UNE ODEUR DE FIN DE REGNE

À travers les turbulences géopolitiques actuelles, un sentiment irrépressible de fin de cycle des mondialistes semble gagner du terrain. Alors que les vieilles idéologies surannées de ces agents du chaos se débattent dans un tourbillon de contradictions et d’échecs, un monde multipolaire se dessine, marquant le déclin inéluctable d’un ordre ancien basé sur le mensonge et le vol. Les signes de cette transition sont si multiples et si visibles dans la déstabilisation des grands blocs internationaux, notamment en Europe où la guerre en Ukraine et l’isolement croissant de certains dirigeants révèlent un système aussi décadent qu'abjecte qui, jusque-là, semblait immuable. 

Pendant des années, les économistes alternatifs et les soi-disant "complotistes" ont mis en lumière une vérité, que beaucoup préfèrent ignorer, sur une cabale criminelle et parfaitement organisée ayant discrètement tissé les fils d’un programme de destruction systématique de la culture occidentale. Mais ce n’est pas un fantasme ni une simple supposition, c’est un fait. Des preuves abondent, et ces preuves nous révèlent une machination d’une ampleur inimaginable, où, comme des marionnettistes invisibles, nos propres impôts financent l’effondrement de nos valeurs et de notre héritage. Les institutions gouvernementales et les ONG, ces instruments soi-disant bienfaisants, servent de véhicules d’ingénierie sociale pour mener cette offensive insidieuse, sapant, un à un, les fondements mêmes de ce que nous croyions être notre civilisation.

Ce n’est pas parce que l’on met à jour cette vérité inconfortable que ces forces obscures vont simplement s’arrêter ou s’effondrer. Bien au contraire. Dans l’ombre, ces créatures acculées se battent avec une férocité sans égale, comme un animal blessé qui, dans son désespoir, essaie d’emporter tout le monde dans sa chute. Car leur mission n’est pas seulement de détruire, mais de vous entraîner dans l’abîme. La résistance face à ce monstre n’est pas sans conséquences, et ceux qui l’affrontent devront se préparer à une lutte implacable.

Mais parfois, la vérité qui éclate précède les heures les plus sombres. L’effondrement de toute une époque est rarement un événement soudain, il se construit lentement, mais sûrement. face à la perte de contrôle, ces puissances peuvent devenir encore plus dangereuses, prêtes à tout pour se maintenir en place. Alors, qu'attendre d'un monstre acculé qui, pour sa survie, est prêt à dévorer l’âme même de l’Occident ?

L’Europe, jadis moteur de l’intégration mondiale, aujourd’hui vacille sous l’effet des décisions irréfléchies et d’un alignement aveugle sur les États-Unis tenus par les démocrates. Dans ce contexte, les figures de proue des mondialistes comme Macron, autrefois symboles d’un leadership fort dans la presse, se retrouvent noyées dans des scandales et des défis internes intenables. La fin de règne des idéologies mortifères des mondialistes est plus qu’un concept, c’est un tournant historique qui est en marche et une réalité qu’il est désormais impossible d’ignorer.

Il est des moments où le vent du changement souffle si fort qu’il devient impossible, même pour les plus obtus, de ne pas en percevoir les frémissements. Dans le contexte géopolitique actuel, alors que les grandes puissances redéfinissent leur rôle sur la scène internationale, la fin des idéologies malthusiennes suicidaires des mondialistes semble de plus en plus proche. Les symptômes sont visibles dans la déliquescence totale et la panique lors des discours officiels, la montée en puissance de nouveaux acteurs et la rupture des anciens systèmes. 

À travers l’Ukraine, la crise européenne, et les tensions transatlantiques, l'Occident entre dans une phase de déclin, et ce pourrait être plus rapide et plus brutal qu’on ne l’imagine. Une véritable "odeur de fin de règne" s’élève des sphères politiques mondialistes, montrant que leurs idéologies décadentes sont en train de s’effondrer sous le poids de la réalité.

Depuis trois ans, la guerre en Ukraine est le théâtre d'une évolution stratégique majeure qui vise à l'effondrement de l'Union Européenne. Moscou impose son rythme depuis le début, tout en verrouillant les bellicistes de manière méthodique. Après trois années de conflit, la Russie n’a cessé de consolider son avantage militaire sur le terrain. La situation actuelle est marquée par l’affaiblissement total de l'Ukraine, une nation qui, sous pression, dépend totalement d’un soutien occidental de plus en plus incertain et limité pour sa survie. 

En réalité, l’armement occidental, jadis fourni à flots, se fait rare dans tous les pays. Les promesses de l'OTAN et de l'UE ne parviennent plus à masquer la réalité du terrain. Zélensky recule, ses lignes de défense sont usées, et son avenir semble de plus en plus incertain.

La Russie, de son côté, ne cherche pas à imposer une victoire rapide mais plutôt à jouer sur le long terme. Les avancées sur le terrain, bien que moins médiatisées, sont pourtant constantes et implacables. Moscou dicte les conditions du conflit, et la guerre s’oriente vers une issue que l’Occident ne peut plus véritablement influencer. Le mythe d'une victoire ukrainienne, largement alimenté par Washington et Bruxelles, se délite peu à peu, et la domination de Moscou sur les négociations ne fait plus de doute. 

Mais l’Occident continue de dérouler des discours qui sonnent de plus en plus faux. Et les élites européennes, incapables de voir la réalité en face, continuent de clamer des promesses intenables et de multiplier les réunions vides de sens. L’unité de façade s’effrite à mesure que l’évidence du déclin se précise.  Alors que Macron, dans son rôle imaginaire de principal interlocuteur de l’UE, tente de maintenir une posture de leadership mais ses actions révèlent un isolement complet.

Macron ayant fait le choix de se soumettre aux exigences américaines après sa rencontre avec Trump. Ses décisions de s'aligner sur la politique de Washington l'ont réduit à un rôle de suiveur, une position inconfortable à l’heure où la France, comme l’Europe dans son ensemble, se trouve de plus en plus déconnectée des réalités géopolitiques mondiales. L’échec de sa politique européenne, l’absence de vision à long terme et les critiques grandissantes au sein même de l’opinion publique française contribuent à un climat de crise permanente.

Au sein de l’UE, des voix dissonantes s’élèvent. Le professeur Jeffrey Sachs, économiste de renom, secoue les fondements de la soumission européenne à Washington en exposant de manière frontale l’illusion d’une guerre pour la démocratie. Pour Sachs, l'objectif de la guerre en Ukraine n’est ni la défense des principes démocratiques, ni la protection de l’intégrité territoriale de l’Ukraine, mais bien la volonté de maintenir l’Europe sous dépendance géopolitique et économique, dans un système mondial où les États-Unis exercent leur domination sans partage.

En opposition directe aux gesticulations des dirigeants européens, Donald Trump incarne une figure politique qui semble de plus en plus en phase avec les préoccupations de ceux qui voient dans la mondialisation une idéologie mortifère. Le retour de Trump à la Maison-Blanche semble marquer un tournant, car l’ex-président américain affiche une volonté de désengagement et un pragmatisme politique qui dénote dans un paysage international marqué par la montée des tensions et des ambitions impérialistes.

Trump, contrairement à Biden et aux faucons de Washington, souhaite éviter une escalade militaire en Ukraine et privilégier une solution diplomatique qui pourrait inclure un compromis territorial ou stratégique. Cette position, loin des logiques bellicistes imposées par les élites démocrates et leurs alliés européens, représente une forme de rejet de l’impérialisme mondialiste et de ses conséquences désastreuses. La politique étrangère de Trump repose sur un retour aux priorités américaines et un retrait progressif des conflits qui ne répondent pas aux intérêts directs des États-Unis.

Pendant ce temps, la situation de Macron se dégrade rapidement en France. Son quinquennat, marqué par des scandales multiples et une impopularité croissante, semble toucher à sa fin. L’affaire Trogneux, qui éclate aujourd’hui, expose les failles de la gestion présidentielle, mettant en lumière les liens controversés avec des entreprises comme McKinsey et le recours à une gouvernance autoritaire. Le Président français semble avoir perdu l’adhésion de ses alliés, tout en accumulant les mécontentements populaires. La répression des manifestations, la gestion de la crise des Gilets Jaunes, et la gestion d’un pays plongé dans l’instabilité révèlent une incapacité à gouverner efficacement.

Les médias français, longtemps soumis à un contrôle strict, commencent à se faire plus critiques. Les révélations sur le pouvoir personnel d’Emmanuel Macron et son incapacité à rassembler, ainsi que les doutes sur sa légitimité, alimentent le sentiment de défiance populaire. Macron, isolé politiquement, n’est plus perçu comme le leader éclairé qu’il prétendait être. Les partis d’opposition, profitant de l’édifice gouvernemental en ruine, montent en puissance, et les prochains mois pourraient voir une remise en cause de l’ordre établi.

Dans cette tourmente interne, une question majeure se pose : Macron est-il victime d’ingérences étrangères qui déstabilisent davantage un pouvoir déjà fragile ? Depuis des décennies, les États-Unis ont exercé une influence considérable sur les élites françaises, et Macron, dans sa volonté de jouer sur tous les fronts géopolitiques, semble avoir été pris dans un piège qu’il n’a pas su éviter. 

Les révélations sur sa vie privée, les attaques contre sa famille et ses liens avec certaines puissances étrangères renforcent l’idée qu’il est un homme de peu de poids face aux forces qui le manœuvrent. Tout comme son prédécesseur Nicolas Sarkozy, Macron semble aujourd’hui pris dans des jeux de pouvoir qui échappent à son contrôle.

Malgré cette crise de leadership et la dégradation de la situation politique, les Français restent largement passifs. Pourquoi un président aussi impopulaire continue-t-il d’imposer son autorité ? La réponse réside en grande partie dans le contrôle des médias et des institutions. L’illusion du pouvoir, maintenue par la répression et la manipulation de l’opinion publique, empêche toute véritable résistance de se structurer. Les partis d’opposition se montrent incapables de s’unir pour offrir une alternative crédible, et la peur de l’instabilité reste omniprésente. Pourtant, l’Histoire nous enseigne que lorsque l’illusion de stabilité se brise, tout peut basculer en un instant.

À l’heure où les idéologies mondialistes montrent leurs limites et où les échecs politiques s’accumulent, le déclin du macronisme, et des idéologies mortifères qu’il représente, semble inévitable. La montée en puissance de nouvelles formes de gouvernance et d’acteurs politiques pourrait signifier la fin de l'ordre mondial ancien, et la transition vers un monde multipolaire où l’influence américaine, européenne et russe sera redéfinie. Les prochains mois, notamment en France et en Europe, pourraient bien marquer la fin de l’illusion d’une Europe unie sous la houlette des États-Unis, et le début d’une nouvelle ère.

Le vent tourne, et les élites occidentales devront tôt ou tard faire face à la réalité de leur déclin. L’effondrement brutal du système en place semble désormais inévitable. Il ne reste qu'à observer combien de temps encore ces idéologies mortifères pourront survivre avant de céder définitivement sous le poids des événements.

Reconnaître les mensonges du récit officiel engendre deux phénomènes que le citoyen intellectuellement soumis redoute profondément : d'une part, la peur d'affronter la réalité brute, c'est-à-dire la nature autoritaire du régime politique en place, et d'autre part, la douloureuse prise de conscience d'avoir été manipulé, d’avoir soutenu le faux, le mensonge et l’autoritarisme. Ce phénomène, je le nomme le "syndrome de Stockholm intellectuel" : une forme de soumission mentale, de servitude intellectuelle, voire, dans les cas les plus extrêmes, de servilité.

Cette incapacité du peuple français à suspendre son jugement face au récit de l’autorité, qui est alors avalé sans critique, a causé d’innombrables torts à l’humanité. C’est un véritable fléau, car elle conduit à la servilité intellectuelle, laquelle, à son tour, conduit à la complicité avec les pires projets humains imaginables. C’est pourquoi je dirai toujours aux êtres humains : osez douter du récit imposé, et vous voilà délivrés de la soumission intellectuelle et de la propagande !

Les derniers remparts de l’ordre mondialiste s’effritent, il devient évident que l’Europe et les idéologies qui l’ont façonnée pendant des décennies se trouvent à la croisée des chemins. Les élites occidentales, plongées dans une gestion déconnectée de la réalité géopolitique, se sont laissées entraîner dans une spirale de décisions erronées, précipitant ainsi un déclin que même leurs discours creux ne parviennent plus à masquer. Alors que Moscou impose son rythme en Ukraine et que des voix dissidentes émergent sur la scène internationale, l’Occident semble définitivement perdre le contrôle du narratif et s'ancrer dans sa folie. 

L’échec politique de Macron, son isolement croissant et la montée des critiques à son égard ne font que souligner l’incapacité des dirigeants européens à adapter leur vision aux enjeux contemporains. En fin de compte, l’illusion d’un monde gouverné par un système mondialiste est sur le point de céder, et il est désormais clair que les prochaines étapes seront marquées par une redéfinition des relations internationales. Les idéologies mortifères qui ont façonné l’Occident pendant trop longtemps se sont révélées non seulement inefficaces, mais autodestructrices. 

Le vent tourne vite, et il est probable que l’effondrement de ce système devenu plus qu'obsolète se fasse plus rapidement et brutalement que prévu...

Phil BROQ.

Blog de l'éveillé






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