MACRON LE FOSSOYEUR DU BON SENS EN NON SENS !
La France, jadis fière et majestueuse, n'est aujourd'hui plus qu'un cadavre ambulant, défiguré par des décennies de trahisons et d'incompétence. Sous la houlette de Macron, ce despote en herbe, l'agonie nationale s'est intensifiée, transformant notre belle nation en un champ de ruines. La "révolution" qu’il a promise n’était qu’un funeste spectacle, une parodie de changement où chaque mesure, chaque réforme, n'a fait qu'enterrer un peu plus l’âme de la France. Macron, ce prétendu Mozart de la finance, a au contraire joué une symphonie funéraire, balayant notre souveraineté économique pour plier la nation aux caprices des grandes banques. Ce n'est plus un pays que nous avons, mais un terrain vague où s'entassent les débris d'une grandeur passée et à jamais révolue. Et tandis que le peuple se laisse anesthésier sans broncher, ses bourreaux dansent et festoient sur les ruines, impassibles et sourds aux appels désespérés. Le pays se meurt lentement, rongée par les trahisons, les mensonges et la corruption d'un gouvernement qui semble se nourrir de sa propre défaite.
La Fille ainée de l'église, sous la houlette du traître Macron, n’est plus qu’un cadavre ambulant, un cimetière à ciel ouvert où les corps de notre grandeur, de notre culture et de nos valeurs se décomposent aussi lentement que surement. Ce pays, jadis respecté dans le monde entier, n’est plus désormais qu’un complet champ de ruines où les derniers vestiges de la grandeur française sont recouverts par des tombes de mensonges et de trahisons.
Ce jeune psychopathe, incapable prétentieux, se rêvait en Mozart de la finance, génie des marchés et maître architecte de l’économie moderne. Mais au lieu d'avoir l’ingéniosité d’un virtuose, il n’a fait qu’interpréter un long requiem pour enterrer la France. Son grand orchestre économique, censé jouer les symphonies de la prospérité, n’a produit qu’une mélodie funeste, une suite ininterrompue de fausses notes qui résonnent toutes comme une cloche funéraire, un long glas lancinant, annonçant la fin d'une époque comme d'un peuple. Les "réformes" qu’il a imposées avec le zèle d’un chef d'orchestre fou et trop sûr de lui, accompagné par des gammes de violences policières, n’étaient rien d'autre que des coups de baguette en l'air, ou plutôt de tonfas, rythmés par l’austérité, la régression sociale et le dépouillement total de la population, en alignement sur les intérêts des plus puissants qui ont composé cette partition funeste. Son projet économique, loin d’être un chef-d’œuvre, n’a été qu’un sinistre ballet de privatisations et de libéralisations, un chant du cygne français, où les individus étaient des figurants obligés de danser au rythme macabre des coupures de services publics et des baisses de protections sociales. Le tout accompagné d'une insécurité aussi croissante que l'invasion d'immigrés haineux déversés par une floppée d'ONG mafieuses.
Plutôt qu’un libérateur de l’économie, il a livré
la France dans les bras de la finance internationale en kippas d'apparat, la réduisant à une simple
marionnette sous contrôle des grandes banques talmudo-sionistes. À chaque mesure, à
chaque décision, c'est le destin de notre pays qui s’éteignait un peu plus,
comme un requiem qui s'égrène vers l'abîme de notre destinée dans l’indifférence générale. Le seul héritage de
ce "Mozart" est désormais un vaste cimetière d'emplois et
d’industries détruites, de vies précaires et de rêves écrasés. Une terre nourrie du sang des innocents injectés et polluée de chimie mortifère.
Nous étions pourtant, il n'y a pas si longtemps, un modèle économique enviable, une nation prospère et révolutionnaire, la 5ème puissance mondiale en termes de PIB. Mais ça, c’était avant ! Avant que Macron, ce fils de la haute finance, ce neveu bâtard et petit protégé de Rothschild, ne vole les rênes du pouvoir, propulsé par ses parrains du CAC40 et des grandes institutions bancaires, prêts à tout pour démanteler l'État social et faire toujours plus de profit sur la misère qu’ils génèrent.
Et voici que nous en sommes aujourd’hui à la 27ème place mondiale ! Oui, la 27ème place en termes de PIB… En matière de richesse, la France a sombré dans le gouffre sans aucune retenue, pendant que tous les autres, moins orgueilleux, moins corrompus, moins avides et surtout meilleurs gestionnaires, nous dépassent avec des modèles économiques plus simples, mais aussi bien plus humains. Et tout cela, bien sûr, sans mentionner les bénéfices juteux générés par les trafics de drogues, de prostitutions et de pédocriminalité, dont les profits se glissent pourtant dans les interstices d'une économie en totale déliquescence.
Mais rassurez-vous, tous les paradis fiscaux regorgent de rétro commissions issues du racket de nos impôts, des dividendes de la corruption de nos Zélites et de la vente de tous nos fleurons. Mais qui parle de cela ? Puisque tout va bien, paraît-il, d’après l’ancien ministre de l’économie Bruno Le Maire, qui s’est enfui en suisse récupérer ses dividendes de la traitrise, avant de se cacher dorénavant dans une entreprise néerlandaise Rothschild nommée ASML et fabricant des semi-conducteurs. Et puis, tant qu'on peut vendre du rêve au petit peuple avachi et que le champagne coule à flots pour les Zélites, tout va pour le mieux dans ce pays qui fait mourir tout ce qui y traine.
Même en termes de bonheur, la France plonge de plus en plus bas. Nous étions, il y a peu encore là aussi dans le top
20 des nations les plus heureuses du monde. Aujourd’hui, nous avons chuté à la
33ème place, derrière des pays comme le Costa Rica, le Nigéria ou même des régions en
développement où la solidarité humaine semble avoir plus de valeur que l’argent
et la division. Mais qu’importe, on préfère nous abreuver de statistiques
creuses, façonnées à loisir et de sourires forcés à l’Élysée, là où la fête continue pendant que le
peuple se noie dans la grisaille du quotidien.
Les impôts, eux, ne connaissent plus de limites. La France, juste après la Corée du Nord, détient désormais le triste record du pays avec le taux de fiscalité le plus élevé au monde, avec 46% de cotisations obligatoire et 20% de taxe sur une valeur ajoutée qui est inexistante. Quelle peut-être la justification de l'imposition, dans un pays qui n'apporte plus rien à ses citoyens sinon la misère et la peur, et surement pas la sécurité.
Cette pression est devenue insupportable et tue lentement nos entreprises, écrase les travailleurs et écorche jusqu'au sang les classes moyennes. Combien d’entrepreneurs, de petits commerçants, de paysans ont dû fermer leurs portes ou partir à l’étranger sous ce fardeau insupportable ? La réponse est simple, puisque c’est tous ! Tout ça, bien sûr, pour financer des dépenses publiques abusives qui n’ont plus aucune logique de service, à commencer par une administration pléthorique où l'incompétence est érigée en vertu, et où toute une nuée de truands en cols blancs rémunérés pour leurs trahisons et de petits marquis vivants en parasites, gangrènent toute forme d’économie.
La dette ? C’est un gouffre factice mais sans
fond, comme une malédiction qui grandit jour après jour. 3400 milliards d'euros de dettes dont l'essentiel des intérêts vont dans les poches des banquiers tels que Rothschild. Un
chiffre astronomique mais qui finalement n’impressionne plus personne, car à force d’en parler,
on a fini par oublier ce que cela représente. Mais si l'on prend un instant
pour comprendre les conséquences de cette dette, il est clair qu’elle est en
train d’asphyxier tout espoir ou possibilité de relance économique. Qui va la payer, cette
dette ? Pas Macron, ni les oligarques qui profitent de ses réformes. Non, c’est
vous, moi, nous les Français et leurs enfants, les petites mains de la nation, qui allons devoir supporter
ce fardeau à vie. L’avenir est déjà hypothéqué, et ça, on le sait déjà. Comme pour la pseudo guerre en Ukraine où ce sont nos sous et nos enfants qui iront combler les fossés ukrainiens, mais surement pas ceux de ces Zélites méphitiques.
Les médias, eux, se sont mués en instruments de propagande, complices silencieux et subventionnés de ce gouvernement qui censure et manipule l'information à sa guise. Ce pays, autrefois pays des Lumières et des Libertés fondamentales, est aujourd’hui l’un des champions mondiaux de la censure la plus abjecte. La loi sur la "lutte contre la haine en ligne" est une formidable farce, un prétexte pour étouffer la dissidence et bâillonner ceux qui osent défier la parole officielle ; à l'image de la loi Gayssot qui empêche l'émergence de la vérité historique et de la complicité crasse d'un peuple élu par lui-même à la tête du mal mondial.
Nos Zélites se sont
protégées par un écran de fumée, pendant que les voix du peuple, toujours plus
exaspérées, sont muselées. Et cette censure ne se limite pas aux discours
politiques ou sanitaires. Non, elle englobe toute forme de liberté d’expression, et plus
particulièrement sur les réseaux sociaux, où les demandes françaises de retrait de
contenus ont explosé (90% des demandes mondiales de suppression sur Tik-Tok ou Facebook viennent de l'Elysée !). Car pour cette bande organisée de gangsters, utilisant des méthodes staliniennes drastiques, il est bien plus facile de faire taire un opposant en ligne
que de débattre sur les véritables problèmes du pays.
La corruption ? Elle a atteint
des proportions inimaginables en moins de dix ans. Le règne des Macron ( mari et mari) à la solde des puissances
financières et des oligarques, soumis aux chantages de tous bords, et même de l'Algérie ou de l'Afrique, est un festin pour tous les prédateurs. La justice,
quant à elle, aussi inutile que vicieuse, ne fait que regarder en silence, dans une inertie criminelle complice. Les
affaires se multiplient au grand jour allant des ministres accusés de conflits d'intérêts aux politiciens jugés coupables de malversations, des orgies pédocriminelles aux détournements massifs de biens publics, mais toujours protégés par des
lois qui ne semblent faites que pour eux, pendant que le peuple croule sous des procès verbaux abusifs venant des forces du désordre organisé que sont devenus les "gens d'armes" collabos. Et que dire de cette pédocriminalité issue de ces esprits dégénérés en mal de sensations et de drogues dures partagées en soirées "Chemsex", où, dans une indifférence totale, ces réseaux sont non seulement tolérés, mais surtout protégés par une justice défaillante, et promus à travers des canaux plus ou
moins officiels, comme le réseau Free du proxénètes milliardaire Xavier Niel ? Cette situation
nauséabonde est un révélateur parfait de l’état de putréfaction de ce système assassin où la
France a été conquise par le cynisme et la folie des oisifs.
Ce qui reste de l’économie
française, arrachée à l’impôt des petites gens, n’est pas seulement gaspillé,
il est désormais englouti dans un racket stupéfiant. Sous prétexte de soutenir
un "effort de guerre" contre la guerre (?), Macron a décidé de sacrifier
une part considérable de notre argent pour alimenter une machine de guerre qui,
de toute évidence, ne défend plus rien d’autre que les intérêts des oligarques.
L’Ukraine, ce pays corrompu jusqu’aux os, est devenu une sorte de puits sans
fond pour les fonds publics, où l'argent français s’évapore dans des projets
sans transparence, mais dont on retrouve les traces dans les paradis fiscaux gérés par Vanguard et BlackRock. Personne ne sait vraiment à quoi servent ces milliards
injectés dans ce conflit qui, de toute évidence, n'est plus une guerre pour la
liberté mais un grand jeu géopolitique où se mêlent intérêts financiers et
manipulations internationales. On y fait surtout la guerre pour empêcher la paix !
Pendant ce temps, l'acteur minable et président ukrainien spécialiste du piano à queue, Volodymyr Zelensky, continue de se pavaner à travers le monde, accumulant les villas de luxe - plus de 17, si l'on en croit les rumeurs, c'est à dire autant que ses voitures luxueuses - et un casino privé de plus de 2.5 milliards, quand ce ne sont pas des investissements dans des entreprises à son nom ou celui de sa femme… Et ce n’est pas tout, puisque selon certaines sources, la Banque Privée Milleis en France, pour laquelle Rothschild aurait facilitée la transaction, aurait même permis à Zelensky d'acquérir des parts dans de nombreuses entreprises françaises. Voilà l’absurdité au grand jour où l’argent que l’on extorque aux Français, pour prétendument défendre la liberté, est en réalité détourné pour enrichir encore davantage ceux qui sont déjà gavés.
Or, dans ce grand théâtre de l’absurde, les petites gens, ceux qui ne sont rien, les analphabètes, les réfractaires, les sans-dents, eux continuent de se sacrifier sans broncher, pour un spectacle où leur souffrance et leur pauvreté ne sont que des accessoires. Où l'argent magique coule à flot et où un pognon de dingue est dépensé sans compter, alors que les prix ne cessent de monter et les taxes de les écraser.
Et malgré ce déclin abyssal, ce constat édifiant, que fait le peuple français ? Rien. Absolument rien. Il continue de se laisser mener à l’abattoir, docile, comme un troupeau d’agneaux attendant l’inévitable, la gorge tranchée par ceux qui se nourrissent de sa misère et de sa bêtise de lâche. La peur, l’ignorance et une acceptation passive se sont installées dans les esprits comme des virus, insidieux et puissants, paralysant toute tentative de révolte, voire même d'idée de révolte… Ces Français, qui autrefois défendaient leur liberté avec des lances et des barricades, se contentent aujourd'hui de regarder la catastrophe à la télévision, les bras croisés, se disant qu'après tout, "il faut bien faire avec". Cette résignation totale, ce déni de panache, cet avachissement volontaire sont les plus grandes victoires des Zélites.
Ces dernières ont réussi à éradiquer le moindre espoir de soulèvement, à transformer la colère en une litanie de plaintes sans écho. Les révoltes qui ont jadis secoué notre histoire, qui ont fait trembler des rois et des empereurs, sont devenues des murmures dans le vent, étouffées par le bruit du silence. La dernière grande tentative de résistance, celle des Gilets Jaunes, a été étouffée dans l’œuf par une répression d’une brutalité si inouïe, que personne n'ose seulement en parler. Les forces de l’ordre, traîtres parmi les traîtres, avec leurs matraques et leurs gaz lacrymogènes, ont fait taire les voix du peuple, les réduisant au silence avec une efficacité déconcertante.
Et pendant ce temps, le
gouvernement, tranquillement installé dans le confort douillet de l’Élysée, a
navigué sur cette mer calme d’indifférence, si serein et arrogant dans son mépris du peuple, qu’il n’a même pas eu la décence de se cacher. Les derniers Français, au lieu de se
révolter, continuent d’accepter, de baisser la tête, espérant peut-être que
tout cela passera. Mais la réalité est là, implacable puisqu'ils sont devenus les
spectateurs consentants de leur propre mort sociale et économique, un peu comme
si la souffrance était devenue une sorte de routine, comme une croûte purulente que l'on refuse de soigner et dont on attend la gangrène arriver.
Les Gilets Jaunes, les
manifestations, les grèves ? Un souvenir, bien vite enterré sous le poids d’une
société anesthésiée par la propagande, la peur et la fatigue morale. Et pendant ce
temps, les Macron, les ministres et tous leurs sbires se frottent les mains et se remplissent les poches, bien installés dans ce confort qu'ont les puissants grâce à leurs milices, en attendant la prochaine vague
de silence.
La France est morte, et son corps est là, exsangue, laissé à l’abandon, tandis que les coups de boutoir de cette équipe de bras cassés continuent d’en défigurer les derniers contours. Macron, ce petit Napoléon des temps modernes, ce conquérant des bacs à sables, se rêve en réformateur, mais il n’est qu’un fossoyeur parmi tant d’autres présidents traîtres.
Bien loin d'avoir redressé le pays, il l’a conduit
au bord d'un précipice fatal, où tout ce qui restait d’espoir et de dignité nationale a
été englouti dans l’abîme de l’indifférence. Chaque décision, chaque mouvement,
chaque discours ne sont que des coups de pelle supplémentaires, des coups de
massue donnés sur les fondations d’une nation qui, petit à petit, se désintègre
sous la poigne de cet incompétent autoproclamé sauveur. Macron n’a rien fait d'autre que détruire tout ce qui était à sa portée. Il a brisé, démantelé et souillé ce qui faisait la force de la
France. Comme un enfant mal élevé casse ses jouets pour ne pas être obliger de les prêter.
Et qui sont ses complices dans cette grande entreprise de décomposition ? Des "technocrates" en costume-cravate, prêts à obéir à la moindre directive des grandes banques talmudo-sionistes et des multinationales mondialistes, des collabos économiques qui n’ont pour seul objectif que de vider le pays de sa substance. Leurs réformes n’ont été que des attaques sournoises contre les plus vulnérables avec la destruction de l’hôpital public, la réduction des services sociaux, l’asservissement à une économie mondialisée qui profite aux plus riches tout en écrasant ceux qui restent.
Comme à l'époque des grandes guerres où ils envoyaient mourir les forces vives dans les tranchées avec derrière tout cela, un même objectif clair visant à l’effondrement total de la nation. Un pays qui n’a plus d’indépendance, plus de solidarité, plus de justice, plus de jeunesse, plus d'éducation… Un pays où l’espoir a été tué avant même d’avoir eu une chance de naître.
La nation, dorénavant exsangue et brisée, est maintenant condamnée à errer dans un vide insondable, tandis que ces fossoyeurs de l’Histoire se prélassent dans leur opulence. Et que reste-t-il au final de ces dix ans de violence? Un corps sans vie, un pays mourant, dont la fin est inéluctable, mais dont l’agonie pourrait encore pourtant durer des années.
La France, autrefois phare du monde, est désormais un cimetière abandonné, livré à la cruauté de ceux qui se sont nourris de sa chute.
Phil BROQ.
Une analyse fine de l actualité ...on ne sait pas tout et on a pas tout vu.: l avenir risque d être bien sombre.
RépondreSupprimerL'avenir sera à la hauteur de nos luttes...
Supprimer