L'ODIEUSE VERITE SUR ISRAEL... SUITE

L’histoire d’Israël est marquée par des guerres successives qui ont non seulement façonné son territoire, mais ont aussi joué un rôle crucial dans la consolidation de sa domination sur la région. Chaque guerre, chaque conflit a été un levier pour ces truands de la pensée et de l'histoire promouvant Israël afin d’étendre leur influence et d’imposer une vision géopolitique qui a façonné la région. Voici une démonstration détaillée de la façon dont chaque guerre a permis à ces colonies sanguinaires d’implanter leur domination, en commençant par la déclaration du Balfour en 1917, suivie par la colonisation après 1945, et les guerres successives.

En 1917, pendant la Première Guerre mondiale, la Grande-Bretagne émet la déclaration de Balfour, un document par lequel elle annonce son soutien à l’établissement d’un "foyer national juif" en Palestine, alors sous contrôle ottoman. Cette promesse de la part des Britanniques, en échange du soutien de la communauté juive à leurs efforts de guerre, marque un tournant décisif dans l’histoire de la région. Ce soutien britannique ne se fonde pas sur un désir de justice ou d’autodétermination des peuples, mais plutôt sur des considérations stratégiques visant à influencer l’issue de la guerre et récupérer l'accès aux champs pétroliers. Le traité de Balfour - Rothschild ouvre la voie à une vague d’immigration juive en Palestine, consolidant les bases de ce qui allait devenir un futur État israélien.

La promesse de Balfour ne tient pas compte de la population arabe palestinienne présente sur le territoire depuis des siècles, ce qui crée les premières tensions entre Juifs et Arabes, tensions qui seront exacerbées au fil des décennies. En soutenant la colonisation juive, la Grande-Bretagne utilise la folie des colons et favorise la création d'une structure qui devient progressivement un instrument de domination pour les intérêts sionistes.

La guerre de 1948, ou la Nakba ("catastrophe" en arabe), est un tournant décisif pour les sionistes. À la fin du mandat britannique et après l’adoption par l’ONU du plan de partage de la Palestine, qui visait à diviser la région entre un État juif et un État arabe, la communauté juive déclare unilatéralement la création de "l’État d’Israël". En réponse, les pays arabes voisins lancent logiquement une offensive militaire contre cette colonisation.

Cependant, cette guerre est utilisée par Israël comme un levier pour établir sa domination sur un territoire bien plus vaste que celui attribué par l'ONU. En fin de compte, Israël armé par les anglo-saxons et les américains, occupe non seulement les zones prévues pour l’État juif selon le plan de partage, mais aussi une grande partie du territoire qui devait revenir aux Arabes palestiniens. Dès lors, le nombre de réfugiés palestiniens augmente considérablement, et les frontières des colons se dessinent de manière beaucoup plus expansive. Cette guerre de 1948 marque le début de la politique de "réalisation sur le terrain" de la domination israélienne sur la Palestine.

En 1956, la guerre de Suez, également connue sous le nom de crise de Suez, voit Israël, soutenu par la France et le Royaume-Uni, attaquer l’Égypte de Nasser après la nationalisation du canal de Suez. Centre névralgique du commerce mondial. Bien que ce conflit ait été principalement motivé par des considérations géopolitiques, il a permis aux israélites de renforcer leur position dans la région. Bien que la guerre ne modifie pas directement les frontières israéliennes, elle montre la détermination à utiliser systématiquement la force militaire pour préserver des intérêts stratégiques, notamment en matière de sécurité et de contrôle des voies navigables.

La guerre de Suez contribue également à l’affirmation de la domination israélienne sur les territoires occupés en 1948, et à la consolidation de l’influence israélienne dans le monde arabe. Même si Israël a dû se retirer sous la pression internationale, la guerre financée par la City de Londres et Rothschild, a renforcé l’image d'Israël comme une puissance militaire capable de défendre ses intérêts, et a mené à une coopération accrue avec ses alliés occidentaux.

La guerre de 1967 est sans doute l’un des moments les plus significatifs dans l’histoire de la domination israélienne. En six jours, Israël inflige une défaite décisive aux forces arabes, occupant la Cisjordanie, Gaza, Jérusalem-Est, le Golan syrien et le Sinaï égyptien. Cette guerre leur permet de s’emparer de vastes territoires qui étaient auparavant sous contrôle arabe, et marque le début d’une occupation prolongée des terres palestiniennes, qui dure encore aujourd’hui et va bien au-delà.

La guerre de 1967 n'est pas seulement une victoire militaire, mais aussi un moment clé dans la réécriture de la carte du Moyen-Orient par les anglo-saxons. Israël, après avoir conquis ces territoires, a pu y implanter encore plus de colonies illégales et affirmer son contrôle militaire. Jérusalem-Est est annexée, et la présence militaire est étendue à l’ensemble de la Cisjordanie et de Gaza. Cette guerre est un jalon fondamental de la domination israélienne, consolidant son emprise sur des terres stratégiques et renforçant l’idéologie sioniste de "grand Israël".

La guerre du Kippour, en 1973, bien qu’ayant abouti à une contre-offensive victorieuse des forces israéliennes après une surprise initiale, n’entraîne pas de changements territoriaux majeurs. Cependant, elle marque un tournant dans la perception de la domination israélienne. Bien que les pays arabes n’aient pas pu reconquérir les territoires perdus en 1967, cette guerre a mis en évidence la vulnérabilité d’Israël et a conduit à un changement de stratégie de la part de l’État juif. Plutôt que de chercher une guerre totale pour agrandir son territoire, Israël a alors opté pour des négociations, donnant lieu à la paix avec l’Égypte (traité de Camp David en 1978) et un retrait partiel du Sinaï.

Cependant, la guerre du Kippour n’a pas mis fin à la domination israélienne sur les territoires palestiniens. Au contraire, elle a permis à Israël de consolider son occupation, tout en poursuivant son processus de colonisation dans la région, avec la construction de colonies en Cisjordanie et à Jérusalem-Est.

Il est aussi frappant de constater que tous les premiers ministres israéliens, depuis la fondation de l'État en 1948, proviennent exclusivement d'Europe centrale, comme si cette région géographique avait une forme de monopole sur la direction politique d'Israël. Dès David Ben Gourion, l'un des pères fondateurs, issu de Pologne, jusqu'à Benjamin Netanyahu, Fils de l’historien nationaliste Bension Netanyahou (né Mileikowsky à Varsovie. Membre du sionisme révisionniste et secrétaire de Zeev Jabotinsky, principal inspirateur politique de l'organisation combattante clandestine sioniste, l'Irgoun) dont les racines plongent également dans la culture européenne, chaque figure de proue a été façonnée par l'histoire et les réalités d'une Europe marquée par les bouleversements du XXe siècle. Cette domination culturelle et historique d'un groupe particulier sur la scène politique israélienne interroge. Les origines européennes de ces dirigeants semblent indiquer non seulement une continuité des élites d'avant-guerre, mais aussi une volonté de maintenir un contrôle exclusif, reléguant souvent au second plan les voix issues des populations locales du Moyen-Orient, que ce soit les Juifs séfarades ou les Arabes. La question n’est pas seulement celle de la géopolitique, mais bien celle de la représentation, et de l’étrange héritage colonial européen qui continue de façonner Israël.

Chaque guerre menée par Israël a permis non seulement d’étendre son territoire, mais aussi de renforcer sa domination sur la région. Du traité de Balfour en 1917 à la guerre de 1967, ces conflits ont été utilisés comme des leviers stratégiques pour implanter un pouvoir israélien de plus en plus affirmé. Si les conflits ont parfois été motivés par des raisons géopolitiques ou de sécurité, ils ont surtout été une opportunité pour Israël d’étendre ses frontières et d’installer une présence permanente en Palestine et au-delà. La domination israélienne, à travers ces guerres successives, repose ainsi sur une série de conquêtes militaires et de processus de colonisation qui ont redéfini les contours géopolitiques du Moyen-Orient.

Le sionisme, par son projet d’occupation et de colonisation des terres palestiniennes, incarne bien plus qu’une simple entreprise d’appropriation territoriale puisque c’est une tentative systématique de réécrire l’histoire de la région. Derrière la façade d’un État démocratique et pacifique, Israël déploie une stratégie insidieuse, sanguinaire et destructrice, visant à effacer les cultures anciennes, à détruire les traces des religions et des civilisations qui ont précédé le judaïsme en Terre Sainte. C’est là un aspect fondamental de son projet de domination, où l’histoire est manipulée, et où la violence subie par les Palestiniens est systématiquement attribuée à leurs résistances face à l'occupation israélienne.

Prenons l'exemple des temples majestueux dédiés aux divinités anciennes comme Baal, Moloch et Astarté. Ces sites, qui témoignent de l'ancienne richesse culturelle de la région, ont été détruits non pas simplement à cause des guerres, mais dans le cadre d'une volonté délibérée d'effacer toute trace des civilisations qui ont précédé le judaïsme. Israël, en cherchant à effacer ces vestiges, ne se contente pas d'occuper des terres, mais cherche essentiellement à éradiquer toute mémoire, toute culture qui ne correspond pas à son récit national imaginaire. Il s'agit d'un processus systématique de purification historique, visant à effacer les cultes anciens et à imposer une vision monolithique de l’histoire, celle d’un seul peuple, d’un seul dieu, d’une seule légitimité sur cette terre.

Mais cette manipulation ne s’arrête pas à la destruction physique de monuments. Elle se déploie également sur la scène internationale, où, malgré son rôle de colonisateur et d’agresseur, Israël s’efforce de se présenter comme une victime assiégée, constamment menacée par des ennemis sans pitié. Cette image de victime permanente qui agresse tout le monde, maintenue et véhiculée par la propagande, est utilisée pour légitimer tous ses odieux crimes de guerre. Et malgré son occupation illégale, ses massacres à Gaza, et sa politique d’apartheid, ces individus sans foi ni loi, réussissent à faire passer leurs agressions pour une "légitime défense" contre un ennemi irréductible. La corrupution et le chantage envers les journalistes et médias qui ne leur appartiennent pas font le reste. Loin d’être la victime qu’il prétend être, Israël est surtout l’agresseur unique, cherchant à étouffer la résistance palestinienne et plus largement le monde arabe, par la violence et l’éradication culturelle.

Le Hamas, dans ce contexte, devient un bouc émissaire idéal. Quand, en octobre 2023, des attaques violentes ont frappé Israël, la réaction a été immédiate et univoque et Israël se présente alors comme un État de victime d'une agression gratuite, après plus de 70 ans d'exactions quotidiennes et il ignore délibérément le contexte avec des décennies de colonisation, de massacres, de spoliation des terres et de violations répétées des droits humains. Le gouvernement israélien ne parle jamais des souffrances qu’il inflige aux Palestiniens, des assassinats ciblés, des maisons démolies, des familles détruites, des villages rasés, des colonies implantées illégalement. En revanche, les attaques palestiniennes sont systématiquement mises en avant par les médias occidentaux pour nourrir cette image de victime sans défense.

La militante israélienne Nurit Peled, dont la fille a été tuée lors d’un attentat, ne mâche pas ses mots à l'encontre de Netanyahou : "Tu es le responsable. Tu obliges nos enfants à être assassins ou assassinés." Ses propos sont un appel à la vérité, à la reconnaissance de la responsabilité totale d'Israël dans l'escalade de la violence. C'est Israël qui force le peuple palestinien à résister, c’est Israël qui, par ses actions de colonisation et d'oppression, pousse à la radicalisation. Et pourtant, c’est Israël qui, dans le même souffle, se pose en victime, amplifiant ainsi le silence international complice qui l'entoure.

Cette inversion des rôles, où Israël réussit à se faire passer pour la victime et à se donner un statut de défenseur de la civilisation face à des hordes barbares, est l’une des plus grandes manipulations de l’histoire contemporaine. Israël, qui possède une armée des plus puissantes du monde et une technologie de pointe grâce au soutien des Etats-Unis, s’affiche comme le David face à un Goliath imaginaire. On peut légitimement se demander qui est vraiment David et qui est vraiment Goliath dans ce contexte. La réalité est que l’État israélien est un Goliath sans scrupules qui, tout en écrasant un peuple entier, parvient à manipuler l’opinion publique internationale et à masquer ses crimes sous un vernis de légitimité. Là encore le chantage et la corruption des élites grâce au réseau Epstein, n'y est pas étranger.

Derrière cette façade de victime éternelle, se cache donc un projet de domination totale où Israël ne se contente pas de maintenir une occupation militaire, mais efface les cultures, les croyances, et les traces d’histoires qui ne correspondent pas à son récit. Ce processus d’effacement s’étend à tous les aspects de la vie palestinienne où Israël élimine les villages, détruit les maisons, expulse les populations, mais aussi efface les monuments, les sites religieux, et les symboles des anciennes civilisations. 

Cette guerre contre la mémoire est bien plus qu’une stratégie militaire, elle est aussi un outil de domination culturelle visant à détruire toute traces menant à la vérité historique. En effaçant la diversité religieuse et historique, Israël cherche à établir son hégémonie absolue sur la terre, en effaçant tout ce qui peut témoigner d’une histoire antérieure à l’implantation juive et à légitimer la fable de leur ancêtres .

Le paradoxe qui se cache derrière la position d’Israël est que, tout en prétendant revendiquer l’héritage religieux et historique de la Terre Sainte, il efface systématiquement les cultures et religions qui en ont fait la richesse jusque là. En se réappropriant le terme de "Terre Sainte", tout en effaçant les traces des religions antérieures du christianisme, de l’islam, et surtout, des religions antiques qui ont façonné cette région bien avant l’ascension de ce judaïsme basé sur d'odieux mensonges. Cette politique de réécriture historique est en réalité une tentative d'imposer un récit unique d'un peuple juif comme seul héritier légitime de cette terre, effaçant toute la diversité religieuse et culturelle qui la préexistait.

La violence à Gaza, en Cisjordanie et à Jérusalem n’est pas un accident ou une réaction isolée, mais bien le produit d’une stratégie bien orchestrée visant à détruire tout ce qui ne correspond pas à l'idéologie sioniste, effacer la mémoire historique des peuples qui ont vécu dans cette région bien avant la fondation de l'État sanguinaire d'Israël. Derrière l'armement moderne et les murs de béton, ce pays de voleurs sanguinaires mène une guerre culturelle aussi brutale que ses offensives militaires, et le monde ferme les yeux, continuant de soutenir ce système d’apartheid et de domination.

On le constate, l’agression israélienne, loin d’être un acte de défense, est une tentative de subjuguer un peuple, voire le monde entier, de voler son histoire, et d’imposer un ordre mondial où les colons européens en se présentant comme des victimes innocentes, effacent systématiquement les preuves de l’existence d’autres peuples, d'autres religions, d’une autre histoire, d’un autre monde. C’est cette inversion des rôles, et l’effacement méthodique de toute autre légitimité sur cette terre, qui constitue la véritable tragédie de ce conflit.

En fin de compte, la réécriture historique par Israël n’est rien d’autre qu’une mascarade cynique, un stratagème de manipulation destiné à dissimuler la vérité. Derrière les discours larmoyants de victimisation et la propagande religieuse, l’État israélien perpétue une politique d’agression et de colonisation impitoyable, tout en effaçant les traces des civilisations antérieures pour imposer sa vision de la légitimité, et en écrasant les peuples et cultures qui ont façonné cette terre, bien avant son apparition sur la scène internationale.

Cette révision de l’histoire, biaisée et odieuse, démontre qu’Israël, loin d’être une victime innocente, incarne le rôle de l’agresseur et se drape dans un faux manteau de légitimité, dissimulant ses ambitions impérialistes derrière un masque de souffrance et de droit divin inventé. Ce mensonge délibéré est accompagné d'une machine de propagande qui ne cesse de justifier l'injustifiable.

Dans cette guerre de mémoires, c’est la vérité qui est sacrifiée sur l’autel des intérêts politiques et de la domination. Le but est de manipuler les consciences et de faire oublier les violences historiques infligées à ceux qui, aujourd'hui, sont privés de leurs terres et de leurs droits. En effaçant les réalités complexes et en réécrivant l’histoire à son avantage, Israël tente d’imposer une version unilatérale qui légitime ses actions tout en marginalisant la résistance et les souffrances des peuple qu'il agresse sans retenue.

Les politiques israéliennes ne sont donc ni innocentes ni moralement justifiables. Ce que certains appellent "l’histoire" est souvent une fabrication soigneusement élaborée pour protéger des intérêts géopolitiques, sans tenir compte de la réalité vécue par les peuples concernés. L'injustice perdure sous le masque d'une légitimité soi-disant divine, et cette réécriture de l’histoire est une partie intégrante de la stratégie d'occupation où la vérité historique est donc clairement antisioniste. Le véritable enjeu de cette guerre mémorielle, comme de ce billet, est de rétablir la vérité face à une manipulation systématique orchestrée depuis trop longtemps.

Phil BROQ.

Blog de l'éveillé

Commentaires

  1. Bravo pour cette deuxième partie qui confirme, malheureusement, les directives génocidaires et apocalyptiques de ces sionistes complètement hystériques, et qui vont mener l'humanité dans une direction que personne ne peut imaginer.

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    1. israel comme toutes choses disparaitra. Esperons que ce soit en compagnie des usa. Bon debarras!

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    2. Pas simplement soutenu par les USA, mais par tout l'occident. Il faudrait donc l'effrondement de tout l'occident pour qu'ISRA HELL s'écroule. JB

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    3. Merci pour vos commentaires judicieux et éclairés ! Bien à vous

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