L'ODIEUSE VERITE SUR ISRAEL…

Dans notre monde, l’histoire est trop souvent réécrite pour servir des intérêts géopolitiques, où certains événements et récits sont manipulés à outrance pour masquer des vérités dérangeantes. Ainsi, Israël, colonie sanguinaire qui se veut être un état moderne en quête de légitimité, est au cœur de cette dynamique de réécriture systématique de l'historique et de réappropriation des mémoires. Derrière l'image de victime qu'il parvient à projeter, grâce à des médias de propagande achetés et corrompus, se cache un agresseur bestial qui cherche non seulement à imposer un contrôle territorial, mais aussi à effacer les traces des anciennes civilisations et religions présentes en Terre Sainte bien avant l'avènement du judaïsme. 

À travers des actions militaires violentes, des manipulations idéologiques abjectes et un nettoyage culturel systématique, Israël tente dorénavant de consolider son pouvoir en effaçant toute mémoire historique qui pourrait contredire son récit mensonger. Comme en France, en faisant voter des lois - telle la loi Gayssot -  condamnant ceux qui ne veulent pas croire à leurs mensonges ou tentent de faire émerger la vérité. Voici comment, en jouant sur les mythes religieux et la manipulation de l’histoire, ces fous de sang et de domination réussissent à détourner l’attention du monde depuis des siècles, sur leurs actions d’agression et de colonisation des terres comme des esprits.

Pour la première fois, des documents déclassifiés révèlent que le gouvernement israélien pourrait bien être l'instigateur de cette tragédie. James Angleton, cofondateur de la CIA et figure clé des services secrets américains, n’a pas seulement joué un rôle d'agent de liaison avec le Mossad, mais a délibérément obstrué les enquêtes du FBI, empêchant la révélation du rôle actif de l’État israélien dans la machination. 

Le Mossad et la CIA, ces deux géants des services de renseignement, ont une longue histoire d'implication dans les événements mondiaux les plus sombres et les plus violents de l'ère moderne. Loin de se contenter de jouer des rôles périphériques dans des conflits étrangers, ces agences ont été identifiées comme les cerveaux derrière les exactions et agressions menées à travers le monde, de l’assassinat de leaders politiques à la manipulation de régimes étrangers. Un des exemples les plus frappants de cette collusion, récemment déclassifié par Trump,  est l’implication du Mossad et de la CIA dans l'assassinat de John F. Kennedy. 

Cet acte de dissimulation prouve que les manœuvres secrètes des services israéliens ont été systématiquement protégées par leurs alliés américains, renforçant l’idée que des intérêts communs entre la CIA et le Mossad ne se limitent pas seulement à la collecte d’informations, mais s’étendent à des actions beaucoup plus sombres visant à l'hégémonie tyrannique. Ces événements illustrent la façon dont les deux agences ont souvent conspiré ensemble pour manipuler des événements mondiaux, au profit de leurs objectifs géopolitiques, tout en plaçant des obstacles pour étouffer toute investigation qui pourrait pointer leur responsabilité dans les violences et conspirations à grande échelle.

Mais bien que l’impunité des puissants semble sans limite, des avocats audacieux ont décidé de briser ce cycle de silence et d’injustice en lançant la coalition mondiale Global 195. Leur objectif  est de poursuivre en justice les criminels de guerre israéliens et ceux suspectés d’avoir orchestré et participé aux atrocités commises lors du génocide israélien contre le peuple palestinien à Gaza. Le Centre International pour la Justice pour les Palestiniens (ICJP) porte cette initiative comme un phare de résistance, cherchant à traduire en justice non seulement les soldats, mais l'ensemble de la chaîne de commandement militaire et politique israélienne, en exploitant les mécanismes juridiques nationaux et internationaux. Alors que le massacre palestinien se poursuit sous le regard indifférent des grandes puissances et des multinationales, Tayab Ali, directeur de l'ICJP, souligne l’urgence de telles initiatives : "Global 195 n'est pas seulement un cri de justice, mais un besoin vital pour mettre fin à l'impunité que certains semblent trop heureux d’entretenir. La mémoire des crimes commis ne doit pas s’effacer, et ces poursuites sont le dernier rempart contre l’oubli et l’assentiment des puissants."

Il faut bien comprendre que pendant des siècles, les mythes bibliques ont été utilisés comme justification pour le colonialisme et les guerres expansionnistes au Moyen-Orient. Aujourd'hui, avec le génocide en cours des palestiniens, ces mêmes mythes sont devenus plus dangereux que jamais. La fusion du fondamentalisme chrétien, du sionisme et de l’impérialisme occidental a engendré un culte de la mort apocalyptique, qui recherche activement la guerre, le nettoyage ethnique et la destruction planétaire, tout cela sous couvert de pseudos prophéties religieuses.  Ce mélange idéologique, alimenté par des intérêts géopolitiques, constitue désormais une menace existentielle pour l’humanité par ceux-là même qui ne cessent d'évoquer le devoir de mémoire et la victimisation, tout en pratiquant des actes inhumains.

Le sionisme chrétien, qui est déjà en soi une hérésie, avec le soutien de la machine de guerre américaine, est au cœur de cette dynamique meurtrière. Aux États-Unis, des millions de chrétiens évangéliques incultes croient fermement que l’expansion de l'État d'Israël est une condition nécessaire à l’accomplissement des prophéties bibliques inventées par ces derniers. Leur soutien à Israël n’a rien à voir avec un souci d'authenticité pour les Juifs, mais avec l'idée que les Juifs doivent dominer la terre avant d’être convertis ou exterminés lors du retour d'un Messie à leur image. Messie jaloux, violent, sanguinaire et totalitaire, c'est à dire l'opposé du Christ. Ce courant idéologique mortifère, soutenu par des groupes comme l’AIPAC, propulse une politique étrangère américaine agressive qui envoie des milliards de dollars vers Israël, tout en laissant les infrastructures nationales américaines se détériorer. Cachés derrière leur "shoah", ils agissent en toute impunité aux yeux de tous avec une arrogance et un mépris inadmissible.

Il est essentiel, dans ce contexte, de mettre en perspective les pertes humaines colossales de la Seconde Guerre Mondiale pour comprendre la véritable échelle du génocide et de la souffrance. Si l'Holocauste, l'extermination systématique des Juifs par le régime nazi, est présenté comme le génocide le plus marquant de cette période avec ses 6 millions de victimes, sur lequel les lois françaises interdisent toutes formes de recherches ou de remise en cause historique, il convient de ne pas oublier les pertes humaines encore plus énormes subies par d'autres populations. Les Soviétiques en particulier, ont été les véritables victimes de cette guerre de destruction totale de l'Europe, menée par l'Allemagne nazie au cours de la Seconde Guerre Mondiale. En effet, ce sont environ 24 millions de Russes et autres citoyens de l'URSS, qui ont perdu la vie durant cette période. C'est à dire plus de 4 fois le nombre de juifs officiellement anéantis. Qu'il s'agisse de militaires ou de civils, ces individus ont été sacrifiés dans des conditions d'extrême brutalité par les nazis. 

Les souffrances et les pertes humaines de l'Union Soviétique sont aujourd'hui reléguées à l'arrière-plan du discours mondial sur la Seconde Guerre Mondiale, pourtant elles soulignent un autre aspect du génocide - celui de la volonté nazie d'éradiquer des peuples entiers pour des raisons idéologiques et raciales mais aussi pour s'accaparer les terres. A l'instar d'Israël de nos jours. Et les pertes humaines massives de l'URSS démontrent que, bien au-delà du cas spécifique des Juifs, de nombreuses autres populations ont payé un prix monstrueux dans cette guerre de totalitarisme, et méritent une reconnaissance et un respect au moins égaux dans le cadre des mémoires collectives de la folie à l'encontre de l'humanité.

La guerre d'anéantissement menée contre l'Union Soviétique par le Troisième Reich ne se contentait pas de détruire des forces militaires ; elle visait à exterminer toute une population, pas seulement juive mais aussi les tziganes, les homosexuels et les communistes, notamment par des massacres, des famines organisées et des déportations massives. Dans ce contexte, il est légitime de se demander qui a réellement été génocidé et a subi le plus la folie du nazisme ? Où encore, qui a financé tout cela, sachant que l'Allemagne dès 1933 était ruinée... ?

Ce fanatisme israélite, sous couvert religieux, s’étend également à des projets comme la construction d'un troisième Temple juif à Jérusalem. Le premier Temple de Jérusalem, construit par le Roi Salomon au Xe siècle avant J.-C., a été détruit par les armées babyloniennes de Nabuchodonosor II en 586 av. J.-C. Et le second Temple, reconstruit soixante-dix ans plus tard avec l'aide de Zorobabel, a été détruit par les légionnaires romains menés par Titus le 8 septembre 70 de notre ère, à la fin de la première guerre judéo-romaine. Or, de nos jours, les factions sionistes extrémistes à l'œuvre, soutenues par des politiciens israéliens et financées par des fondamentalistes chrétiens américains, militent aussi pour la destruction de la Mosquée Al-Aqsa afin d'ériger ce nouveau Temple à la gloire de leur folie, croyant fermement que cet acte précipitera la venue de ce Messie guerrier et déclenchera ainsi une guerre mondiale d'Armageddon. Attention, il ne s'agit pas là de groupes marginaux, mais bien d’une force militante implantée dans tous les esprits des israélites, qui préparent ouvertement le terrain pour une Apocalypse religieuse.

De plus, leur projet halluciné du "Grand Israël", fondé sur l’idée que les terres bibliques sont un droit divin, alimente un expansionnisme territorial. Israël, sous prétexte de conquérir des terres "promises" (comment et par qui ? on se le demande…) depuis l'époque biblique, mène un nettoyage ethnique systématique des palestiniens comme de leurs voisins régionaux, annexe des territoires en toute illégalité et mène des agressions militaires abjectes allant jusqu'à tuer des milliers de femmes et d'enfants. Or, cette vision mythologique mensongères de la propriété des terres est fondée sur des croyances religieuses dévoyées, des textes falsifiés et non sur des faits archéologiques vérifiables. Mais cela n’empêche pas les criminels de guerre de l’utiliser comme un prétexte légitime pour la violence, le vol et l’occupation de la région en toute impunité. 

En réalité, l’histoire est désormais prise en otage par ce culte de la mort et cette volonté suprématiste issu des textes du Talmud, qui comme la Torah, n'ont été écrits que par, pour et avec les juifs. Leur refus de reconnaître que la Bible est un mythe politique, et non un document historique, a permis à ces seigneurs de guerre de se nourrir de l'extrémisme religieux pour légitimer des pratiques violentes archaïques. L’archéologie, qui pourtant révèle les mensonges de ces prétentions historiques infondées, est ignorée, tandis que la politique talmudo-sioniste maintient ces mythes en vie. Et tant que le monde ne réalisera pas que ces mythes sont des instruments de pouvoir fabriqués de toutes pièces afin de justifier le sang versé, le nettoyage ethnique et la domination impériale, le cycle de violence ne cessera jamais de croître sur notre Terre.

Pendant des siècles de mensonges, les récits bibliques ont été traités comme des faits historiques, non parce qu'ils reposaient sur des preuves solides, mais parce qu'ils servaient des objectifs politiques à un groupe ethnique suprémaciste, avide et jaloux. Aujourd'hui, malgré les nombreuses fouilles archéologiques, les images satellites et l'analyse rigoureuse des historiens modernes, les prétendus événements bibliques majeurs se révèlent être soit inexistants, soit des fabrications grossières venues d'esprits psychopathiques.

Prenons par exemple, le soi-disant royaume "juif": il n'existe absolument aucune trace archéologique de ce prétendu grand royaume sous David et Salomon. Aucune forteresse imposante, aucun palais monumental, aucun vestige d’une grande civilisation n'a jamais été découvert. En réalité, ce qui ressort des fouilles, c'est un paysage dominé par des empires étrangers comme les Égyptiens, les Babyloniens, les Perses, les Grecs et les Romains, qui ont pourtant laissé des archives très détaillées de leur domination sur la région. Mais Israël, décrit comme un soi-disant "royaume puissant" dans leurs textes bibliques, n'est qu'une note de bas de page. Depuis toujours, cette idée de royaume unifié, vantée par les textes religieux écrits par les hébreux eux-mêmes, n’est qu’une autre invention politique fabriquée des siècles après les événements supposés. Les historiens et archéologues modernes ont découvert qu’au Xe siècle avant notre ère, Jérusalem n’était même pas une capitale, mais un simple village de colline. Et leur mur des lamentations n'est rien de plus qu'un mur d'enceinte d'une ancienne garnison romaine. Ainsi, force est de constater que ce mythe de domination sur une vaste région est aussi crédible que les légendes arthuriennes.

Quant à "l’Exode", ce récit phare de la Bible, il n'y a tout simplement aucune preuve de son existence. Ni documents égyptiens, ni artefacts, ni traces archéologiques ne confirment le moindre indice de l’asservissement des Israélites ou de l’évasion spectaculaire dans le désert. En fait, l’Égypte antique, qui possède des archives parmi les plus complètes de l’histoire, ne fait même pas mention d’un tel événement. Si un groupe aussi grand que celui décrit dans la Bible avait effectivement existé, il aurait laissé des traces tangibles, sauf qu'aucune de ces traces n'a été trouvée. L’absence totale de preuves matérielles montre clairement qu’il s’agit là aussi d’une pure invention. Le mythe de l’Exode a été créé pour justifier la conquête de Canaan. Ainsi, le récit du "retour" des Israélites n'est qu'une version primitive du mythe sioniste moderne, où l'invasion de la Palestine est présentée comme une sorte de revanche divine hallucinatoire, un droit ancestral imaginaire. Mais c’est une construction idéologique qui a servi de fondation pour la création d’un État colonial abjecte sur une terre déjà habitée. 

En fin de compte, ces "récits sacrés" sont très loin d’être des vérités historiques puisque ce ne sont que des mythes inventés, écrits par on ne sait qui et manipulés à outrance pour justifier de vils projets géopolitiques. Ils ne sont qu'une falsification grossière de l’histoire passée, mais qui continue pourtant d’être utilisée comme arme politique implacable pour légitimer toutes les injustices et atrocités contemporaines commises par ce gang organisé de sanguinaires caché sous des kippas d'apparats.

Et durant des siècles, l'identité juive a été façonnée davantage par des mythes religieux et des manœuvres politiques que par la réalité historique. D'ailleurs, le terme "juif", tel qu'il est compris aujourd'hui, n'existait même pas à l'époque biblique. Il n'y avait pas de peuple juif singulier et unifié occupant le Moyen-Orient. Les Hébreux historiques étaient un ensemble de tribus disséminées, des nomades souvent absorbées ou subordonnées par des empires toujours plus puissants tels que les Egyptiens, Babyloniens, Perses, Grecs et Romains. Ils n'étaient même pas une nation indépendante, mais plutôt une périphérie subie, des clans ou des tribus sans véritable continuité ou pouvoir souverain.

La vérité historique, débarrassée des mythes et de la propagande, est donc accablante à l'encontre de ces individus. Contrairement à l’histoire officielle, les Juifs Ashkénazes ne sont pas des descendants directs des anciens Hébreux, mais un peuple européen dont les origines se situent en Europe de l’Est médiévale, notamment au sein du Khaganat des Khazars. L’idée du "retour" des Juifs en Palestine ne repose donc sur aucune base historique réelle, mais bien sur un projet politique tyrannique monté de toutes pièces, visant à établir un État colonial en Terre Sainte. Et surtout sur un lieu stratégiquement unique au carrefour du monde.

En réalité, les véritables descendants des Hébreux bibliques sont les Palestiniens, qui ont conservé un lien direct avec leur terre, y vivant pendant des millénaires tout en absorbant les influences culturelles et religieuses successives. Contrairement à ce que l'on veut nous faire croire, le sionisme ne visait pas à assurer la survie du peuple juif, mais à résoudre la question du "problème juif" européen en l'exportant au Moyen-Orient. Or ce "problème" vient de l'incapacité de ces gens à vouloir se fondre dans les nations depuis toujours. En agissant ainsi, l’Europe a non seulement cherché à se débarrasser d’une population indésirable, mais a également créé un avant-poste colonial stratégique à ses frontières, où le pétrole coule à flots. 

Un autre aspect trop souvent ignoré est que les premiers chrétiens étaient pour la plupart des Hébreux. Le christianisme ne s'est pas répandu initialement parmi des "païens", mais bien comme une secte ayant fait sécession au sein des communautés hébraïques, elles-mêmes déjà en déclin et largement décriées pour leurs sacrifices abominables d'animaux servant à monnayer les services des rabbins. Ainsi, l’image mythologique des chrétiens persécutés par les Romains dans les arènes, et notamment les chrétiens martyrs, est en réalité celle des Hébreux convertis au christianisme, persécutés pour avoir défié les attentes religieuses et l'homogénéité de l'Empire romain. 

Ce sont ces Hébreux, convertis au christianisme, qui ont été boucs émissaires sous Néron, bien avant que le christianisme ne soit perçu comme une religion séparée. En Judée, les premières communautés chrétiennes se sont développées au sein même de la population hébraïque. En réalité, les premiers chrétiens n’étaient pas des "autres", mais des Hébreux cherchant à réinterpréter leur propre foi avec plus de vérité et de bon sens. Le Christ était par ailleurs galiléen et non judéen, et parlait araméen et non hébreux (sauf dans leur temple, pour signifier et enseigner la vérité aux rabbins).

L'idée d'une "guerre des Romains contre les Juifs" est donc une grave distorsion historique. En réalité, les Romains persécutaient ces Hébreux devenus chrétiens, tout en maintenant leur contrôle sur l'ensemble de la population hébraïque archaïque. Or, le processus organique qui a vu une partie des Hébreux se convertir au christianisme a été totalement ignoré volontairement par l’historiographie traditionnelle, qui a choisi de présenter les Juifs et les Chrétiens comme deux groupes distincts, bien plus tard, ce qui ne correspondait absolument pas à la réalité de l'époque. Comme il n'y a jamais eu de judéo-chrétiens d'aucune sorte, au mieux ils étaient hébréo-chrétiens.

Au moment de l'émergence de l'islam au VIIe siècle, la plupart de la population du Levant, y compris les descendants des Hébreux antiques, étaient déjà largement chrétiens. Au fur et à mesure que l'islam se développait, nombre de ces chrétiens, descendants des Hébreux bibliques, se sont aussi convertis à l’islam. Ainsi, les Palestiniens actuels sont en réalité les véritables descendants les plus directs de ce peuple antique, bien plus que les populations européennes (parlant le yiddish et non l'hébreux) qui sont ensuite venues s'installer en Palestine. Ainsi, le prétendue "retour des Juifs" n’était, en réalité, qu'une invasion d'Européens modernes chassés du vieux continent et venus en terre palestinienne, sans aucun lien direct avec les Hébreux anciens.

Quant à l'idée d'un "exil juif" historique, elle n'est fondée sur aucune preuve concrète. Les migrations, intégrations et assimilations étaient courantes dans cette région, et les Hébreux n'étaient pas un peuple "exilé" mais souvent absorbés par les cultures dominantes, qu'elles soient égyptiennes, babyloniennes ou plus tard grecques et romaines. Le récit du peuple "juif" en attente d'une restauration dans une patrie ancestrale est donc un mythe idéologique, entièrement fabriqué par eux-mêmes, pour justifier des revendications politiques modernes basées sur le mensonge et le vol.

En réalité, l’identité juive moderne n’a pas la moindre origine dans l’ancien Israël mais bien dans les peuples d’Europe orientale, notamment au Khaganat khazar. Ce peuple, qui vivait dans les steppes eurasiatiques entre le VIIe et le Xe siècle, aurait adopté le judaïsme au niveau politique. Or, cette adoption n’a jamais eu de dimension ethnique. Les descendants de ces Khazars ont migré vers l'ouest après l’effondrement de leur empire, se mêlant aux Slaves et aux autres populations locales, mais toujours désignés sous des noms comme "Khazariens". D'ailleurs, ce n’est qu’au XIXe siècle, dans le contexte de l’émergence du nationalisme européen, que le terme "juif" a été appliqué de manière globale à des communautés religieuses et plus ou moins ethniques disparates, marquant la naissance de l'identité juive moderne, comme une construction politique, un mensonge éhonté bien plus qu’une réalité historique.

Ce n'est qu'à la fin du XIXe siècle, avec l'essor du sionisme, que la notion de "peuple juif" a été propulsée en un concept unifié, bien que les populations concernées n’aient ni l’histoire ni l’ethnie cohérente que l'on leur prête aujourd'hui. Ainsi, les populations modernes désignées comme "juives" sont en réalité en grande partie issues de Khazars, de Slaves et de diverses tribus eurasiennes, tandis que les véritables héritiers des Hébreux antiques, les Palestiniens, continuent d'être réduits au silence, leurs droits bafoués au nom de ces mythes fabriqués et colportés.

L’État israélien moderne repose donc clairement sur un effacement historique systématique et un nettoyage ethnique manifeste. Depuis 1948, les Palestiniens ont été déplacés de leurs terres au nom d’un droit ancestral fallacieux et totalement fabriqué, et le système d’apartheid qui persiste aujourd’hui montre à quel point l’entreprise sioniste repose sur cette ignoble manipulation de l’histoire et la répression des autochtones. Mais cette falsification a des conséquences catastrophiques puisqu'elle justifie des décennies d’occupation militaire, de violences extrêmes et de génocide contre les Palestiniens, tout en alimentant une droite extrémiste religieuse en Israël et aux États-Unis. L’idée d’un droit ancestral sur la terre de Palestine est surtout utilisée pour financer et armer un État colonial et ethnique, dont la politique se fonde sur la terreur et le massacre des habitants originels. Et servant à contrôler militairement cette région pétrolifère.

Il est devenu crucial de briser le cycle de mensonges et d'acceptation complice qui alimente cette guerre perpétuelle, si l'on veut un jour revenir à un monde pacifié. Le sionisme est un projet colonial européen, et surement pas un mouvement de libération, où Israël n’est pas la restauration d’une nation ancienne, mais bien le déplacement d’une nation autochtone. Les Palestiniens ne sont ni des envahisseurs étrangers, ni des intrus car ils sont les véritables héritiers de cette terre. Et la réécriture de l’histoire n’appartient pas à ceux qui cherchent à masquer la vérité, mais à ceux qui ont vécu cette histoire. Tant que cette vérité demeurera enfouie sous une propagande destructrice, le cycle de violence et de souffrance continuera. Alors, combien de temps encore le monde tolérera-t-il ces mensonges, au détriment des innocents ?

Phil BROQ.

Blog de l'éveillé






Commentaires

  1. Excellent billet, comme d'habitude. Je crains que malheureusement nous nous dirigeons vers un conflit USA Israël contre l'Iran , ce qui, nous amènera, inéluctablement vers ce que ces sionistes fous furieux désirent : l'apocalypse !

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