LE DERNIER COMBAT GRÂCE A L'IA !

La civilisation basée sur le confort matériel illusoire dans laquelle nous vivons, que l'on nous présente comme un modèle d'évolution et de progrès, est en réalité un simulacre dévastateur de toute forme de vie saine, une machine à broyer les consciences, les Humains et leurs rêves. Derrière le masque de la modernité progressiste, l'illusion de la démocratie et le mensonge de la justice, se cache une toute petite caste corrompue, avide de pouvoir et de privilèges, qui manipule tous les flux financiers pour alimenter un système d’oppression et de destruction. Les peuples, pris dans une toile d'araignée de taxes abusives, de lois scélérates, d'injustices flagrantes et de mensonges éhontés, sont maintenus par la violence institutionnelle dans l'ignorance, la peur, et un consumérisme aveugle.

Mais il est désormais plus que temps d’ouvrir les yeux et de renverser ce système hautement toxique et carcéral. Grâce à l'intelligence artificielle et à la numérisation, imposée par cette même caste de gangsters, nous avons nous aussi les moyens de traquer et démontrer la corruption outrancière, de mettre en lumière leurs malversations financières, de briser ces chaînes qui nous entravent, qui nous lient corps et âmes à ces maîtres du monde. La désobéissance et l'opposition, qu'elles soient physiques ou numériques, en somme, la révolte totale, est la seule voie qui nous reste. C'est désormais le seul remède à cette mascarade infernale dont nous sommes les victimes immobiles, le seul véritable moyen de récupérer notre pouvoir de décision, notre humanité et d’assurer l’avenir des générations futures. Il est grand temps d’agir, seul ou en groupe, de refuser la folie et l'injustice, de se dresser contre l’impunité crasse de ces malfaiteurs, et de rendre à l’humanité sa dignité et à défaut son panache. Car ce combat n’est plus une option mais une nécessité vitale.

Il est grand temps de briser cette apathie, ce silence complice et de démasquer partout et à chaque instant cette mascarade infâme ! Cette civilisation, que l'on croyait moderne et éclairée à force d'écouter les mensonges répétés des médias et des gouvernants, est en réalité, aujourd’hui, une misérable dérive vers l’abîme de notre destinée, manipulée par un tout petit groupe d'individus à éliminer sans plus tarder. Chaque malheur, chaque guerre, chaque injustice, chaque crise, trouve ses racines dans ce système financier pourri, où une cabale oligarchique, nourrie de subventions honteuses distribuées avec une arrogance démesurée pour maintenir un statu quo oppressant, mène la danse. Ces fonds que nous alimentons par notre labeur quotidien, rackettés ensuite par cette caste, au lieu d’être alloués à des besoins fondamentaux des hôpitaux, de l’éducation, de la préservation de la nature et d'un avenir durable pour la planète, sont systématiquement détournés pour servir les intérêts de quelques fous d’hybris, avides de pouvoir et de contrôle tyrannique.

Les impôts de tous les citoyens sont arrachés violemment sous prétexte d'une solidarité inexistante et finissent toujours dans les poches de cette élite déconnectée, décadente et malfaisante, qui les utilise pour financer ses guerres, sa répression, ses technologies de surveillance de masse et tous ses systèmes d’oppression. Des milliards de dollars, d'euros, de livres sterling, de yens, de roubles et dorénavant de monnaies numériques, sont ainsi engloutis chaque jours pour alimenter perpétuellement la peur, la division, et l'asservissement des peuples. Au lieu de bâtir une société équitable, une économie respectueuse de la nature et des droits humains, cet argent est gaspillé dans des projets grotesques qui n’ont pour seul but que de garder les masses dans un état d’apathie, de dépendance et de résignation. Cette caste dirigeante ignoble et néfaste à tous, aveuglée par sa soif de contrôle absolu, vautrée dans l'impunité la plus nauséabonde, prive tous les individus de leurs droits les plus élémentaires pour alimenter ses propres privilèges aussi archaïques qu'immoraux. Il n'y a aucun progrès dans ce système où seule la loi du plus fort règne depuis des siècles.

Le contraste est frappant, presque désastreux. Nous voici à une époque où les puissants, ayant accumulé des sommes faramineuses au prix du sacrifice quotidien de millions d'individus, semblent n'avoir aucune vision à long terme, aucune volonté de bâtir, de créer, de faire fructifier cette richesse pour le bien commun, sinon celle de se gaver comme jamais sur notre dos tout en nous maltraitant. À l’inverse, dans un passé pourtant bien plus frugal, les pharaons, eux, bien que loin d’être les parangons de la démocratie, ont su au moins investir dans l’avenir, élever des pyramides, des cités majestueuses, des infrastructures et des savoirs qui traversent les âges et marquer durablement la planète de leur empreinte. Loin des mirages modernes de pouvoir temporaire, ils érigeaient des monuments d’une splendeur telle que leur mémoire perdure encore dans nos civilisations modernes, nous forçant à nous interroger sur ce que nous laisserons derrière nous. Sinon la destruction, la désolation et la pollution générale de notre environnement. 

De nos jours, à quel souvenir de grandeur pouvons-nous prétendre ? Nos dirigeants, entourés de technologies infiniment plus sophistiquées que celles des pharaons, sont incapables de créer autre chose que des sociétés en déclin. Au lieu de bâtir un empire de connaissances, de progrès social ou de respect de l’environnement, ils pillent et gaspillent nos ressources dans des projets d'une futilité abyssale, qui ne font qu'enfoncer les populations dans une indolence généralisée. Car le seul but de cette dépense démesurée est la mise en place d'un contrôle omniprésent, d'une surveillance constante et d'une infantilisation abjecte des masses. Si les pharaons ont laissé derrière eux des pyramides, des temples et des œuvres d'art qui témoignent de leur ambition et de leur grandeur, nos dirigeants, eux, ne lègueront que l’érosion des libertés, la pollution généralisée des esprits comme de la nature et la dégradation irréversible d'une planète où tout nous était offert gracieusement.

Alors, pourquoi, dans une ère où des milliards de dollars sont en circulation et où les avancées technologiques permettraient le bonheur et la félicité de tous, ne parvenons nous pas à construire une société digne de ce nom, respectueuse des droits humains, de la nature et de l’avenir prometteur de nos enfants ? La réponse, hélas, réside dans une vérité amère où nous avons sacrifié la véritable grandeur au nom de la superficialité du progrès. Les milliards qui circulent, loin de nourrir une quête d'harmonie ou de justice, alimentent un système absurde où l'accumulation personnelle prime sur la création collective. Nos avancées technologiques, loin d’être mises au service de l'épanouissement humain, sont détournées pour renforcer le contrôle, la surveillance, et la manipulation des masses. La société, dans sa course frénétique vers l’innovation, a perdu de vue l’essentiel de sa nature d'Humain. 

Nous sommes pris dans un cycle où la démesure de la consommation et de l’exploitation de notre environnement écrasent tout ce qui relève de la pensée profonde, de la réflexion morale et de l'héritage durable. Les empires du passé, bien que bâtis sur des systèmes de domination souvent aussi cruels que violents, savaient au moins qu'ils devaient laisser une trace, quelque chose de tangible qui résiste à l’épreuve du temps. Aujourd’hui, cette logique a disparu. Nos "dirigeants", aveuglés par leur soif insatiable de pouvoirs et de richesses, construisent non pas des empires de culture ou de civilisation, mais des citadelles de néant, faites de béton, de pollution et de chaînes de plus en plus visibles. Les richesses d’aujourd’hui ne créent plus des pyramides, mais des prisons idéologiques et environnementales. Le gouffre qui sépare la grandeur des empires passés de la décadence actuelle n'est pas seulement économique ou technologique ; il est aussi moral et spirituel. Nous avons troqué la sagesse de l'héritage contre la vanité d’une illusion, d'un progrès qui ne mène nulle part. Le gouffre est désormais abyssal entre la grandeur des empires passés et la décadence de notre époque.

Et cette folie n’est pas seulement l’œuvre de ces dirigeants corrompus, elle est aussi le reflet d'une humanité décérébrée, plongée dans le matérialisme le plus grotesque. Les individus, lobotomisés par les divertissements de masse, préfèrent le mirage d'une vie "confortable" à la construction active d'une société plus juste, plus équitable, plus respectueuse et plus adulte aussi. La conscience collective s’effrite sous les coups des smartphones abrutissants, des écrans hypnotisant, des réseaux sociaux aliénants et de la publicité mensongère, qui transforment chaque être humain en une marionnette volontairement bornée dans sa bêtise et consommant sans réfléchir aux conséquences de ses actes égoïstes. Mais combien de temps encore allons-nous tolérer ce monde où les fous sont devenus les boussoles ?

L’heure de la révolte a sonné. Une révolte à minima numérique, basée sur une mobilisation de tous les citoyens pour traquer les flux financiers malhonnêtes, les dénoncer, les prouver pour couper court à cette manne financière qui sert à maintenir les peuples dans l’asservissement. Nous avons actuellement tous les outils nécessaires pour combattre cette corruption systémique, pour traquer les malversations, pour couper les vannes de l'argent qui nourrit les systèmes de contrôle, de surveillance et d’oppression. L’intelligence artificielle, la numérisation, la blockchain… Ces technologies, loin d’être utilisées pour écraser la liberté, doivent devenir des armes de la rébellion et de purge des circuits mafieux. Et Trump et Musk nous ont démontré leur redoutable efficacité en moins de 100 jours de présidence !

Il est désormais possible, grâce à l’IA, de tracer chaque centime, chaque mouvement financier, chaque transaction douteuse. Les algorithmes peuvent scanner, analyser, et mettre à jour les flux d’argent en temps réel, pour repérer immédiatement tout détournement, toute manipulation. Chaque budget, chaque subvention publique, chaque contrat passé sous le manteau peut être décrypté et mis en lumière en un instant grâce à cette technologie. Et tout cela peut être rendu public en deux clics. Il est révolu le temps de subir cette mascarade de "transparence" hypocrite, comme est venu celui de reprendre ce qui nous revient de droit. Pourquoi faire confiance à des bureaucrates corrompus quand des machines peuvent identifier, en quelques secondes, les anomalies, les détournements et les schémas de corruption ?

Mais cela ne s’arrête pas là. La numérisation permet aussi la décentralisation de ce pouvoir qui nous étouffe. Ce système de surveillance oppressif, conçu pour maintenir l’ordre mafieux qui nourrit et gave des élites, peut être retourné contre elles. Imaginez un monde où, grâce à la blockchain, chaque transaction serait sécurisée, immuable et vérifiable par tous, où chaque flux financier des gouvernements serait audité par les citoyens eux-mêmes et en temps réel. Un monde où les élus auraient leurs comptes en banque surveillés et où les paradis fiscaux seraient mis en lumière. Fini les manipulations, fini les rapports falsifiés, fini les bilans maquillés ! La vérité, sur ces flux financiers dévoyés de leur but initial, serait instantanément accessible à tous. Fini ce système pourri qui protège les responsables, tels que Macron, de malversations financières, à l’abri dans l’ombre des transactions rothschildiennes. La lumière serait enfin faite sur les malfaiteurs et nous verrions rapidement qui sont les vrais parasites et assistés de ce monde en perdition.

Si les comptables et experts comptables se mettaient réellement au travail, en appliquant simplement les bases de leur métier avec rigueur et transparence, ils auraient tôt fait de dévoiler les rouages et les malversations qui gangrènent ce système. Le rôle officiel de la cour des comptes est pourtant de suivre les flux financiers, de contrôler chaque mouvement d’argent, de s'assurer que les fonds publics soient utilisés à bon escient. Or, tout le monde sait que pour faire un comptable, surtout dans l'administration, il suffit d'un con et d'une table. Et même pas forcément compétent… Ce n'est pas une question de ressources complexes ou de technologies avancées, puisque nous les avons, mais bien d'une simple volonté de travailler enfin honnêtement dans l'intérêt public. Alors pourquoi, dans ce cas, ces malversations continuent-elles de prospérer ? Parce qu'il y a beaucoup trop de cons et que nous manquons cruellement de tables. Il y a un manque flagrant de comptables engagés, de véritables contrôleurs des finances, de ceux qui oseraient regarder la réalité en face et mettre au jour les dérives lorsqu'ils les voient. Comme de ces gens simples et honnêtes, mais capables de regarder avec rigueur les comptes, sans être déjà corrompus par le système. En d’autres termes, tout le monde pourrait voir et prouver la corruption s’il y avait plus de ces comptables du quotidien qui se mettaient à vraiment scruter les chiffres sans se laisser influencer. Mais la vérité, c'est que tant qu’il n’y a pas cette volonté de faire ce travail simple, mais essentiel, les malversations continuent tranquillement à prospérer.

En France, nous pouvons remercier un Philippe Pascot, un Charles Prat, mais aussi des indépendant comme Charles Sannat ou encore Charles Gave, qui démontrent ceci depuis des années. Alors, pourquoi continuer de laisser des individus aussi malhonnêtes, connus pour leur corruption totale, décider de l’avenir du monde quand l’intelligence artificielle peut prédire et éradiquer ces dérives avant qu’elles n’aient lieu ? 

Ce n’est qu’en agissant massivement, en renversant le pouvoir de la finance corrompue, que nous parviendrons à restaurer la dignité humaine, à couper le flux d’argent qui nourrit la machine oppressante des élites. Chaque instant de retard est un instant où cette caste continue d’enfoncer les peuples dans l’obscurité. Il est donc aussi grand temps que l’IA soit mise à notre service. Que chaque comportement suspect des dirigeants, chacune de leurs dérives, chaque manipulation des fonds publics soit détecté avant même qu’il ne soit trop tard. En finançant des infrastructures dignes de ce nom, une éducation accessible à tous, des systèmes de santé efficaces, des initiatives respectueuses de la nature. Mais tout cela ne se fera pas sans révolte, sans lutte, sans conscience ni courage.

La bataille n’est pas seulement une guerre politique, mais elle devient dorénavant une guerre numérique. Et cette guerre, nous pouvons la gagner, aujourd’hui même, si nous le décidons. Ce flux financier, qui sert uniquement à maintenir cette oligarchie corrompue et ce système de soumission, peut être arrêté net, comme furent arrêtées les subventions de l'USAID, ou comme on devrait cesser de financer des agences inutiles et des commissions théodules absurdes, voire la corruption mondiale avec l'Agence France Développement  qui est l'équivalent français de l'USAID. Nous avons les outils à portée de main. Il suffit de s'en emparer et de les utiliser. Il est temps de reprendre notre destin, de sortir de cette spirale infernale, de mettre fin à l'hégémonie de ceux qui nous mènent droit dans le mur. Osez ! Osez la révolte numérique. Osez couper les chaînes de cette machine infernale.

La vérité, aussi brutale soit-elle, est désormais inéluctable car nous sommes à l’orée d’un abîme profond, un gouffre où l'humanité, sous l’emprise d'une élite corrompue, est sur le point de sombrer irrémédiablement. Si nous laissons ces malfaiteurs conserver encore leur emprise, l’Histoire nous jugera comme les complices d’un déclin qui n’aura épargné personne. Le système qu’ils ont imposé est une machine de destruction, et tant que nous restons passifs, tant que nous continuons à obéir aux ordres de cette caste dépravée, le suicide planétaire devient inévitable.

Oui, nous devons nous battre pour nos droits, pour nos enfants, pour la planète. Il n’est plus question de se contenter d’un monde qui nous écrase sous le poids de l’injustice. Si des sacrifices doivent être faits, que ce soit notre sang qui soit versé pour qu’enfin une lueur d’espoir apparaisse. Ceux qui croient que l’argent, la violence ou la manipulation suffiront à nous asservir ne connaissent pas la puissance d’une humanité réveillé. Et il est venu le temps, plus que jamais, de refuser cette injustice, de secouer la torpeur dans laquelle on nous a plongés, et de réclamer ce qui nous revient de droit. Il s'agit là de notre liberté, notre dignité, notre avenir et de celui des générations futures.

Le courage, le vrai, réside dorénavant et uniquement dans la révolte, dans cette décision irréversible de se dresser contre l’oppression, de prendre les armes, non pas forcément sous forme physique (bien que ce sera là aussi bientôt plus une histoire de choix mais bien de simple survie) mais avec les armes de la vérité, de la solidarité et de la détermination. Ouvrons les yeux sur cette réalité monstrueuse, et refusons de la laisser se perpétuer. La révolte, bien qu’effrayante, est notre dernier recours, celui qui permettra de sauver l’humanité de sa propre destruction.

Alors, ne rêvons pas trop mais le chemin vers la liberté est pavé de sacrifices, or il est plus que nécessaire en ce début de XXIème siècle. Si nous voulons éviter que l'humanité ne soit réduite à un simple écho de souffrance et de soumission, il est impératif de prendre les devants ! Si nous ne faisons rien maintenant, si nous restons encore inactifs, le chemin est déjà tracé, et il ne mène qu’à une extinction certaine. 

Alors, osez vous lever, osez vous battre, osez réclamer ce qui vous revient de droit. Sans cela, la fin de notre civilisation sera la conséquence inéluctable d’une soumission volontaire. Mais avec du courage, de la résistance et un esprit de révolte, tout reste encore possible. Le monde appartient à ceux qui osent briser leurs chaînes. Le temps de l'inaction est révolu et il est venu celui de réécrire notre destin.

Phil BROQ.

Blog de l'éveillé



Commentaires

  1. Ia =suppressions d emplois surtout

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. pas forcement.. l'IA n'est qu'un outil, tout dépend de comment on l'utilise !

      Supprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

ZELENSKY, LE CLOCHARD GUERRIER...

STRATEGIE MACHIAVELIQUE DE L' ELITE TOXIQUE

DU RENONCEMENT A L'EFFONDREMENT...

MACRON LE FOSSOYEUR DU BON SENS EN NON SENS !