LE VIEUX SYSTEME SE DEMANTELE...

Le monde traverse une période de turbulences inédites, marquée par un exode massif de dirigeants économiques et une instabilité croissante des systèmes en place. La domination des Zélites économiques, bâtie sur un capitalisme mondialisé et souvent corrompu, semble vaciller face aux révolutions technologiques, aux crises économiques et à l'éveil des consciences populaires. Avec cette panique parmi les élites, la montée des résistances populaires, et les enjeux d’un système mondial à l’agonie, sont pris dans un tourbillon de changements irréversibles. L’heure du renversement semble arrivée, et avec elle, la possibilité de redéfinir le pouvoir pour un avenir plus juste et plus humain.

La structure mondialiste connaît aujourd’hui une mutation profonde et rapide, où les signes d’un effondrement économique et politique global deviennent de plus en plus évidents. L’année 2024, par exemple, a été marquée par un phénomène inédit dans l’histoire des affaires : un nombre record de PDG ont quitté leur poste. Un rapport de Challenger, Gray & Christmas Inc. révèle que 2 221 PDG ont démissionné l'année dernière, un chiffre qui surpasse de 16% le précédent record de départs observé en 2023. Cette tendance inquiétante n'est pas simplement une coïncidence ; elle reflète un changement structurel profond dans les sphères économiques et sociales.

Les Zélites économiques, autrefois invincibles grâce à leurs réseaux financiers opaques, leurs manipulations et leurs liens avec des organisations comme l’USAID ou la mafia ukrainienne, se trouvent aujourd’hui acculées par un monde qui échappe à leur contrôle. Les entreprises, même les plus puissantes, vacillent sous la pression des nouvelles dynamiques économiques, sociales et technologiques. Ce n’est pas simplement un "turnover" des dirigeants, mais bien un signe que leur emprise sur les rouages du monde est en train de se fissurer. Leurs stratégies, basées sur la manipulation de l’économie et l’exploitation des masses, atteignent leurs limites, et leur pouvoir ne repose désormais plus que sur des tentatives désespérées de maintenir un statu quo de plus en plus intenable.

Les départs massifs de PDG révèlent bien plus qu'une simple fuite des responsabilités. C'est une prise de conscience que le système qu'ils ont contribué à façonner est désormais hors de contrôle, emporté par des vagues de mécontentement populaire et par des innovations technologiques qui bouleversent leur monopole de pouvoir.

Les chiffres sont sans appel et la tendance ne semble pas prête de s’inverser. Mais ce qui est encore plus frappant, c’est la diversité des secteurs touchés. Le secteur public, qui inclut les institutions à but non lucratif, a enregistré 493 départs, tandis que des secteurs aussi variés que la santé, la technologie, le divertissement, la finance et les services (secteur du Tertiaire)ont vu plus de 100 PDG prendre la même décision. Cela témoigne d’une crise systémique qui traverse toute l’économie mondiale.

La domination des entreprises de technologie, qui étaient autrefois considérées comme les fers de lance de l’économie moderne, est aujourd’hui mise en danger par l’intelligence artificielle, la robotisation et l’automatisation. La vitesse des changements technologiques et l’adoption de l’IA par les grandes entreprises ont bouleversé les modèles d’affaires traditionnels. Les dirigeants, dont beaucoup ont fait fortune en contrôlant les grandes entreprises technologiques, se trouvent aujourd’hui dépassés par les mutations qui transforment radicalement la manière dont les sociétés fonctionnent.

Mais il y a un autre facteur crucial à prendre en compte qui est l’érosion des structures de financement traditionnelles. Ces Zélites ont longtemps prospéré grâce à un réseau de financements publics et privés, mais avec la déstabilisation des anciennes routes de financement, comme l’USAID et ses fonds utilisés pour manipuler les politiques internationales, elles perdent inexorablement leur pouvoir de manipulation.

Ce qui est particulièrement frappant, c'est que l’arrivée de nouvelles technologies bouleverse encore plus l’équilibre déjà précaire du système. L'IA, une fois vue comme une simple "révolution industrielle", est aujourd'hui une arme à double tranchant. D’une part, elle leur permet de maximiser les profits, de réduire les coûts et d’optimiser les chaînes de production. Mais d’autre part, elle les place face à un dilemme de taille pour savoir comment maintenir un système où une poignée de puissants contrôlent la majeure partie des richesses, tout en étant en même temps exposés à des vagues de résistance populaires alimentées par cette même technologie ?

L’IA n’est plus seulement un outil de gestion mais devient aussi un levier de lutte pour les citoyens qui, plus que jamais, ont la possibilité de s’organiser. Les plateformes numériques, qui ont permis la naissance de nouvelles formes de démocratie participative, sont aujourd'hui utilisées pour contrer les abus de pouvoir des grandes entreprises. L’accès facilité à l'information, couplé à la capacité de l’IA à relier des données en temps réel, permet à des millions de personnes de remettre en cause les actions des plus puissants, et de susciter des mouvements sociaux mondiaux.

En réponse à cela, les Zélites, comprenant le pouvoir croissant des peuples, essaient de conserver le contrôle en se tournant vers des régimes de surveillance technologique et de censure. En s’inspirant du modèle chinois, qui repose sur une surveillance étroite de la population, elles cherchent à instaurer un système global de contrôle via des technologies de tracking et des bases de données massives. L’idée est de créer un environnement numérique où chaque mouvement est surveillé, chaque interaction est enregistrée, et où l’on peut anticiper les révoltes avant même qu'elles ne surgissent.

Cependant, ces tentatives de surveillance de masse, loin de calmer les révoltes, risquent de nourrir encore plus la rébellion. Le modèle chinois de surveillance, bien que permettant de maintenir une forme de contrôle dans un contexte de dictature, ne pourrait pas être appliqué à l’échelle mondiale sans provoquer une résistance massive. L'usage excessif de technologies invasives, la collecte de données personnelles à grande échelle, et la répression numérique créeraient un fossé encore plus grand entre les Zélites et les masses populaires. Un tel contrôle technologique pourrait entraîner aussi une guerre de l’information, une guerre où l’IA serait utilisée pour éclairer la vérité au grand jour, et où des technologies émergentes comme la Blockchain ou les systèmes décentralisés seraient utilisées pour protéger les droits individuels.

Et les mouvements sociaux ne cessent de croître. De Paris à New York, de Hong Kong à São Paulo, les peuples se soulèvent contre la domination de ces Zélites. La révolte n’est plus simplement idéologique, elle est alimentée par des inégalités économiques de plus en plus criantes. Et ce sont les jeunes générations, formées aux technologies numériques, qui portent ce changement, armées d’outils permettant de contourner la censure et d’organiser des résistances à grande échelle. Cette révolution numérique a permis aux citoyens de s'unir malgré les tentatives de censure et de contrôle.

Le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui est en train de se transformer de manière irréversible. Les Zélites, déstabilisées, n’ont plus les outils de corruption et de chantage qu’elles avaient autrefois pour maintenir leur domination. La perte de contrôle sur les financements internationaux, l’émergence de technologies capables de redéfinir le pouvoir et l’intensification des révoltes populaires dessinent les contours d’un nouveau monde.

L’époque où les grandes entreprises pouvaient acheter le pouvoir politique, où des guerres économiques étaient menées pour garder les peuples sous domination, semble appartenir au passé. Ce système, qui a dominé le monde pendant des décennies, est en train de s'effondrer sous nos yeux ! Les peuples, eux, prennent peu à peu conscience de leur force collective et, armés de technologies nouvelles, sont en train de redéfinir la notion même de pouvoir. La caste des héritiers milliardaires qui ont fait de ce monde un enfer, incapables de répondre à ce nouveau défi, risquent bien d’être balayées par cette révolution de la connaissance et de l'information !

Alors, amis lecteurs, encore une fois, le temps est venu pour chaque individu de se réveiller face à la réalité brutale d’un système mondial corrompu et inégalitaire. Ces Zélites, qui ont longtemps régné sur nos vies et nos destins, sont aujourd’hui en déroute. Leur pouvoir se fissure, mais au lieu de se soumettre à l’effondrement, elles tentent de maintenir leur emprise par des stratagèmes technologiques oppressifs. Il est de notre devoir de ne pas les laisser triompher dans leur dernier souffle, mais plutôt de nous unir pour démanteler les structures de contrôle qu’elles cherchent à imposer.

Le réveil des consciences, nourri par l’accès à une information libre et une solidarité grandissante, est notre seule arme ! Ne soyons plus les spectateurs passifs de la fin d’une ère, mais enfin les acteurs d’une révolte mondiale qui refusera d’accepter un futur déshumanisé, régi par des algorithmes et des systèmes de surveillance. L’heure de l’action est maintenant ! Que le monde entier se soulève, exigeant un nouveau modèle fondé sur la justice, la liberté et la dignité humaine, porté par les exemples de Trump. N'oublions pas que le pouvoir appartient à ceux qui osent le réclamer, comme la liberté est pour ceux qui savent la prendre… 

Il est plus que temps de prendre notre destin en main, si on ne veut pas finir broyés dans les leurs  !

Phil BROQ.

Blog de l'éveillé