dans nos actions, nos réflexions et nos voix, peut jouer un rôle dans ce qu'il reste de lumière, aussi faible soit-elle. Bien à toi !
      Nous devons garder cette capacité à réagir, à être lucides mais aussi à ne pas céder au désespoir total, même face à des forces qui nous dépassent. Je partage tes inquiétudes, mais j'espère encore que les changements nécessaires viendront de la résistance des consciences éveillées.



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    2. Mon cher ami, tes mots résonnent avec une intensité qu'il est difficile de ne pas ressentir profondément. La situation géopolitique actuelle, particulièrement au Moyen-Orient, est en effet d'une gravité qui dépasse l'entendement. Le cynisme et l'indifférence de certains face à la souffrance humaine sont inacceptables, et il est tragique de constater que les injustices semblent souvent invisibles pour ceux qui vivent dans le confort de leurs petites vies. Il est désespérant de voir à quel point le monde est capable de détourner le regard, tout en se complaisant dans une sorte de réalité parallèle. Cependant, je pense qu'il est crucial de ne pas sombrer dans un fatalisme total, même si le sentiment d'urgence est bien réel. Oui, le monde semble se diriger vers des turbulences profondes, mais c'est justement dans ces moments de crise qu'une prise de conscience collective pourrait émerger, que de nouveaux changements pourraient voir le jour, même si la route paraît semée d'embûches. Chacun de nous, dans nos actions, nos réflexions et nos voix, peut jouer un rôle dans ce qu'il reste de lumière, aussi faible soit-elle. Nous devons garder cette capacité à réagir, à être lucides mais aussi à ne pas céder au désespoir total, même face à des forces qui nous dépassent. Je partage tes inquiétudes, mais j'espère encore que les changements nécessaires viendront de la résistance des consciences éveillées.

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